Archive pour le Tag 'Le Roux'

Bruno Le Roux, exemple de l’oligarchie décadente du PS

Bruno Le Roux, exemple de l’oligarchie décadente  du PS

 

Bruno Le Roux, éphémère ministre de l’intérieur, démissionné par Hollande est malheureusement représentatif de l’oligarchie décadente du parti socialiste. Un parti socialiste essentiellement composé de hauts diplômés, notamment des énarques, qui ont mis depuis longtemps la main sur une organisation politique supposée pourtant défendre  les intérêts des plus défavorisés. Comme beaucoup d’autres, Bruno Le Roux n’a jamais travaillé ailleurs que dans la politique. Sitôt diplômé,  il a suivi le cursus royal de la sulfureuse mutuelle des étudiants noyautée par le PS et a fait toute sa carrière professionnelle comme élu et dirigeant du parti socialiste. Bruno Le Roux n’est pas n’importe qui dans l’organigramme, il était le président du groupe socialiste à l’assemblée. Pour arrondir ses fins de mois lui, comme d’autres, il  a choisi de salarier sa famille (ses enfants) comme assistants parlementaires. Des emplois fictifs évidemment. Il se serait agi d’opérations de classement. Au moins une tâche impossible à vérifier. Le pire c’est que François Hollande remplace l’oligarque indélicat par un autre oligarque, jeune politique qui lui aussi n’a jamais travaillé. D’une certaine manière, le parti socialiste était condamné dés sa naissance quand les diplômés en particulier les énarques ont mis la main sur le parti supposé représenter les couches moyennes et les plus défavorisés. Dans l’organigramme de la direction du parti socialiste on ne trouve pas un seul ouvrier, un seul employé du privé, un seul agriculteur, un seul syndicaliste. Bref essentiellement des salariés de l’État et des collectivités locales et des organisations satellites type mutuelles des les étudiants de France (MNEF). Dernier avatar le plus connu de cette dérive oligarchique : Benoît Hamon qui, lui non plus, n’a jamais mis les pieds dans la production, un bobo hors-sol qui sort de son chapeau le revenu universel et décrète la fin du travail. D’une manière générale, la plupart de ces responsables se sont gavés des fruits du pouvoir en raison essentiellement du fait qu’il n’aurait jamais du accéder aux plus hautes fonctions ainsi en masse et de manière aussi illégitime d’un point de vue sociétal. Le pire peut-être, ce sont les  hypocrisies qui caractérisent ces responsables faisant encore hier la leçon de morale et qui se trouvent  pris les mains dans le pot de confiture. Dernier exemple en date, Moscovici ancien ministre de l’économie, aujourd’hui commissaire européen grassement rémunéré, énarque lui aussi, et qui comme Fillon se faisait offrir des costumes de luxe « par un ami  » fournisseur en vins  de l’Élysée et de Matignon ! On objectera sans doute que tous n’ont pas forcément piqué dans la caisse mais tous sont illégitimes socialement car ni leur origine ni leur parcours ni leur expérience sociale n’aurait dû leur permettre de noyauter le parti socialiste et d’accéder aux plus hautes fonctions de l’État. On pourrait certes faire observer que la rigueur n’est pas ce qui caractérise non plus la droite elle aussi engluée dans les affaires notamment avec Sarkozy et Fillon. Toutefois cela ne serait constituer une excuse bien au contraire pour un parti dit socialiste

Le Roux (PS), ministre de l’intérieur : 50 000 euros pour ses filles, lycéennes !

Le Roux (PS), ministre de l’intérieur : 50 000euros pour  ses filles, lycéennes !

 

Encore un responsable politique pris la main dans le pot de confiture ; en plus, l’ancien président du groupe PS actuellement ministre de l’intérieur !  Le ministre français de l’Intérieur,  Bruno Le Roux, a employé ses deux filles en tant que collaboratrices parlementaires alors que ces dernières étaient lycéennes et étudiantes, rapporte lundi l’émission « Quotidien ». La défense de l’intéressé est pathétique puisqu’il relativise ses emplois fictifs en indiquant   « Bien entendu, j’ai mes filles qui ont travaillé avec moi sur des étés, notamment, ou des périodes de vacances scolaires, mais jamais en permanence », a dit l’ancien chef de file des députés socialistes au micro de l’émission diffusée sur la chaîne TMC. Et de s’enfoncer encore davantage quand il précise « Moi je me souviens avoir pris aussi des gens qui m’étaient recommandés sur l’été et donc je crois que c’est quelque chose qui se fait assez régulièrement, d’essayer de faire découvrir les choses, d’essayer de faire découvrir un travail », a-t-il ajouté lors d’un déplacement dans le Gard, le 10 mars dernier. Selon « Quotidien », les filles de Bruno Le Roux, âgées aujourd’hui de 23 et 20 ans, ont tout au long de leur cursus au lycée et pendant leurs études supérieures, bénéficié de CDD à l’Assemblée nationale comme collaboratrices parlementaires auprès de leur père, alors député PS de Seine-Saint-Denis. Elles auraient cumulé chacune 14 et 10 Contrats à durée déterminée (CDD), effectués pendant les vacances scolaires, entre 2009 et 2016, précise l’émission présentée par Yann Barthès. Cette révélation survient à l’heure où plusieurs candidats à l’élection présidentielle d’avril-mai sont visés par des soupçons d’emplois fictifs. Selon les informations de « Quotidien », le montant cumulé des contrats des deux filles atteindrait 55.000  euros.

2017 : la gauche est cuite sans Hollande (Le Roux)

2017 : la gauche est cuite sans Hollande  (Le Roux)

Réponse de Bruno Leroux à Ségolène Royal : le candidat du PS c’est Hollande. Le patron des députés PS répondait à la ministre de l’Environnement Ségolène Royal, qui a estimé jeudi soir que « personne n’est candidat naturel » du Parti socialiste pour la présidentielle. « Il y a une primaire et là, il y a des règles. Respectons les règles. En démocratie, souvent, c’est faute de respecter les règles que ça a tourné mal », a-t-elle déclaré lors de L’Émission politique de France 2. « Il faut respecter les échéances qui ont été données et c’est à lui de s’expliquer devant les Français », a indiqué la ministre à propos de François Hollande. « Personne n’est candidat naturel. Il y a des primaires qui désigneront le candidat ou la candidate. » Mais le président du groupe socialiste a réfuté la position de la ministre de l’environnement.  « Pour moi, les choses sont claires. Si le président de la République n’était pas candidat demain, cela veut dire que la gauche aurait fait le constat qu’elle a échoué, qu’elle est dans l’impossibilité à continuer, qu’elle est dans l’impossibilité à proposer », a-t-il dit sur RTL. En substance Leroux considère que la gauche est cuite sans Hollande comme candidat.  « Le premier sentiment qui sera celui de nos concitoyens si le président de la République n’est pas candidat à continuer son action, c’est qu’il ne l’aura pas réussi », a ajouté Bruno Le Roux en déplorant que la gauche au pouvoir ait « du mal à assumer ce qu’elle a fait, à revendiquer ce qu’elle fait et à le poser dans le débat avec toute la force que cela demanderait ».

Loi Travail : « la majorité votera la réforme » ( Bruno Le Roux)

Loi Travail : « la majorité votera la réforme » ( Bruno Le Roux)

Il est clair que l’atmosphère a considérablement changé au sein du groupe parlementaire socialiste depuis les modifications et les reculs de Manuel Valls sur la loi travail. Une majorité devrait se dégager au sein du parti socialiste en faveur de cette réforme. Donc Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l’Assemblée, assure qu’il y aura une majorité pour confirmer l’avancée des débats, ce mardi 15 mars au micro de RTL.   »Assumons le compromis qui a été trouvé par le gouvernement, demande-t-il. Je veux être le garant de ce compromis qui a été trouvé par le gouvernement. Je tiens trop au débat parlementaire pour vouloir le mettre de côté, et en même temps je m’estime être le garant d’un accord bâti entre des organisations syndicales, patronales et le gouvernement. Il y aura des amendements. Mais il y a une majorité aujourd’hui, je vous le dis clairement, pour accompagner la réforme du gouvernement. Il y a une majorité pour dire qu’il y a un bon compromis. »

Le Roux : « trop de ministres » à Bercy ; non, au gouvernement !

Le Roux : « trop de ministres » à Bercy ; non, au gouvernement !

Les socialistes progressent, Leroux, patron des députés socialistes, a estimé mercredi qu’il y avait « trop de ministres autour de Pierre Moscovici » à Bercy. Un constat très partiel car c’est tout le gouvernement qui est concerné : 37 ministres là où la moitié serait suffisante.   »Pour moi, le ministre de l’Economie et des finances qu’est Pierre Moscovici doit être au centre, doit être au cœur, doit être celui qui donne le la », a-t-il estimé sur BFMTV. Alors que François Hollande a évoqué la semaine dernière un remaniement, Bercy est au cœur de plusieurs critiques: lundi Ségolène Royal a jugé qu’il fallait une « restructuration » de cette « vaste galaxie » et Laurent Fabius a affirmé mardi qu’il n’avait pas de « patron ». A la question de savoir si Pierre Moscovici avait démérité ou non, Bruno Le Roux a répondu: « Il est un ministre parfait de l’économie et des finances. Simplement il y a quelquefois trop d’expression (…), et des problèmes quelquefois de coordination ces derniers mois, et cela tient au fait que sept ministres (qui y travaillent ndlr), c’est peut-être beaucoup ». Selon lui, désormais, « ‘c’est au Président de la République et au Premier ministre (…) de prendre ou de ne pas prendre de décision ».




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