Archive pour le Tag 'législatif'

Vauquiez: un pacte législatif bidon

Vauquiez: un pacte législatif bidon

Wauquiez a sans doute innové en matière d’ingénierie politique en proposant un ensemble de 13 propositions de loi concernant le travail, la sécurité, l’agriculture ou le logement mais sans possibilité de majorité même relative pour le faire voter et en plus sans intention de se salir les mains en participant un gouvernement. Bref de la pure agitation pour un parti qui ne représente plus grand-chose et qui même allié à ce qui reste des effectifs de Macron ne pourrait obtenir un vote favorable de l’assemblée sans l’aide soit de la gauche soit du rassemblement national.

Wauquiez a bien tenu à préciser qu’il s’agissait d’une proposition destinée aux autres puisque son parti ne veut pas se mouiller dans la gestion. Bref davantage une perspective politique pour servir la candidature de Wauquiez en 2027 que réellement une initiative pour sortir le pays de la dernière politique dans laquelle il se trouve

Notons que cet ensemble de 13 propositions est une sorte de cocktail de mesures déjà prises, en cours de mise en œuvre est nouvelle. Davantage une démarche électorale que réellement politique. Cet ensemble de treize propositions de loi, parfois déjà votées en première lecture au Palais-Bourbon lors de la précédente législature, ou qui ont même été l’objet de projets de loi, s’articulent autour du travail, de la sécurité, de l’agriculture ou encore du logement.

Lire aussiLaurent Wauquiez, un retour contrarié

Le saucissonnage législatif: une incohérence politique et institutionnelle

Le saucissonnage législatif: une incohérence politique et institutionnelle


Macron a trouvé la combine pour obtenir des majorités à l’assemblée. Il procède pour cela au saucissonnage des lois. Les lois sur l’énergie, d’abord une loi sur les énergies nouvelles pour satisfaire Les insoumis et les écolos, ensuite une loi sur le nucléaire pour satisfaire la droite y comprit le Front National. Au total, deux lois complètement contradictoires et aucune vision globale de la politique énergétique. Ce que critique en particulier le président du Sénat et le sénateur est l’air du Rhône François Noël Buffet. (JDD)-

INTERVIEW – Comme Gérard Larcher, le sénateur LR du Rhône François-Noël Buffet ne veut pas d’un projet de loi immigration découpé en plusieurs parties, tel qu’annoncé par Emmanuel Macron mercredi. Ils défendent la « cohérence » et la « clarté » d’un texte qui devrait faire débat.


Le Président a annoncé mercredi vouloir saucissonner le projet de loi immigration en plusieurs textes. Bruno Retailleau et Gérard Larcher ont déjà fait part de leur désaccord avec cette idée. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Je soutiens la position du président du Sénat. La conférence des présidents, mercredi soir, a quasi unanimement demandé un texte unique et je suis d’accord. Nous avons besoin d’une vision globale de la politique migratoire de la France. C’est une question de cohérence et de message clair envoyé. Il faut un seul texte, c’est pour moi la meilleure solution. Il reste une question en discussion : que faire de la régularisation prévue dans l’article 3 ? Mon sentiment est qu’il n’y a pas besoin de légiférer là-dessus, ça ne sert à rien. Les préfets détiennent ce pouvoir de façon très ponctuelle. Dont acte. Si on sort du texte ce point particulier, il n’y a aucune raison d’avoir plusieurs textes.

Arrêter le saucissonnage législatif

Arrêter le saucissonnage législatif


Macron a trouvé la combine pour obtenir des majorités à l’assemblée. Il procède pour cela au saucissonnage des lois. Les lois sur l’énergie, d’abord une loi sur les énergies nouvelles pour satisfaire Les insoumis et les écolos, ensuite une loi sur le nucléaire pour satisfaire la droite y comprit le Front National. Au total, deux lois complètement contradictoires et aucune vision globale de la politique énergétique. Ce que critique en particulier le président du Sénat et le sénateur est l’air du Rhône François Noël Buffet. (JDD)-

INTERVIEW – Comme Gérard Larcher, le sénateur LR du Rhône François-Noël Buffet ne veut pas d’un projet de loi immigration découpé en plusieurs parties, tel qu’annoncé par Emmanuel Macron mercredi. Ils défendent la « cohérence » et la « clarté » d’un texte qui devrait faire débat.


Le Président a annoncé mercredi vouloir saucissonner le projet de loi immigration en plusieurs textes. Bruno Retailleau et Gérard Larcher ont déjà fait part de leur désaccord avec cette idée. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Je soutiens la position du président du Sénat. La conférence des présidents, mercredi soir, a quasi unanimement demandé un texte unique et je suis d’accord. Nous avons besoin d’une vision globale de la politique migratoire de la France. C’est une question de cohérence et de message clair envoyé. Il faut un seul texte, c’est pour moi la meilleure solution. Il reste une question en discussion : que faire de la régularisation prévue dans l’article 3 ? Mon sentiment est qu’il n’y a pas besoin de légiférer là-dessus, ça ne sert à rien. Les préfets détiennent ce pouvoir de façon très ponctuelle. Dont acte. Si on sort du texte ce point particulier, il n’y a aucune raison d’avoir plusieurs textes.

Géorgie : contestation aussi du scrutin législatif

Géorgie : contestation aussi du scrutin législatif

 

.

Selon la Commission électorale centrale du pays du Sud-Caucase, le parti au pouvoir, Rêve géorgien, s’est imposé avec 48,23% des suffrages exprimés. Le premier parti d’opposition, le Mouvement national uni (MNU) de l’ancien président Mikhaïl Saakashvili, a été crédité de 27,18% des voix.

Après l’annonce du résultat le 1er novembre, huit partis d’opposition dont le MNU ont annoncé qu’ils boycotteraient le Parlement. Les opposants accusent le parti du Premier ministre sortant Georgy Kvirikashvili de fraudes massives.

Une alliance de plus de 30 partis d’opposition ont donné jusqu’à dimanche soir à Bidzina Ivanishvili, le fondateur de Rêve géorgien et l’homme le plus riche du pays, pour limoger Tamar Zhvania, la présidente de la commission électorale, et entamer des discussions en vue de nouvelles élections.

Grande Distribution : encadrement législatif des “drive”

Grande Distribution : encadrement législatif des “drive”

 

Le « drive » ou e-commerce qui permet de commander par internet et de récupérer sa commande globale au dépôt s’est développé plus vite que ne le pensait le régulateur. Du coup C’est cette seulement semaine que sera discutée à l’Assemblée nationale l’encadrement législatif des « drive », dans le cadre du projet de loi Duflot. Aujourd’hui, seul un permis de construire est demandé. Le gouvernement souhaite rendre obligatoire une demande d’autorisation de surface commerciale, afin de limiter leur expansion anarchique.  Mais la réponse législative vient un peu tard. Le parc de drive est pratiquement arrivé à maturité. On compte aujourd’hui plus de drives que d’hypermarchés en France. Soit 2500 au total. Les ouvertures se sont enchaînées ces derniers mois grâce à un nomans’land législatif. La future réglementation : les distributeurs l’ont en fait déjà devancée. Du coup, le parc est bien fourni et c’est tout naturellement que le nombre de nouvelles ouvertures ralenti. Aujourd’hui, la bataille des distributeurs ne se fait plus sur les emplacements mais sur l’offre commerciale proposée. Cora par exemple met en avant ses 20 000 références, quand Leclerc Drive n’en propose que 6000. Il faut faire la différence autrement pour attirer une clientèle pressée qui se révèle bien plus fidèle que celle en magasin. Une fois qu’on a établi sa liste de courses sur un site, on s’y tient en général. C’est pour cela que la bataille des drive n’est pas prête de se terminer. Seul 1 français sur 4 est aujourd’hui utilisateur de ce mode d’achat.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol