Archive pour le Tag '« Les fonctionnaires'

Retraites : les fonctionnaires inquiets pour leur avenir…comme les autres !

Retraites : les fonctionnaires inquiets pour leur avenir…comme les autres !

 

Une étude montre que les fonctionnaires sont inquiets pour leur l’avenir de leur retraite ; ils ont sans doute raison car le montant de ces retraites n’est pas provisionné par l’État qui devra les financer par l’emprunt donc par la dette. Les fonctionnaires ont raison d’être inquiètes  mais ni plus ni moins que les autres salariés eux aussi qui ne peuvent avoir aucune certitude quant à l’âge de départ en retraite et au niveau de leur pension en l’état actuel des déficits budgétaires, des déficits des comptes sociaux et de la croissance. Si rien ne change sur le plan économique,  il est vraisemblable que tout devra être remis en cause et de manière significative tant  pour les fonctionnaires que pour les salariés du privé. L’inquiétude des fonctionnaires traduits peut-être la découverte des réalités économiques du pays Les fonctionnaires broient du noir. Selon une étude de la Préfon, la caisse nationale de prévoyance de la fonction publique, 60% d’entre eux se disent « inquiets » voire « très inquiets » pour leur avenir et leur future retraite. Le pourcentage grimpe même à 70% parmi les fonctionnaires âgés de 35 à 49 ans, ce qui correspond à une hausse de neuf points par rapport au dernier baromètre réalisé en août 2015.

Blocage budget Etats –Unis : les fonctionnaires en congés sans solde !

Blocage budget Etats –Unis : les fonctionnaires en congés sans solde !

Pas d’accord, pas de budget ! 800.000 fonctionnaires vont se rendre au travail. Ils seront renvoyés chez eux, on leur signera une lettre attestant qu’ils font partie de services « non-essentiels ». Sachant qu’il y a aux Etats-Unis 2 millions de fonctionnaires fédéraux, et 12 millions de fonctionnaires américains. En somme, l’immense majorité des agents de l’Etat américain vont continuer à travailler aujourd’hui, la plus grande part de ses services va tourner. Y compris la poste, les hôpitaux, les services de sécurité, les écoles… En revanche, les musées ne fonctionneront pas, ni les parcs nationaux, les monuments, le ministère de l’environnement  A plusieurs reprises. La dernière fois, c’était sous Bill Clinton, il y a 17 ans. Mais un tel « shutdown » s’est produit 17 fois aux Etats-Unis depuis 1977. C’est presque une habitude! En général, un accord est trouvé en quelques jours et on passe à l’étape suivante. Or là, l’étape suivante est autrement plus risquée. Il s’agit de la négociation sur le relèvement du plafond de la dette américaine. Et là, un blocage ferait peser un risque autrement plus grave que la fermeture de quelques services de l’Etat. Cette  absence d’accord sur le budget ne laisse rien présager de bon du rapport de force extrêmement tendu entre Démocrates et Républicains. Deux scénarios sont envisagés pour ces négociations à venir. Soit les deux camps font preuve d’une « hyper-intransigeance », les Républicains cédant totalement à l’aile droite de leur parti, le Tea Party. Auquel cas, on se dirige vers un affrontement direct avec Barack Obama qui lui, risque de porter à conséquence sur l’économie américaine. Il y a un autre scénario. Dès ce 1er octobre, les négociations ont commencé pour sortir du « shutdown ». Certains observateurs croient que les discussions budgétaires pourraient dériver dès maintenant sur le sujet du plafond de la dette, alors que ce dernier sujet n’aurait dû être abordé qu’autour du 17 octobre. C’est peut-être là la volonté des modérés: la direction du parti républicain aurait ainsi donné un os à ronger à ses extrémistes du Tea Party, sans porter à conséquence. Mais sur les choses sérieuses, comme le plafond de la dette, les modérés reprennent la main, avec une position beaucoup plus ouverte pour négocier avec la Maison Blanche.

Le gouvernement soigne les fonctionnaires …avant les municipales

Le gouvernement soigne les fonctionnaires …avant les municipales

Seulement  2.000 suppressions nettes de postes interviendront l’an prochain sur plus de 2 millions d’agents de l’Etat. Et jeudi 27 septembre, Marylise Lebranchu, leur ministre, a confirmé un étalement de la hausse de leurs cotisations retraites sur quatre ans. Ce n’est pas tout. Le projet de budget 2014 prévoit aussi la suppression définitive du « jour de carence » non indemnisé en cas de maladie. Une vieille revendication des syndicats de la fonction publique.  Instaurée en 2012 par le gouvernement Fillon, le « jour de carence » consiste à ne pas indemniser le premier jour d’arrêt de travail d’un fonctionnaire. Les salariés, eux, doivent subir trois jours de carence, il est vrai souvent pris en charge par leur employeur dans le cadre de leur convention collective. L’objectif de l’ancienne majorité était d’endiguer l’absentéisme dans le public, pus élevé que dans le privé, en particulier dans les collectivités locales.  Le gouvernement Ayrault avait promis aux syndicats de supprimer cette mesure. Ce qui devrait être fait dans le budget 2014. Selon le projet de loi, cette suppression devrait coûter près de 130 millions d’euros aux caisses publiques, desquels il faudra déduire les économies réalisées par des contrôles renforcés des arrêts de travail des agents. Mais le gouvernement se garde bien de chiffrer ce gain.  Comme les salariés du privé, les 5 millions de fonctionnaires de l’Etat, des collectivités locales et des hôpitaux sont appelés faire un effort supplémentaire dans le cadre de la réforme des retraites. Mais pour atténuer l’impact sur leur pouvoir d’achat, le gouvernement a décidé d’appliquer un mécanisme de lissage: la hausse des cotisations salariales sera étalée entre 2014 et 2017. La hausse devra à terme bien atteindre 0,3 point. A la suite de la précédente réforme des retraites de 2010, le taux de cotisation des fonctionnaires augmente déjà progressivement pour être aligné sur celui du privé. La réforme Fillon a, en effet, institué une hausse de 0,27 point par an afin de rejoindre le niveau du privé en 2020. Le projet de Budget 2014 confirme dans les chiffres le fait qu’aucune réforme de fond des retraites des fonctionnaires n’a été décidée par le gouvernement Ayrault. La hausse des cotisations des agents en 2014 ne fera gagner que 200 millions d’euros à l’Etat. Au total, le coût des pensions représentera l’an prochain pour le seul Etat 45,4 milliards d’euros contre 45,2 milliards cette année. Concernant les régimes spéciaux des salariés du public que le gouvernement n’a pas non plus voulu réformer, le projet de budget 2014 prévoit une subvention de 6,5 milliards d’euros pour les équilibrer. Soit le même montant que cette année. Ce qui démontre que ce sont les contribuables qui financeront toujours une partie de leurs pensions.

Retraites fonctionnaires: « pas des privilégiés », selon Marylise Lebranchu

Retraites : « Les fonctionnaires ne sont pas des privilégiés », selon Marylise Lebranchu

Alors que le rapport Moreau sur la réforme des retraites sera remis vendredi prochain au gouvernement, la ministre de la Fonction publique Marylise Lebranchu était l’invitée de Jean-Michel Aphatie ce mercredi 12 juin.  Pour elle : « Si un effort doit être demandé, ce sera à tout le monde« , faisant écho aux récents propos de sa collègue des Affaires sociales Marisol Touraine, selon qui la fonction publique devrait faire des concessions dans ce dossier. « Les fonctionnaires ne sont pas des privilégiés, a-t-elle martelé au micro de RTL. 700.000 d’entre eux sont au smic », a-t-elle affirmé. « Certes, le calcul (de la pension, ndlr) est différent, mais ils ont un salaire et des primes. Or, ces dernières ne rentrent pas dans le calcul de leur retraite, alors qu’elle représentent une part importante de leurs revenus », a expliqué la ministre. Pour Marylise Lebranchu, il est « injuste » de s’en prendre à la fonction publique même si elle concède « qu’il peut être intéressant de remonter au delà des dernières années de travail ». Pour cela, il faut que la réforme soit « juste », qu’elle se fasse « dans la durée » et qu’elle « serve à tout le monde ». Le système de retraite par répartition est en dangerMarylise Lebranchu La ministre socialiste a dénoncé la précédente réforme de 2010, qui laisse selon elle « 20 milliards de trou en 2020″. Et d’ajouter : « Le système de retraite par répartition est en danger », affirmant que son gouvernement allait « réussir ce que le droite n’a pas réussi ».

 




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