Archive pour le Tag 'lendemain'

Italie et chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

Italie et chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

 

On ne compte plus les chefs d’État qui ont endossé le costume de sauveur de leur pays. C’est notamment le cas en Italie, en Grande-Bretagne ou encore en France. La faute évidemment à une opinion publique un peu crédible qui prend pour argent comptant des promesses politiciennes. Mais la responsabilité surtout à ces  candidat à la posture de dieu grec pendant les campagnes électorales et qui après être élus se montrent à la fois inefficaces et contradictoires. C’est le cas aujourd’hui encore en Italie comme c’était le cas avec Macron, un président rarement aussi détesté sous la Ve République. Le cas aussi avec Boris Johnson.

Plus fondamentalement en cause un système démocratique sur les conditions d’émergence des leaders et responsables politiques et sur leur fonctionnement interne qui les coupe des réalités .

Demain l’Italie va donc se doter encore d’un nouveau sauveur.

Après Renzi le «rottamatore» (le démolisseur), Salvini le «capitano», et «Super Mario» Draghi, l’Italie pourrait, ce dimanche soir, se donner un nouveau sauveur pour redresser la barre. Plusieurs estimations placent Giorgia Meloni, cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, en tête avec plus de 20% des intentions de vote contre 4% en 2018.

Ces dernières années, l’Italie semble condamnée à la recherche perpétuelle d’une nouvelle figure providentielle. «Il y a toujours un moment où les médias et une partie de l’opinion se disent qu’une personne peut les sauver. Aujourd’hui une partie de l’Italie se dit qu’avec Meloni, c’est possible», analyse ainsi Marc Lazar, président de la School of Government de l’université LUISS à Rome. «Mais une partie de l’Italie investit tellement dans ce ‘sauveur’, que s’il n’est pas à la hauteur, l’opinion se renverse», poursuit-il. Et ce, très rapidement.

Mais le problème vaut pour nombre de pays d’Europe. À quand des responsables plus représentatifs et qui auront la décence de ne rien promettre ?

Chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

Chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

 

On ne compte plus les chefs d’État qui ont endossé le costume de sauveur de leur pays. C’est notamment le cas en Italie, en Grande-Bretagne ou encore en France. La faute évidemment à une opinion publique un peu crédible qui prend pour argent comptant des promesses politiciennes. Mais la responsabilité surtout à ces  candidat à la posture de dieu grec pendant les campagnes électorales et qui après être élus se montrent à la fois inefficaces et contradictoires. C’est le cas aujourd’hui encore en Italie comme c’était le cas avec Macron, un président rarement aussi détesté sous la Ve République. Le cas aussi avec Boris Johnson.

Plus fondamentalement en cause un système démocratique sur les conditions d’émergence des leaders et responsables politiques et sur leur fonctionnement interne qui les coupe des réalités .

Demain l’Italie va donc se doter encore d’un nouveau sauveur.

Après Renzi le «rottamatore» (le démolisseur), Salvini le «capitano», et «Super Mario» Draghi, l’Italie pourrait, ce dimanche soir, se donner un nouveau sauveur pour redresser la barre. Plusieurs estimations placent Giorgia Meloni, cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, en tête avec plus de 20% des intentions de vote contre 4% en 2018.

Ces dernières années, l’Italie semble condamnée à la recherche perpétuelle d’une nouvelle figure providentielle. «Il y a toujours un moment où les médias et une partie de l’opinion se disent qu’une personne peut les sauver. Aujourd’hui une partie de l’Italie se dit qu’avec Meloni, c’est possible», analyse ainsi Marc Lazar, président de la School of Government de l’université LUISS à Rome. «Mais une partie de l’Italie investit tellement dans ce ‘sauveur’, que s’il n’est pas à la hauteur, l’opinion se renverse», poursuit-il. Et ce, très rapidement.

Mais le problème vaut pour nombre de pays d’Europe. À quand des responsables plus représentatifs et qui auront la décence de ne rien promettre ?

Bourse : optimisme un jour, incertitude le lendemain

Bourse : optimisme un jour, incertitude le lendemain

C e qui pourrait caractériser l’évolution de la tendance boursière dans les semaines et même les mois à venir est un phénomène de yo-yo mais sur une tendance baissière. Ainsi avant-hier les cours ont progressé partout tandis que vendredi ils étaient orientés à la baisse et pour les mêmes raisons ( plan américain, brexit, crise sanitaire ).

La tendance à court terme voudrait que les indices soient cependant poussés à la hausse avant les fêtes de fin d’année afin que les grands opérateurs prennent leurs bénéfices entraînant alors une baisse de la tendance. Les places européennes ont donc chacune leur tour effacé vendredi leurs gains face aux incertitudes concernant, d’une part, l’issue des négociations entre Londres et Bruxelles sur leurs futures relations commerciales et, d’autre part, le plan de soutien en discussion au Congrès américain.

Dans le premier dossier, le négociateur en chef de l’UE sur le Brexit a estimé vendredi qu’un accord avec Londres restait possible mais qu’il ne restait plus que “quelques heures” pour y parvenir.

Aux Etats-Unis, il parait de moins en moins probable que le Congrès parvienne à un consensus sur un plan global comprenant des aides face à la crise sanitaire avant ce vendredi minuit, ce qui pourrait l’amener à adopter à nouveau un texte prolongeant les financements fédéraux afin d’éviter un “shutdown” de l’administration.

Le leader de la majorité au Sénat américain, Mitch McConnell, a déclaré que les discussions étaient productives et pourraient se prolonger jusqu’au week-end si nécessaire.

Le « grand soir » social annoncé par Sarkozy ….. Attention aux gueules de bois du lendemain matin !

Le  « grand soir » social annoncé par Sarkozy …..  Attention aux gueules de bois du lendemain matin !

 

Le grand soir de Sarkozy c’est surtout la reprise de ce qui existe, est dans les tuyaux amis  avec en plus la chasse aux syndicats. Certes des syndicats pas tous très modernistes et même souvent archaïques CFDT exceptée notammen t ; t mais auquel on ne peut faire le reproche d’uen manque de représentativité du faat des résultats aux élections et du nombre d’adhérents bien supérieurs à celui des parti politiques.  Dans un entretien accordé au quotidien Les Echos daté du 30 septembre, le président du parti « Les Républicains » veut tout revoir : la durée légale du travail, la définition du licenciement économique, le rôle des syndicats, le fonctionnement de l’assurance chômage. Il milite pour un grand chambardement afin de relancer l’économie et créer des emplois. Mais, dans son élan, Nicolas Sarkozy « oublie » que nous ne sommes plus en 2007 où en 2012. Plusieurs de ses préconisations s’appliquent en fait déjà, notamment depuis les récentes lois Rebsamen sur le dialogue social et Macron sur la croissance. Et nombre de ses suggestions ne résistent pas à la réalité du terrain, notamment sur la place des syndicats. En réalité, on a l’impression que les propos de l’ancien président de la République s’adressent davantage aux futurs électeurs de la primaire du centre et de la droite, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017, qu’aux professionnels ou acteurs des relations sociales. Nicolas Sarkozy, François Fillon et Alain Juppé – dans une moindre mesure – se livrent à une sorte de course à l’échalote. C’est à qui sera le plus « réformateur »…parfois aux dépens de la réalité du terrain. Décryptage des propos de Nicolas Sarkozy sur les sujets sociaux. « Le dialogue social ne fonctionne plus en France. La négociation sociale doit désormais se dérouler d’abord dans l’entreprise, plutôt qu’au niveau de la branche ou du confédéral (…). Quand un accord dans l’entreprise n’est pas possible entre les partenaires sociaux, ce sont les salariés de cette même entreprise qui doivent pouvoir trancher par referendum à la majorité simple. «Justement c’est cela la réforme Valls en cours !  Ainsi, Nicolas Sarkozy veut donner la priorité à la négociation d’entreprise au détriment de l’accord de branche. En affirmant cela, il ne fait que surfer sur le débat – très en vogue en ce moment – sur la place à accorder aux différentes normes (loi, accord de branche, accord d’entreprise). C’est tout l’objet du fameux rapport Combrexelle - du nom du président de la chambre sociale du Conseil d’Etat – remis récemment au Premier ministre et qui va donner lieu à un projet de loi. L’ancien président de la République « oublie » que 98% des entreprises ont moins de cinquante salariés, il y a donc une impossibilité de négocier et de signer un accord.




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