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Afghanistan : une déclaration très ambiguë Jean-Yves Le Drian dit le saumon rose

Afghanistan : une déclaration très ambiguë Jean-Yves Le Drian dit le saumon rose

 

Jean-Yves le Drian, dit le saumon rose , qui se caractérise par sa capacité à naviguer entre les divers courants y compris troubles a encore été l’auteur d’une déclaration très ambiguë cette fois sur l’Afghanistan. Il en effet suggéré que les talibans étaient capables de mener une politique inclusive respectant les droits fondamentaux et notamment le droit des femmes.  Bien entendu, il a aussitôt rééquilibré son discours en indiquant que la France n’était pas encore pour l’instant en situation de reconnaître le gouvernement des talibans. Poussé dans ses retranchements lors d’une interview télévisée Le  j’arrive le Drian a fait la preuve de sa capacité à répéter dix  10 fois la même réponse sans jamais répondre à la question concernant notamment le respect du droit des femmes.

 

C’est une «folie». Dans la foulée des propos du membre du gouvernement, le député Les Républicains (LR) Aurélien Pradié a fait part de son indignation. Sur les réseaux sociaux, l’élu du Lot a même reproché au ministre sa «main tendue aux talibans».

Une consternation partagée par une grande partie de la gauche, et notamment du Parti socialiste, ancienne famille politique de Jean-Yves Le Drian. «Comment le chef de la diplomatie française peut-il tenir ces propos !?», s’est interrogée Valérie Rabault, présidente du groupe à l’Assemblée nationale. «Il faut évidemment ne pas reconnaître le gouvernement taliban», a-t-elle mis en garde.

Selon Laurence Rossignol, vice-présidente socialiste du Sénat, les propos du ministre sont aussi «très inquiétants». «Ils nous préparent à une reconnaissance diplomatique du pouvoir Taliban au prétexte de vagues engagements», a estimé l’élue.

 

Régionales: le Drian et Ferrand balayés en Bretagne

Régionales: le Drian et Ferrand  balayés en Bretagne 

 

Dans une région plutôt favorable à Macron, la liste proche du pouvoir n’a réussi à récolter qu’environ 15 % des voix soient en quatrième position. Un véritable échec pour le Drian tout autant que pour Ferrand qui n’a même pas été réélu alors qu’il est président de l’Assemblée nationale. La logique voudrait évidemment qu’il démissionne de ce poste stratégique.

Même sanction pour le parrain de «l’opération Burlot», le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand. Le score médiocre obtenu par la majorité dans son fief du Finistère l’empêche de retrouver son siège au conseil régional. À moins de faire démissionner l’un des deux élus, «mais est-ce permis dans le nouveau monde de procéder ainsi?», ricane un soutien de Loïg Chesnais-Girard.

Redonner du souffle à la politique d’aide au développement ( Le Drian)

Redonner du souffle à la politique d’aide au développement ( Le Drian)

Le ministre des affaires étrangères annonce, dans une tribune au « Monde », que la France va concentrer son aide au développement sur 19 pays prioritaires, en particulier au Sahel, dans les domaines du climat, de la biodiversité, de la santé, de l’éducation et de l’égalité.

Tribune. Quelques semaines ont suffi à la pandémie de Covid-19 pour faire éclater les contradictions d’un monde tissé d’interdépendances, mais hanté par la tentation du chacun pour soi. Soudainement, les désordres de ce « monde d’avant » nous ont tous rattrapés. Partout, jusqu’en France.

Un an plus tard, force est pourtant de constater que le « monde d’après » qui devait lui succéder est loin d’avoir tenu ses promesses. Non seulement la compétition des puissances n’a rien perdu de sa brutalité, mais elle a gagné des terrains nouveaux. Y compris ceux-là mêmes où la coopération internationale est plus nécessaire que jamais.

Aujourd’hui, nous vivons dans un entre-deux. Il est temps de choisir le monde que nous voulons vraiment, et de commencer à le construire avec nos partenaires de bonne volonté. C’est pourquoi nous avons fait le choix d’une relance diplomatique solidaire, mais sans naïveté. Car la sortie de la crise pandémique se jouera là où elle a commencé, sur la scène internationale.

Le prétendu « nationalisme vaccinal », qui fausse aujourd’hui le débat public, manque donc deux fois sa cible. D’abord parce que notre souveraineté n’est jamais aussi ferme que lorsqu’elle est française et européenne. Si nous n’avions pas fait bloc entre Européens, qui peut penser que nous aurions été mieux armés pour défendre nos intérêts dans un marché mondial en tension ?

Ensuite pour une raison d’ordre sanitaire : face au Covid-19, l’immunité sera globale ou ne sera pas. Tant que la pandémie n’aura pas été maîtrisée partout, les efforts accomplis ici resteront à la merci de nouveaux variants. Pour réussir, la vaccination doit être conduite à l’échelle du monde entier.

Biens publics mondiaux

La leçon de ces mois d’adversité est claire : ce qui protège les Français, c’est la solidarité. La solidarité européenne et la solidarité internationale, que nous devons refonder à la lumière des défis d’aujourd’hui, comme nous avons commencé à le faire l’été dernier, avec la Commission européenne, en créant un pont humanitaire aérien vers le Burkina Faso et la RDC [République démocratique du Congo], où la menace d’Ebola plane toujours, de même qu’en Guinée.

En même temps qu’un impératif de justice et d’humanité, c’est une question d’efficacité. Dès mai 2020, la France, l’Union européenne et l’OMS ont lancé l’initiative ACT-A, qui a permis de jeter les bases d’une riposte globale et coordonnée.

Dans le cadre de sa facilité financière Covax, plus de deux milliards de doses ont déjà été sécurisées, à destination des pays à revenu faible et intermédiaire, qui méritent mieux que la douteuse « géopolitique du vaccin » dans laquelle certains voudraient les enfermer. Ne fût-ce surtout, à bien y regarder, que par des effets d’annonce.

« La folle de Ségo »: ( Jean-Yves Le Drian)

« La folle de Ségo »: ( Jean-Yves Le Drian)

 

Ce n’est pas une pièce de théâtre, comme la folle de Chaillot de Jean Giraudoux mais simplement une appréciation portée sur Ségolène Royal par l’ancien socialiste Jean-Yves le Drian devenu le ministre des Affaires étrangères de Macron.

 Jean-Yves le Drian  a envoyé peu avant le remaniement par erreur un message évoquant « l’autre folle de Ségo » à… Ségolène Royal elle-même.

Ségolène Royal avait subi des railleries pour avoir annoncé sur BFMTV lors d’une interview qu’elle avait été contactée par l’exécutif pour éventuellement intégrer la nouvelle équipe gouvernementale peu avant le remaniement.

« J’ai été appelé par un proche du président de la République. On connait mes convictions, on sait qui je suis et j’ai dit: ‘Si c’est pour mener une politique plus sociale, plus écologique et plus démocratique, faites-moi une proposition’ », avait-t-elle assuré sur BFMTV.

L’Elysée avait ensuite démenti tout contact ce qui avait causé des moqueries sur ses ambitions. Finalement elle a expliqué que c’est par l’intermédiaire d’un SMS du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian qu’elle avait été contactée.

À l’occasion du renouvellement du gouvernement Jean-Yves Le Drian aurait donc contacté de sa propre initiative Ségolène Royal mais bien involontairement. Finalement, le président de la République semble préférer le profil de l’écologiste Barbara Pompili. Ce à quoi Jean-Yves Le Drian comptait répondre par SMS au Président: « Pompili très bien, c’est quand même mieux que l’autre folle de Ségo ». Sauf qu’il se troupe de destinataire et envoie ce SMS à… Ségolène Royal. L’ancienne candidate à la présidentielle aurait quand même tenté de prendre contact avec le Président suite à cela, sans succès. Ce qui ne l’a pas empêché de clamer partout qu’elle avait été sollicitée et même qu’elle avait refusé compte tenu de l’étroitesse du portefeuille proposé !

Finalement, Barbara Pompili sera bien nommée quelques jours plus tard ministre de la Transition écologique dans le gouvernement de Jean Castex.

 

Négociations Brexit : ça va saigner (Jean-Yves Le Drian)

Négociations Brexit : ça va saigner  (Jean-Yves Le Drian)

 

 

C’est presque en ces termes que s’est exprimé le ministre des affaires étrangères à propos des futures relations entre la Grande-Bretagne et l’union européenne. Pas étonnant car ces discussions seront particulièrement difficiles.

Les discussions après Brexit  destinées à déterminer les futures relations commerciales entre l’union économique et la Grande-Bretagne risquent  d’être très agitées pour plusieurs raisons. La première c’est que l’enjeu politique domine la problématique en Grande-Bretagne. La décision de rupture de la Grande-Bretagne à été arrachée  de peu grâce au soutien des populistes et sur de nombreuses fausses informations. Boris Johnson doit cependant donner des gages sur son honnêteté dont beaucoup doutent. Il veut donc se faire le champion des intérêts nationalistes à la manière de Trump  pour rassurer les couches populaires qui ont cru que la rupture avec l’union européenne leur apporterait la prospérité perdue .

À la manière de Trump, Boris Johnson a donc commencé à ajouter de l’outrance à l’outrance en annonçant l’hypothèse d’un contrôle généralisé sur toutes les importations aussi l’augmentation des droits douaniers sur les voitures allemandes et le fromage français. Des mesures d’affichage assez simplistes que tout le monde peut comprendre.

La philosophie de Boris Johnson repose sur l’idée que la GB pourrait  servir de porte d’entrée de l’union européenne au commerce international mais cela en s’affranchissant des normes européennes fiscales, sociales ou environnementales. Bref une sorte de Singapour sur Tamise. La ficelle est évidemment un peu grosse car si l’union européenne devait lâcher sur ce point alors il y aurait des velléités  revendicatives  du même type dans d’autres pays. Précisément,  l’union européenne doit se montrer relativement dure dans ses négociations pour décourager tout nouveau départ de l’union européenne. Il faudra donc faire payer très cher à la Grande-Bretagne sa rupture . Les premières déclarations de Boris Johnson sont évidemment inacceptables quand il déclare en particulier vouloir créer une sorte de Singapour britannique.

Pour l’instant, les deux partenaires sont totalement opposés quant à la finalité de ces négociations;  En particulier les négociateurs britanniques qui sont furieux car ils pensent que l’UE, principal partenaire commercial de Londres, est en train de revenir sur l’accord de retrait en laissant entendre que Londres devra adhérer aux règles européennes pour conclure un accord de libre-échange, a-t-on appris de source britannique.

Dimanche, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a déclaré à nouveau que la France s’opposerait à la naissance d’un “Singapour-sur-Tamise” à sa porte ajoutant  »Je pense que sur les questions commerciales ou sur le dispositif de relations futures, que l’on va engager, on va s’étriper pas mal, « .

 

 

Syrie : « La fin de l’OTAN » ? (Jean-Yves Le Drian)

Syrie : « La fin de l’OTAN » ? (Jean-Yves Le Drian)

 

Le  ministre de la défense adopte la posture de Macron qui consiste à accuser les  autres et à s’exonérer de responsabilité à bon compte. Par vraiment une attitude diplomatique très constructive. Pour preuve, c’est à Poutine qu’il faut maintenant s’en remettre pour les conflits du proche et du moyen orient. C’est le retrait brutal des américains en Syrie qui justifie les critiques de Le Drian  rendant compte au Sénat. «  Les Américains ont renoncé à assurer la sécurité collective. Cela pose la question du lien transatlantique », a jugé le ministre des Affaires étrangères. Cette offensive turque met la sécurité de la France et de l’Europe en jeu, va-t-il rappelé. Un constat qui acte en fait une certaine fin de l’OTAN, d’autant que la Turquie qui en fait partie a voulu faire la police en Syrie.

« Concernant le manque d’anticipation par les Européens et la France de cette évolution, il faut avoir conscience que nous avions reçu des assurances des États-Unis. Il y a eu un revirement soudain qu’il était difficile d’anticiper », a souligné Jean-Yves le Drian, qui était interrogé sur le manque d’anticipation de l’Europe.

 

Que s’est-il exactement passé ? Selon Jean-Yves Le Drian, le président Erdogan a averti au cours d’un entretien téléphonique le 6 octobre, le président Trump de ce qu’il comptait faire, à savoir engager une offensive dans le Nord-Est syrien. Le président turc lui a demandé son soutien. « Le président américain a indiqué qu’il n’approuvait pas cette offensive, mais qu’il ne s’opposerait pas à ses plans et, le lendemain, il a ordonné à une cinquantaine de soldats présents sur la zone de se retirer, laissant l’opportunité aux forces turques d’entrer sur le territoire syrien, trois jours plus tard, le 9 octobre, et de le faire sans prendre le risque de menacer la sécurité de soldats américains. C’est ainsi que l’offensive a commencé », a raconté le ministre des Affaires étrangères. Un habillage de histoire car en réalité il y a déjà au moins un an qu’on sait que les Etats-Unis vont se retirer de Syrie. L’Europe bien sûr a failli mais la France aussi.

« Le président Trump a choisi le retrait, et cette décision a été annoncée, sans aucune coordination avec la coalition dimanche [le 13 octobre, ndlr] à la télévision américaine par le ministre de la défense américain. Voilà la réalité de ce qui s’est passé », a poursuivi Jean-Yves Le Drian qui oublie évidemment ce qui était prévisible depuis un an. Renvoyer la seule responsabilité aux américains et un peu court : «Le président Trump et le président Erdogan portent la responsabilité de ce qui est, in fine, une victoire des Turcs, Russes et Iraniens, amenés à se partager le Nord-Est selon une forme qui reste à déterminer », a fait observer Jean-Yves Le Drian.

En fait le Drian fait surtout des constats et ne propose rien et de façon un peu naïve déclare « C’est évidemment un tournant majeur dans le conflit syrien, et il conviendra d’en apprécier les conséquences, y compris sur le plan politique », a-t-il conclu. Ce qui pose « la question du lien transatlantique », a estimé le ministre.

Il serait en effet temps de s’apercevoir que l’OTAN dans sa formule actuelle n’est plus opérationnelle et qu’il faudra autre chose que des constats pour suppléer aux carences et contradictions de l’ancienne alliance atlantique.

De manière générale, en France et tous territoires confondus, c’est Orange qui offre les meilleurs débits et la plus grande qualité de service. Selon l’Arcep, l’opérateur historique est « en tête, Bouygues Telecom tend à s’affirmer comme deuxième opérateur de qualité, SFR progresse ». Quant à Free, l’opérateur de Xavier Niel « s’améliore fortement mais reste sensiblement en retrait ».

 

Le Drian, dit le poisson rouge veut intervenir-un peu tardivement-entre les Etats Unis et l’Iran

Le Drian, dit le poisson rouge  veut intervenir-un peu tardivement-entre les Etats Unis et l’Iran

 

 

 Jean Yves le Drian, dit le poisson rouge pour sa capacité à évoluer entre tous les courants politiques, a déclaré vouloir s’immiscer dans le conflit entre Washington et Téhéran en marge des discussions de l’assemblée générale de l’ONU. Une intention louable mais un peu tardive et illusoire car l’Europe s’est montrée incapable de peser dans le conflit irano- Américains alors qu’elle était partie prenante de l’accord sur le nucléaire de l’Iran. La vérité, c’est que l’Europe- et la France en particulier- s’est couchée devant les États-Unis et a fait le dos rond devant l’Iran. Comme d’habitude Macron a délivré quelques propos grandiloquents pendant quelque temps avant de se réfugier dans la résignation et le silence. On voit mal comment Jean-Yves le Drian pourrait maintenant s’interposer dans un conflit qui a été négligé et qui maintenant dépasse l’Europe et la France L’enjeu des discussions sur l’Iran en marge de l’Assemblée générale des Nations unies est de savoir s’il est possible de relancer un processus de désescalade dans le Golfe, a pourtant déclaré naïvement dimanche le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian.

Une éventuelle rencontre entre les présidents américain Donald Trump et iranien Hassan Rohani «n’est pas le sujet numéro un», a-t-il dit. «Le sujet numéro un, c’est est-ce qu’on peut reprendre un itinéraire de désescalade avec les différents acteurs ?» «C’est le message qui va être transmis aux intéressés que le président de la République (Emmanuel Macron) et moi-même auront l’occasion de rencontrer dans les jours qui viennent», a poursuivi le chef de la diplomatie française.

Huit jours après les attaques contre des installations majeures de la compagnie pétrolière saoudienne Aramco, le chef de la diplomatie français a redit que la revendication des rebelles Houthis du Yémen manquait de crédibilité. Ryad affirme que l’Iran est derrière les frappes contre les sites d’Abkaïk et de Khouraïs. Ces attaques, a ajouté Jean-Yves Le Drian lors d’un point de presse au siège new-yorkais des Nations unies, marquent un tournant dans la crise que traverse le Golfe depuis plusieurs mois. Appelant l’Iran à revenir pleinement à ses engagements pris dans le cadre de l’accord de juillet 2015 sur son programme nucléaire, il a également prôné l’ouverture de négociations plus larges intégrant notamment la question des programmes iraniens de missiles. Un n’argument concernant les missiles évoqués par Macon qui n’a guère été entendue ni par Téhéran ni par Washington.

 

Demande d’asile de Snowden : Le poisson rouge, Jean-Yves le Drian, toujours contre

Demande d’asile de Snowden :  Le poisson rouge, Jean-Yves le Drian,  toujours contre

 

 

Jean Yves le Drian, dit le poisson rouge pour sa capacité à naviguer entre les courants ( précédemment ceux  du parti socialiste maintenant ceux de la république en marche) se prononce contre la demande d’asile de Snowden qui a révélé le système de surveillance massive des États-Unis dans le monde entier. Depuis qu’il a rejoint les macronistes , Jean-Yves le Drian n’a pas perdu ses capacités de natation, il nage même de mieux en mieux dans ses contradictions avec ses fausses colères et ses compassions de composition. Du cou,p la politique  diplomatique du pays a perdu beaucoup d’audience. Macron qui voulait devenir le leader du monde, puis le leader de l’Europe a nettement régressé au palmarès des chefs d’État. En cause ,son arrogance aussi les contradictions de sa politique diplomatique.-Notammenet ncore ce manque de courage vis-à-vis du lanceur d’alerte américain Edward Snowden, qui a informé le monde entier des systèmes de surveillance mise en place par les États-Unis visant à peu près tous les grands chefs d’État et leurs gouvernements.

Edward Snowden avait demandé l’asile à la France, mais aussi à d’autres pays, en 2013, après avoir dénoncé le système de surveillance massive des services secrets américains, a rappelé le chef de la diplomatie française sur l’antenne de CNews. »La France avait estimé à ce moment-là que ce n’était pas opportun. Je ne vois pas aujourd’hui ce qui a changé », a-t-il ajouté. En tout cas le poisson rouge lui n’a pas changé même si sa couleur est passée progressivement au rose tendre.

L’ancien employé de l’Agence américaine de la sécurité nationale (NSA), réfugié en Russie, avait déclaré lundi qu’il « aimerait beaucoup » qu’Emmanuel Macron lui accorde le droit d’asile.

Edward Snowden est inculpé aux États-Unis d’espionnage et de vol de documents appartenant à l’État. Son permis de séjour en Russie, qui a été prolongé en 2017, court jusqu’en 2020.

Macron et Le Drian, dit le saumon rose, silencieux sur Hong Kong

Macron et Le Drian, dit le saumon rose, silencieux sur Hong Kong

 

Alors que la plupart des chefs d’État étranger ont condamné les violences notamment policières à Hong Kong et où au minimum ont manifesté leur émotion, la France, elle, reste de silencieuse. Certes,  il n’est sans doute pas question que la France intervienne physiquement en Chine mais le moins qu’on attende de la France, dépositaire des principes de liberté, c’’est qu’elle condamne les atteintes à la démocratie et invite au dialogue entre les parties.

 

Macron qui se voulait un temps le président du monde a visiblement nettement diminué ses ambitions. Pire maintenant il fait dans la realpolitik en invitant par exemple Poutine à Paris alors que se multiplient  en Russie des manifestations pour imposer la démocratie. Le Drian, dit le saumon rose pour sa capacité à slalomer entre les courants politiques (ancien leader de 68 à Rennes, socialiste de gauche, socialiste centriste,  et maintenant vraiment libéral), n’a pas trouvé un moment pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant quelques députés de la république en marche demandent timidement que la France prenne position. Ce qui est en cause,  c’est évidemment la démocratie avec le risque du renouvellement d’un massacre comme Tienanmen. Chacun sait que la Chine est en train de durcir son régime. Sans doute pour des raisons économiques et sociales avec une très nette dégradation du climat mais aussi avec la volonté d’une reprise en main culturelle. Une volonté du nouveau dictateur à savoir le président xi qui a chaussé les bottes de Mao en faisant sauter le verrou de la durée de son mandat. On sait très bien que sans pression internationale forte, la Chine ne reculera pas pour mettre au pas Hong Kong et ses velléités démocratiques. Le seul moyen d’influencer la Chine, c’est de peser sur les échanges qu’on peut avoir avec ce pays. On objectera que cela risquerait d’apporter quelques atteintes à la croissance française mais avec cette philosophie la il est possible de tolérer voire d’encourager toutes les atteintes aux libertés individuelles et collectives.

 

La France et Le Drian, dit le saumon rose, humiliés par le président brésilien

La France et Le Drian, dit le saumon rose, humiliés par le président brésilien

 

Vis-à-vis des régimes autoritaires, Le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian sait faire preuve de souplesse d’échine. Ce sera encore le cas lors de la visite au Brésil comme c’est le cas par exemple encore vis-à-vis de la dictature en Chine. Sans parler de la scandaleuse réception de Poutine à Paris.  Il faut dire que la souplesse d’échine est un peu la spécialité de Jean-Yves le Drian surnommé le saumon rose pour sa grande capacité à naviguer entre tous les courants politiques. Il a commencé sa carrière politique assez à gauche (leader en 68 à Rennes), il s’est rapproché de la plupart des responsables de courant du PS  puis avec le temps à continué sur des positions plutôt centristes  et maintenant il est clairement à droite. Aux dires des experts,  le Drian a même été un brillant ministre des armées. Pas étonnant, il s’est fait pistonner par son père pour échapper à son incorporation dans les paras pour rejoindre un régiment plus tranquille. Il accomplit son service militaire au 512e régiment du train de Saint-Lô, après avoir initialement été convoqué dans les para. Ce changement d’affectation fait suite à l’intervention de son père auprès du député-maire de Carnac Christian Bonnet. Lors de son service, il apprend à conduire divers véhicules, sans doute aussi le véhicule de sa carrière politique.

On fera observer que Macron, lui, est bien chef des armées sans jamais avoir effectué le moindre service militaire !« 

Pourtant les divergences sont importantes voire inconciliables entre la France et le Brésil Jair Bolsonaro avait annoncé durant sa campagne sa volonté de se retirer de l’accord de Paris« Je pense qu’il y a une volonté de trouver un point d’accord, pas forcément pour convaincre le président brésilien de revenir en arrière sur ses positions ‘trumpiennes’ en matière de climat, mais au moins pour préserver les intérêts français dans ce domaine« , conclut Olivier Compagnon. Vis-à-vis par exemple des enjeux environnementaux, de la démocratie ou des droits de l’homme en clair on sacrifie les valeurs démocratiques sur l’autel du business ; pour preuve cet accord appelé Mercosur avec des pays d’Amérique latine dont le Brésil.

Le Drian humilié par le président brésilien !

Le Drian humilié par le président brésilien !

 

On se demandait bien dans quelle galère allait se mettre Jean-Yves le Drian ministre des affaires étrangères en allant rencontrer le président brésilien. Une rencontre qui n’a servi à rien sinon à humilier la France. En effet lundi,  président brésilien Jair Bolsonaro a prétexté un « problème d’agenda » pour annuler un entretien prévu avec Jean-Yves Le Drian et se rendre chez le coiffeur. « Manifestement, il y aurait eu une urgence capillaire, ironise le ministre français des Affaires étrangères auprès du JDD. C’est une préoccupation qui m’est étrangère. » Jean-Yves Le Drian en profite pour affirmer que « c’est l’intérêt de la France de parler à tous les Brésil« . Une réponse en forme d’humour sur fond de préoccupations diplomatiques mais qui ne peut effacer l’affront subi. En effet l’humiliation imposée par le président brésilien intervient en plus au moment le Parlement français (l’Assemblée nationale puisque le Sénat ne s’est pas encore prononcé) vient d’entériner l’accord commercial appelé CETA  avec le Brésil l’Argentine le Paraguay et l’Uruguay. Un accord qui va surtout bénéficier à l’agriculture et à l’élevage de ces pays. On sait par ailleurs que le président brésilien s’assoit complètement sur toutes les préoccupations environnementales sans parler des atteintes à la démocratie et aux droits de l’homme. La défense de Jean-Yves le Drian paru dans le JDD ne convaincra pas grand monde. Interview.

 

 

Le président brésilien a annulé votre rendez-vous mercredi pour aller chez le coiffeur. N’est-ce pas une humiliation?
Chacun connaît les contraintes qui s’attachent aux agendas chargés des chefs d’État. Manifestement, il y aurait eu une urgence capillaire. C’est une préoccupation qui m’est étrangère. Mais ce que j’ai pu faire lors de ma visite au Brésil pour le renforcement de nos relations bilatérales, la défense des intérêts de la France et la préparation des enjeux climatiques de la COP25 a été très positif. J’ai eu des entretiens avec mon homologue, avec la société civile brésilienne, en particulier les ONG, mais aussi avec la société civile économique. Je me suis aussi entretenu avec les gouverneurs de plusieurs États. C’est l’intérêt de la France de parler au Brésil, à tous les Brésil.

 

 

Les Brésil, comme vous le dites, oui, mais c’est le président du ­Brésil qui a promis de ne pas quitter l’accord de Paris. Peut-on lui faire confiance?
J’ai été très transparent dans la volonté de clarifier nos engagements réciproques concernant le réchauffement climatique. J’ai ­obtenu de mon collègue des ­Affaires étrangères, Ernesto Araújo, la mise en place d’un groupe de travail sur les enjeux de l’environnement et sur la mise en œuvre de l’accord de Paris avant la COP25 à Santiago du 2 au 13 décembre. J’espère que ce processus-là pourra être déployé (…).

Brésil : « La diplomatie française a toujours été très pragmatique « comme Le Drian, dit le saumon rose

Brésil : « La diplomatie française a toujours été très pragmatique «  comme Le Drian, dit le saumon rose

Vis-à-vis des régimes autoritaires, Le ministre des Affaires étrangères français Jean-Yves Le Drian sait faire preuve de souplesse d’échine. Ce sera encore le cas lors de la visite au Brésil comme c’est le cas par exemple encore vis-à-vis de la dictature en Chine. Il faut dire que la souplesse d’échine est un peu la spécialité de Jean-Yves le Drian surnommé le saumon rose pour sa grande capacité à naviguer entre tous les courants politiques. Il a commencé sa carrière politique assez à gauche (leader en 68 à Rennes), il s’est rapproché de la plupart des responsables de courant du PS  puis avec le temps  à continué sur des positions plutôt centristes  et maintenant il est clairement à droite. Aux dires des experts,  le Drian a même été un brillant ministre des armées. Pas étonnant, il s’est fait pistonner par son père pour échapper à son incorporation dans les paras pour rejoindre un régiment plus tranquille. Il accomplit son service militaire au 512e régiment du train de Saint-Lô, après avoir initialement été convoqué dans les para. Ce changement d’affectation fait suite à l’intervention de son père auprès du député-maire de Carnac Christian Bonnet. Lors de son service, il apprend à conduire divers véhicules, sans doute aussi le véhicule de sa carrière politique.

On fera observer que Macron, lui, est bien chef des armées sans jamais avoir effectué le moindre service militaire !« 

Pourtant les divergences sont importantes voire inconciliables entre la France et le Brésil Jair Bolsonaro avait annoncé durant sa campagne sa volonté de se retirer de l’accord de Paris« Je pense qu’il y a une volonté de trouver un point d’accord, pas forcément pour convaincre le président brésilien de revenir en arrière sur ses positions ‘trumpiennes’ en matière de climat, mais au moins pour préserver les intérêts français dans ce domaine« , conclut Olivier Compagnon. Vis-à-vis par exemple des enjeux environnementaux, de la démocratie ou des droits de l’homme en clair on sacrifie les valeurs démocratiques sur l’autel du business ; pour preuve cet accord appelé Mercosur avec des pays d’Amérique latine dont le Brésil.

Brexit : ça suffit (Le Drian)

Brexit : ça suffit (Le Drian)

 

Une mise en garde de Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères qui reflète sans doute le sentiment du gouvernement mais finalement qui ne sert pas à grand-chose. L’union européenne comme Theresa May sont évidemment conscients des contradictions et de l’impasse de la position britannique. Pour autant une menace ne sert pas à grand-chose ou alors il faut dire clairement que la France souhaite un Brexit immédiat et sans accord. Or  il n’est pas certain que ce soit le souhait profond du gouvernement français qui en réalité essaye de mettre la pression pour que les Britanniques adoptent un Brexit  doux c’est-à-dire assorti de l’accord de transition négocié entre l’union européenne et Theresa May. Peut-être y aurait-il une diplomatie plus discrète à engager pour aller en direction de cet objectif. Les mises en garde tapageuse de Macron et de son entourage n’ont pour l’instant réussi qu’à faire croître le nombre de pays hostiles à la France ou qui s’en méfient. Comme c’est probable l’union économique et risque d’être beaucoup plus tempérée vis-à-vis du Royaume-Uni et va probablement accepter une prolongation assez longue de la date de mise en œuvre du Brexit. Le temps que la clarification politique s’effectue au Royaume-Uni y compris éventuellement avec des élections législatives et un nouveau premier ministre. “Il est temps que cette situation s’arrête” et que les Britanniques “nous indiquent très rapidement comment ils comptent sortir de cette crise”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Dinard (Ille-et-Vilaine), à l’issue d’une réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 dont le Royaume-Uni fait partie.“S’il y a une nouvelle extension (…), il faut que le Royaume-Uni présente un plan qui justifie cette demande de prolongation et il faut aussi que dans ce plan il y ait une anticipation d’un soutien politique clair et crédible”, a-t-il souligné.“Il faut vraiment que les autorités britanniques, le Parlement britannique, se rendent compte que l’Union européenne ne va pas pouvoir en permanence s’épuiser sur les aléas de la politique intérieure britannique”, a-t-il ajouté, à quatre jours d’un conseil européen extraordinaire convoqué à Bruxelles.

Passeports de Benalla : le Drian en fait une affaire d’Etat

 Passeports de Benalla : le Drian en fait une affaire d’Etat

Le gouvernement fait encore une grave erreur de communication en se mobilisant sur l’affaire Benalla. En procédant ainsi ce gouvernement et l’Élysée risquent  de transformer l’épisode de Ben Allah en nouvelle affaire d’État. Si le ministère des affaires étrangères avait réellement voulu récupérer attend les passeports de Benalla, il aurait pu le faire lorsque ces derniers étaient à l’Élysée. Puisque semble-t-il Benalla n’a pas répondu aux lettres du ministère des affaires étrangères, il était possible de récupérer ces documents par voie d’huissier. En fait le ministère des affaires étrangères par la voix de Jean-Yves le Drian (comme d’ailleurs le directeur de cabinet de l’Elysée) tire le parapluie. Ils n’éviteront cependant pas certaines interrogations peut-être pas celle de l’ »indépendante » justice mais celle en tout cas des médias. La question des pas de savoir si Benalla a utilisé des passeports diplomatiques, cette utilisation méritera sans doute une peine symbolique. La question est de savoir pour quoi faire. Comment celui que Castaner  désignait récemment comme bagagiste employé de seconde zone de l’Élysée peut-il aujourd’hui conduire des délégations d’hommes d’affaires. Quel était donc son rôle à l’Élysée et quel type de relation entretient-il encore avec le pouvoir. Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères n’estime que les agissements de l’ex-chargé de mission “paraissent susceptibles de caractériser un comportement contraire à la loi pénale”, dans son courrier au procureur, transmis à Reuters. Dans sa lettre au procureur, Jean-Yves Le Drian écrit que le ministère a demandé à Alexandre Benalla de rendre ces passeports par lettres recommandées des 26 juillet et 10 septembre 2018. Malheureusement pour le ministre des affaires étrangères ce n’est que fin décembre qu’une plainte a été déposée en raison des informations parues dans le monde. Cela démontre à l’évidence un fonctionnement assez aléatoire des services de l’État car toute utilisation de passeports diplomatiques et immédiatement signalés au ministère.

Popularité gouvernement : Flessel, Le Drian et Vidal au hit-parade

Popularité gouvernement : Flessel, Le Drian et Vidal au hit-parade

Selon un so,ndage IFOP-JDD, onze minstres  eux obtiennent au moins 50% d‘opinions positives, dont le Premier ministre, Edouard Philippe (54%), le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner (53%), et le ministre de l‘Intérieur, Gérard Collomb (51%).Laura Flessel, Jean-Yves Le Drian et Frédérique Vidal forment le trio le plus populaire du gouvernement avec 68% de bonnes opinions pour la ministre des Sports, 59% pour celui des Affaires étrangères et 57% pour celle de l‘Enseignement supérieur, . Plusieurs poids lourds du gouvernement, comme le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin (46%), celui de l‘Economie et des Finances, Bruno Le Maire (46%), et celle du Travail, Muriel Pénicaud (44%), sont en revanche sous cette barre.

Cette étude a été réalisée en ligne, du 30 au 31 octobre, auprès d‘un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population

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