Archive pour le Tag 'Le Foll'

Politique– Le PS est mort, Il faut un nouveau parti socialiste (Stéphane Le Foll)

Politique– Le PS est mort, Il faut  un nouveau parti socialiste (Stéphane Le Foll)

Stéphane le Foll candidat malheureux lors des primaires du parti socialiste considère que le parti est mort et qu’un nouveau parti socialiste doit être recréé au lendemain des présidentielles.

Le maire modéré du mans ne fait que constater la mort quasi clinique d’un parti qui en plus a choisi sans doute la pire caricature du responsable socialiste:  révolutionnaire et gauchiste dans les mots  en campagne mais complice des dérives des intérêts particuliers en situation de gestion. Sans parler de l’incompétence générale de nombre de socialistes nourris au lait de fonction publique.

 Invité au micro de Jean-Pierre Elkabbach  sur Europe 1, le maire socialiste du Mans a ainsi affirmé qu’il fallait « refonder une sociale démocratie française ». Cela supposerait effectivement de changer complètement la sociologie d’un parti socialiste qui n’a jamais représenté les couches populaires qui théoriquement justifient son existence. Le parti socialiste a toujours été globalement un club d’élus, de fonctionnaires et d’arrivistes; sans parler des bobos gauchistes qui parlent si bien des inégalités dont ils ignorent tout. Bref la caricature d’un parti social démocrate.

 Stéphane Le Foll a déploré la décision du Parti socialiste de « sortir des statuts l’idée d’une primaire » avant de faire marche arrière avec la proposition d’Anne Hidalgo. A la peine dans les sondages, la candidate socialiste à l’élection présidentielle a finalement appelé à une primaire de la gauche. « Ce parti socialiste n’existe pas », a-t-il asséné au micro de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1.Stéphane le Foll estime qu’il faut refonder une social-démocratie française.

 

Le PS est mort, Il faut un nouveau parti socialiste (Stéphane Le Foll)

Le PS est mort, Il faut  un nouveau parti socialiste (Stéphane Le Foll)

Stéphane le Foll candidat malheureux lors des primaires du parti socialiste considère que le parti est mort et qu’un nouveau parti socialiste doit être recréé au lendemain des présidentielles.

Le maire modéré du mans ne fait que constater la mort quasi clinique d’un parti qui en plus a choisi sans doute la pire caricature du responsable socialiste:  révolutionnaire et gauchiste dans les mots  en campagne mais complice des dérives des intérêts particuliers en situation de gestion. Sans parler de l’incompétence générale de nombre de socialistes nourris au lait de fonction publique.

 Invité au micro de Jean-Pierre Elkabbach  sur Europe 1, le maire socialiste du Mans a ainsi affirmé qu’il fallait « refonder une sociale démocratie française ». Cela supposerait effectivement de changer complètement la sociologie d’un parti socialiste qui n’a jamais représenté les couches populaires qui théoriquement justifient son existence. Le parti socialiste a toujours été globalement un club d’élus, de fonctionnaires et d’arrivistes; sans parler des bobos gauchistes qui parlent si bien des inégalités dont ils ignorent tout. Bref la caricature d’un parti social démocrate.

 Stéphane Le Foll a déploré la décision du Parti socialiste de « sortir des statuts l’idée d’une primaire » avant de faire marche arrière avec la proposition d’Anne Hidalgo. A la peine dans les sondages, la candidate socialiste à l’élection présidentielle a finalement appelé à une primaire de la gauche. « Ce parti socialiste n’existe pas », a-t-il asséné au micro de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1.Stéphane le Foll estime qu’il faut refonder une social-démocratie française.

 

 

 

 

 

« Il n’y a pas de projet »

L’ancien ministre n’a pas mâché ses mots concernant la candidature de la maire de Paris. « J’ai écouté ce qu’a dit Anne Hidalgo, qu’elle n’y allait pas pour sa personne, mais pour le projet. Il n’y a pas de projet », a taclé l’ancien ministre de l’Agriculture. « Je voulais un débat. Je n’ai pas obtenu un seul débat », a-t-il déploré avant de souligner qu’Anne Hidalgo devait « assumer » son choix de s’être présentée sans primaire et « prendre ses responsabilités ».

Une « sociale démocratie française »

 

 

Peu optimiste quant aux chances de la gauche de remporter la présidentielle en 2022, Stéphane Le Foll préfère regarder vers l’avenir. Selon lui, le Parti socialiste, plus divisé que jamais, doit être réinventé. Il va falloir penser à refonder une sociale démocratie française qui va permettre à la gauche d’être une alternative mais aussi d’être en alternance. Il faut un nouveau parti socialiste après la présidentielle », a-t-il suggéré.

 

 

2022 : Stéphane Le Foll critique le vote interne du PS

 

L e paradoxe du IPS d’après Stéphane le Foll c’est que le parti socialiste va cadenasser la désignation du candidat socialiste pour précisément choisir une candidate, la mIRE  de Paris, qui n’est plus adhérente au parti. Stéphane le Foll critique le changement de statut qui permet de limiter le vote aux seuls membres du parti socialiste. Jusque-là? les statuts prévoyaient un effet un vote citoyen ouvert. Le vote sera d’autant plus cadenassé qu’il y a beaucoup d’incertitudes sur le nombre exact de membres du parti socialiste. lE  nombre d’adhérents à jour de leur cotisation serait de 22 000 ans en  2021 alors qu’ils étaient de plus de 100 000 en 2016.

« Si le principe d’un vote a été acté pour choisir celui ou celle qui portera le projet socialiste à la présidentielle, je demande un vote ouvert aux sympathisants et un débat entre les candidats. Ce débat devra être public, télévisé et il devra permettre de véritables interactions sur le fond », écrit le maire du Mans, qui appelle « à faire revivre la vie démocratique interne ».

Présidentielle 2022 : Stéphane Le Foll veut une primaire

Présidentielle 2022 : Stéphane  Le Foll veut  une primaire

 

Stéphane le Foll se veut très critique vis-à-vis de la direction du parti socialiste qui en fait envisage de se ranger derrière la bannière des écolos pour continuer d’exister. L’ancien porte-parole du gouvernement souhaite que le PS exprime sur sa propre analyse et ses propres orientations. Laissant entendre qu’il participerait à cette éventuelle primaire, Stéphane Le Foll a tiré à boulets rouges sur l’actuelle direction du PS: «Sur la grande question posée par le projet présidentiel, il n’y a pas de propositions ou de débats». Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste «porte une responsabilité très lourde (…) il a toujours été sur une logique qui consiste à dire l’écologie ou le socialisme, c’est pareil (…) voire puisque c’est l’écologie qui est en dynamique…on peut s’effacer derrière», a tancé l’ancien porte-parole du gouvernement.

La « dérive » d’Emmanuel Macron vers une présidence bonapartiste (Le Foll)

La « dérive » d’Emmanuel Macron vers une présidence bonapartiste (Le Foll)

 

 

Stéphane Le Foll, ancien ministre désormais maire du Mans, dénonce « l’omniprésence, la centralité du pouvoir, la méfiance vis-à-vis des contre-pouvoirs », « l’hypercentre » et « la primauté de l’élection présidentielle sur tout le reste » dans le pouvoir macronien. L’élu PS y voit une présidence « bonapartiste » qui constitue « un risque pour notre démocratie ». « Sa méthode, c’est le plébiscite permanent car tout est décidé à l’Élysée et il veut tout contrôler », critique-t-il dans une interview au Figaro le 19 août. « Quand on veut gouverner un pays comme la France, il ne faut pas déclencher un tourbillon de réformes face à un monde qui bouge rapidement », estime Stéphane Le Foll, qui juge le Président « trop pressé». De son côté, François Rebsamen, ancien ministre du Travail et président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR) dénonce une « dérive » du quinquennat actuel qui le « surprend ». Il décrit notamment « un libéralisme très peu teinté d’avancées sociales » dans une interview au Monde ce jeudi.  Le proche de François Hollande regrette par ailleurs que le Président ne « reconnaisse » pas avoir « profité des mesures du précédent quinquennat » alors qu’il y était ministre. François Rebsamen dénonce des « réformes prises dans une impréparation totale », sans « ligne directrice à part favoriser les plus aisés qui l’ont aidé à gagner ».

 

PS : non à la synthèse molle (Stéphane le Foll)

PS : non à la synthèse molle (Stéphane le Foll)

 

Stéphane le Foll candidat la direction du parti socialiste s’oppose à la stratégie de la gauche du parti qui veut un vaste rassemblement mais un rassemblement très flou. Bref la synthèse molle habituelle chez les socialistes (de Mitterrand à Hollande) qui s’unissent sur des propos radicaux très vagues mais qui une fois pouvoir font voler en éclats leurs programmes. « Cette idée qu’il suffit de rassembler et puis après on verra », c’est « l’ancienne méthode », a dit Stéphane Le Foll. « Ceux qui ont contesté la synthèse hollandaise sont maintenant les premiers à la revendiquer. J’ai même vu certains dire qu’il fallait une synthèse nouvelle ! », a ironisé Stéphane Le Foll, visant le député européen Emmanuel Maurel, représentant de l’aile gauche du parti. L’ancien ministre de l’Agriculture a aussi donné un coup de griffe à Olivier Faure, qui a reçu le soutien la semaine dernière de Martine Aubry, de l’ancien député vallsiste Philippe Doucet et du collectif des fédérations emmené par Sébastien Vincini.   »Je connais Olivier Faure, et (…) j’attends d’ailleurs de voir ce que va être le rassemblement qui va de (..) Martine Aubry (…) en passant peut-être par Valérie Rabault, jusqu’à Philippe Doucet qui était un proche de Manuel Valls. Je me dis simplement que si on repart comme ça (…) on risque de se retrouver après le congrès avec des sujets qui n’auront pas été traités, et qui ne seront traités qu’après, dans des moments où au contraire on aura besoin d’être rassemblés ». « Profitons de ce congrès pour essayer de clarifier les choses et c’est les militants qui doivent choisir », a-t-il dit.

Le Foll candidat à la tête du Parti socialiste

Le Foll candidat à la tête du Parti socialiste

 

Cette fois, c’est un candidat très sérieux qui se présente à la tête du parti socialiste. Un candidat très sérieux un double titre. D’abord parce que c’est une des rares personnalités politiques socialistes qui n’a pas été entraînée dans le naufrage de François Hollande. Il bénéficie d’un certain crédit dans l’opinion notamment à gauche. Comme ministre il a plutôt bien assuré ses fonctions. Sur le fond maintenant ,c’est sans doute l’un des rares qui preuve tenter d’inscrire l’évolution du parti socialiste dans la modernité pour le sortir enfin d’un discours marxiste dans les congrès et d’une pratique réformiste au pouvoir. Si quelqu’un peut encore sauver ce qui reste, c’est sans doute ce candidat de poids. Après Luc Carvounas, Stéphane Le Foll déclare sa candidature au poste de premier secrétaire du Parti socialiste, mardi 9 janvier, dans un entretien au quotidien Le Maine Libre, journal de la Sarthe dont il est député. Montrera sans doute contestataire vis-à-vis de Macon mais il n’enfermera pas le parti dans une impasse d’opposition systématique. A 57 ans, il a « décidé de relever le défi, ou plutôt les défis qui sont face à nous, en présentant un projet devant les militants », lors du prochain congrès du PS en avril. Dans le journal, Stéphane Le Foll n’est pas tendre avec le parti dont il brigue la tête, qu’il juge « exsangue, inaudible aux oreilles des Français » après sa « double défaite, présidentielle et législatives ». Parfois présenté comme compatible avec La République en marche, le député de la Sarthe se revendique « dans l’opposition » dans Le Maine Libre« J’ai voté contre le budget qui est favorable aux plus riches et injuste pour les classes moyennes et populaires », explique-t-il. « Je considère par exemple que les choix fiscaux décidés par Emmanuel Macron sur l’ISF et sur la fiscalité du capital vont continuer à creuser des inégalités patrimoniales ». Néanmoins, il juge que les « partis dits ‘traditionnels’«  sont mis à mal par Emmanuel Macron et qu’il « faut donc être capable de faire évoluer le Parti socialiste et de l’adapter à ce nouveau contexte ».

 

 

Stéphane Le Foll (PS) contre une opposition radicale au gouvernement

Stéphane Le Foll (PS) contre une opposition radicale au gouvernement

 

 

Si l’on en croit Stéphane le Foll, député TPS, ancien porte-parole du gouvernement plusieurs lignes vont coexister au sein du parti socialiste quant à l’attitude à avoir vis-à-vis de Macron. Par rapport au vote de confiance par exemple la ligne officielle est de voter contre mais certains pourraient voter pour et d’autres s’abstenir. Stéphane le Foll préconise d’adopter une attitude positive par rapport au gouvernement tout en restant dans l’opposition. Plusieurs députés socialistes ont aussi critiqué dimanche la position officielle du Parti socialiste, choisie samedi soir en conseil national, de voter contre la confiance au gouvernement d’Edouard Philippe. Il n’est pas certain toutefois qu’on procède à des exclusions ainsi que  le demandent certains comme la frondeuse Noël Marie Lienemann passée par tous les courants des rocardiens aux frondeurs. La principale ligne de partage se situe entre les  progressistes et la ligne crypto marxiste. ¨ Stéphane Le Foll, élu sans opposant de La République en marche face à lui, souhaite « faire évoluer » cette position afin que son parti « aille dans un certain sens, qui n’est pas une opposition radicale » au gouvernement. Parmi les 31 députés socialistes élus dimanche dernier, certains vont plus loin et ont fait savoir qu’ils iraient contre l’avis du PS. « Je souhaite voter la confiance au gouvernement », a annoncé dimanche le député Guillaume Garot sur franceinfo, qui se défend de donner un « chèque en blanc » à Emmanuel Macron. « Pour peser, pour être exigeant il faut d’abord afficher un soutien clair mais un soutien toujours exigeant », s’est-il justifié. Mardi dernier à la sortie d’un bureau politique, plusieurs membres appelaient à exclure les socialistes qui voteraient la confiance à Edouard Philippe, à l’image du sort réservé à l’ancien Premier ministre Manuel Valls. « Si on commence à exclure au moment où l’on veut reconstruire, je pense qu’on ira pas très loin », a réagi dimanche Guillaume Garot. Manuel Valls, élu sans l’étiquette socialiste ni celle de La République en marche malgré son appel à voter dès le premier tour de la présidentielle pour Emmanuel Macron, est pour l’instant inscrit comme député divers gauche. L’ancien premier ministre devrait tout de même siéger dans un groupe « progressiste », selon Le Parisien. Il retrouverait dans cette formation notamment des radicaux de gauche et un autre dissident socialiste, Olivier Falorni.

Le Foll conteste Valls

Le  Foll conteste Valls

 

Le  Foll  soutient indirectement Peillon  en critiquant certaines orientations de Valls, de Benoît Hamon  et d’Arnaud Montebourg. Une déclaration  qui traduit en fait le positionnement de François Hollande pour la primaire de la gauche. Ce fidèle de François Hollande met  notamment en cause la proposition de Valls concernant la suppression de l’article 49–trois de la constitution. Il s’oppose également à la mise en place d’un revenu universel préférant parler du soutien à la constitution d’un patrimoine pour chaque Français. Ce « patrimoine de départ pour les jeunes », associant une dotation en capital éventuellement complétée d’un prêt, « représente la capacité que l’on a à éviter la concentration du capital et à avoir une dépense publique efficace », précise Stéphane Le Foll. Enfin il considère que la problématique environnementale est sous-estimée par nombre d de candidats. Stéphane Le Foll apporte ainsi sa contribution au débat en vue de la primaire de la gauche en vue de la présidentielle de 2017 dans un entretien à paraître mercredi dans Les Echos, en épinglant au passage Manuel Valls. « Il ne faut pas s’enfermer dans un débat de primaire de la gauche mais se projeter dans un débat de présidentielle, de gauche contre droite », indique ce fidèle de François Hollande en ajoutant « l’enjeu n’est pas l’avenir du 49-3″. Ces propos visent directement l’ex-Premier ministre, désormais candidat à la primaire organisée par le PS les 22 et 29 janvier, qui a annoncé la semaine dernière avoir l’intention de supprimer la controversée procédure d’adoption des projets de loi prévue par l’article 49-3 de la Constitution. Interrogé par le quotidien économique sur l’éventualité de soutenir Manuel Valls ou Vincent Peillon, il précise qu’il se décidera « en début d’année prochaine ». « J’attends de voir le corps des projets défendus par les deux hommes », indique-t-il. Ce fidèle de François Hollande réaffirme par ailleurs qu’il ne soutiendra ni Benoît Hamon ni Arnaud Montebourg en vue de la primaire, étant « fondamentalement en désaccord avec eux ». Il dénonce notamment le fait que ses anciens collègues au gouvernement « remettent en cause la règle des 3% », à savoir le fait de contenir le déficit public de la France sous le seuil de 3% du produit intérieur brut (PIB), une position « irresponsable » selon lui. « Des candidats qui avaient été battus refont les mêmes propositions qu’il y a cinq ans, ce qui me pose un gros problème », ajoute-t-il.

PS : « Le patron, c’est Hollande » ! (Le Foll)

PS : « Le patron, c’est Hollande » ! (Le Foll)

« Le patron, jusqu’à nouvel ordre, c’est le président de la République », a déclaré le porte-parole du gouvernement lors du Grand rendez-vous Europe 1-iTELE-Les Echos. « Un patron ça ne se décrète pas, ça s’impose naturellement », a répondu lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI le sénateur-maire de Lyon Gérard Collomb, qui soutient Macron. Gérard Collomb qui a ajouté que Hollande est discréditée puisqu’il est plus soutenu que par 4 % des Français. En fait c’est un peu la panique au parti socialiste qui un jour affirme que Manuel Valls est le candidat naturel à la succession de François Hollande et qui le lendemain considère que la représentation socialiste doit être décidée par François Hollande. Bref la dialectique marxiste classique de Cambadélis un coup à gauche pour satisfaire des parlementaires , un coup à droite pour ne pas se couper des institutions « Le patron qui a été élu en 2012 c’est François Hollande, donc on ne va pas non plus réinventer et réécrire l’histoire », a poursuivi ce fidèle du chef de l’Etat en ajoutant: « Il y a un calendrier qui a été fixé par le président de la République, qu’on le respecte. » François Hollande, malmené dans les sondages et contesté jusque dans les rangs socialistes depuis la parution d’un livre de « confidences » à des journalistes, devrait préciser ses intentions début décembre. A six mois du premier tour de l’élection présidentielle, le Premier ministre, qui s’était jusqu’ici toujours montré loyal à l’égard du président de la République, semble commencer à prendre ses distances tout en tentant de cultiver une image de présidentiable. « Celui qui à mes yeux aujourd’hui est le mieux à même de rassembler, c’est lui », a indiqué le ministre de l’Agriculture.  Mais les appels au rassemblement émanant de l’exécutif ne semblent pas en mesure d’être entendus dans une majorité en proie à des divisions persistantes, même si aucun candidat déclaré ou pressenti à gauche ne semble pour l’heure en mesure de se qualifier pour le second tour. Candidats à la primaire de la gauche, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg, qui avaient quitté le gouvernement en 2014 sur fond de désaccords avec la ligne incarnée par Manuel Valls et François Hollande, estiment que ni l’un ni l’autre ne peuvent se poser en rassembleur. Mais ux sans doute mais il faut aussi compter avec Mélenchon et Macron

(Avec Reuters)

Chômage : El Khomri et de Le Foll, les commentateurs de bistrot

Chômage : El Khomri et de Le Foll les commentateurs de bistrot

 

Exercice d’équilibriste pour El Khomri comme Henri est le Foll qui tentent  vainement d’expliquer que le chômage baisse en France alors  que Le chômage a encore fortement augmenté pour le mois d’août. C’est la faute aux attentats a tenté d’expliquer l‘inénarrable ministre du travail Myriam El Khomri. En outre,  les chômeurs ont eu l’outrecuidance de s’inscrire davantage à Pôle emploi. Il y a aussi un effet « calendaire » dit le ministère du travail ! Explication : les chômeurs se sont trop inscrits en août ils auraient dû attendre les calendes grecques. La véritable explication provient en réalité de la croissance molle, une croissance qui crée quelques emplois marchands mais pas suffisamment pour absorber l’évolution démographique. Cette croissance n’est pas assez dynamique et la consommation intérieure ne parvient pas à compenser le recul du secteur manufacturier. Le chômage s’est donc retourné en nette hausse en août en France, enregistrant sa plus forte progression depuis septembre 2013 sous l’effet d’une augmentation concernant toutes les tranches d’âge, selon les chiffres publiés lundi par le ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) a progressé de 1,4% le mois dernier pour s’établir à 3.556.800, soit 50.200 de plus qu’à fin juillet. Cette hausse, qui intervient après un recul de 0,5% en juillet, rapproche le nombre d’inscrits du record enregistré en février, à 3.591.000 et fragilise les espoirs d’une inversion de la courbe du chômage, que François Hollande a posée comme condition de sa candidature à l’élection présidentielle de 2017. « Ce résultat, nettement moins favorable que ceux des mois précédents, peut s’expliquer notamment par les difficultés rencontrées dans certains secteurs d’activité particulièrement affectés par les attentats de juillet (tourisme, hôtellerie-restauration, commerce de loisir, notamment) », souligne la ministre du Travail Myriam El Khomri dans un communiqué. En ajoutant les catégories B et C (personnes exerçant une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle Emploi a augmenté de 1,4%, soit 76.100 personnes supplémentaires en un mois, à 5.518.200 (5.820.400 en incluant les départements d’Outre-mer, également en hausse de 1,4% sur un mois). Sur un an, le nombre de demandeurs de catégorie A recule de 0,3% tandis que le total des inscrits dans les catégories A, B et C augmente de 1,9%. . Pourtant Au micro de Radio ClassiqueMyriam El Khomri affirme que l’inversion de la courbe est la, elle  assure que « les chiffres mensuel du chômage, certes négatifs, ne remettent pas en cause ni la trajectoire, ni le chemin parcouru en la matière. L’apparatchik titulaire d’un DESS de sciences politiques et qui n’a jamais travaillé ailleurs qu’au parti socialiste est forcément compétente en matière d’analyse statistique et économique ! La ministre du Travail reconnaît qu’il y a « une forme de trou d’air au mois d’août ». « La tendance depuis le début de l’année est à la baisse du chômage, elle reste à la baisse du chômage (…) Nous savons bien que nous avons des variations mensuelles extrêmement fortes d’un mois à l’autre. C’est pour cela qu’on regarde le taux dit par l’Insee (…) L’inversion de la courbe du chômage, elle est là, quand on regarde les chiffres de l’Insee », ajoute-t-elle. Mêmes arguments avancés par le porte-parole du gouvernement. Stéphane Le Foll expliquait à l’antenne de RTL que l’on « commence à avoir l’habitude de ces chiffres qui peuvent être extrêmement variables. On a certaine fois de mauvaises surprises et c’est une surprise qui marque un recul dans la tendance qui avait été celle depuis le début de l’année » !!!

Notre-Dame-Des-Landes : Ségolène Royal fait la leçon à Stéphane le Foll

Notre-Dame-Des-Landes : Ségolène Royal fait la leçon à Stéphane le Foll

 

Hier sur BFM Ségolène Royal a clairement considéré que Stéphane le Foll,  porte-parole du gouvernement,  aurait mieux fait de se taire concernant le futur référendum sur le projet des repas à Notre-Dame des Landes. Puisque le premier ministre a décidé d’un référendum local Ségolène royal considère que les responsables nationaux n’ont pas à s’immiscer d’un côté ou de l’autre dans ce référendum. Or. Ségolène Royal a donc condamné la prise de position de Stéphane le Foll en faveur du oui. Elle a tout autant condamné le non préconisé par l’écolo Jean Vincent Placé devenu récemment ministre. Seconde divergence avec Manuel Valls, Ségolène Royal affirme qui l’est possible de modifier le champ géographique de ce référendum en l’étendant au-delà du seul département de Loire-Atlantique. La ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, n’a pas renoncé à élargir le périmètre du référendum sur le projet d’aéroport de Notre-Dame-Des-Landes, près de Nantes, que le Premier ministre souhaite limiter au département de Loire-Atlantique. Manuel Valls a annoncé mardi que la consultation aurait lieu en juin et concernerait les seuls électeurs de ce département, le plus concerné par l’impact de ce projet. Ségolène Royal s’était déjà dite en faveur d’une consultation plus large. Elle est revenue à la charge jeudi soir dans une interview accordée à BFM TV. « Ce que j’ai entendu c’est que, autour de ce département, certains élus voulaient également être consultés. Le problème, c’est qu’il faut trouver un critère », a-t-elle expliqué. « Je leur ai dit ‘trouvez-moi un critère, parlons-en’. » A ce stade, l’ordonnance de convocation du référendum prévoit bien que la consultation aura lieu dans le périmètre où l’enquête publique a été menée, a-t-elle précisé. Mais « on ne peut pas à la fois dire il y a une consultation et en même temps il y a un texte, circulez, il n’y a rien à voir et on ne modifiera rien », a ajouté Ségolène Royal. Si un « critère objectif » permettant d’étendre le référendum au-delà de la Loire-Atlantique apparaît dans les semaines à venir, « pourquoi pas », a insisté la ministre. « À ce moment-là, nous en rediscuterons avec le Premier ministre. » Elle a égratigné au passage les membres du gouvernement qui ont pris position, soit pour dire qu’ils voteraient pour le futur aéroport, comme le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, soit au contraire pour dire qu’ils voteraient contre, comme l’écologiste Jean-Vincent Placé (réforme de l’Etat). « Je pense que ce n’est pas aux membres du gouvernement de se prononcer », a déclaré Ségolène Royal. « On ne peut pas à la fois restreindre cette consultation au département de Loire-Atlantique et ensuite, quand on n’est pas de ce département, commencer à donner des indications. »

(Avec Reuters)

Viande -Le Foll : je ne peux rien faire…ou le degré zéro de la politique

Viande -Le Foll : je ne peux rien faire…ou le degré zéro de la politique

 

Le degré zéro de la politique de la part d’un ministre qui attend un rapport pour connaitre la situation. Et qui a besoin de 4 jours pour recevoir les producteurs ! Nombre d’ « experts» sont d’ailleurs d’accord avec lui. » « On ne peut rien faire c’est une  problématique européenne et même mondiale ».  Sauf qu’on pourrait fixer des normes sanitaires et de qualité , sauf qu’on pourraiat engager la responsabilité des véritables donneurs d’ordres quand ils organisent en fait le dumping ‘ (ce qui a été fait par exemple le transport routier ), sauf que des critères de qualité pourraient être imposés dans la restauration collective (; écoles, hôpitaux, entreprises etc.)., sauf enfin qu’il faudrait surtout foutre un coup  de pied dans la fourmilière de la filière largement notamment  polluée  par les intermédiaires. Dans une interview exclusive qu’il a accordée à France Info alors que les éleveurs du Calvados et de la Manche ont lancé un mouvement qui pourrait bien s’étendre, le ministre explique qu’il n’a pas le choix : « Je n’ai pas aujourd’hui d’outil légal direct pour aller demander à quelqu’un de faire payer tel ou tel prix« . Traduction, le gouvernement ne peut pas faire monter les prix payés aux éleveurs par la contrainte. Il faut donc, explique-t-il, en passer par la négociation. Et il tient à rappeler qu’il l’a déjà fait : « c’est un travail de conviction qui date de plusieurs mois« . Il met en particulier le doigt sur la réunion du 17 juin, qui a rassemblé les filières autour d’une table, mais qui est loin de faire l’unanimité. Des engagements sont ressortis des 3h30 de réunion. Mais les éleveurs dénoncent leur non-respect : « Ils ont en partie raison« , reconnaît Stéphane le Foll. Il souligne que concernant le porc, les engagements sont presque tenus : « On est à 1,38 euros le kilo. L’engagement était à 1,40 euros. On est parti d’1,20 euros le kilo« . Mais pour le bœuf, on est « loin de l’objectif« , admet-il. « On n’a récupéré que 5 à 7 centimes en moyenne« . Agriculteurs en colère : « Je leur ai proposé de les rencontrer à Paris, mais je veux d’abord une vision la plus claire qui soit, la plus nette qui soit, pour pouvoir agir » – Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture interrogé par Yannick Falt. Quand ? à la St Glinglin ? 

Stéphane Le Foll : »pour un pacte sur les cochons »

Stéphane Le Foll : »pour un pacte sur les cochons »

Après le pacte de responsabilité, Le Foll propose un pacte sur les cochons. Un pacte sans réel contenu aussi efficace que le pacte de responsabilité. Avec surtout des obligations :  des obligations sur l’étiquetage de la viande. Bref des gadgets !. Stéphane Le Foll s’est donc rendu ce 12 juin dans le Morbihan pour répondre aux craintes de ces agriculteurs, sévèrement touchés par la baisse des prix de la viande. « J’ai pris un arrêté qui va encadrer les promotions deux mois par an. Il n’y aura pas le droit d’avoir des prix inférieurs à 50% par rapport à la moyenne constatée par rapport au mois précédent », a notamment annoncé le ministre de l’Agriculture. Outre cette lutte contre les promotions abusives, le porte-parole du gouvernement a aussi milité pour une harmonisation des étiquetages avec notamment un travail plus complet sur les ventes des pièces de porc à la découpe. « Dans ces ventes, il y a des choses qui ne sont pas très légales voire illégales« , a-t-il dénoncé sans pour autant craindre une importation de la viande de porc des pays européens. « Il y a des règles, la loi s’appliquera, les promotions seront pour tout le monde », a-t-il déclaré rappelant l’intérêt des Français sur l’origine et la traçabilité de la viande consommée.  En déplacement en Bretagne, où 60% de la production porcine est réalisée, Stéphane Le Foll a vivement soutenu les agriculteurs en publiant son « pacte porcin ». « Je veux bien que l’on me dise que l’on a des problèmes de compétitivité mais pour le moment ce n’est pas vrai. On doit remonter les prix de la viande de porc pour le producteur ».

Migrants: « loin du compte »( Le Foll)

Migrants: « loin du compte »( Le Foll)

Les dirigeants européens ont décidé jeudi de tripler les moyens alloués pour le sauvetage des migrants en Méditerranée, et vont chercher l’aval de l’ONU pour mener des actions militaires contre les trafiquants en Libye. Mais pour Le Foll aucun accord n’a été trouvé pour élargir le champ  opérationnel de la mission et permettre aux navires de Triton de sortir des eaux territoriales afin d’aller plus près de la Libye. Par ailleurs, les dirigeants se sont divisés sur la prise en charge des réfugiés, en renvoyant les décisions à plus tard. « Il a fallu attendre des drames, et ils se sont multipliés depuis quelques semaines, pour qu’on revienne au dispositif mis en place par l’Italie, à l’échelle de l’Europe. C’est déjà un retour à un peu plus d’engagement de l’Europe mais on est loin du compte par rapport aux enjeux », a déclaré M. Le Foll sur France Info. Ces enjeux concernent « à la fois les passeurs, les trafiquants ». « Ce sont aussi ceux liés à la Libye et à la déstabilisation complète d’un pays devenu une plateforme pour un certain nombre de trafiquants et d’immigration », a poursuivi le porte-parole du gouvernement. Interrogé sur les déclarations de François Hollande jeudi à Bruxelles sur les « erreurs d’hier » à réparer en Libye, qui visaient implicitement Nicolas Sarkozy, M. Le Foll a répondu: « Nicolas Sarkozy a fait des commentaires sur la question de l’immigration. Quand on voit la situation de la Libye aujourd’hui… Il y a eu une action qui a été conduite (intervention militaire en 2011), qui d’ailleurs avait été soutenue par François Hollande à l’époque, mais derrière cette action rien, rien n’avait été anticipé sur la suite à donner ». « Derrière la chute de Kadhafi, le constat est qu’une fois que l’action a été conduite au niveau militaire, tout le monde s’est retiré et on a laissé la Libye dans un état lamentable », a insisté M. Le Foll. Cette situation montre la « nécessité d’un engagement qui n’est pas simplement celui du moment mais celui de la durée » (…) « Il faut que l’Europe se mette à travailler plus en coopération, en collaboration ». « Le pays qui est engagé, avec des forces militaires, partout, c’est la France », a conclu le porte-parole du gouvernement.

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