Archive pour le Tag 'Le gouvernement'

En dépit de l’énorme endettement, le gouvernement finance l’industrie automobile

En dépit de l’énorme endettement, le gouvernement finance l’industrie automobile

C’est sans doute le plus grand paradoxe de la gestion contradictoire du budget par le gouvernement. À savoir l’utilisation des fonds publics pour financer l’industrie automobile électrique qui au surplus pour une majorité de ses éléments provient de Chine. Il y a évidemment des champs d’action incontournables qui justifient l’intervention régalienne de l’État. Dans la police, la justice, l’enseignement etc. L’État peut effectivement intervenir dans l’industrie automobile pour soutenir de grandes évolutions structurelles. Mais là il s’agit d’une aide directe consommateur qui pour acheter des voitures électriques dont on sait très bien que la plupart des éléments viennent de Chine.

Macron a donc lancé le système de leasing de voitures électriques «à 100 euros par mois » pour les plus modestes, il a également dévoilé la liste des véhicules qui seront éligibles au «bonus électrique» remodelé. Sur la base de critères environnementaux, il favorisera de facto presqu’exclusivement des modèles électriques « produits » en France ou en Europe.

Au total, pas moins de 22 marques de voitures électriques font partie de la liste dévoilée par l’exécutif (à consulter ci-dessous), dans laquelle figurent des grands constructeurs français comme Citroën, Peugeot et Renault mais aussi d’autres marques européennes telles que BMW, Fiat, Mercedes, Smart, Volkswagen ou encore Volvo. Jusqu’à 78 modèles différents sont disponibles. Parmi eux, le Q4 45 E-Tron d’Audi ainsi que la BMW iX1, BMW iX2 ou encore l’E-C4 de Citroën. À noter que tous les types-variante-version (TVV) – ce code qui permet d’identifier la finition spécifique des modèles cités ci-dessous – ne seront pas forcément éligibles.

Par ailleurs, certains de ces modèles font également partie de la liste des voitures électriques disponibles dans le cadre de la mise en place du système de leasing à 100 euros par mois. Dès ce vendredi, sur la plateforme dédiée à ce nouveau dispositif, chacun pourra voir s’il est éligible et identifier quelques modèles disponibles comme la Peugeot e-208, la Renault Twingo e-Tech, la Citroën ë-C4 ou encore l’Opel Mokka Electric.

Et le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire d’indiquer que l’État augmentera ses investissements dans les bonus électriques, la prime à la conversion et le leasing», avait-il assuré, expliquant que ces aides représenteraient un total de 1,5 milliard d’euros par an à partir de 2024 contre 1,3 milliard d’euros l’année passée.

Biodiversité :Le comité national propose mais le gouvernement dispose

Biodiversité :Le comité national propose mais le gouvernement dispose

Encore un comité national, celui de la biodiversité, vis-à-vis duquel on peut s’interroger en terme d’efficacité. Le comité national de la biodiversité a fait en effet 39 propositions regroupé autour de quatre axes : la réduction des pressions sur la biodiversité, la restauration des écosystèmes, la mobilisation de l’ensemble des acteurs est celle des moyens de mise en œuvre. Une orientation très politique justement qui s’insère un peu trop dans le champ de décision du gouvernement qui refuse la traduction de ces propositions dans une loi.

À la place le gouvernement déclare que ces orientations seront intégrées dans des politiques sectorielles et les stratégies générales.

Après de nombreux retards, la troisième phase de la Stratégie nationale biodiversité (SNB), à horizon 2030, commence enfin sa course finale. Le Comité national de la biodiversité (CNB), instance composée de 143 membres représentant l’ensemble des parties prenantes, a approuvé ce lundi 16 octobre son avis sur le texte présenté par le gouvernement le 20 juillet.

Trois autres instances consultatives se sont par ailleurs exprimées depuis fin juillet : le Comité national de l’eau, le Conseil national de la mer et des littoraux et le Conseil national de la protection de la nature.Il manque sans doute encore un comité national de l’air, de l’ozone, de l’oxygène, de la chaleur, du froid, de l’humidité etc. etc. !
»
Maintenant, l’objectif est d’aboutir à la finalisation du texte « dans les prochaines semaines », promet le cabinet de la secrétaire d’État chargée de la Biodiversité Sarah El Haïry, qui n’indique toutefois pas de date précise. L’enjeu est en effet de « prendre le temps » d’évaluer, « en interministériel », quelles propositions d’amélioration reprendre afin de « faire évoluer la stratégie ». La ministre tient en effet à ce que les avis rendus soient réellement pris en compte, assure son cabinet.Bref la plupart des mesures seront donc enterrées.

En effet,l’exécutif rejette toutefois déjà et explicitement la recommandation « d’étudier rapidement la possibilité d’une approbation de la SNB par un texte réglementaire », car dépourvue de « base légale » selon l’exécutif. La mise en oeuvre de la stratégie sera plutôt garantie par sa gouvernance interministérielle, assurée par le Secrétariat national à la planification écologique (SNPE) sous la supervision de la Première ministre Elisabeth Borne, parie le cabinet de Sarah El Haïry, en promettant des « mesures correctrices » si des « mauvaises directions » étaient prises. Il prévoit également une « déclinaison dans les territoires » par des « cop régionales » réunissant les acteurs concernés, organisées par le ministère de la Transition écologique.

Logement: Le gouvernement ignore la crise

Logement: Le gouvernement ignore la crise

Le gouvernement est sourd et ignore la crise du logement estime Muriel Boulmier, la présidente de l’Union régionale de nouvelle Aquitaine.Interview dans la Tribune

LA TRIBUNE – Quelle est la situation du logement social en Nouvelle-Aquitaine en cette rentrée 2023 ?

MURIEL BOULMIER – Le contexte est difficile pour les organismes HLM comme pour tous les acteurs du logement. On a le sentiment que le gouvernement est sourd face à la crise du logement et aux attentes des populations. Pour le logement social, la crise est importante car l’effondrement de la construction de logements neufs entrave la mobilité résidentielle : avec l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat, les locataires du parc social n’en sortent plus ! Dans ce contexte, on a en 2023 une programmation de moins de 9.000 nouveaux logements sociaux ! C’est très faible en comparaison des 11.000 logements annuels d’avant le Covid.

Le problème c’est qu’à l’autre bout de la chaîne, il y a des demandes toujours plus nombreuses d’entrer dans le parc social. Au niveau régional, on a 172.000 demandes de logements sociaux en attente, contre 139.000 il y a trois ans. À Bordeaux Métropole, on est à 47.000 contre 42.000 en 2020… C’est une véritable embolie, particulièrement dans l’agglomération bordelaise et sur la côte basque.


Quelles sont les racines du problème ?

Le taux du livret A, sur lequel sont assis ceux des prêts aux organismes HLM, a été multiplié par près de sept tandis que les loyers que nous percevons sont encadrés, et c’est bien normal. Mais parallèlement, la réduction de loyer de solidarité (RLS) imposée par l’Etat est maintenue alors que demandions qu’elle soit amoindrie ou suspendue le temps que le taux du livret A redescende. Pour la Nouvelle-Aquitaine, cela représente 10 % de notre capacité annuelle d’investissement alors même que les coûts de construction s’accroissent !

L’Etat se désengage depuis des années du logement social et la situation est bloquée malgré les aides des collectivités locales, qui perçoivent bien que le logement est un ferment d’agitation sociale pour leurs habitants, leurs salariés et leurs entreprises. Concrètement, l’équilibre des opérations est complètement remis en cause à tel point que nous avons environ 6.000 logements prévus mais qui ne peuvent sortir de terre en l’état. Et les sommes que nous investissons pour débloquer ces projets ne servent plus à financer de nouvelles opérations.

Face à ce blocage, quel est votre réaction vis-à-vis du contenu du projet de budget pour 2024 ?

Thomas Cazenave a toujours montré un intérêt pour le logement mais maintenant qu’il est ministre du Budget on attend des preuves ! Le représentant du gouvernement sera attendu de pied ferme par les professionnels du logement social lors du congrès de l’Union sociale pour l’habitat. Ce que je note de positif dans ce budget c’est la petite augmentation des APL. Ensuite, la prolongation du prêt à taux zéro c’est bien mais il est recentré sur les zones tendues. Croire qu’il n’y a des problèmes de logements que dans les zones tendues est une illusion, il faut donc revoir ce point.

Enfin, sur le plan de la rénovation énergétique, ce budget 2024 est ahurissant ! On sait tous que nous avons un impératif commun de diminuer nos émissions de gaz à effet de serre. Or, ce budget supprime les 700 millions d’euros prévus au niveau national pour la rénovation énergétique ! 700 millions sur trois ans ce n’était pas suffisant mais c’était déjà ça. La conséquence c’est que les organismes HLM vont devoir arbitrer leurs investissements entre rénovation et construction alors que la stratégie nationale bas carbone nous impose de réhabiliter 8.000 logements par an rien qu’en Nouvelle-Aquitaine !

Influenceurs : un métier d’arnaqueur dénoncé par le gouvernement

Influenceurs : un métier d’arnaqueur dénoncé par le gouvernement


Les députés ont voté à l’unanimité, mercredi 31 mai, une proposition de loi transpartisane pour réguler le secteur critiqué des influenceurs. Accusations de fraudes ou d’arnaques, promotions de remèdes inefficaces ou dangereux, partenariats non explicites… Les agissements d’une partie des influenceurs a placé tout le milieu dans le viseur des autorités et des législateurs.

Le texte, adopté à l’unanimité (194 votants) comme à chaque étape de sa navette parlementaire, prévoit d’interdire la promotion de certaines pratiques, comme la chirurgie esthétique, ou « l’abstention thérapeutique ». Il interdit ou encadre sévèrement la promotion de plusieurs dispositifs médicaux. La proposition de loi prohibe la promotion de produits contenant de la nicotine, et rappelle la soumission à la loi Evin. Le texte empêche également de promouvoir des abonnements à des pronostics sportifs, et cantonne la promotion de jeux de hasard et d’argent aux seules plateformes qui permettent d’interdire l’accès à la vidéo aux mineurs.

Le texte espère aussi toucher les influenceurs opérant depuis l’étranger, à Dubaï notamment. Il impose à ceux qui exercent depuis l’extérieur de l’UE, la Suisse, ou l’espace économique européen, de souscrire une assurance civile dans l’UE pour indemniser des victimes. Ils devront également désigner un représentant légal dans l’UE.Parmi les six premiers influenceurs visés, on retrouve quatre candidats (ou anciens candidats) de télé-réalité. Illan Castronovo, 29 ans, a été découvert dans la première saison de l’émission «Dix couples parfaits» en 2017 sur NT1 (devenu TFX). Simon Castaldi, 23 ans, fils du présentateur Benjamin Castaldi, est apparu pour la première fois à la télévision en 2021 dans l’émission «Les princes et princesses de l’amour» sur W9. Capucine Anav, 32 ans, s’est fait connaître dans «Secret Story» sur TF1 en 2012 et a été chroniqueuse dans l’émission de Cyril Hanouna «Touche pas à mon poste» sur C8 entre 2016 et 2017. Anthony Matéo, 30 ans, a été découvert dans l’émission «La Belle et ses Princes presque charmants» sur W9 en 2013. Quant à Gaetan Debled et Léa Monchicourt, il s’agit d’un couple d’influenceurs, parents de quatre enfants, dont la mère a participé à l’émission «Les Mamans» sur 6Ter.

La polémique ces derniers mois entre le rappeur Booba et Magali Berdah, la patronne de l’agence Shauna Event, ainsi que le combat mené par plusieurs collectifs avaient mis sur le devant de la scène les dérives de certains influenceurs. Entre arnaques financières, promotions de contrefaçons, sites de «dropshipping», publicités déguisées ou colis jamais livrés… Une action collective en justice avait par exemple été lancée fin janvier par des dizaines de personnes estimant avoir été arnaquées en investissant dans des produits financiers vantés par le couple Marc et Nadé Blata, exilé à Dubaï.

Covid : le gouvernement craint la paralysie économique et sociale

 

 

 

Il est clair que le gouvernement a notoirement sous-estimé l’ampleur de la propagation de la pandémie. Le conseil de défense vient à peine de se réunir que le gouvernement se rend compte qu’avec des moyennes dépassant largement les 200 000 contaminés par jour l’absentéisme va se développer dans nombre d’activités y comprises essentielles.

 

Les seules mesures prises pour le moment pour y faire face consistent à alléger les mesures d’isolement pour les contaminés. Le plus grave problème risque de se poser dans les services logistiques qui fournissent aux entreprises et plus généralement aux activités économiques et sociales les approvisionnements à flux tendu qui caractérise désormais nos processus de production et de distribution.

 

Inévitablement l’absentéisme va concerner aussi les cinq activités économiques qui seront contraintes de morceler encore davantage les envois ce qui va encore complexifier la gestion des flux de transport. Des transports déjà en sous capacité par rapport à l’évolution de la demande.

Le Premier ministre Jean Castex réunira donc ce lundi à 16h dix de ses ministres, révèle BFM TV. Cette réunion doit permettre « de faire le point sur l’impact du variant Omicron sur la continuité des services publics essentiels. À savoir les hôpitaux, les lieux d’enseignements, les transports en commun, les administrations, l’armée, gendarmeries et les commissariats ou encore les entreprises du secteur de l’énergie ».

Malheureusement le gouvernement ne prend pas encore confiance que les activités économiques privées vont se trouver largement impactées et que c’est dès maintenant qu’il faut également envisager les scénarios de remplacement. Des questions autrement plus importantes que celle qui consiste à faire le point sur la continuité du service dans les gendarmeries !

Réformes sociales : bataille de calendrier entre le gouvernement et les syndicats

Réformes sociales : bataille de calendrier entre le gouvernement et les syndicats

 

La bataille du calendrier fait rage entre le gouvernement et les syndicats. Un gouvernement qui veut aller vite et décider au cours de l’été pour éviter l’enlisement dans la contestation gauchiste. De leur côté,  les syndicats jounen t la montre. , François Asselin ( président des petits patrons), a dit s’être fait préciser le calendrier par Edouard Philippe et la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, lors de leur rencontre. « Loi d’habilitation dans le courant de l’été pour, au mois de septembre, aboutir sur la ratification des ordonnances », a-t-il dit aux journalistes à l’issue de leur entretien. Craignent de perdre une partie de leurs prérogatives notamment avec la possibilité de référendum Avant lui, les dirigeants de la CFDT et de la CGT avaient demandé au Premier ministre et à la ministre de poursuivre la discussion au moins jusqu’à fin septembre, ce qui semble incompatible avec une ratification des ordonnances à ce moment. « La CFDT a une nouvelle fois dit qu’il lui fallait du temps de concertation et que ce n’était pas pour gagner du temps, que ce n’était pas dilatoire. Mais il nous semble qu’il faut laisser jusqu’à fin septembre pour discuter », a dit le secrétaire général du syndicat, Laurent Berger. Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a quant à lui déclaré, à propos des discussions entre le gouvernement et les partenaires sociaux : « Il faut largement que ça aille au-delà de l’été, c’est-à-dire le 21 septembre, largement ». L’exécutif souhaite, par des ordonnances, donner plus de portée aux accords de branches et d’entreprises, plafonner les indemnités prud’homales et réformer – voire fusionner- les instances représentatives des salariés. Les réformes de l’assurance chômage et de la formation professionnelle seraient discutées à l’automne. Au sein des entreprises et la version des normes. Par ailluers il y aurait un  moratoire sur les obligations des entreprises liées au compte pénibilité.

Sondage- Dieudonné : le gouvernement en fait trop pour 74%

Sondage- Dieudonné : le gouvernement en fait trop pour 74%

Les français ne sont pas naïfs et finalemenet ont bien compris que le cirque médiatique organisé autour de Dindonné est là pour ne pas parler des sujets qui fâchent ; sans parler de l’inadmissible censure a priori. Dieudonné mérité d’être condamné et sans aucune contestation pour ses propos antisémites mais là le gouvernement en faiat beaucoup trop. Une très large majorité des Français désapprouve Dieudonné mais estime que le gouvernement en fait « trop » pour tenter de le faire taire, selon un sondage BVA diffusé samedi 11 janvier. Au total, 83 % des répondants ont une mauvaise opinion de l’humoriste controversé, connu pour ses propos à caractère antisémite, tandis que 14% ont une bonne opinion de lui, selon le sondage réalisé pour ITele. Toutes les catégories politiques lui sont hostiles, à l’exception des sympathisants du Front national qui sont partagés (48 % à 48 %) à son sujet. Par ailleurs, une courte majorité (52 % contre 46 %) des Français sont hostiles aux interdictions de son spectacle. Les sympathisants de droite sont plus particulièrement hostiles à ces interdictions (61 %), chiffre qui atteint 77 % pour les sympathisants du Front national. En outre, 74 % des Français pensent que le gouvernement parle « trop » de cette affaire, tandis que 21 % pensent que le gouvernement traite le sujet comme il convient, et 4 % qu’il n’en fait « pas assez ». Un autre sondage de l’institut CSA, réalisé entre le 7 au 8 janvier, soit avant l’interdiction prononcée contre les spectacles de Dieudonné, 52% des Français affirmaient souhaiter cette interdiction, mais 64 % pensaient que la mesure ne serait pas efficace pour lutter contre l’antisémitisme.

Sondage : il faut changer le gouvernement pour 67% des français

Sondage : il faut changer le gouvernement pour 67% des français

 

Deux tiers des Français (67%) souhaitent que François Hollande nomme un nouveau Premier ministre et un nouveau gouvernement, selon un sondage Clai-Metronews-LCI réalisé par Opinionway et publié lundi. Si 30% des sondés considèrent en revanche que le président de la République doit conserver le même Premier ministre, 15% d’entre eux se montrent favorables à un remaniement en profondeur du gouvernement en parallèle.  De leur côté, 15% des Français interrogés optent pour le statu quo, avec le même Premier ministre et même gouvernement.  Priés de donner leur préférence entre ces trois options, 3% des sondés ne se prononcent pas.  Si un changement de Premier ministre et de gouvernement est très largement souhaité, à 80%, par les sympathisants de « droite » (UMP et UDI), il a les faveurs d’une légère majorité des sympathisants de gauche (53%), selon cette question d’actualité posée à la faveur d’un baromètre mensuel de cet institut.

 

Immigration- Léornarda : le gouvernement dans la tourmente

Immigration- Léornarda : le gouvernement dans la tourmente  

 

 

L’écolière, Léornarda, expulsée,  as suscité l’émotion et même la réprobation à gauche. Personne ne peut demeurer insensible face au drame vécu par cette petite fille. Pour autant, c’est l’application de la loi puisque la famille originaire du Kossovo est en situation irrégulière. Dès lors, le gouvernement est pris au piège coincé entre les principes de droit et les principes d’ humanité. Il ne s’agit pas seulement d’un drame humain mais d’une question politique. Question politique quant à la mise en œuvre d’une politique d’immigration contrôlée. Question politicienne aussi car dans tous les cas, Vals sortira renforcé de cette affaire. Or précisément Hollande, Ayrault et les autres sont horripilés par l’insolente popularité de Valls alors qu’eux sombrent dans les sondages. Il y a aussi les municipales avec la montée du FN qui complique la problématique ; Du coup Hollande  et Ayrault ont décidé d’attendre une enquête qui n’amènera rien de nouveau. Certains voudraient bien la tête de Valls mais sans pour autant perdre les élections.  Jean-Marc Ayrault s’est donc efforcé mercredi de gagner du temps et de  couper court à une nouvelle polémique dans la majorité après l’expulsion contestée d’une jeune Kosovare et de sa famille en promettant de réparer une éventuelle « faute », alors que Manuel Valls invoque le droit. Après un affrontement avec la ministre du Logement, Cécile Duflot, sur la question des Roms, le ministre de l’Intérieur est de nouveau en butte aux critiques de son camp et de certains de ses collègues pour le renvoi de Leonarda, 15 ans, interpellée le 9 octobre dans le Doubs lors d’une sortie scolaire. La question de la démission du ministre de l’Intérieur a été pour la première fois posée publiquement par des élus socialistes, peu nombreux depuis mardi à soutenir Manuel Valls, en déplacement aux Antilles. « Quand est-ce qu’on prend une mesure d’éloignement du gouvernement à l’encontre de Valls? », a demandé sur twitter Frédéric Hocquard, un membre de la direction du PS. Les faits ont été rapportés mardi par le Réseau éducation sans frontières (RESF). Une enquête administrative a été ouverte mercredi pour vérifier la légalité de la reconduite à la frontière de la collégienne et des siens. Le père de l’adolescente a été expulsé le 8 octobre, la mère et ses six enfants le lendemain. Les conclusions de l’enquête seront connues dans 48 heures. « S’il y a eu faute, l’arrêté de reconduite à la frontière sera annulé, cette famille reviendra pour que sa situation soit réexaminée en fonction de notre droit, de nos principes et de nos valeurs », a assuré Jean-Marc Ayrault à l’Assemblée. Manuel Valls, qui s’est entretenu du dossier mercredi matin avec le Premier ministre, et la préfecture du Doubs défendent la régularité de la décision et des reconduites qui ont suivi. La famille était entrée irrégulièrement sur le territoire français le 26 janvier 2009 et a été déboutée à plusieurs reprises de ses demandes d’asile.

 

Budget 2014: le gouvernement patauge

Budget 2014: le gouvernement patauge

La stabilité fiscale pour les entreprises semble remise en question avec les improvisation du budget 2014 Entre la décision du gouvernement de revoir la future taxe sur l’excédent brut d’exploitation avant même qu’elle soit votée et la volonté des députés PS de toucher au Crédit d’impôt recherche, les entreprises ont une impression d’improvisation fiscale.  Les chefs d’entreprises ne cachent pas leur exaspération. Plus que les annonces, c’est la façon dont les lignes bougent qui inquiète ceux-ci. Ainsi, la taxe sur l’excédent brut d’exploitation (EBE) par exemple, prévue dans le projet de budget 2014 : avant même son examen au Parlement, on est déjà en plein réajustement technique. Car les équipes de Bercy, alertées par des secteurs qui allaient voir leurs investissements pénalisés, ont décidé de revoir leur copie. Autre exemple: à l’Assemblée, des députés socialistes s’apprêtent à donner un coup de griffe au Crédit d’impôt recherche (CIR), pourtant très prisé des entreprises. Beaucoup de questions donc : quelle forme exacte prendra la taxe sur l’excédent brut ou net d’exploitation ? Le gouvernement osera-t-il suivre les députés PS et toucher au Crédit d’impôt recherche ? Va-t-il prévoir des contreparties ? Au delà du sentiment d’improvisation, les chefs d’entreprises se demandent où ils vont, alors qu’en novembre 2012, le gouvernement leur avait promis la stabilité fiscale jusqu’a la fin du quinquennat !

Travail le dimanche : le gouvernement prêt à la discussion

Travail le dimanche : le gouvernement prêt à la discussion

 

 

Une réunion aura lieu ce lundi sur le travail du dimanche dont le principe est ridiculisé par les dérogations aussi nombreuses que complexes. Le gouvernement va donc assouplir sa position exceptés Taubira et Hamon les « purs et durs de la gauche ». Seront ainsi présents à cette réunion lundi à 09H30 (07H30 GMT) les ministres Michel Sapin (Travail), Benoît Hamon (Consommation), Sylvia Pinel (Commerce) et Pierre Moscovici (Economie), a précisé Matignon à l’AFP.   »Il y a des salariés qui ont envie de travailler dimanche, des gens qui ont envie de faire leur courses le dimanche », « le précédent gouvernement a laissé s’empiler des règles, des lois, à l’arrivée on n’y comprend plus grand chose », a résumé Marisol Touraine, soulignant cependant qu’ »on ne peut pas accepter que des entreprises ne respectent pas des décisions de justice ».  La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a pour sa part précisé que, certes, la discussion s’engageait sur la question, « mais en gardant à l’esprit que l’intérêt des salariés reste de préserver le droit à un repos dominical ». La concertation doit permettre de « mieux définir le régime des exceptions » mais « ça ne passera pas nécessairement par une loi, c’est prématuré de répondre à ça »,  La nouvelle d’une réunion a été accueillie positivement par les groupes Castorama et Leroy Merlin.   »Nous sommes contents que les choses avancent, cela fait cinq ans que nous avons des difficultés avec la loi actuelle », a commenté à l’AFP une porte-parole de Castorama, tandis que Leroy Merlin s’est également dit « content de voir que le gouvernement a entendu ce qui s’est passé aujourd’hui. On espère qu’il va écouter nos solutions, et aussi dialoguer avec nous », selon un porte-parole.  Dimanche matin, cinq enseignes Castorama et neuf Leroy Merlin ont ouvert leurs portes malgré l’ordonnance du tribunal de commerce de Bobigny, en date de jeudi, les menaçant d’une astreinte de 120.000 euros par magasin et par jour s’ils ne cessaient pas leur ouverture dominicale.  Pour justifier leur bravade, les directions de deux groupes dénoncent l’ »imbroglio hallucinant » qui règne entre les différentes autorisations d’ouverture et dérogations.  Ainsi, le magasin Leroy Merlin d’Ivry-sur-Seine, l’un des neuf de l’enseigne frappés d’une interdiction d’ouvrir par le tribunal de commerce, a obtenu samedi après-midi une dérogation de la préfecture pour son ouverture. Dès dimanche matin, la ministre du Commerce et de l’Artisanat Sylvia Pinel avait concédé qu’il y avait une « complexité de la législation » qui débouchait sur « un millefeuille réglementaire qu’il faut absolument clarifier, mais sans polémique », et avait annoncé la première que le gouvernement allait se « concerter avec les professionnels pour avancer sur la question de l’ouverture du dimanche ».  Le ministre du Budget Bernard Cazeneuve, tout en se disant « défavorable » à la généralisation du travail le dimanche, avait aussi reconnu qu’il y avait des « situations particulières », s’interrogeant sur la possibilité « d’engager la discussion ».  L’annonce d’une réunion lundi à Matignon marque une évolution dans la position du gouvernement, dont le ton samedi fermait la porte à toute discussion: Benoît Hamon avait jugé « inadmissible qu’une marque n’applique pas une décision de justice », et la garde des Sceaux Christiane Taubira avait rappelé que « les règles s’imposent ».  La loi autorise les commerces à ouvrir le dimanche mais sous certaines conditions (zones touristiques, périmètres de consommation exceptionnels, ou encore commerces alimentaires jusqu’à 13H00).  Mais l’enjeu est de taille à l’heure où le gouvernement s’acharne à relancer la consommation et l’emploi: selon la Fédération des magasins de bricolage (FMB), sur les « 7.000 collaborateurs franciliens volontaires » adeptes du travail le dimanche chez Castorama et Leroy Merlin, « 1.200 personnes sont concernées par la fermeture » imposée à ces deux enseignes.  Jean-Claude Bourrelier, PDG de l’enseigne Bricorama à l’origine de la plainte contre ses deux concurrentes – car elle-même poursuivie par FO et condamnée à ne plus ouvrir le dimanche – a indiqué qu’il allait « continuer à se battre: la situation actuelle c’est que mes magasins sont fermés, les leurs sont ouverts, ils en ont 42 d’ouverts en ce moment sur la région parisienne, qui vont faire 400 millions de chiffre d’affaires hors taxe le dimanche », a-t-il affirmé.

 

Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Benoît Hamon pourrait quitter le gouvernement, une bonne nouvelle pour Spanghero

Hamon pourrait quitter le gouvernement, pas vraiment une grande perte car son seul fait d’armes est d’avoir réussi l’exploit de faire fermer Spanghero (responsable sans doute mais assassiné par Hamon qui voulait qu’on parle de lui). De toute manière un ministère qui ne sert à rien !  Benoît Hamon, le ministre délégué à la Consommation, pourrait rendre son portefeuille en mars 2014, croit savoir L’Express. D’après l’hebdomadaire, Benoît Hamon estime que dès lors que les deux textes de loi qu’il défend, sur la consommation et sur l’économie sociale et solidaire, auront été votés, il aura accompli « l’essentiel » de sa mission. Je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche Benoît Hamon« Alors, je réfléchirai à la meilleure façon d’être utile à la gauche« , estime le ministre, selon L’Express. Cette expression pourrait cacher deux ambitions : la présidence de la région Ile-de-France, actuellement tenue par Jean-Paul Huchon, à l’issue des élections régionales de 2015, ou la place de premier secrétaire du Parti socialiste, en lieu et place d’Harlem Désir. Dernièrement, Arnaud Montebourg a lui aussi évoqué des envies de départ, déclarant, dans M, le magazine du Monde, « Après le ministère, j’arrête la politique, en tout cas comme une carrière. » Et Martine Aubry a annoncé qu’elle prendrait sa retraite en 2020 au plus tard, pour ses 70 ans. Si elle est réélue en 2014 à la mairie de Lille, « ce sera (son) dernier mandat », a-t-elle déclaré dans La Voix du Nord, fin août.

Voile à université : le gouvernement bredouille

Voile à université : le gouvernement bredouille

Vals pas opposé à l’interdiction du voile à l’université, la ministre de l’université, Fioraso (au fait c’est qui ?) si ! La grande cohérence quoi ; les français, eux ,ont tranché : pas de voile pour 78%. On attend Hollande qui va sans doute d’abord tourner autour du pot comme sur le chômage avant de reconnaître mais un peu tard que la seule priorité devait être le chômage. Curieux raisonnement que celui de ce ministre inutile de l’enseignement supérieur (pourquoi pas un ministre des crèches, un autre des maternelles, un pour le primaire, un pour le secondaire ?). Le voile est interdit dans le secondaire pas dans l’université, pourquoi ? La ministre de l’Enseignement supérieur ne veut pas de « polémique » sur le sujet. Geneviève Fioraso. Vendredi sur France Inter, la ministre a évoqué un faux débat.  »Aucune université n’a saisi le ministère à ce sujet : c’est donc que ça ne pose pas de problème. Qu’on n’invente pas des problèmes là où il n’y en a pas », a-t-elle déclaré. La publication lundi par Le Monde d’un rapport du Haut conseil à l’intégration (HCI), réclamant l’interdiction du foulard islamique dans l’enseignement supérieur a créé la polémique, avant que l’Observatoire national de la laïcité et l’université ne le récusent formellement. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, estime pourtant vendredi dans Le Figaro que l’ensemble des propositions HCI étaient  »dignes d’intérêt » Interrogé sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur a précisé que, sans vouloir se « prononcer à ce stade sur le fond », certaines situations « mériteraient d’avoir plus de cohérence » : « dans les universités c’est possible, dans les IUT c’est interdit… », a-t-il dit.  »Je suis partisan d’une laïcité qui nous permet de vivre ensemble, qui permet d’émanciper les femmes », a-t-il encore déclaré. Mais « laissons travailler l’Observatoire de la laïcité (…), il faut prendre le temps (…) et surtout chercher le consensus le plus large possible », a-t-il précisé. Du « temps », c’est également ce que réclame sa collègue Geneviève Fioraso.  »Ne nous précipitons pas, ne faisons pas une polémique d’un sujet qui n’en est pas un », a conseillé la ministre de l’Enseignement supérieur en soulignant que « l »université, ce n’est pas comme le collège ou le lycée, il s’agit de jeunes majeurs« . Pour la ministre, « l’université est le lieu de rencontres de l’ensemble des cultures ». La France a banni en 2004 le port de signes religieux ostentatoires dans les établissements secondaires par une loi qui ne concerne pas l’enseignement supérieur. A l’université, le niqab, ou voile intégral, est interdit, mais le foulard autorisé. Le Défenseur des droits Dominique Baudis a souhaité cette semaine que la loi de 2004 soit « précisée ».  »C’est cette cohérence qui doit être recherchée, avec du temps et sans stigmatiser personne », a insisté Manuel Valls sur BFMTV. Même au sein de l’équipe gouvernementale, le débat ne fait pourtant que commencer.

A.

 

Laïcité : le gouvernement se voile la face

Laïcité : le gouvernement se voile la face

C’est le flou sur le voile à l’université ; un rapport officiel (du HCI) préconise l’interdiction, mais Bianco, président de l’observatoire de la laïcité » (encore un organisme inutile) estime que ce rapport n’existe pas, qu’il n’aurait pas dû être publié et même qu’il n’y n’avait pas de mission pour le rédiger ! En clair ça patauge sec au gouvernement sue question qui en fait fait la part belle au laxisme. Sitôt dévoilé, déjà oublié? La publication d’un rapport du Haut Conseil à l’intégration (HCI) réclamant l’interdiction du foulard islamique dans l’enseignement supérieur a semé le trouble lundi, avant que l’Observatoire national de la laïcité ne le déclare hors d’actualité. Dans son édition de mardi, le quotidien Le Monde évoque longuement ce « rapport alarmiste et une proposition polémique que le Haut Conseil à l’intégration (HCI) a légués à l’Observatoire de la laïcité, détenteur depuis avril des prérogatives de sa mission sur la laïcité ». Les membres de la mission, dirigée par l’inspecteur général Alain Seksig, ont étudié le respect de la neutralité religieuse dans l’université française. Le texte se fonde sur une enquête de la Conférence des présidents d’universités (CPU) datant de 2004. Il évoque aussi « le malaise d’un nombre croissant d’enseignants » face à la montée des revendications identitaires et communautaristes : selon des auditions menées ces derniers mois,  la commission assure que certaines facs feraient face à des ports de signes religieux en plein cours, à la récusation de la mixité, à l’exigence de respect d’interdits alimentaires, etc. Le rapport du HCI émet douze propositions parmi lesquelles l’adoption d’une loi interdisant « dans les salles de cours, lieux et situations d’enseignement et de recherche des établissements publics d’enseignement supérieur, les signes et tenues manifestant ostensiblement une appartenance religieuse ». De quoi créer un certain émoi, alors que l’université a toujours été exempte des lois sur les signes religieux et que la loi de 2004 ne s’étend qu’au second degré. Seul le niqab, ou voile intégral, est interdit, mais le foulard est autorisé à l’université. En outre, après les jugements sur la crèche Baby Loup, des propositions d’interdire le voile dans les entreprises ont été formulées. Mais cette idée semble mort-née. Interrogé par l’AFP, le secrétaire général du Haut Conseil à l’Intégration, Benoît Normand, a fait savoir que ce rapport avait été remis au président du nouvel Observatoire national de la Laïcité, Jean-Louis Bianco, lors de sa création en avril. En tout état de cause, « ce rapport ne devait pas être communiqué avant la fin de l’année », a-t-il précisé. De son côté, Jean-Louis Bianco, également interrogé par l’AFP, a fait part de son « incompréhension ». « Ce rapport, a-t-il souligné, n’engage que la mission laïcité du HCI qui n’est plus en fonction ». « Cette question du port du foulard dans l’enseignement supérieur n’est pas à ce stade dans le plan de travail de l’Observatoire de la Laïcité », a-t-il ajouté. Cette déclaration devrait apaiser les esprits qui s’inquiètent d’une mesure jugée comme discriminatoire à l’égard des musulmans. Selon Abdallah Zekri, président de l’Observatoire contre l’Islamophobie, dépendant du Conseil national du Culte musulman, l’Université de Lille – qui avait tenté de le mettre en application à la fin des années 1990 – « a été retoquée par le Conseil d’Etat ». « Par ailleurs, souligne-t-il, la liberté d’expression reconnaît aux étudiants – par l’article 50 de la loi du 26 janvier 1984 – le droit d’exprimer leurs convictions religieuses (ou politiques) à l’intérieur des universités, mais interdit d’exercer des pressions sur les autres membres de la communauté ou de créer des perturbations ».

 

Météo pourrie: mais que fait le gouvernement ?

Météo pourrie: mais que fait le gouvernement ?

Météo pourrie, un mois de mai pire qu’octobre et personne ne réagit. Pas étonnant,  il n’y a pas de ministre de la météo. On pourrait, il y a déjà 37 ministres, un de plus, un de moins ! Voilà pourtant un sujet qui fait l’unanimité ; certes les grincheux répliqueront qu’on n’y peut rien mais ce n’est pas une raison pour renoncer à  faire semblant. Sur le chômage , en fait,  on ne fait rien mais on fait semblant, au moins  en parle, le gouvernement prend des mesures, il inverse les courbes de l’illusion ; On pourrait décider de mesures de réchauffement en imposant  par exemple le port obligatoire d’un pull supplémentaire ou de chaussettes de laine ,( françaises bien sûr que pourraient porter Montebourg),avec une taxe évidemment pour ceux qui se mettraient hors la loi. On pourrait aussi relancer l’industrie du parapluie pour créer des emplois ; Ou mieux après le choc de compétitivité, le choc de simplification, créer un choc météorologique en lançant des fusées pour faire tomber la flotte sur l’Allemagne ou ailleurs. Ou alors c’est plus grave, le gouvernement a changé le calendrier sans nous en parler (par ordonnance peut-être ?) ; en réalité la Toussaint a été décalée à la Pentecôte et inversement. Peut-être pour inciter les français à travailler davantage ; peine perdue, ils sont 80% (statistiques officielles) à être en congé ou  en RTT ce lundi de Pentecôte. Pas étonnant que les français partent à l’étranger, après l’exil fiscal, c’est l’exil météorologique (en plus c’est vrai). Bref, l’austérité dans tous les domaines, économiques, sociaux et environnementaux. Davantage  de fiscalité, moins de pouvoir d’achat, moins d’emplois et moins de soleil. Etonnant que Bruxelles n’ait pas déterminé des normes dans ce dernier domaine ; Au plan mondial rien non plus, le G7 le G « vain » ne bougent pas ? Pourtant sur l’évasion fiscale ils ont bien pris des mesures illusoires , pour quoi pas sur le temps ? Décidemment le système politique est vraiment en crise, comme le temps,  pourri.  

Météo pourrie, un mois de mai pire qu’octobre et personne ne réagit. Pas étonnant,  il n’y a pas de ministre de la météo. On pourrait, il y a déjà 37 ministres, un de plus, un de moins ! Voilà pourtant un sujet qui fait l’unanimité ; certes les grincheux répliqueront qu’on n’y peut rien mais ce n’est pas une raison pour renoncer à  faire semblant. Sur le chômage , en fait,  on ne fait rien mais on fait semblant, au moins  en parle, le gouvernement prend des mesures, il inverse les courbes de l’illusion ; On pourrait décider de mesures de réchauffement en imposant  par exemple le port obligatoire d’un pull supplémentaire ou de chaussettes de laine ,( françaises bien sûr que pourraient porter Montebourg),avec une taxe évidemment pour ceux qui se mettraient hors la loi. On pourrait aussi relancer l’industrie du parapluie pour créer des emplois ; Ou mieux après le choc de compétitivité, le choc de simplification, créer un choc météorologique en lançant des fusées pour faire tomber la flotte sur l’Allemagne ou ailleurs. Ou alors c’est plus grave, le gouvernement a changé le calendrier sans nous en parler (par ordonnance peut-être ?) ; en réalité la Toussaint a été décalée à la Pentecôte et inversement. Peut-être pour inciter les français à travailler davantage ; peine perdue, ils sont 80% (statistiques officielles) à être en congé ou  en RTT ce lundi de Pentecôte. Pas étonnant que les français partent à l’étranger, après l’exil fiscal, c’est l’exil météorologique (en plus c’est vrai). Bref, l’austérité dans tous les domaines, économiques, sociaux et environnementaux. Davantage  de fiscalité, moins de pouvoir d’achat, moins d’emplois et moins de soleil. Etonnant que Bruxelles n’ait pas déterminé des normes dans ce dernier domaine ; Au plan mondial rien non plus, le G7 le G « vain » ne bougent pas ? Pourtant sur l’évasion fiscale ils ont bien pris des mesures illusoires , pour quoi pas sur le temps ? Décidemment le système politique est vraiment en crise, comme le temps,  pourri.

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