Archive pour le Tag 'le retour ?'

Étoiles de David, croix gammées : le retour de l’immonde et de la tyrannie

Étoiles de David, croix gammées : le retour de l’immonde et de la tyrannie


Bien que la plupart de ceux qui effectivement apposent des étoiles de David ou des croix gammées sur les bâtiments ignorent à peu près tout de la signification historique de ces symboles shootés qu’ils sont à l’ignorance et à la haine, un tel affichage en France nous ramène à l’immonde et à la tyrannie.

L’immonde parce que des individus désignent ainsi d’autres individus à la vindicte populaire en même temps qu’au pouvoir occulte de ceux qui souhaiteraient le retour d’une dictature criminelle.

Ceux qui apposent ses signes sont évidemment pour la plupart des idiots et des lâches qui peuvent ainsi faire semblant d’assumer leur frustration en les transformant en thèmes politiques, religieux ou sociétaux.

Ces afficheurs et ces dénonciateurs sont essentiellement des islamistes qui rêvent d’une dictature religieuse qui éliminerait la démocratie, le progrès et toutes les différences sociétales. Bref ,une société qui ressemble à celle de l’Afghanistan en on meurt autant de faim que de privation de liberté. La société de l’Iran qui tue les femmes pour un foulard mal placé sur les cheveux. Une tyrannie ecclésiastique de refoulés en retard sur la société de près de 800 ans.

Les auteurs de ces symboles criminels méritent d’être jugés avec la plus grande équité tout autant qu’avec la plus grande sévérité comme il sied dans un pays démocratique

Histoire et Russie: Le retour du stalinisme

 

 

Histoire et Russie: Le retour du stalinisme

En s’attaquant à la Memorial Society, fondée par l’ancien dissident Andreï Sakharov, le régime de Vladimir Poutine cherche à effacer tout souvenir historique du terrorisme d’Etat stalinien pour en perpétuer lui-même les effets, dénonce l’écrivain russe Boris Akounine dans une tribune au « Monde ».

 

Tribune.

 

L’un des problèmes les plus douloureux de la Russie est celui de la mémoire historique. C’est un pays en état de stress post-traumatique permanent. Son traumatisme psychologique le plus grave est le souvenir de la terreur stalinienne, lorsque, selon les estimations les plus modérées, environ 1 million de personnes ont été exécutées et 5 millions envoyées dans des camps.

L’analyse et la reconnaissance de cette terrible expérience sont une condition préalable au redressement d’une nation, une sorte d’inoculation contre les rechutes dans le totalitarisme.

La Memorial Society, fondée au moment de la démocratisation de Gorbatchev par Andreï Sakharov, s’est précisément fixé cette tâche, d’une ampleur colossale et d’une importance encore plus colossale : garder vivant le souvenir d’une époque de terrorisme d’Etat. Une tâche encore plus importante est tournée vers l’avenir : tant que nous nous souviendrons des noms de toutes les victimes et de tous les bourreaux, une répétition de la tragédie est impossible.

Pour la même raison, mais dans un but exactement opposé, le régime russe actuel n’est plus disposé à tolérer les activités de la Memorial Society.

Le poutinisme est l’omnipotence des services de sécurité, qui ont subjugué toutes les branches du gouvernement. Les héritiers directs et les successeurs d’un système dont le pouvoir s’est construit sur la peur et la fermeture des bouches, intimident à nouveau et ferment les bouches – sans cela, ils ne pourront pas conserver le pouvoir.

La répression s’accélère

Le souvenir des purges staliniennes et des procès sommaires conduit inévitablement la société à faire des parallèles avec les arrestations contemporaines, les affaires montées de toutes pièces et les procès fictifs. L’ampleur de la répression actuelle ne peut toujours pas être comparée à celle de l’époque de Staline, mais elle s’accélère et fait trébucher la Memorial Society, qui mène constamment des actions qui irritent les services de sécurité : elle organise des journées commémoratives, pose sur les maisons des panneaux « Dernière adresse » portant les noms des personnes qui ont été arrêtées ici. La Memorial Society a rassemblé une énorme base de données avec les noms ; elle n’est pas terminée, mais elle contient déjà des informations sur 3 millions de victimes et 40 000 bourreaux. Chacun peut y chercher ses proches ; souvent, il les trouve. C’est un sentiment fort qui nous fait regarder différemment le passé et le présent.

Et maintenant, la patience des pouvoirs en place est à bout. Le bureau du procureur général de la Fédération de Russie exige la liquidation de cette organisation de défense des droits de l’homme. Si la Memorial Society est interdite maintenant, elle deviendra une sorte de ligne de démarcation après laquelle la mémoire sera monopolisée par l’Etat de Poutine. Bientôt, on enseignera aux enfants à l’école que Staline était un grand personnage historique – presque aussi grand que Vladimir Poutine – et que personne n’a jamais été puni sans faute dans la grande Russie.

Hollande, Jospin, Sarkozy : le retour pourquoi ?

Hollande, Jospin, Sarkozy : le retour pourquoi

 

 

 

Il y a quelque chose de très spécifique en France avec la renaissance régulière des vieux chevaux de retour de la politique. Dans les pays anglo-saxons notamment lorsqu’un responsable est battu, il disparaît purement et simplement de la scène. En France, les battus résistent, n’hésitent  pas parfois à se représenter en tout cas font tout pour continuer d’exister politiquement. C’est le cas avec la sortie des livres et les interviews des vieilles barbes de la politique à droite comme à gauche.

La question est de savoir si cela préfigure vraiment une transformation de cette présence médiatique en candidature potentielle pour 2022. Rien n’est sûr dans ce domaine car les intéressés n’ont pas laissé une trace positive et  historique lors de leur passage au plus haut niveau de la gestion des affaires publiques. Jospin aujourd’hui avec le temps apparaît comme la figure pure et dure du socialisme alors qu’il est sans doute un de ceux qui a le plus liquidé les entreprises nationales et montrer des rapports presque aristocratiques et sectaires avec le peuple: La raison principale de son échec aux présidentielles.

 Hollande évidemment n’a guère convaincu quant à l’efficacité de sa gestion et pas davantage Sarkozy fort en gueule mais faible en action. La remontée des intéressés sur la scène médiatique correspond peut-être au grand vide que connaît la politique française. Bien peu de responsables actuels présentent une stature de chef d’État et on se raccroche sans doute à des personnages dont on peut contester l’action mais qui d’une part avait une certaine épaisseur, d’autre part pour la plupart ne manquaient pas de culture.

Aujourd’hui on peine à trouver des personnalités d’une certaine dimension. Sans doute un phénomène général lié à la perte d’attraction de parti politique en pleine déliquescence et qui n’attirent souvent que des médiocres. En plus le rejet est tellement fort pour les partis politiques classiques que les électeurs se livrent parfois à des aventures dangereuses en acceptant d’élire n’importent qui surtout pour empêcher l’élection des caciques. D’où sans doute le succès de certains écolos, de Macron lui-même et de ses députés. Certains de ces derniers donnent vraiment l’impression de sortir de maternelle d’où cette nostalgie à l’égard des anciens pas toujours efficaces mais toutefois quand même d’une autre stature.

 

2017-Nicolas Sarkozy : le retour ? Tout dépend des affaires judiciaires

2017-Nicolas Sarkozy : le retour ? Tout dépend des affaires judiciaires

 

 

Dans les sondage, il est en tête mais il y a les affaires ; En cas de présidentielle aujourd’hui, Nicolas Sarkozy devancerait François Hollande avec 29 % contre 20 % au chef de l’Etat et 24 % à Marine Le Pen, selon une enquête BVA publiée la semaine dernière. Pour OpinionWay, Nicolas Sarkozy obtiendrait au second tour 53 % - son score de 2007 - contre 47 % à François Hollande. Quatre ans avant 2017, ces enquêtes n’ont évidemment pas un caractère prédictif sur un scrutin, mais illustrent les conséquences de l’impopularité de François Hollande. Ces chiffres montrent, pour Bruno Jeanbart, directeur des études d’OpinionWay, que l’ex-chef de l’Etat bénéficie d’un «  socle électoral solide ». Qui a d’ailleurs expliqué pour lui son score de premier tour en 2012 (27,1 %) malgré sa forte impopularité d’alors. Autre phénomène favorable, le fait que personne, pour l’instant, ne se soit imposé dans l’opposition.  Pour autant, « ces résultats, affirme Bruno Jeanbart, ne facilitent pas l’équation du retour, qui dépend en grande partie de circonstances extérieures à lui-même » et en premier lieu, « des dossiers judiciaires en cours », avec en tête, l’issue de sa mise en examen dans l’affaire Bettencourt et les soupçons pesant sur son ex-bras droit Claude Guéant au sujet du financement de la campagne présidentielle de 2007 par la Libye.  L’émergence possible d’une figure à l’UMP changerait aussi la donne pour Bruno Jeanbart, qui note qu’en 2012, comme en 2007, les candidats de l’opposition ont émergé tardivement, dans les dix-huit derniers mois. « S’il s’engage, personne à droite ne peut le battre. Est-ce qu’il peut gagner la présidentielle ? C’est une autre affaire », tranche un cadre de l’UMP. Tant le retour d’un président battu comporte de multiples et complexes inconnues.

 




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