Archive pour le Tag 'légère'

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Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Entre avril et juin, le produit intérieur brut (PIB) serait « en légère hausse » par rapport au premier trimestre où il avait augmenté de 0,2 %.

En avril, l’activité a progressé dans les trois grands secteurs : industrie, services et bâtiment », a indiqué Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international au sein de l’instance en présentant l’enquête mensuelle de conjoncture de La banque de France.

L’activité se stabiliserait ensuite en mai dans les services, tandis que l’industrie et le bâtiment se replieraient, des anticipations attribuables pour partie aux congés plus nombreux. Pour l’ensemble de l’année, la Banque de France table toujours sur une croissance du PIB de 0,6 %, inférieure à celle prévue par le gouvernement (1 %) et bien moindre que celle de 2,6 % enregistrée en 2022.

Espérance de vie: En légère hausse


Espérance de vie: En légère hausse

Entre 2008 et 2021, l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans a augmenté de 2 ans et 8 mois pour les hommes.

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) a publié, ce jeudi, un indicateur qui répond en partie à la question : l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans. Ce chiffre correspond aux années que peut espérer vivre une personne à partir de cet âge sans être limitée dans ses activités quotidiennes. Et les résultats s’améliorent.
Un rebond malgré le Covid

En un an, le chiffre a progressé de 0,5 an pour les femmes et de 0,7 pour les hommes. Entre 2008 et 2021, elle a augmenté de 2 ans et 8 mois pour les hommes, et de 2 ans et 7 mois pour les femmes, indique la DREES. Après la vie active, une femme de 65 ans peut espérer vivre 12,6 ans sans incapacité et 18,8 ans sans incapacité forte. Un homme peut, lui, s’attendre à vivre 11,3 ans sans incapacité et 16,2 ans sans incapacité forte.

La hausse de l’espérance de vie en bonne santé à 65 ans s’est accélérée ces deux dernières années, et cela en dépit de la crise du Covid. Après un recul en 2020, les indicateurs ont rebondi en 2021, « rattrapant ce recul et dépassant le niveau qu’ils auraient atteint en suivant leurs tendances d’avant-crise », souligne la DREES. Ces données doivent être consolidées par les résultats de 2022.

Au regard des pays voisins européens, les chiffres sont encourageants. En 2020, le chiffre était supérieur de 8 mois à la moyenne européenne, qui s’établit à 9,5 ans. Pour les femmes, l’écart avec la moyenne européenne (10,1 ans) atteint un an et huit mois. La France ne figure pas pour autant en tête du classement puisqu’elle situe au cinquième rang pour l’espérance de vie sans incapacité des femmes à 65 ans et au dixième rang pour celle des hommes.

À la naissance, en 2021, les femmes peuvent espérer vivre 67 ans sans incapacité et les hommes 65,6 ans. A noter qu’il s’agit ici d’une moyenne. En treize ans, cet indicateur a progressé de 2 ans et 6 mois pour les femmes et de 2 ans et 10 mois pour les hommes. En 2020, la France se rangeait au dixième rang en Europe pour les femmes et la neuvième place pour les hommes.

Contaminations Covid France: légère baisse à un très haut niveau en moyenne sur une semaine

Contaminations Covid France: légère baisse à un très haut niveau en moyenne sur une semaine

Une légère baisse un très haut niveau a été constatée  en moyenne sur une semaine Depuis vendredi, 332.398 nouveaux cas ont été diagnostiqués en France, selon Santé publique France. Ce chiffre est légèrement moins élevé qu’une semaine plus tôt (389.320 il y a sept jours).

La moyenne des cas sur les sept dernières jours, témoin le plus fidèle de la tendance réelle des contaminations enregistrées, s’établit à 345.391, un chiffre qui décline légèrement chaque jour depuis le milieu de semaine.

Covid France : Légère hausse

Covid-19 : Légère hausse

Légère hausse en France, où 75 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan de Santé publique France. 6680 malades sont actuellement hospitalisés, dont 416 depuis la veille. Lundi, 6639 personnes étaient sous traitement. 1091 malades sont soignés dans les services de soins critiques, dont 126 arrivés ces dernières 24 heures. 2039 nouveaux cas ont été détectés.

 

 

Covid France : 6099 nouveaux cas, légère hausse

Covid France : 6099 nouveaux cas, légère hausse

6470 malades sont toujours hospitalisés ce vendredi, dont 215 depuis la veille. Ils étaient 6523 jeudi. 1051 personnes sont traitées dans les services de soins critiques – 43 y ont été accueillies ces dernières 24 heures – contre 1075 la veille. 34 personnes sont également mortes du Covid dans les hôpitaux français ce vendredi, selon Santé publique France, portant le bilan à 90.352 morts à l’hôpital depuis le début de la pandémie.

6099 nouveaux cas ont également été détectés lors des dernières 24 heures, contre 5187 la veille et 4470 vendredi dernier. Sur le front des vaccinations, 51.024.842 personnes ont reçu au moins une injection (soit 75,7% de la population totale) et 49.482.553 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 73,4% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France.

Covid France : légère hausse des hospitalisations

Covid France : légère hausse des hospitalisations

Ce jeudi, 7054 patients souffrants du Covid-19 étaient hospitalisés en France, un chiffre en légère hausse par rapport à la veille (7047). Parmi eux, 213 personnes sont entrées à l’hôpital lors des dernières 24 heures.

À l’inverse, le nombre de personnes en réanimation était en légère baisse ce jeudi. 914 patients se trouvaient en soins intensifs, contre 931 mercredi. 36 personnes ont été admises lors des dernières 24 heures. 16 personnes sont également mortes à l’hôpital depuis la veille, portant le bilan total depuis le début de l’épidémie à 111.458 morts (dont 84.953 dans les hôpitaux français). 3617 nouveaux cas ont par ailleurs été détectés ce jeudi, contre 8875 cas la veille. Le taux de positivité des tests s’élevait, lui, à 1,4%.

Sur le front des vaccinations, 36.738.501 personnes ont reçu au moins une injection (soit 54,5% de la population totale) et 29.201.246 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 43,3% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France. Au total, 786.764 injections ont été réalisées ce jeudi, selon les chiffres de la Direction générale de la Santé.

Emploi France : légère reprise

Emploi France : légère reprise

 

D’après l’INSEE , les entreprises privées ont créé 57.300 emplois sur les trois premiers mois de l’année, ramenant à 262.900 le nombre de postes détruits depuis la fin 2019 à cause de la crise. Une évolution positive mais qui est loin de compenser tous les emplois perdus du fait de la crise sanitaire qui fait évoluer l’emploi de manière erratique :

-625.300 emplois au premier semestre 2020, dont 481.200 de janvier à mars ; + 333.900 au troisième trimestre, pour le redémarrage de l’économie après les restrictions sanitaires du printemps ; et - 28.800 d’octobre à décembre, en raison du deuxième confinement.

« L’économie française récupère du choc du premier semestre 2020 », commente Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, avec « à peu près 60 % des pertes d’emploi qui avaient eu lieu aux premier et deuxième trimestres » et qui ont été depuis effacées. « La dynamique est là, on continue ! », se félicitait mardi Élisabeth Borne, la ministre du Travail, après la publication par Pôle emploi de son enquête

l’évolution de l’emploi dépendra aussi très largement des conditions de sortie du dispositif de chômage partiel mis en place depuis un an et qui a fortement limité depuis les suppressions d’emploi. En mars, d’après le dernier pointage du ministère du Travail, quelque 12 % des salariés du privé, soit 2,3 millions de personnes, avaient été placées par leur employeur en activité partielle, contre près de 9 millions en avril 2020 au plus fort de la crise lors du premier confinement.

. Les ­experts s’attendent en effet à 100.000 liquidations d’entreprises d’ici à la fin décembre, soit le double de la normale.

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

 

 

 

Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publié mardi,l L’approbation de l’action d’Emmanuel Macron progresse de 2 points, à 41%, avec un taux d’insatisfaits qui recule en parallèle de 2 points, à 59%.

A 41% également, le Premier ministre Jean Castex est au même niveau d’approbation, mais la remontée est plus forte: elle est de 5 points depuis un plancher de 36% atteint en avril. Près de six Français sur dix (59%, -5 points) continuent aussi d’avoir une opinion négative.

Interrogés sur l’image qu’ils ont du chef de l’Etat, 52% des Français estiment que dire qu’il « défend bien les intérêts de la France à l’étranger » lui correspond bien. Mais une majorité considère que « renouvelle la fonction présidentielle » (57%), « mène une bonne politique économique » (60%), « a une vision pour l’avenir des Français » (60%), « est proche des préoccupations des Français » (68%) sont des appréciations lui correspondant mal.

Quant à Jean Castex, les traits d’image proposés sont majoritairement jugés comme lui correspondant mal: 52% pensent que dire qu’ »il est un homme de dialogue » ne lui convient pas. Même appréciation négative concernant « dirige bien l’action de son gouvernement » (57%), « est proche des préoccupations des Français » (63%), « qui vous inspire confiance » (64%) et « est capable de réformer le pays » (71%).

Covid France : 3760 en soins intensifs, légère hausse

Covid France : 3760 en soins intensifs, légère hausse

Le nombre de patients hospitalisés en soins critiques était en légère hausse ce lundi, s’élevant à 5630 personnes, dont 386 admises en 24 heures, contre 5585 la veille. Au total, les hôpitaux comptaient lundi 28.950 patients atteints du Covid-19, dont 1495 admis lors des dernières 24 heures.

311 personnes sont également mortes en 24 heures dans les hôpitaux français, portant le nombre de morts à 105.159 depuis le début de la pandémie. 3760 nouveaux cas de Covid-19 ont été détectés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 9888 la veille et 5952 lundi dernier. Le taux de positivité des tests s’élève à 7,6%.

Sur le front des vaccinations, 16.133.547 personnes ont reçu au moins une injection (soit 24,1 % de la population totale) .

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Deux raisons à la hausse du prix du pétrole, d’une part les faibles réserves américaines d’autre part la réduction de la production décidée par l’OPEP et ses alliés. «Les prix du brut ont augmenté plus haut maintenant que l’OPEP + a convaincu le marché de l’énergie qu’il est déterminé à accélérer le rééquilibrage du marché sans délai», a déclaré Edward Moya, analyste de marché senior chez OANDA.

Le pétrole a rebondi après des creux historiques atteints l’an dernier, grâce aux baisses record de production de l’OPEP + que le groupe commence à se détendre.

Soutenant également les prix, les stocks de pétrole brut américain ont chuté de 994 000 barils la semaine dernière à 475,7 millions de barils, leur plus bas depuis mars, a annoncé mercredi l’US Energy Information Administration. Les analystes d’un sondage Reuters avaient prévu une hausse de 446 000 barils.

Alors que les taux d’utilisation des raffineries ont augmenté de 0,6 point de pourcentage à 82,3% de la capacité, les stocks d’essence américains ont augmenté de 4,5 millions de barils, selon l’EIA.

Les hausses paraissent justifier par le fait que les pays de l’OPEP hypothèquent déjà une reprise grâce au développement des vaccins pourraient mettre un terme à la crise sanitaire et ainsi favoriser la reprise économique. Comme rien n’est sûr dans ce domaine il faut sans doute s’attendre à des mouvements de yo-yo du pétrole au cours de l’année 2021.

Pétrole: une légère hausse de la demande

Pétrole: une légère hausse de la demande

 

Pour l’agence internationale de l’énergie la baisse la demande de pourrait être moins importante que prévu en 2020. L’agence prend cependant des précautions oratoires en indiquant que tout cela dépendra évidemment de l’évolution du Coronavirus et de ses conséquences économiques et sociales. Des prévisions donc qui seront sans doute encore réajustées  d’ici la fin d’année La demande, qui a moins diminué que prévu au deuxième trimestre, devrait se situer à 92,1 millions de barils par jour (bpj), soit 400 000 bpj de plus que les projections du mois dernier, selon le rapport mensuel de l’AIE qui coordonne les politiques énergétiques des pays industrialisés.

“Alors que le marché du pétrole a indubitablement réalisé des progrès (…) le nombre important, et dans certains pays l’accélération, des cas de COVID-19 est un rappel inquiétant du fait que la pandémie n’est pas maîtrisée et que nos prévisions de marché risquent de se retrouver presque certainement à la baisse”, a indiqué l’agence.

L’assouplissement des mesures de confinement dans de nombreux pays a entraîné une forte reprise des livraisons de carburant en mai, juin et probablement aussi en juillet, estime l’AIE.

Mais selon l’agence, l’activité de raffinage du pétrole en 2020 devrait connaître une baisse plus marquée que celle prévue par l’AIE le mois dernier et sa croissance devrait être moindre en 2021.

“Pour les raffineurs, les avantages apportés par l’amélioration de la demande seront probablement contrebalancés par les prévisions de contraction à venir sur le marché des matières premières. Les marges de raffinage seront également mises à mal par la quantité de stock excédentaire au deuxième trimestre de 2020”, explique l’AIE.

Allemagne climat des affaires: légère amélioration

Allemagne climat des affaires: légère  amélioration

 

L’enquête de L’Ifo a mesuré une légère amélioration climat des affaires en Allemagne qui permet d’espérer une très petite croissance en 2020 cependant sans doute inférieure à 1 %. Notons cependant que cette enquête a été effectuée avant qu’on ne prenne connaissance du développement du Coronavirus dans de nombreux pays dont l’Italie. L’indice du climat des affaires calculé par l’institut d’études économiques Ifo s’affiche à 96,1 contre 96,0 en janvier, chiffre révisé à la hausse après une estimation initiale à 95,9.

Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une baisse de l’indice pour le mois en cours, à 95,3.

“L’économie allemande apparaît épargnée par les développements entourant le coronavirus”, déclare dans un communiqué le président de l’Ifo, Clemens Fuest, qui maintient sa prévision d’une croissance de 0,2% du produit intérieur brut (PIB) de l’Allemagne au premier trimestre.

Sondage exécutif: baisse légère

Sondage exécutif: baisse légère

 

31% (-1) des Français interrogés par Elabe pour Les Echos et Radio Classique accordent leur confiance à Emmanuel Macron pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays. Plus précisément 8% lui font tout à fait et 23% plutôt confiance. Après deux mois d’augmentation (+4 points entre novembre 2019 et janvier 2020), l’amélioration de la confiance à l’égard d’Emmanuel Macron marque donc un arrêt ce mois-ci. Depuis un an, la confiance à l’égard d’Emmanuel Macron évolue entre 27% et 33%. Elle se situe ce mois-ci 2 points au-dessus de celle de François Hollande à la même période de son mandat, ce dernier ayant bénéficié d’un sursaut de mobilisation à son égard suite à l’attentat terroriste contre Charlie Hebdo (29%, +8 points en février 2015).

La part de Français ne faisant pas confiance à Emmanuel Macron est stable, à 63%, tandis que la part de Français ne lui faisant « pas confiance du tout » – après trois mois d’augmentation – est en baisse de 2 points, à 37%.

D’un point de vue politique, sa cote de confiance progresse auprès de son électorat (76%, +5 points, après une augmentation de 4 points en janvier) et baisse auprès de celui de François Fillon (44%, -7, après une augmentation de 8 points le mois précédent). Elle évolue moins fortement auprès de l’électorat de Jean-Luc Mélenchon (17%, -3), de Benoît Hamon (19%, +2), de Marine Le Pen (12%, -1) et des abstentionnistes (18%, +1).

En termes socio-économiques, la confiance à l’égard du président de la République est en hausse auprès des professions intermédiaires (34%, +3) et des catégories populaires (23%, +3), tandis qu’elle baisse auprès des cadres (41%, -2) et des retraités (38%, -3).

Dans le contexte de la présentation de la réforme des retraites à l’Assemblée nationale, 28% des Français font « plutôt » (23%) ou « tout à fait » (5%) confiance au Premier ministre pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays.

A l’inverse, 62% des Français (-1) déclarent ne pas lui faire confiance, dont 35% (-1) « pas confiance du tout ». 10% (+2) ne se prononcent pas ce mois-ci.

D’un point de vue politique, sa cote de confiance progresse nettement auprès de l’électorat d’Emmanuel Macron (74%, +11), et dans une moindre mesure auprès de l’électorat de Marine Le Pen (12%, +4, après une baisse de 8 points le mois précédent). A l’inverse, elle baisse auprès des électeurs de Jean-Luc Mélenchon (13%, -2), de Benoît Hamon (15%, -5), de François Fillon (46%, -8) et des abstentionnistes (12%, -7).

Socialement, la cote de confiance du Premier ministre baisse auprès cadres (34%, -4), mais progresse auprès des catégories populaires (22%, +5). Elle est stable auprès des retraités (41%, =) et des professions intermédiaires (27%, +1).

A la faveur d’une augmentation de 3 points, Nicolas Hulot accroit encore son avance et domine toujours largement le classement des personnalités politiques (50%). Il devance ce mois-ci Jean-Yves Le Drian (31%, +1) et Nicolas Sarkozy (30%, -2). Xavier Bertrand (27%, -3) et Christian Taubira (27% +2) complète le la tête du classement.

Exposées à l’actualité sur différents sujets, Agnès Buzyn obtient 18% d’opinion positive (+2), tandis que Muriel Pénicaud en obtient 12% (-1).

Rachida Dati fait son entrée ce mois-ci dans le classement et recueille 21% d’opinion positive. A titre de comparaison, Anne Hidalgo bénéficie d’un niveau de popularité similaire (21%, -1). Elles devancent toutes deux les autres candidats à la mairie de Paris testés, Cédric Villani (19%, +4) et Benjamin Griveaux (13%, +2). Ces mesures sont calculées sur la France entière et ne sont données qu’à titre indicatif, elle ne représente en aucun cas les rapports de forces en présence pour l’élection du maire de Paris. 

Auprès des sympathisants de gaucheNicolas Hulot enregistre une forte hausse de sa popularité (78%, +18 points) qui dépasse largement la baisse enregistrée le mois précédent (-13 points). Christiane Taubira passe ce mois-ci en deuxième position (54%, +6), suivie d’Olivier Besancenot (50%, -1). Les trois précédents candidats PS à la présidentielle complète le classement : François Hollande (45%, +3), Benoît Hamon (44%, -1) et Ségolène Royal (43%, +6).

Auprès des sympathisants de « La République En Marche ! » et du MoDemJean-Yves Le Drian occupe toujours la tête (68%, +1) et devance Nicolas Hulot (62%, +3), François Bayrou (59%, +8) et Bernard Cazeneuve (59%, +11). Après des hausses marquées le mois précédent François Baroin (41%) et Xavier Bertrand (41%) voient leur cote de popularité fortement baisser (respectivement -15 et -18 points). Enfin, Cédric Villani, suite à son refus d’abandonner la bataille municipale à Paris, est en baisse de 10 points, à 27%.

Auprès des sympathisants de droiteNicolas Sarkozy occupe toujours la premier place (79%, -4) et devance François Baroin (69%, +13). Xavier Bertrand (62%, +2) et Valérie Pécresse (59%, +5) complète le quatuor de tête. De nombreuses personnalités sont en fortes augmentations ce mois-ci, dont notamment Bruno Le Maire (51%, +10), Jean-Michel Blanquer (46%, +10) et Marine Le Pen (37%, +14, après une baisse de 12 points en janvier).

Auprès des sympathisants du Rassemblement National, Marine Le Pen accroît encore son avance (96%, +2) et devance toujours Marion Maréchal (77%, -9, après une augmentation de 10 points le mois précédent). Nicolas Sarkozy se classe ce mois-ci 3ème (43%, +4). Après une baisse de 9 points en janvier, Nicolas Dupont-Aignan baisse encore de 12 points ce mois-ci (34%).

Pékin : légère ouverture aux investissements étrangers

Pékin : légère ouverture aux  investissements étrangers

 

De toute évidence, l’économie chinoise ne se porte pas bien ; en tout cas, elle subit un brutal  ralentissement dont certains aspects sont liés à la guerre commerciale que se livrent la Chine et les États-Unis mais d’autres à des facteurs structurels (comme le surendettement). La réduction des échanges internationaux de la Chine n’est pas compensée par une reprise de la consommation intérieure. Certes le solde est largement stable à la Chine notamment concernant les imports et s américains mais le volume a tendance à se tasser dangereusement. Sans parler des menaces de blocage de certaines technologies chinoises comme celle concernant toi Huawei (technologie 5G des mobiles et autres communications). Nombre de pays reprochent  aussi le manque de réciprocité de la Chine en matière de liberté commerciale. En effet si la Chine peut librement investir dans la plupart des pays développés et dans la plupart des secteurs ( y compris les équipements publics ou l’agriculture) il en va autrement pour investir en Chine où certains secteurs sont interdits et où de toute façon il n’est pas possible de prendre une participation majoritaire dans une société. Les investisseurs étrangers se plaignent de longue date d’un traitement inéquitable sur le marché chinois. La Chine dispose d’une « liste négative » qui définit les industries interdites et réglementées pour les investissements étrangers. Au 30 juillet, cette liste passera à 40 secteurs réglementés contre 48 actuellement, ont précisé le ministère du Commerce et la NDRC. Cette annonce intervient au lendemain d’une rencontre, en marge du G20, entre le président chinois Xi Jinping et son homologue américain Donald Trump, dans un contexte d’affrontement économique entre les deux pays.Le 20 juin, le Premier ministre chinois Li Keqiang avait promis une ouverture accrue du marché chinois. « Nous allons assouplir l’accès à un plus grand nombre de domaines afin de créer un environnement commercial internationalisé, axé sur le marché et fondé sur le droit », avait-il annoncé à des représentants de multinationales reçus au Palais du peuple, le siège du parlement chinois à Pékin. Impasse certes vers l’ouverture mais un pas modeste sans parler évidemment du tabou des libertés démocratiques et des droits de l’homme.

 

 

Moral des patrons : légère dégradation

Moral des patrons : légère dégradation

Une activité toujours assez dynamique mais qui se tasse au premier trimestre. En cause sans doute, la mauvaise appréciation de la baisse du pouvoir d’achat de début d’année sur le commerce de détail et plus généralement   la croissance. Les interrogations sur le commerce mondiales suite aux taxes Trump pèse aussi comme le climat social qui se dégrade. . Selon le dernier communiqué publié par l’Insee ce jeudi 22 mars, le  climat des affaires diminue légèrement au mois de mars. L’indice qui le synthétise calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, perd un point pour le troisième mois consécutif. Selon la dernière note de conjoncture de l’Insee, la hausse du PIB devrait s’établir à 0,4% au premier comme au deuxième trimestre. D’après les dernières prévisions de la Banque de France, la croissance devrait atteindre 1,9% sur l’ensemble de l’année, un niveau très proche de la croissance du PIB atteint en 2017 (2%). Selon les chefs d’industrie interrogés au cours du mois, la conjoncture dans l’industrie ralentit mais reste très favorable. « L’indicateur qui le synthétise perd un point, après deux en février. Il avait atteint en début d’année son plus haut niveau depuis dix-sept ans. À 111, il reste nettement au-dessus de sa moyenne de longue période (100). » Les patrons de l’industrie sont également moins optimistes qu’en février sur les perspectives de production. Les répondants considèrent que leurs carnets de commande sont moins remplis. Du côté du commerce de détail, la confiance des patrons s’érode un peu.  L’indicateur qui le synthétise perd deux points, à 113. Il reste largement supérieur à sa moyenne de longue période (100), qu’il atteint ou dépasse depuis février 2015. Concernant les perspectives, les chefs d’entreprise sont beaucoup moins nombreux qu’en février à prévoir un accroissement de leurs ventes et de leurs commandes à venir. Du côté des services, la confiance des entrepreneurs est relativement stable. D’après les patrons interrogés par le service de statistiques, le climat des affaires se stabilise à 107 après un recul de deux points le mois précédent. L’indicateur qui le synthétise reste bien supérieur à sa moyenne de long terme. Sur les perspectives générales, l’organisme de statistiques note un léger recul depuis le début de l’année.  La confiance des répondants dans le transport routier de marchandises demeure à des niveaux très élevés (115). En revanche, elle est en repli dans l’hébergement et la restauration. Le climat des affaires s’est amélioré dans le bâtiment, après un recul de deux points le mois précédent. « Les entrepreneurs sont bien plus nombreux qu’en février à indiquer avoir augmenté leurs effectifs au cours des trois derniers mois», précise l’Insee. Sur le front de l’emploi, les prévisions sont plutôt favorables. L’indice qui synthétise le climat de l’emploi est stable à 111,5, un niveau inédit depuis 2011.

 

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