Archive pour le Tag 'leçon'

Protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Biden donne une leçon de libéralisme et de concurrence dont la France ferait bien de s’inspirer. Par Eugène Daronnat, Membre du Comité Exécutif d’Objectif France.( Dans la Tribune, extrait)

Il avait été décrit comme timide. A 78 ans, beaucoup de commentateurs pensaient que le mandat de Joe Biden allait être un mandat de transition. A peine élu, les scénarios sur la prise de pouvoir de Kamala Harris en cours de Présidence étaient déjà évoqués. Celui que l’on surnommait « sleepy Joe » a pris à contre-courant la plupart des observateurs, marquant une véritable rupture avec la présidence de Donald Trump, et le réveil des Etats-Unis sur la scène internationale, notamment à travers le retour du multilatéralisme.

En première ligne sur la nouvelle fiscalité sur les multinationales, le Président Américain a confirmé que c’était bien grâce aux Etats-Unis, et aux Etats-Unis seulement que ces avancées avaient été rendues possibles, même s’il ne faut pas être dupe sur les intérêts défendus par les Américains dans cette affaire : les Etats-Unis seront en effet le 1er bénéficiaire de cette mesure visant à faire payer l’impôt sur les sociétés dans le pays d’origine des entreprises « délocalisant » leur fiscalité à l’étranger.

Joe Biden s’est trouvé beaucoup de soutiens en France quand il a décidé d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, en faisant passer l’impôt sur les sociétés de 21% à 28% (il était de 28% en France en 2020). Augmenter les impôts, le rêve Français devenu réalité outre-Atlantique, quelques semaines après que les Etats-Unis aient réalisé un plan d’investissement de plusieurs centaines de milliards de dollars, avec des chèques de relance directement adressés aux ménages américains.

Le Président Américain a surpris son monde ces dernières semaines, avec un décret visant à renforcer la concurrence dans l’économie américaine. Inaudible en France où les termes concurrence et libéralisme sont des épouvantails, Joe Biden se place dans la lignée de la tradition américaine, avec une économie ouverte, libérale, mais qui pour autant n’oublie pas sa finalité : servir le consommateur.

Dans ce décret, il est notamment écrit : « La promesse américaine d’une prospérité large et durable découle d’une économie ouverte et compétitive ».

Puis ensuite : « Pour les travailleurs, un marché compétitif créé plus d’emplois de qualité, avec la liberté économique de changer de travail ou de négocier un meilleur salaire ». Nous sommes loin d’une politique de nivellement par le bas !

Concrètement, ce texte prévoit l’ouverture à la concurrence de secteurs dans lesquels les Américains ont peu de choix. Baisse des prix des médicaments, possibilité d’accéder à un nouveau fournisseur d’accès à internet, plus de transparence dans la présentation de certains services : par des mesures concrètes, Joe Biden souhaite montrer que « le capitalisme sans concurrence, ce n’est plus du capitalisme, c’est de l’exploitation. ». Son administration évalue à plusieurs milliers de dollars par an la perte d’argent pour les ménages, liée à une trop grande concentration de l’économie.

 

Les Etats-Unis vivent plus que nous une situation d’inégalités économique et patrimoniales, avec une scission claire entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. Avec ces annonces, Joe Biden prend une orientation assumée : seule la concurrence, l’économie ouverte (en intérieur) permettront à toute une génération d’américains d’accéder à la prospérité.

Loin des caricatures du libéralisme en France, le Président des Etats-Unis nous montre que le (véritable) libéralisme, ce n’est pas la loi du plus fort, c’est l’intérêt du plus faible.

Il s’agit d’une véritable leçon pour la France, alors que notre logiciel de pensée nous pousse à croire que plus de normes, plus de lois, plus de textes contribuent à nous protéger. C’est exactement le contraire.

La seule complexité administrative se fait aujourd’hui clairement au détriment des plus faibles. Ceux qui ont les moyens de comprendre, d’interpréter des procédures, des textes de loi tirent leur épingle du jeu, les autres sont condamnés à échouer. Pour honorer sa promesse d’égalité, la France ferait bien de s’inspirer de Joe Biden, en convoquant une révolution administrative, avec le retour de plus de liberté, de plus de transparence.

Car en France plus qu’ailleurs, le système économique est sclérosé. De manière symétrique, en France plus qu’ailleurs, le système politique est paralysé. Il est temps de réconcilier le consommateur, le citoyen avec un système économique, démocratique qui ne se fasse plus dans l’intérêt de quelques-uns, au détriment de tous. Dans tout cela, le rôle de l’Etat n’est pas d’être omniprésent, mais de créer les conditions pour que chacun puisse s’accomplir, quel que soit son héritage patrimonial, culturel, éducatif.

C’est cela que nous apprend Joe Biden. La prospérité est à la portée de tous.

Néolibéralisme et Protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Biden donne une leçon de libéralisme et de concurrence dont la France ferait bien de s’inspirer. Par Eugène Daronnat, Membre du Comité Exécutif d’Objectif France.( Dans la Tribune, extrait)

Il avait été décrit comme timide. A 78 ans, beaucoup de commentateurs pensaient que le mandat de Joe Biden allait être un mandat de transition. A peine élu, les scénarios sur la prise de pouvoir de Kamala Harris en cours de Présidence étaient déjà évoqués. Celui que l’on surnommait « sleepy Joe » a pris à contre-courant la plupart des observateurs, marquant une véritable rupture avec la présidence de Donald Trump, et le réveil des Etats-Unis sur la scène internationale, notamment à travers le retour du multilatéralisme.

En première ligne sur la nouvelle fiscalité sur les multinationales, le Président Américain a confirmé que c’était bien grâce aux Etats-Unis, et aux Etats-Unis seulement que ces avancées avaient été rendues possibles, même s’il ne faut pas être dupe sur les intérêts défendus par les Américains dans cette affaire : les Etats-Unis seront en effet le 1er bénéficiaire de cette mesure visant à faire payer l’impôt sur les sociétés dans le pays d’origine des entreprises « délocalisant » leur fiscalité à l’étranger.

Joe Biden s’est trouvé beaucoup de soutiens en France quand il a décidé d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, en faisant passer l’impôt sur les sociétés de 21% à 28% (il était de 28% en France en 2020). Augmenter les impôts, le rêve Français devenu réalité outre-Atlantique, quelques semaines après que les Etats-Unis aient réalisé un plan d’investissement de plusieurs centaines de milliards de dollars, avec des chèques de relance directement adressés aux ménages américains.

Le Président Américain a surpris son monde ces dernières semaines, avec un décret visant à renforcer la concurrence dans l’économie américaine. Inaudible en France où les termes concurrence et libéralisme sont des épouvantails, Joe Biden se place dans la lignée de la tradition américaine, avec une économie ouverte, libérale, mais qui pour autant n’oublie pas sa finalité : servir le consommateur.

Dans ce décret, il est notamment écrit : « La promesse américaine d’une prospérité large et durable découle d’une économie ouverte et compétitive ».

Puis ensuite : « Pour les travailleurs, un marché compétitif créé plus d’emplois de qualité, avec la liberté économique de changer de travail ou de négocier un meilleur salaire ». Nous sommes loin d’une politique de nivellement par le bas !

Concrètement, ce texte prévoit l’ouverture à la concurrence de secteurs dans lesquels les Américains ont peu de choix. Baisse des prix des médicaments, possibilité d’accéder à un nouveau fournisseur d’accès à internet, plus de transparence dans la présentation de certains services : par des mesures concrètes, Joe Biden souhaite montrer que « le capitalisme sans concurrence, ce n’est plus du capitalisme, c’est de l’exploitation. ». Son administration évalue à plusieurs milliers de dollars par an la perte d’argent pour les ménages, liée à une trop grande concentration de l’économie.

 

Les Etats-Unis vivent plus que nous une situation d’inégalités économique et patrimoniales, avec une scission claire entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. Avec ces annonces, Joe Biden prend une orientation assumée : seule la concurrence, l’économie ouverte (en intérieur) permettront à toute une génération d’américains d’accéder à la prospérité.

Loin des caricatures du libéralisme en France, le Président des Etats-Unis nous montre que le (véritable) libéralisme, ce n’est pas la loi du plus fort, c’est l’intérêt du plus faible.

Il s’agit d’une véritable leçon pour la France, alors que notre logiciel de pensée nous pousse à croire que plus de normes, plus de lois, plus de textes contribuent à nous protéger. C’est exactement le contraire.

La seule complexité administrative se fait aujourd’hui clairement au détriment des plus faibles. Ceux qui ont les moyens de comprendre, d’interpréter des procédures, des textes de loi tirent leur épingle du jeu, les autres sont condamnés à échouer. Pour honorer sa promesse d’égalité, la France ferait bien de s’inspirer de Joe Biden, en convoquant une révolution administrative, avec le retour de plus de liberté, de plus de transparence.

Car en France plus qu’ailleurs, le système économique est sclérosé. De manière symétrique, en France plus qu’ailleurs, le système politique est paralysé. Il est temps de réconcilier le consommateur, le citoyen avec un système économique, démocratique qui ne se fasse plus dans l’intérêt de quelques-uns, au détriment de tous. Dans tout cela, le rôle de l’Etat n’est pas d’être omniprésent, mais de créer les conditions pour que chacun puisse s’accomplir, quel que soit son héritage patrimonial, culturel, éducatif.

C’est cela que nous apprend Joe Biden. La prospérité est à la portée de tous.

Economie-Libéralisme et protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Economie-Libéralisme et protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Biden donne une leçon de libéralisme et de concurrence dont la France ferait bien de s’inspirer. Par Eugène Daronnat, Membre du Comité Exécutif d’Objectif France.( Dans la Tribune, extrait)

Il avait été décrit comme timide. A 78 ans, beaucoup de commentateurs pensaient que le mandat de Joe Biden allait être un mandat de transition. A peine élu, les scénarios sur la prise de pouvoir de Kamala Harris en cours de Présidence étaient déjà évoqués. Celui que l’on surnommait « sleepy Joe » a pris à contre-courant la plupart des observateurs, marquant une véritable rupture avec la présidence de Donald Trump, et le réveil des Etats-Unis sur la scène internationale, notamment à travers le retour du multilatéralisme.

En première ligne sur la nouvelle fiscalité sur les multinationales, le Président Américain a confirmé que c’était bien grâce aux Etats-Unis, et aux Etats-Unis seulement que ces avancées avaient été rendues possibles, même s’il ne faut pas être dupe sur les intérêts défendus par les Américains dans cette affaire : les Etats-Unis seront en effet le 1er bénéficiaire de cette mesure visant à faire payer l’impôt sur les sociétés dans le pays d’origine des entreprises « délocalisant » leur fiscalité à l’étranger.

Joe Biden s’est trouvé beaucoup de soutiens en France quand il a décidé d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, en faisant passer l’impôt sur les sociétés de 21% à 28% (il était de 28% en France en 2020). Augmenter les impôts, le rêve Français devenu réalité outre-Atlantique, quelques semaines après que les Etats-Unis aient réalisé un plan d’investissement de plusieurs centaines de milliards de dollars, avec des chèques de relance directement adressés aux ménages américains.

Le Président Américain a surpris son monde ces dernières semaines, avec un décret visant à renforcer la concurrence dans l’économie américaine. Inaudible en France où les termes concurrence et libéralisme sont des épouvantails, Joe Biden se place dans la lignée de la tradition américaine, avec une économie ouverte, libérale, mais qui pour autant n’oublie pas sa finalité : servir le consommateur.

Dans ce décret, il est notamment écrit : « La promesse américaine d’une prospérité large et durable découle d’une économie ouverte et compétitive ».

Puis ensuite : « Pour les travailleurs, un marché compétitif créé plus d’emplois de qualité, avec la liberté économique de changer de travail ou de négocier un meilleur salaire ». Nous sommes loin d’une politique de nivellement par le bas !

Concrètement, ce texte prévoit l’ouverture à la concurrence de secteurs dans lesquels les Américains ont peu de choix. Baisse des prix des médicaments, possibilité d’accéder à un nouveau fournisseur d’accès à internet, plus de transparence dans la présentation de certains services : par des mesures concrètes, Joe Biden souhaite montrer que « le capitalisme sans concurrence, ce n’est plus du capitalisme, c’est de l’exploitation. ». Son administration évalue à plusieurs milliers de dollars par an la perte d’argent pour les ménages, liée à une trop grande concentration de l’économie.

 

Les Etats-Unis vivent plus que nous une situation d’inégalités économique et patrimoniales, avec une scission claire entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. Avec ces annonces, Joe Biden prend une orientation assumée : seule la concurrence, l’économie ouverte (en intérieur) permettront à toute une génération d’américains d’accéder à la prospérité.

Loin des caricatures du libéralisme en France, le Président des Etats-Unis nous montre que le (véritable) libéralisme, ce n’est pas la loi du plus fort, c’est l’intérêt du plus faible.

Il s’agit d’une véritable leçon pour la France, alors que notre logiciel de pensée nous pousse à croire que plus de normes, plus de lois, plus de textes contribuent à nous protéger. C’est exactement le contraire.

La seule complexité administrative se fait aujourd’hui clairement au détriment des plus faibles. Ceux qui ont les moyens de comprendre, d’interpréter des procédures, des textes de loi tirent leur épingle du jeu, les autres sont condamnés à échouer. Pour honorer sa promesse d’égalité, la France ferait bien de s’inspirer de Joe Biden, en convoquant une révolution administrative, avec le retour de plus de liberté, de plus de transparence.

Car en France plus qu’ailleurs, le système économique est sclérosé. De manière symétrique, en France plus qu’ailleurs, le système politique est paralysé. Il est temps de réconcilier le consommateur, le citoyen avec un système économique, démocratique qui ne se fasse plus dans l’intérêt de quelques-uns, au détriment de tous. Dans tout cela, le rôle de l’Etat n’est pas d’être omniprésent, mais de créer les conditions pour que chacun puisse s’accomplir, quel que soit son héritage patrimonial, culturel, éducatif.

C’est cela que nous apprend Joe Biden. La prospérité est à la portée de tous.

Libéralisme et protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Libéralisme et protectionnisme : la leçon de Biden à la France !

Biden donne une leçon de libéralisme et de concurrence dont la France ferait bien de s’inspirer. Par Eugène Daronnat, Membre du Comité Exécutif d’Objectif France.( Dans la tribune, extrait)

Il avait été décrit comme timide. A 78 ans, beaucoup de commentateurs pensaient que le mandat de Joe Biden allait être un mandat de transition. A peine élu, les scénarios sur la prise de pouvoir de Kamala Harris en cours de Présidence étaient déjà évoqués. Celui que l’on surnommait « sleepy Joe » a pris à contre-courant la plupart des observateurs, marquant une véritable rupture avec la présidence de Donald Trump, et le réveil des Etats-Unis sur la scène internationale, notamment à travers le retour du multilatéralisme.

En première ligne sur la nouvelle fiscalité sur les multinationales, le Président Américain a confirmé que c’était bien grâce aux Etats-Unis, et aux Etats-Unis seulement que ces avancées avaient été rendues possibles, même s’il ne faut pas être dupe sur les intérêts défendus par les Américains dans cette affaire : les Etats-Unis seront en effet le 1er bénéficiaire de cette mesure visant à faire payer l’impôt sur les sociétés dans le pays d’origine des entreprises « délocalisant » leur fiscalité à l’étranger.

Joe Biden s’est trouvé beaucoup de soutiens en France quand il a décidé d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, en faisant passer l’impôt sur les sociétés de 21% à 28% (il était de 28% en France en 2020). Augmenter les impôts, le rêve Français devenu réalité outre-Atlantique, quelques semaines après que les Etats-Unis aient réalisé un plan d’investissement de plusieurs centaines de milliards de dollars, avec des chèques de relance directement adressés aux ménages américains.

Le Président Américain a surpris son monde ces dernières semaines, avec un décret visant à renforcer la concurrence dans l’économie américaine. Inaudible en France où les termes concurrence et libéralisme sont des épouvantails, Joe Biden se place dans la lignée de la tradition américaine, avec une économie ouverte, libérale, mais qui pour autant n’oublie pas sa finalité : servir le consommateur.

Dans ce décret, il est notamment écrit : « La promesse américaine d’une prospérité large et durable découle d’une économie ouverte et compétitive ».

Puis ensuite : « Pour les travailleurs, un marché compétitif créé plus d’emplois de qualité, avec la liberté économique de changer de travail ou de négocier un meilleur salaire ». Nous sommes loin d’une politique de nivellement par le bas !

Concrètement, ce texte prévoit l’ouverture à la concurrence de secteurs dans lesquels les Américains ont peu de choix. Baisse des prix des médicaments, possibilité d’accéder à un nouveau fournisseur d’accès à internet, plus de transparence dans la présentation de certains services : par des mesures concrètes, Joe Biden souhaite montrer que « le capitalisme sans concurrence, ce n’est plus du capitalisme, c’est de l’exploitation. ». Son administration évalue à plusieurs milliers de dollars par an la perte d’argent pour les ménages, liée à une trop grande concentration de l’économie.

 

Les Etats-Unis vivent plus que nous une situation d’inégalités économique et patrimoniales, avec une scission claire entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. Avec ces annonces, Joe Biden prend une orientation assumée : seule la concurrence, l’économie ouverte (en intérieur) permettront à toute une génération d’américains d’accéder à la prospérité.

Loin des caricatures du libéralisme en France, le Président des Etats-Unis nous montre que le (véritable) libéralisme, ce n’est pas la loi du plus fort, c’est l’intérêt du plus faible.

Il s’agit d’une véritable leçon pour la France, alors que notre logiciel de pensée nous pousse à croire que plus de normes, plus de lois, plus de textes contribuent à nous protéger. C’est exactement le contraire.

La seule complexité administrative se fait aujourd’hui clairement au détriment des plus faibles. Ceux qui ont les moyens de comprendre, d’interpréter des procédures, des textes de loi tirent leur épingle du jeu, les autres sont condamnés à échouer. Pour honorer sa promesse d’égalité, la France ferait bien de s’inspirer de Joe Biden, en convoquant une révolution administrative, avec le retour de plus de liberté, de plus de transparence.

Car en France plus qu’ailleurs, le système économique est sclérosé. De manière symétrique, en France plus qu’ailleurs, le système politique est paralysé. Il est temps de réconcilier le consommateur, le citoyen avec un système économique, démocratique qui ne se fasse plus dans l’intérêt de quelques-uns, au détriment de tous. Dans tout cela, le rôle de l’Etat n’est pas d’être omniprésent, mais de créer les conditions pour que chacun puisse s’accomplir, quel que soit son héritage patrimonial, culturel, éducatif.

C’est cela que nous apprend Joe Biden. La prospérité est à la portée de tous.

Taïwan : la Chine fait la leçon à la France

Taïwan : la Chine fait la leçon à la France

Débarrassée  le tout complexe, la Chine donne des leçons de démocratie à la France à propos de Taïwan. En effet la Chine a fortement condamné un voyage de parlementaires à Taïwan. L’ambassade de Chine a publié la lettre sur son site internet et l’a assortie d’une mise en garde formelle adressée aux sénateurs contre la violation du principe d’une seule Chine lors de leur voyage à Taïwan.

« Les sénateurs français, en tant que membres de l’institution française, se doivent de respecter ce principe et s’abstenir de toute forme de contacts officiels avec les autorités taiwanaises », était-il dit dans un message publié le 16 mars.

Cette déclaration a provoqué une mise au point, ce mercredi du ministère des Affaires étrangères qui a rappelé que « les parlementaires français décident librement de leurs projets de déplacement et de leurs contacts. »

Hollande : leçon du vieux politicard au jeune loup Macron à la dérive

Hollande : leçon du vieux politicard au jeune loup à la dérive

 

 A Cherbourg François Hollande n’a pu s’empêcher d’adresser une vraie leçon du pouvoir au jeune loup Macron qui patauge aujourd’hui dans les difficultés. L’occasion d’insister sur le vide idéologique du macronisme et le manque de vision prospective

“On ne peut pas simplement être dans la gestion ou dans l’accumulation de réformes soi-disant indispensables. Une réforme n’est pas une conviction”, a dit François Hollande à l’adresse à son successeur, qui vit une rentrée politique difficile. Une attaque politique sévère de la part de François Hollande à l’encontre de son successeur mais aussi une attaque sur sa personnalité marquée par l’individualisme, le cynisme et le narcissisme. Une critique qui vise évidemment la posture jupitérienne du monarque républicain porteur hier de tous les espoirs mais aujourd’hui de toutes les désillusions et Hollande de prôner l’engagement, le désintérêt la négation et le sens du collectif “Ce qui doit animer le président c’est une vision de l’avenir de son pays, une stratégie – qui va durer d’ailleurs bien au-delà du temps de son mandat – pour que s’inscrivent des changements, pour que se portent des avancées et des progrès.” Défendant son bilan en terme de croissance et d’emploi, François Hollande est revenu à l’actualité en évoquant les retraités “montrés du doigt” et les hésitations de l’Elysée quant à la mise en place du prélèvement de l’impôt à la source, un héritage du précédant quinquennat.

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L’ex-président a dénoncé le “libéralisme” et fustigé “l’arrogance des puissants, la célébration de l’argent, l’ignorance des territoires et des élus, la mise en cause des services publics et des fonctionnaires, la diminution des droits sociaux au nom du travail”.

François Hollande a aussi évoqué la réforme constitutionnelle voulue par l’actuel exécutif en prônant une réflexion sur le rôle du Premier ministre et en défendant le rôle de “contre-pouvoir” du Parlement. “J’entends parler de retour (mais) je ne suis jamais parti de la vie politique”, a-t-il rappelé. “L’avenir de mon pays et la vie des Français sont des préoccupations légitimes de tout ancien président de la République ou de tout responsable qui a exercé des fonctions dans l’Etat”. “On ne se met jamais en retraite de la France”, a-t-il insisté, laissant ouvertes toutes les hypothèses quant à son rôle futur dans le paysage politique. Selon un sondage Ifop paru mi-août dans Le Figaro, 17% des personnes interrogées souhaitent voir François Hollande se replacer dans la course à l’Elysée en 2022. La proportion monte à 44% chez les sympathisants PS. Bref, celui qu’on avait enterré bouge encore !

Allemagne: plus de leçon budgétaire aux autres pays

Allemagne: plus de leçon budgétaire  aux autres pays

 

 

Le remplacement de Wolfgang Schäuble par le social-démocrate Olaf Scholz (SPD), au ministère des Finances constitue évidemment un changement assez fondamental en matière de doctrine budgétaire. Certes,  il ne faut pas s’attendre à ce que le nouveau ministre des finances lâche complètement la bride concernant l’équilibre budgétaire et la dette mais il est vraisemblable qu’  il se montra montrera plus souple en Allemagne dont les excédents sont par ailleurs souvent critiqués tant par l’union économique que par le fonds monétaire international. Surtout le nouveau ministre des finances allemand promet d’abandonner la posture du donneur de leçons à toute l’Europe. Encore une fois cela ne signifie pas que le laxisme le plus total va succéder à l’ancienne doctrine budgétaire mais qu’il y a des chances  pour qu’on se montre un peu plus conciliant notamment soutenir les économies un peu faiblarde des pays à fort taux de chômage. De toute manière avec la croissance qui revient mécaniquement les équilibres financiers devraien t s’améliorer dans la plupart des pays européens. Le nouveau ministre des finances allemand, estime que l’Allemagne « ne doit pas dicter aux autres Etats européens comment ils devraient se développer », dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Der Spiegel.« Des erreurs ont certainement été commises dans le passé », ajoute-t-il, une allusion claire à la position très rigoriste adoptée dans le passé par le conservateur Wolfgang Schäuble, gardien de l’orthodoxie budgétaire dans son pays et en Europe. Wolfgang Schäuble n’hésitait pas à réprimander les pays du sud.  Le ministère des Finances était depuis huit ans la chasse gardée du parti chrétien-démocrate (CDU) d’Angela Merkel, qui a dû abandonner ce portefeuille-clé aux sociaux-démocrates pour arracher un accord de coalition cette semaine avec le SPD et rester au pouvoir. Cet accord, où la signature social-démocrate est nettement palpable, apporte un soutien prudent aux idées de réformes pro-européennes lancées par le président français Emmanuel Macron.

Berger (CFDT) à Mélenchon : «pas de leçon ! »

Berger (CFDT) à Mélenchon : «pas de leçon ! »

 

En bon communiste Mélenchon considère les syndicats comme la courroie de transmission du politique mais en bon démocrate, Laurent Berger entend préserver l’indépendance syndicale. Dans une interview au Parisien le 24 novembre, le leader de la France insoumise affirmait que le manque de mobilisation dans la rue contre les ordonnances réformant le Code du Travail était, pour partie, la faute de la « division syndicale ». Alors qu’en réalité la division était surtout de nature politique surtout du fait de Mélenchon qui voulait instrumentaliser les syndicats pour obtenir le brevet de premier opposant à Macron. E de toute manière m^me avec l’union des forces politiques de gauche pas sûr que les français seraient descendus en masse sur l’objectif sous tendu de faire de Mélenchon l’opposant numéro un à Macron. La ficelle était en effet un peu trop grosse. Du coup hier Berger le patron de la CFFDT s’est lâché / « Je ne me mêle pas de politique, alors que M. Mélenchon ne se mêle pas de syndicat. Je ne vois pas en quoi il pourrait s’autoproclamer porte-parole des travailleurs. Pas plus lui que n’importe lequel. » « Au bout d’un moment, il faut stopper. Qu’il ne nous donne pas de leçon. En tout cas, ça n’aura pas beaucoup d’effets », enfonce le responsable syndical. Par ailleurs les  propos tenus sur le Venezuela par l’équipe de Jean-Luc Mélenchon n’ont pas échappé au numéro un de la CFDT, qui a exprimé sa colère lors d’une interview donnée sur France Inter, mettant au passage en garde contre les idées que portent le candidat de La France insoumise avec qui il a indiqué ne partager « quasiment aucune » position. Laurent Bergé avait par ailleurs indiqué qu’il ne partageait pas grand-chose avec Mélenchon. Il avait notamment indiqué  « J’ai été choqué qu’il y ait une forme de révérence chez Mélenchon  qui soit faite à ce qui se passe au Venezuela », a déclaré le syndicaliste, dont la centrale soutient un « syndicat libre vénézuélien ». Ajoutant : « Aujourd’hui, on a un pouvoir qui, depuis Chavez, a saigné le pays » et « une population extrêmement pauvre qui vit sous un régime totalitaire ». « Il y a aussi un risque en termes d’une vision assez totalitaire », a-t-il ajouté, Se défendant de toute  »comparaison hâtive », il avait  pointé le «risque d’une vision assez brutale des rapports humains, des rapports sociaux et des rapports politiques que porte parfois Jean-Luc Mélenchon ». Laurent Berger a aussi déploré « les comportements et les attaques » contre son syndicat « de la part de gens qui sont autour de Jean-Luc Mélenchon »« Parfois, a-t-il ajouté, il y a des discours qui donnent à penser qu’il y aurait des ennemis, ceux qui ne penseraient pas comme lui. C’est dangereux. »

Burkina : la leçon de Macron à Kaboré

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Certains ont sans doute considéré à juste titre qu’Emmanuel Macron avait manifesté une certaine condescendance voir une certaine arrogance vis-à-vis du chef de l’État du Burkina. Une suffisance liée au caractère de Macron  qui parle cash au lieu d’utiliser la langue de bois habituelle mais d’une certaine manière aussi un règlement de comptes vis-à-vis des responsables burkinabés toujours prêts à critiquer la France dans de nombreux domaines mais bien incapable de sortir leur pays de la misère. Le Burkina est un merveilleux pays notamment pour son cadre et  la qualité de son accueil. Malheureusement il est placé en 146 positions pour les affaires. En clair le Burkina est un des pays les plus pauvres L’analphabétisme est majoritaire et  C’est plus fréquent parmi les  femmes44. La majorité des élèves sont des garçons. Le pays dispose cependant de ressources agricoles importantes aussi de quelques ressources minières. Mais sur environ 20 millions d’habitants 30 % de Burkinabé sont contraints de s’expatrier pour faire vivre leur famille. Ce qui constitue l’une des principales ressources du Burkina Faso. Le salaire mensuel tourne en effet autour de 50 € ;  du coup,  des millions de Burkinabés vivent en Côte d’Ivoire, au Ghana dans en France aussi Emmanuel Macon n’a sans doute pas apprécié les critiques implicites du président Kaboré concernant le passé colonial, le Franc CFA, la présence militaire de la France au sahel, l’aide au développement, la corruption  ou encore les critiques  de la famille africaine. Autant de thèmes ont été repris par les étudiants appelés à poser des questions au président de la république française. Emmanuel Macron n’apprécie pas que les leaders de pays aussi peu développé tentent de déstabiliser une région par ailleurs très fragile notamment par rapport aux risques du terrorisme. En invitant de façon il est vrai peu courtoise le président Burkinabé allait réparer la climatisation de la salle de débat, macros a en quelque sorte signifiée au président Kaboré qu’il ferait mieux de s’occuper de sa politique intérieure au lieu d’ambitionner de prendre le leadership politique d’une région fragile économiquement, politiquement et militairement. Il est vraisemblable qu’Emmanuel Macron aura un plus policé lors  de sa visite en Côte d’Ivoire   et au Ghana.

Quelques données économiques :

  • PIB : 10,678 milliards $ en 2015;
  • PIB par habitant : 640 $en 2015;
  • PIB en parité de pouvoir d’achat (PPA) : 1 185 $ (2007, Québec, Institut de la Statistique) ;
  • Taux de croissance réelle : 5,2 % en 2016
  • Taux d’inflation (indice des prix à la consommation) : 6,40 % (2006) ;
  • Exportations : 1,591 milliard de dollars en 2011 ;
  • Importations : 2,25 milliards de dollars en 2011
  • Salaire mensuel 50 euros

Déficit: Moscovici fait la leçon à la France

Déficit: Moscovici fait la leçon à la France

 

 

Moscovici,  qui lorgne sur le poste de président de la commission,  fait la leçon à la France et déclare qu’il n’y aura pas de nouveau délai pour que la France respecte les critères de déficit budgétaire. Il n’a sans doute pas tort mais il est dommage qu’il n’ait pas montré autant de rigueur lorsqu’il était ministre de l’économie, dans européen son pays. Pour Moscovici, Il n’est pas question que l’Union européenne accorde un nouveau délai à la France pour ramener ses déficits publics à 3% du PIB ou moins comme elle s’y est engagée, a déclaré lundi sur France 2 le commissaire européen aux Affaires économiques. Le précédent gouvernement prévoyait un retour de ces déficits à 2,8% fin 2017. Mais dans l’audit qu’elle a rendu la semaine dernière, la Cour des Comptes estime qu’il y a un risque de dérapage de 0,4 point de PIB. « Pas question de nouveau délai mais simplement une politique budgétaire sérieuse sans être austère doit être au rendez-vous », a déclaré Pierre Moscovici. Il a souligné que le gouvernement français ne demandait d’ailleurs pas un nouveau délai.  »Moi je fais confiance au gouvernement français pour tenir ses engagements, comme je lui fais confiance pour présenter ensuite un budget 2018 qui lui permette de passer pour le coup clairement en dessous de 3%, ce qui permettra à la France de sortir de (…) la procédure de déficit excessif », a-t-il dit. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé la semaine dernière que des mesures d’économie seraient prises pour contenir les déficits publics à 3% en fin d’année.

 

Europe : « Pas de leçon à recevoir de Trump » ( Hollande)

Europe : « Pas de leçon à recevoir de Trump » ( Hollande)

 

 

François Hollande a recadré Trump  après les propos très critiques du nouveau président américain concernant l’union européenne. Un président des États-Unis qui avaient souligné le manque d’implication de certains membres dans la politique de défense de l’OTAN. Un reproche qui  n’est pas totalement faux dans la mesure où l’Europe n’a encore pas pris en main sa propre défense. Mais Trump avait aussi en quelque sorte encouragée l’éclatement de l’union européenne en se félicitant du brexit et en souhaitant que d’autres pays quittent l’union. Par ailleurs Trump avait mis en cause la politique d’immigration de Merkel « l’Europe n’a pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu’elle a à faire », a déclaré Hollande lors de la remise de la Légion d’honneur à l’ambassadrice américaine à Paris, Jane Hartley. Donald Trump a vivement critiqué la politique européenne dans une interview au Bild allemand et au Times britannique dans laquelle il qualifie l’Otan d’ »obsolète » et juge que la politique d’accueil des migrants en Allemagne a été une « erreur catastrophique ». Les relations entre l’Europe et les États Unis « ont toujours été fondées sur des principes et des valeurs » qui s’appellent « le respect, le soutien mutuel en cas de péril, mais aussi l’attachement à la démocratie et la dignité de l’être humain », lui a répondu le président français.François Hollande a également contredit le président élu américain sur l’Otan en estimant que l’Alliance atlantique « ne sera obsolète que lorsque les menaces le seront devenues elles aussi ». « Nous avons aussi à faire comprendre que nous sommes attachés à nos alliances, et que nous sommes aussi capables d’être autonomes sur le plan stratégique, en pleine complémentarité avec l’Otan », a-t-il ajouté. La chancelière allemande Angela Merkel avait auparavant déclaré que l’Europe avait son destin entre « ses propres mains » en réponse à Donald Trump, qui a notamment prédit que des pays européens suivraient l’exemple du Brexit. John Kerry n’a pas hésité à désapprouver les propos de Donald Trump sur la politique migratoire de la chancelière allemande. A rebours du président élu, le secrétaire d’Etat américain a jugé « extrêmement courageuse » la politique d’accueil des migrants et des réfugiés sur le sol allemand mise en oeuvre par Angela Merkel. Ceci étend s’il faut reconnaître que l’imprévisible Trump n’a pas fait dans la dentelle diplomatique, il n’en reste pas moins que sa critique de l’union européenne en particulier en matière de défense n’est pas incomplètement infondée. D’une certaine façon Trump  pourrait cependant rendre service à l’union européenne qui devra nécessairement réagir face aux menaces que laisse planer Trump sur les relations commerciales entre l’Europe et les États-Unis,  aussi en prévision des discussions d’après brexit .

Notre-Dame-Des-Landes : Ségolène Royal fait la leçon à Stéphane le Foll

Notre-Dame-Des-Landes : Ségolène Royal fait la leçon à Stéphane le Foll

 

Hier sur BFM Ségolène Royal a clairement considéré que Stéphane le Foll,  porte-parole du gouvernement,  aurait mieux fait de se taire concernant le futur référendum sur le projet des repas à Notre-Dame des Landes. Puisque le premier ministre a décidé d’un référendum local Ségolène royal considère que les responsables nationaux n’ont pas à s’immiscer d’un côté ou de l’autre dans ce référendum. Or. Ségolène Royal a donc condamné la prise de position de Stéphane le Foll en faveur du oui. Elle a tout autant condamné le non préconisé par l’écolo Jean Vincent Placé devenu récemment ministre. Seconde divergence avec Manuel Valls, Ségolène Royal affirme qui l’est possible de modifier le champ géographique de ce référendum en l’étendant au-delà du seul département de Loire-Atlantique. La ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, n’a pas renoncé à élargir le périmètre du référendum sur le projet d’aéroport de Notre-Dame-Des-Landes, près de Nantes, que le Premier ministre souhaite limiter au département de Loire-Atlantique. Manuel Valls a annoncé mardi que la consultation aurait lieu en juin et concernerait les seuls électeurs de ce département, le plus concerné par l’impact de ce projet. Ségolène Royal s’était déjà dite en faveur d’une consultation plus large. Elle est revenue à la charge jeudi soir dans une interview accordée à BFM TV. « Ce que j’ai entendu c’est que, autour de ce département, certains élus voulaient également être consultés. Le problème, c’est qu’il faut trouver un critère », a-t-elle expliqué. « Je leur ai dit ‘trouvez-moi un critère, parlons-en’. » A ce stade, l’ordonnance de convocation du référendum prévoit bien que la consultation aura lieu dans le périmètre où l’enquête publique a été menée, a-t-elle précisé. Mais « on ne peut pas à la fois dire il y a une consultation et en même temps il y a un texte, circulez, il n’y a rien à voir et on ne modifiera rien », a ajouté Ségolène Royal. Si un « critère objectif » permettant d’étendre le référendum au-delà de la Loire-Atlantique apparaît dans les semaines à venir, « pourquoi pas », a insisté la ministre. « À ce moment-là, nous en rediscuterons avec le Premier ministre. » Elle a égratigné au passage les membres du gouvernement qui ont pris position, soit pour dire qu’ils voteraient pour le futur aéroport, comme le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, soit au contraire pour dire qu’ils voteraient contre, comme l’écologiste Jean-Vincent Placé (réforme de l’Etat). « Je pense que ce n’est pas aux membres du gouvernement de se prononcer », a déclaré Ségolène Royal. « On ne peut pas à la fois restreindre cette consultation au département de Loire-Atlantique et ensuite, quand on n’est pas de ce département, commencer à donner des indications. »

(Avec Reuters)

Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 Barça-PSG : leçon de foot pour Paris

 

 

Le  PSG a reçu une vraie leçon de foot à Barcelone et perdu 2à 0. Le score aurait pu être encore plus sévère tellement la différence de classe était grande. Comme à l’aller le Barça a dé montré qu’l i possédait des individualités nettement supérieures au PSG en attaque et au milieu. Ensuite le PSG a montré toutes ses limites actuelles , manque de conviction, manque d’engagement, insuffisance technique, insuffisance physique et tactique approximative. Alors que le Barça empêchait le PSG de relancer par un pressing tout terrain, les joueurs de Paris se sont épuisés en pressant de manière isolée et improductive. Une nouvelle fois on aura noté que l’attaque parisienne est transparente. Ce match a démontré les lacunes individuelles et collectives. Il faudra renforcer cette attaque , aussi un entraineur de classe internationale susceptible de davantage motiver des joueurs trop lymphatiques depuis le début de la saison. Il n’y a donc pas eu de miracle pour le Paris Saint-Germain au Camp Nou. Battus à l’aller sur leur pelouse 3 buts à 1, les Parisiens se sont inclinés 2-0 en quart de finale retour de la Ligue des Champions face au FC Barcelone. Le Brésilien Neymar a inscrit les deux buts de son équipe en première période (14′, 34′). Le premier pour conclure un superbe travail d’Iniesta, auteur d’une percée de 60 mètres au cœur de la défense parisienne. Le second de la tête, à la réception d’un centre parfaitement ajusté par Daniel Alves. Largement dominé, le PSG est logiquement éliminé, et échoue, pour la troisième année consécutive, à s’inviter dans le dernier carré.

Terrorisme : Obama fait la leçon à la France

Terrorisme : Obama fait la leçon à la France

 

Obama, sans doute pas très content des critiques-y compris en Etats-Unis- concernant son absence  la grande manifestation à Paris réplique. Il considère que les musulmans américains, eux ,sont mieux intégrés qu’en Europe. D’une certaine manière il n’a pas complètement tort. Cependant la sociologie des immigrés n’est pas la même. Pour l’essentiel les immigrés viennent d’Asie et des pays latino-américain. Les musulmans ont peu nombreux (environ1%) à comparer aux 5% au Royaume Uni, en Allemagne et au 8% en France. En fait les problèmes d’intégration ne se pose pas en terme de religion mais en terme de couleur de peau , les noirs étant de plus en plus pauvres pendant que les blancs américains sont de plus en plus riches. Obama ferait donc bien de balayer devant sa porte quant à la question d’intégration (voire encore récemment les émeutes après que des noirs aient été tués par des policiers). Comme beaucoup de politiques, Obama parle mais agit peu. C’est en fait «  une grande gueule », orateur très talentueux mais dont le bilan  restera très mitigé y compris dans le domaine international où pourtant il a reçu le prix Nobel de la paix avant même d’avoir  fait quoi que ce soit. Cela ne dédouane pas évidemment les dirigeants européens et notamment de la France quant à leur immobilisme pour intégrer les populations étrangères ( voir à cet égard le nombre de plan concernant la ville qui n’ont pas abouti à grand-chose sinon à repeindre les murs des HLM !). Une semaine après les attaques djihadistes à Paris, Barack Obama recevait donc David Cameron à la Maison Blanche vendredi. L’occasion de rappeler les impératifs de la lutte anti-terroriste et de montrer leur détermination à contrer « l’extrémisme violent qui radicalise, recrute et mobilise« . Le président et le Premier ministre ont affiché la parfaite entente entre les deux pays, mais Barack Obama en a profité pour donner quelques conseils au gouvernement français. Le président américain a insisté sur l’échec de la politique d’intégration. Aux Etats-Unis, « notre principal avantage« , souligne Barack Obama, « c’est que notre population musulmane se sent américaine. Il y a des endroits en Europe où ce n’est pas le cas et c’est probablement le principal danger auquel l’Europe fait face« . Il recommande des solutions qui ne soient pas que sécuritaires et insiste sur les liens forts que doivent avoir les immigrés avec la République. Il a assuré que Washington et Londres continueraient « à faire tout ce qui est en (leur) pouvoir pour aider la France pour que justice lui soit rendue« .

« Mattéo Renzi donne une leçon de courage à Hollande» (Montebourg)

« Mattéo Renzi donne une leçon de courage à Hollande» (Montebourg)

Montebourg a raison car Renzi n’a pas hésité à nationaliser temporairement un complexe sidérurgique de 14 000 personnes alors que Hollande s’est couché devant Mittal à Florange où 659 salariés étaient concernés par la fermeture des hauts fourneaux.  (Pour autant  Renzi a bien prévu de  dénationaliser d’autres secteurs). L’Elysée s’en serait probablement bien passé. A la veille des vœux présidentiels, Arnaud Montebourg s’est rappelé au bon souvenir de François Hollande. L’ancien ministre du Redressement productif a ainsi posté un tweet au vitriol.  Dans ce message, il salue la décision de Matteo Renzi, le président du Conseil italien, qui a décidé, la semaine dernière, de nationaliser temporairement par décret les aciéries d’Ilva, un complexe sidérurgique en difficulté qui emploie 14.000 personnes, pour une période allant de 18 à 36 mois. Au passage, Arnaud Montebourg écorne François Hollande en estimant que le chef du gouvernement italien a donné « une leçon magistrale de courage » au président de la République. Arnaud Montebourg n’a donc pas oublié Florange et le fait savoir via ce tweet. Fin 2012, il avait mouillé sa chemise pour sauver les hauts fourneaux. Il avait avancé l’idée très polémique d’une nationalisation temporaire du site. Cette sortie avait été à l’origine d’un véritable séisme politique, avant que François Hollande ne le désavoue.  Après s’être assagi et rentré dans le rang, c’est finalement la cuvée du redressement qu’il a ironiquement voulu offrir à François Hollande depuis la fête de la Rose à Frangy en Bresse, qui a provoqué sa sortie du gouvernement. Mais avec cette déclaration, l’ancien ministre refait parler de lui. Reste toutefois à voir s’il s’agit d’un positionnement politique de long terme ou d’un simple coup de griffe. D’autant plus qu’Arnaud Montebourg semble vouloir prendre ses distances avec la politique. Dans une carte de vœux adressée aux habitants de Saône et Loire, il affirme ainsi que « le moment est venu pour moi de me retirer de la vie publique professionnelle », rapporte le Journal de Saône et Loire ce mardi. Hasard ou pas, Arnaud Montebourg a twitté sur le sujet à peine 20 minutes après un tweet sur le même sujet publié par Aurélie Filippetti. Son ancienne collègue du gouvernement, dont il est réputé proche, a relayé une déclaration du chef du gouvernement Italien. Ce dernier avait en effet affirmé, en annonçant la nationalisation de l’usine d’Ilva qu’ »il y a des moments dans la vie d’un pays où une administration doit avoir le courage de prendre ses responsabilités ».

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