Archive pour le Tag 'l’élection'

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle sous influence russe

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle  sous influence russe

 la Cour constitutionnelle « annulé la totalité » du scrutin présidentiel afin de « s’assurer de sa validité comme de sa légalité », et demande à ce que « l’intégralité du processus électoral » soit reportée. L’avant-veille, le président Klaus Iohannis avait dénoncé  l’utilisation du réseau social TikTok dans la campagne et pointait du doigt des ingérences russes. Elena Lasconi, la candidate de centre droit, a déploré une décision « illégale et immorale » qui « bafoue la démocratie »

La Cour a fait savoir qu’une nouvelle date de scrutin serait communiquée ultérieurement tandis que le mandat du chef de l’État, initialement censé s’achever le 21 décembre, sera prolongé jusqu’à ce que son successeur prenne ses fonctions.

Russie: Evguéni Prigojine (Wagner) , candidat à l’élection présidentielle en Ukraine !

Russie: Evguéni Prigojine (Wagner) , candidat à l’élection présidentielle en Ukraine !

De pire en pire pour la Russie comme pour le monde avec la candidature annoncée du patron de Wagner pour des élections présidentielles en 2024 en Ukraine!

Une annonce qui n’est pas gratuite et qui vise aussi Poutine car Prigojine se verrait bien aussi successeur de Poutine . Ce serait évidemment une catastrophe supplémentaire au plan mondial d’autant que le groupe Wagner développe ses activités économiques et politiques criminelles dans des pays de plus en plus nombreux, dans des pays de l’Est mais aussi en Amérique du Sud et en Afrique.

Pour dissimuler son opposition à Poutine, il se se dit prêt à affronter Volodymyr Zelensky ou encore l’ancien président Petro Porochenko en 2024.

Le patron du groupe paramilitaire russe se dit prêt à affronter l’ancien président Petro Porochenko et Volodymyr Zelensky : «Je me présenterai à ce poste contre» eux, martèle-t-il. «Si je gagne l’élection au poste de président de l’Ukraine, tout ira bien, les gars. Les munitions ne seront plus nécessaires», assure-t-il en direct du front de Bakhmout, la plus longue bataille depuis le début de l’offensive russe.

Cette dernière remarque vise directement le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, et le chef d’état-major, Valéri Guerassimov, que Prigojine accuse de commettre une «trahison» en refusant de fournir des munitions à Wagner. En début de semaine, il s’était de nouveau plaint d’un manque de munitions, attribuant les retards de livraison à une possible «trahison».

«Des ordres ont été donnés pour la livraison le 23 février. Mais à ce jour, la plupart des munitions n’ont pas été envoyées», avait déclaré Prigojine sept jours plus tôt. Il avait menacé : «Si Wagner se retire maintenant de Bakhmout, c’est le front tout entier qui s’effondrera». «Il s’effondrera jusqu’aux frontières de la Russie, peut-être même plus loin. De manière générale, la situation ne sera pas des plus agréables», avait-il poursuivi.

Action climat : le cœur de la problématique pour l’élection de 2022

Action climat : le cœur de la problématique pour l’élection de 2022

 

Transport, logement, agriculture… A l’attention des candidats à la présidentielle, l’économiste Alain Grandjean et la physicienne Farah Hariri plaident, dans une tribune au « Monde », pour une série d’actions prioritaires à mettre en œuvre afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050.

 

Tribune.

 

L’envergure et l’intensité des inondations, les canicules et les incendies estivaux, la montée irréversible du niveau de la mer, le sévère rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, la poursuite de la croissance des émissions de CO2 et de méthane nous obligent à accélérer l’action climatique. Que faire ?

 

Nous avons formulé un plan en douze propositions d’actions prioritaires à mener en France. Il ne s’agit pas d’un catalogue dans lequel on pourrait piocher, mais d’un ensemble articulé pour réaliser l’objectif de neutralité carbone à 2050 que nous nous sommes donné. Nous avons la conviction que l’action climatique doit désormais être la colonne vertébrale du programme des candidats à l’Elysée. C’est également le chemin pour aller vers l’emploi pour tous, une meilleure santé publique et plus de justice sociale.

 

Les douze propositions, chacune à fort effet de levier, traitent, d’une part, des enjeux de gouvernance et de financement et, d’autre part, des enjeux sectoriels en se concentrant sur les secteurs les plus émissifs. Nous avons raisonné en fonction des priorités en matière d’émissions de gaz à effet de serre (GES) et d’importance en matière d’adaptation au changement climatique. Ce programme apporte des solutions nécessaires pour lever les freins culturels, économiques et politiques. Il doit être porté au plus haut niveau de l’Etat.

Nous demandons que le premier ministre rende compte mensuellement de l’évolution de l’action climatique et de ses indicateurs-clés. Un plan massif d’investissements de 2 % à 3 % du PIB annuel sera nécessaire. L’interprétation des règles budgétaires doit être adaptée de sorte que le montant de ce plan d’investissements ne soit pas comptabilisé dans le calcul du déficit public. Nous proposons qu’il soit financé par une facilité européenne dont la Banque centrale européenne (BCE) pourra assurer le refinancement. N’oublions pas que l’argent n’a pas le pouvoir de réaliser la transformation nécessaire à la transition ; c’est à l’Etat de fixer le cap et de lancer les opérations pour qu’ensuite la BCE mette l’argent à disposition. Nous proposons de conjuguer ce plan d’investissements avec une « taxonomie brune » afin d’identifier et de faire cesser les activités carbonées. Enfin, un signal-prix incitatif, calculé en fonction d’un score carbone, guidera les choix des agents économiques.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Climat : la France n’est toujours pas dans les clous pour atteindre ses objectifs en 2030

Face aux menaces de pénuries et aux tensions géopolitiques liées aux matériaux, il faut réinventer la politique industrielle française. Relocalisation, revalorisation et résilience doivent être au cœur de la transformation industrielle à conduire. Les entreprises devront, en plus, élaborer un plan d’arrêt des activités nuisibles au climat conformément à la « taxonomie brune ». Les semi-conducteurs étant des composants incontournables pour accélérer la transition énergétique, nous proposons dans cette nouvelle optique d’installer une usine de production de semi-conducteurs bas carbone en France, et de mettre l’intelligence artificielle (IA) au service de cette transformation. En effet, l’IA a son plein potentiel à jouer tant pour comprendre finement le problème climatique que pour élaborer des solutions de réduction des GES. Enfin, l’électricité française étant bas carbone, elle permet de développer une filière de production d’hydrogène bas carbone qui devra être fléchée vers des usages bien précis : industrie, kérosène de synthèse pour l’aviation, transports maritimes.

APPEL de TRUMP POUR « INVERSER » LE RÉSULTAT DE L’ÉLECTION

APPEL de TRUMP POUR « INVERSER » LE RÉSULTAT DE L’ÉLECTION

A  peine avait-il accepté que commence le processus de transition que TRUMP  se contredisait encore en déclarant de manière irresponsable. « Nous devons inverser cette élection », a-t-il déclaré. Les démocrates « ont triché ». « Ça a été un scrutin frauduleux », a-t-il ajouté.

« C’est une élection que nous avons gagnée facilement. Nous l’avons largement emporté », a déclaré le président sortant. « Cette élection a été truquée. » Une déclaration faite en direction des militants de la Pennsylvanie dont Trump conteste les résultats.

Les résultats de cet État-clé ont pourtant été certifiés officiellement mardi en faveur de Joe Biden. Aucune fraude massive n’a été démontrée lors de la présidentielle du 3 novembre. Le démocrate a remporté plus de 80 millions de voix contre près de 74 millions pour Donald Trump.

Paradoxalement (surtout pressé par certains amis républicains, il a toutefois consenti à donner lundi soir son feu vert à l’ouverture du processus de transition vers une présidence Biden. Tout en continuant à crier à la fraude, mais de plus en plus seul dans le camp républicain.

UMP : « l’élection de Copé pas honnête » ( Fillon)

UMP : ‘ l’élection de Copé pas honnête » ( Fillon)

Invité ce mardi de RTL, François Fillon est revenu sur l’élection de Jean-François Copé à la tête du parti : en novembre 2012, le scrutin avait pris des allures de psychodrame, entaché de soupçons d’irrégularités et de multiples contestations. « Il y a eu une élection à la présidence de l’UMP qui n’a pas été honnête, qui n’a pas été transparente », estime toujours aujourd’hui l’ancien Premier ministre. « On ne peut pas baser la légitimité d’une formation politique sur des pratiques qui ne sont pas honnêtes. »  A une auditrice qui se demande si François Fillon ne fait pas « cavalier seul », alors que l’UMP a besoin d’être « forte ensemble », le député répond qu’il faudra encore du temps. Qu’il a accepté le compromis validant l’élection de Jean-François Copé à la tête du parti : « Il m’a semblé que c’était dans l’intérêt de ma famille. »"On a décidé de laisser ça de côté, d’oublier le passé et d’essayer de reconstruire une formation politique rassemblée autour d’un projet politique », explique-t-il. Une tache qui « prend du temps », qui « n’est pas facile ». François Fillon évoque « quelques tensions » récentes, à l’occasion du choix des candidats aux élections municipales, mais constate tout de même des « progrès manifestes ». « On ne gagnera jamais sur quelque chose qui n’est pas solidement construit, on a d’abord besoin de reconstruire les fondations de notre famille politique. » Il réclame donc le temps du « débat ».

 




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