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Endettement public de la France : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage

Endettement public de la France : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage


Au 31 mars 2023 et selon l’Insee, la dette de la France dépasse les 3.000 milliards d’euros. À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se monte à 3.013,4 milliards d’euros (contre 2.950 milliards d’euros à fin 2022). Soit une augmentation de 63,4 milliards d’euros.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.( plus de 80 000 euros par ménage)

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période). Soit encore une dette de plus de 80 000 euros par ménage ( moyenne de 1.17 d’habitants par ménage) !

La dette implicite ou hors bilan, ? appelée « dette implicite » ou « hors bilan », comprend la masse des engagements, garanties et activités de financement ne figurant pas au bilan de l’État. Par exemple

la garantie de 40 milliards d’euros apportée par l’État à la dette de l’Unedic ;
la garantie apportée à la SNCF,
l’engagement de 2.400 milliards concernant les futures pensions des retraités de la fonction publique ;
les subventions d’équilibre aux régimes spéciaux ;
la garantie sur les dépôts sur les livrets réglementés…
Ce hors bilan était estimé en 2017 à 3.900 milliards.

Cette même année, la dette nationale globale était estimée à 270% du PIB (99% pour la dette officielle et 171% pour le hors bilan). En 2019, le hors bilan était passé à 4.000 milliards d’euros et sa croissance était estimée à 360 milliards d’euros par an.

En 2020, en consolidant les deux dettes, on parvient au chiffre de 2.668 + 4.480 = 7.148 milliards. Soit 324 % du PIB estimé à 2.200 milliards.

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage


Au 31 mars 2023 et selon l’Insee, la dette de la France dépasse les 3.000 milliards d’euros. À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se monte à 3.013,4 milliards d’euros (contre 2.950 milliards d’euros à fin 2022). Soit une augmentation de 63,4 milliards d’euros.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.( plus de 80 000 euros par ménage)

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période). Soit encore une dette de plus de 80 000 euros par ménage ( moyenne de 1.17 d’habitants par ménage) !

La dette implicite ou hors bilan, ? appelée « dette implicite » ou « hors bilan », comprend la masse des engagements, garanties et activités de financement ne figurant pas au bilan de l’État. Par exemple

la garantie de 40 milliards d’euros apportée par l’État à la dette de l’Unedic ;
la garantie apportée à la SNCF,
l’engagement de 2.400 milliards concernant les futures pensions des retraités de la fonction publique ;
les subventions d’équilibre aux régimes spéciaux ;
la garantie sur les dépôts sur les livrets réglementés…
Ce hors bilan était estimé en 2017 à 3.900 milliards.

Cette même année, la dette nationale globale était estimée à 270% du PIB (99% pour la dette officielle et 171% pour le hors bilan). En 2019, le hors bilan était passé à 4.000 milliards d’euros et sa croissance était estimée à 360 milliards d’euros par an.

En 2020, en consolidant les deux dettes, on parvient au chiffre de 2.668 + 4.480 = 7.148 milliards. Soit 324 % du PIB estimé à 2.200 milliards.

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 40 000 € par habitant

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 40 000 € par habitant


Au 31 mars 2023 et selon l’Insee, la dette de la France dépasse les 3.000 milliards d’euros. À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se monte à 3.013,4 milliards d’euros (contre 2.950 milliards d’euros à fin 2022). Soit une augmentation de 63,4 milliards d’euros.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.( plus de 80 000 euros par ménage)

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période). Soit encore une dette de plus de 80 000 euros par ménage ( moyenne de 1.17 d’habitants par ménage) !

La dette implicite ou hors bilan, ? appelée « dette implicite » ou « hors bilan », comprend la masse des engagements, garanties et activités de financement ne figurant pas au bilan de l’État. Par exemple

la garantie de 40 milliards d’euros apportée par l’État à la dette de l’Unedic ;
la garantie apportée à la SNCF,
l’engagement de 2.400 milliards concernant les futures pensions des retraités de la fonction publique ;
les subventions d’équilibre aux régimes spéciaux ;
la garantie sur les dépôts sur les livrets réglementés…
Ce hors bilan était estimé en 2017 à 3.900 milliards.

Cette même année, la dette nationale globale était estimée à 270% du PIB (99% pour la dette officielle et 171% pour le hors bilan). En 2019, le hors bilan était passé à 4.000 milliards d’euros et sa croissance était estimée à 360 milliards d’euros par an.

En 2020, en consolidant les deux dettes, on parvient au chiffre de 2.668 + 4.480 = 7.148 milliards. Soit 324 % du PIB estimé à 2.200 milliards.

« La folie de l’urbanisation: l’équivalent d’un département tous les sept ans »

 « La folie de l’urbanisation: l’équivalent d’un département tous les sept ans » 

Corinne Vezzoni, architecte,  propose, dans une tribune au « Monde », d’inverser la logique selon laquelle, sauf exception, tout le territoire français est constructible et de faire revenir les zones commerciales en centre-ville pour limiter l’espace bâti.(extraits)

 » la pandémie vient de nous confirmer, ce que nous avions tendance à oublier, que nous ne sommes pas maîtres de la terre et que nous devons la respecter. Et le confinement nous confirme que la réussite collective dépend souvent de la responsabilité individuelle.

Nous autres architectes avons à prendre en compte ces réalités et faire évoluer nos pratiques.

Préserver. C’est un fait douloureux mais incontestable : le bâtiment est un des secteurs de l’activité humaine les plus polluants. Il se répand en périphérie, s’évase partout à la campagne et tire la caravane sans fin des lotissements, routes, ronds-points, centres commerciaux, zones d’aménagements… Et plus on se répand en périphérie, moins on donne les moyens à ceux qui restent urbanisés de vivre correctement. Le confinement a été plus facile à vivre aux populations vivant en pavillons (mais à quel prix pour le futur), qu’aux confinés de nos villes. L’urbanisation envahit l’équivalent d’un département français tous les sept ans.

En revanche, il y a quelques pays d’Europe où le sol est par postulat fortement protégé, voire inconstructible. Les territoires sont rendus constructibles au fil des réalisations nécessaires à l’élaboration des villes. Il faut donc argumenter pour obtenir le droit à construire. La non-construction est la règle, la construction l’exception.

En France c’est tout le contraire ! Le pays, au départ, est entièrement constructible et on a progressivement classé des zones boisées, parcs régionaux, zones agricoles, etc. Intellectuellement, cela génère une attitude bien différente ! Lorsqu’on peut construire facilement, on ne va pas chercher la difficulté, on préfère s’installer sur des zones encore vierges. ( sil le faut on modifie sans complexe et sans retenue .  Le sol est considéré comme une surface alors qu’il est un écosystème complexe. Sa consommation se fait de manière aveugle, sans considérer les subtilités géographiques.

Et si cela devenait le contraire ? Et si l’on renversait la table, en un mot si tout devenait – a priori – inconstructible ? Et si pour construire il fallait donner la preuve qu’il n’y a pas d’autre solution. Rendre inconstructible ce qui est encore naturel ou agricole obligerait à voir la réalité autrement. La difficulté à construire sur les zones protégées inciterait à porter son regard sur les sites déjà construits où il serait plus facile de s’installer. On découvrirait qu’il y existe énormément de scories de l’urbanisation passée, de friches, de toits, de bâtis reconvertibles, de zones commerciales. On découvrirait qu’ils pourraient être propices à une écologie urbaine. Ces lieux seraient déjà ouverts à l’urbanisation et n’infligeraient pas au territoire une cicatrice supplémentaire. »




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