Archive pour le Tag 'légère'

Chômage : en légère hausse à 7,2%

Chômage : en légère hausse à à 7,2%

Au deuxième trimestre, le taux de chômage a légèrement progressé, de 0,1 point par rapport au trimestre précédent, a annoncé ce vendredi matin l’Insee. Il est désormais estimé à 7,2%.

Dans le détail, 20.000 personnes supplémentaires sont comptabilisées parmi les chômeurs, selon l’Insee, portant le total légèrement au-dessus de 2,2 millions de personnes. Le taux reste «quasi stable» dans l’ensemble des classes d’âge, progressant de 0,1 point chez les jeunes comme chez les 25-49 ans, alors qu’il continue de baisser, à 5,1%, chez les plus âgés. Le chômage des moins de 25 ans reste toutefois à son plus bas niveau depuis les années 1990. Le taux augmente légèrement chez les femmes, à 7,1%, alors qu’il baisse chez les hommes, à 7,2%.

Croissance mondiale :Légère révision en hausse par le FMI

Croissance mondiale :Légère révision en hausse par le FMI

selon le Fonds monétaire international (FMI), on prévoit désormais une croissance un peu meilleure en 2023 et qui restera stable en 2024. L’institution anticipe désormais une croissance mondiale à 3% en 2023, contre 2,8% lors de son estimation précédente en avril, et qui devrait se maintenir au même niveau en 2024, sans changement par rapport à l’estimation précédente.

La plupart des économies avancées, comme des principaux pays émergents, semblent réaliser de meilleures performances que ne le craignait jusqu’ici le Fonds, malgré une politique monétaire désormais restrictive quasiment partout, afin de lutter contre une inflation qui reste «obstinément élevée».

En effet l’inflation devrait atteindre 6,8% au niveau mondial en fin d’année, 0,2 point de pourcentage de moins que prévu en avril. Mais une inflation qui dure également plus longtemps : fin 2024, elle devrait être encore à 5,2%, alors qu’en mars l’institution l’attendait 0,3 point de pourcentage moins élevée.

Du côté du G7, l’Allemagne devrait être le seul pays à connaître la récession en 2023. Celle-ci semble d’ailleurs de plus en plus inévitable et un peu plus marquée qu’attendu en avril, pour le FMI, qui table désormais sur un repli de 0,3%, contre seulement 0,1% en avril. À l’inverse, les autres principales économies européennes résistent mieux, la prévision pour l’économie française passant à 0,8% (+0,1 point par rapport à avril) et celle de l’Italie à 1,1% (+0,4 point) quand l’économie espagnole semble même montrer de réels signes de bonne santé (2,5% attendus, +1 point).

Du côté des États-Unis, le risque de récession, bien que longtemps annoncé, semble être désormais écarté, malgré les hausses successives de taux depuis mars 2022: le FMI attend désormais une croissance de 1,8% pour son économie, contre 1,6% en avril dernier. L’économie américaine s’est montrée particulièrement solide au premier trimestre, avec une croissance de 2% en rythme annualisé, avec un acquis de croissance pour l’année qui était estimé à 0,9% selon l’OCDE.

Sondage Macron: Légère remontée à un niveau très bas !

Sondage Macron: Légère remontée à un niveau très bas !


Le chef de l’État enregistre enfin une légère remontée dans l’opinion. Ceci est sans doute le résultat des énormes efforts déployés par le président de la république pour tourner la page des retraites et multiplier les interventions de type campagne électorale. Reste que moins de 30 % des Français font confiance au chef de l’État pour régler les problèmes du pays.

Selon l’étude Elabe, le chef de l’Etat gagne 4 points, ce qui fait grimper à 29% le nombre de Français lui accordant leur confiance « pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays ». La défiance envers le président perd également en intensité, avec 64% des Français qui ne lui font « pas du tout » confiance, soit un recul de 6 points. Il s’agit du premier mois où Emmanuel Macron enregistre une baisse aussi sensible de cet indicateur depuis août 2022. Le président conserve une confiance solide de ses sympathisants (90% auprès des sympathisants Renaissance et alliés) et progresse au sein de l’électorat de Valérie Pécresse (42%).

Elisabeth Borne gagne quant à elle 2 points, mais reste faible, à 24 % de confiance. Il s’agit de l’une des cotes les plus basses enregistrées pour un Premier ministre d’Emmanuel Macron, relève Elabe.

Etats-Unis : Légère hausse du chômage

Etats-Unis : lègère hausse du chômage

En dépit d’une croissance actuellement sur une tendance de seulement 1,3 % sur un an, le chômage aux États-Unis se maintient un bas niveau même si on enregistre une légère remontée en mai. La baisse pourrait être davantage significative si les États-Unis- comme c’est possible -devaient connaître une récession cours de deux trimestres de l’année en cours sous l’effet notamment de nouveaux rehaussements des taux d’intérêt. Selon les chiffres publiés par le département du Travail, ce vendredi, le marché du travail est resté très solide en mai aux Etats-Unis, avec des créations d’emplois bien plus nombreuses qu’attendu, et un taux de chômage à 3,7%. Si ce taux est plus élevé que celui d’avril à 3,4%, de mars à 3,5%, de février à 3,6% et de 3,4% en janvier, il s’agit d’un niveau toujours historiquement, et ce, même s’il est remonté un peu plus que prévu. Il est au plus haut depuis octobre 2022, mais reste très bas.

« La croissance de l’emploi se poursuit à un rythme rapide, mais les pressions sur les salaires ne suivent pas », relève Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour HFE, notant que la hausse du salaire horaire moyen « a ralenti », ce qui est une bonne nouvelle pour le ralentissement de l’inflation qui s’est établit à 4,9% en avril, contre un pic à 9,5% en juin. Wall Street a salué la surprise légèrement positive de baisse de la tension sur le marché du travail et les salaires en affichant une hausse de 0,76% à 16 heures, heure de Paris, à 4.253 points.

Le marché du travail reste tendu, car la croissance du Produit intérieur brut (PIB) demeure positive aux Etats-Unis bien qu’elle ait ralenti au premier trimestre à 1,3% en rythme annualisé, selon une deuxième estimation publiée fin mai par le département du Commerce. La première estimation avait fait état d’une croissance de 1,1% en rythme annualisé, mesure privilégiée par les Etats-Unis, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent puis projette l’évolution sur l’année entière à ce rythme.

« L’estimation révisée reflète principalement une révision à la hausse de l’investissement privé dans les stocks », détaille le ministère dans son communiqué. Cela marque un fort ralentissement par rapport au quatrième trimestre, qui avait vu l’économie croître de 2,6%. En utilisant le même mode de calcul que d’autres économies avancées, qui comparent simplement au trimestre précédent, la croissance reste inchangée, à 0,3%, soit moitié moins que le rythme observé au dernier trimestre 2022 (+0,6%).

Ce ralentissement est lié aux actions menées par la banque centrale américaine (Fed) pour lutter contre la forte inflation. Elle relève en effet ses taux directeurs depuis mars 2022, afin de rendre plus coûteux l’accès au crédit pour les ménages et les entreprises, et ainsi faire ralentir la consommation et l’investissement.

Cependant les économistes NABE (National Association for Business Economics) 53% des panélistes « s’attendent à une récession à un moment donné en 2023 », expose sa présidente, Julia Coronado. Près d’un quart de ce panel table sur une récession au troisième trimestre de cette année, 5% pensent que la récession est déjà en cours, 16% la voient arriver au deuxième trimestre, et 13% au quatrième trimestre.

Et près d’un quart s’attend à ce que cela ne se produise pas avant le second semestre de 2024. En cas de baisse du PIB, certaines entreprises pourraient être obligées de licencier du personnel ou de fermer boutique, ce qui augmenterait théoriquement le nombre de chômeurs.

Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Croissance France : légère augmentation au deuxième trimestre

Entre avril et juin, le produit intérieur brut (PIB) serait « en légère hausse » par rapport au premier trimestre où il avait augmenté de 0,2 %.

En avril, l’activité a progressé dans les trois grands secteurs : industrie, services et bâtiment », a indiqué Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international au sein de l’instance en présentant l’enquête mensuelle de conjoncture de La banque de France.

L’activité se stabiliserait ensuite en mai dans les services, tandis que l’industrie et le bâtiment se replieraient, des anticipations attribuables pour partie aux congés plus nombreux. Pour l’ensemble de l’année, la Banque de France table toujours sur une croissance du PIB de 0,6 %, inférieure à celle prévue par le gouvernement (1 %) et bien moindre que celle de 2,6 % enregistrée en 2022.

Espérance de vie: En légère hausse


Espérance de vie: En légère hausse

Entre 2008 et 2021, l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans a augmenté de 2 ans et 8 mois pour les hommes.

La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) a publié, ce jeudi, un indicateur qui répond en partie à la question : l’espérance de vie sans incapacité à 65 ans. Ce chiffre correspond aux années que peut espérer vivre une personne à partir de cet âge sans être limitée dans ses activités quotidiennes. Et les résultats s’améliorent.
Un rebond malgré le Covid

En un an, le chiffre a progressé de 0,5 an pour les femmes et de 0,7 pour les hommes. Entre 2008 et 2021, elle a augmenté de 2 ans et 8 mois pour les hommes, et de 2 ans et 7 mois pour les femmes, indique la DREES. Après la vie active, une femme de 65 ans peut espérer vivre 12,6 ans sans incapacité et 18,8 ans sans incapacité forte. Un homme peut, lui, s’attendre à vivre 11,3 ans sans incapacité et 16,2 ans sans incapacité forte.

La hausse de l’espérance de vie en bonne santé à 65 ans s’est accélérée ces deux dernières années, et cela en dépit de la crise du Covid. Après un recul en 2020, les indicateurs ont rebondi en 2021, « rattrapant ce recul et dépassant le niveau qu’ils auraient atteint en suivant leurs tendances d’avant-crise », souligne la DREES. Ces données doivent être consolidées par les résultats de 2022.

Au regard des pays voisins européens, les chiffres sont encourageants. En 2020, le chiffre était supérieur de 8 mois à la moyenne européenne, qui s’établit à 9,5 ans. Pour les femmes, l’écart avec la moyenne européenne (10,1 ans) atteint un an et huit mois. La France ne figure pas pour autant en tête du classement puisqu’elle situe au cinquième rang pour l’espérance de vie sans incapacité des femmes à 65 ans et au dixième rang pour celle des hommes.

À la naissance, en 2021, les femmes peuvent espérer vivre 67 ans sans incapacité et les hommes 65,6 ans. A noter qu’il s’agit ici d’une moyenne. En treize ans, cet indicateur a progressé de 2 ans et 6 mois pour les femmes et de 2 ans et 10 mois pour les hommes. En 2020, la France se rangeait au dixième rang en Europe pour les femmes et la neuvième place pour les hommes.

Contaminations Covid France: légère baisse à un très haut niveau en moyenne sur une semaine

Contaminations Covid France: légère baisse à un très haut niveau en moyenne sur une semaine

Une légère baisse un très haut niveau a été constatée  en moyenne sur une semaine Depuis vendredi, 332.398 nouveaux cas ont été diagnostiqués en France, selon Santé publique France. Ce chiffre est légèrement moins élevé qu’une semaine plus tôt (389.320 il y a sept jours).

La moyenne des cas sur les sept dernières jours, témoin le plus fidèle de la tendance réelle des contaminations enregistrées, s’établit à 345.391, un chiffre qui décline légèrement chaque jour depuis le milieu de semaine.

Covid France : Légère hausse

Covid-19 : Légère hausse

Légère hausse en France, où 75 personnes sont mortes du Covid-19 ces dernières 24 heures, selon le bilan de Santé publique France. 6680 malades sont actuellement hospitalisés, dont 416 depuis la veille. Lundi, 6639 personnes étaient sous traitement. 1091 malades sont soignés dans les services de soins critiques, dont 126 arrivés ces dernières 24 heures. 2039 nouveaux cas ont été détectés.

 

 

Covid France : 6099 nouveaux cas, légère hausse

Covid France : 6099 nouveaux cas, légère hausse

6470 malades sont toujours hospitalisés ce vendredi, dont 215 depuis la veille. Ils étaient 6523 jeudi. 1051 personnes sont traitées dans les services de soins critiques – 43 y ont été accueillies ces dernières 24 heures – contre 1075 la veille. 34 personnes sont également mortes du Covid dans les hôpitaux français ce vendredi, selon Santé publique France, portant le bilan à 90.352 morts à l’hôpital depuis le début de la pandémie.

6099 nouveaux cas ont également été détectés lors des dernières 24 heures, contre 5187 la veille et 4470 vendredi dernier. Sur le front des vaccinations, 51.024.842 personnes ont reçu au moins une injection (soit 75,7% de la population totale) et 49.482.553 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 73,4% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France.

Covid France : légère hausse des hospitalisations

Covid France : légère hausse des hospitalisations

Ce jeudi, 7054 patients souffrants du Covid-19 étaient hospitalisés en France, un chiffre en légère hausse par rapport à la veille (7047). Parmi eux, 213 personnes sont entrées à l’hôpital lors des dernières 24 heures.

À l’inverse, le nombre de personnes en réanimation était en légère baisse ce jeudi. 914 patients se trouvaient en soins intensifs, contre 931 mercredi. 36 personnes ont été admises lors des dernières 24 heures. 16 personnes sont également mortes à l’hôpital depuis la veille, portant le bilan total depuis le début de l’épidémie à 111.458 morts (dont 84.953 dans les hôpitaux français). 3617 nouveaux cas ont par ailleurs été détectés ce jeudi, contre 8875 cas la veille. Le taux de positivité des tests s’élevait, lui, à 1,4%.

Sur le front des vaccinations, 36.738.501 personnes ont reçu au moins une injection (soit 54,5% de la population totale) et 29.201.246 personnes ont désormais un schéma vaccinal complet (soit 43,3% de la population totale), depuis le début de la campagne vaccinale en France. Au total, 786.764 injections ont été réalisées ce jeudi, selon les chiffres de la Direction générale de la Santé.

Emploi France : légère reprise

Emploi France : légère reprise

 

D’après l’INSEE , les entreprises privées ont créé 57.300 emplois sur les trois premiers mois de l’année, ramenant à 262.900 le nombre de postes détruits depuis la fin 2019 à cause de la crise. Une évolution positive mais qui est loin de compenser tous les emplois perdus du fait de la crise sanitaire qui fait évoluer l’emploi de manière erratique :

-625.300 emplois au premier semestre 2020, dont 481.200 de janvier à mars ; + 333.900 au troisième trimestre, pour le redémarrage de l’économie après les restrictions sanitaires du printemps ; et - 28.800 d’octobre à décembre, en raison du deuxième confinement.

« L’économie française récupère du choc du premier semestre 2020 », commente Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, avec « à peu près 60 % des pertes d’emploi qui avaient eu lieu aux premier et deuxième trimestres » et qui ont été depuis effacées. « La dynamique est là, on continue ! », se félicitait mardi Élisabeth Borne, la ministre du Travail, après la publication par Pôle emploi de son enquête

l’évolution de l’emploi dépendra aussi très largement des conditions de sortie du dispositif de chômage partiel mis en place depuis un an et qui a fortement limité depuis les suppressions d’emploi. En mars, d’après le dernier pointage du ministère du Travail, quelque 12 % des salariés du privé, soit 2,3 millions de personnes, avaient été placées par leur employeur en activité partielle, contre près de 9 millions en avril 2020 au plus fort de la crise lors du premier confinement.

. Les ­experts s’attendent en effet à 100.000 liquidations d’entreprises d’ici à la fin décembre, soit le double de la normale.

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

Sondage popularité Macron : légère remontée mais 59 % défavorables

 

 

 

Selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio publié mardi,l L’approbation de l’action d’Emmanuel Macron progresse de 2 points, à 41%, avec un taux d’insatisfaits qui recule en parallèle de 2 points, à 59%.

A 41% également, le Premier ministre Jean Castex est au même niveau d’approbation, mais la remontée est plus forte: elle est de 5 points depuis un plancher de 36% atteint en avril. Près de six Français sur dix (59%, -5 points) continuent aussi d’avoir une opinion négative.

Interrogés sur l’image qu’ils ont du chef de l’Etat, 52% des Français estiment que dire qu’il « défend bien les intérêts de la France à l’étranger » lui correspond bien. Mais une majorité considère que « renouvelle la fonction présidentielle » (57%), « mène une bonne politique économique » (60%), « a une vision pour l’avenir des Français » (60%), « est proche des préoccupations des Français » (68%) sont des appréciations lui correspondant mal.

Quant à Jean Castex, les traits d’image proposés sont majoritairement jugés comme lui correspondant mal: 52% pensent que dire qu’ »il est un homme de dialogue » ne lui convient pas. Même appréciation négative concernant « dirige bien l’action de son gouvernement » (57%), « est proche des préoccupations des Français » (63%), « qui vous inspire confiance » (64%) et « est capable de réformer le pays » (71%).

Covid France : 3760 en soins intensifs, légère hausse

Covid France : 3760 en soins intensifs, légère hausse

Le nombre de patients hospitalisés en soins critiques était en légère hausse ce lundi, s’élevant à 5630 personnes, dont 386 admises en 24 heures, contre 5585 la veille. Au total, les hôpitaux comptaient lundi 28.950 patients atteints du Covid-19, dont 1495 admis lors des dernières 24 heures.

311 personnes sont également mortes en 24 heures dans les hôpitaux français, portant le nombre de morts à 105.159 depuis le début de la pandémie. 3760 nouveaux cas de Covid-19 ont été détectés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 9888 la veille et 5952 lundi dernier. Le taux de positivité des tests s’élève à 7,6%.

Sur le front des vaccinations, 16.133.547 personnes ont reçu au moins une injection (soit 24,1 % de la population totale) .

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Pétrole : légère hausse en raison de la réduction de production

Deux raisons à la hausse du prix du pétrole, d’une part les faibles réserves américaines d’autre part la réduction de la production décidée par l’OPEP et ses alliés. «Les prix du brut ont augmenté plus haut maintenant que l’OPEP + a convaincu le marché de l’énergie qu’il est déterminé à accélérer le rééquilibrage du marché sans délai», a déclaré Edward Moya, analyste de marché senior chez OANDA.

Le pétrole a rebondi après des creux historiques atteints l’an dernier, grâce aux baisses record de production de l’OPEP + que le groupe commence à se détendre.

Soutenant également les prix, les stocks de pétrole brut américain ont chuté de 994 000 barils la semaine dernière à 475,7 millions de barils, leur plus bas depuis mars, a annoncé mercredi l’US Energy Information Administration. Les analystes d’un sondage Reuters avaient prévu une hausse de 446 000 barils.

Alors que les taux d’utilisation des raffineries ont augmenté de 0,6 point de pourcentage à 82,3% de la capacité, les stocks d’essence américains ont augmenté de 4,5 millions de barils, selon l’EIA.

Les hausses paraissent justifier par le fait que les pays de l’OPEP hypothèquent déjà une reprise grâce au développement des vaccins pourraient mettre un terme à la crise sanitaire et ainsi favoriser la reprise économique. Comme rien n’est sûr dans ce domaine il faut sans doute s’attendre à des mouvements de yo-yo du pétrole au cours de l’année 2021.

Pétrole: une légère hausse de la demande

Pétrole: une légère hausse de la demande

 

Pour l’agence internationale de l’énergie la baisse la demande de pourrait être moins importante que prévu en 2020. L’agence prend cependant des précautions oratoires en indiquant que tout cela dépendra évidemment de l’évolution du Coronavirus et de ses conséquences économiques et sociales. Des prévisions donc qui seront sans doute encore réajustées  d’ici la fin d’année La demande, qui a moins diminué que prévu au deuxième trimestre, devrait se situer à 92,1 millions de barils par jour (bpj), soit 400 000 bpj de plus que les projections du mois dernier, selon le rapport mensuel de l’AIE qui coordonne les politiques énergétiques des pays industrialisés.

“Alors que le marché du pétrole a indubitablement réalisé des progrès (…) le nombre important, et dans certains pays l’accélération, des cas de COVID-19 est un rappel inquiétant du fait que la pandémie n’est pas maîtrisée et que nos prévisions de marché risquent de se retrouver presque certainement à la baisse”, a indiqué l’agence.

L’assouplissement des mesures de confinement dans de nombreux pays a entraîné une forte reprise des livraisons de carburant en mai, juin et probablement aussi en juillet, estime l’AIE.

Mais selon l’agence, l’activité de raffinage du pétrole en 2020 devrait connaître une baisse plus marquée que celle prévue par l’AIE le mois dernier et sa croissance devrait être moindre en 2021.

“Pour les raffineurs, les avantages apportés par l’amélioration de la demande seront probablement contrebalancés par les prévisions de contraction à venir sur le marché des matières premières. Les marges de raffinage seront également mises à mal par la quantité de stock excédentaire au deuxième trimestre de 2020”, explique l’AIE.

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