Archive pour le Tag 'l’avis'

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Une nouvelle fois l’assemblée nationale ce singularise avec des votes complètement contradictoires. Ainsi la partie recettes du budget de la Sécu soutenue par le gouvernement a été rejetée par la droite mais par contre approuvé par la gauche. Le monde à l’envers évidemment. De toute manière ce projet de budget au final sera rejeté totalement et renvoyé au Sénat. Autant dire que ces discussions complètement surréalistes n’ont aucun sens.

 

L’Assemblée nationale a approuvé lundi, avec les voix de la gauche, une version profondément remaniée de la partie recettes du budget 2025 de la Sécurité sociale, les députés macronistes et de droite ayant voté contre et le RN s’étant abstenu. Le texte amendé, qui prévoit notamment 17 à 20 milliards de cotisations supplémentaires selon les députés, a été approuvé par 126 voix «pour» et 98 «contre». L’Assemblée va ainsi pouvoir entamer en soirée l’examen de la partie «dépenses» du texte.

 

Les élus du «socle» gouvernemental ont fustigé un texte «vidé de son sens et de tout sérieux, politique et budgétaire», comme l’a résumé François Gernigon (Horizons). «Vous avez créé des taxes et des charges pour près de 17 milliards», a déploré Thibault Bazin (LR) en s’adressant aux élus du Nouveau Front populaire (NFP)«Et là, les victimes, ce ne sont pas les grandes fortunes, ce sont les classes moyennes qui travaillent», a-t-il dit, fustigeant un texte qui «ne ressemble plus à rien».

 

Après le vote, le président du groupe MoDem Marc Fesneau a fait part de son agacement : «quand vous avez RN et NFP qui votent ensemble, vous voyez bien que c’est la collusion du populisme»«À la fin, le gouvernement va dire “voyez, tout ça n’est pas raisonnable, on va laisser ça au Sénat, car eux ce sont des gens responsables et raisonnables”», a-t-il ajouté.

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Mercosur : un accord contre l’avis de la France

Mercosur : un accord contre l’avis de la France

Selon le média Politico, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur – la Communauté économique des pays d’Amérique du Sud -, en négociation depuis des années, et auquel plusieurs filières agricoles sont farouchement opposées, pourrait être rapidement adopté au sein des 27. Alors que s’est tenue, les 7 et 9 octobre derniers, une réunion des négociateurs en chef UE-Mercosur à Brasilia, un compromis aurait été proposé à la France, qui, jusqu’à présent, s’y est opposée en raison du risque de voir affluer des tonnes de viandes sud-américaines faisant concurrence aux éleveurs français. Il s’agirait de la mise en place d’un fonds de compensation à destination des agriculteurs pénalisés par la mise en oeuvre du traité commercial.

 

Bruxelles se montrerait ainsi peu à l’écoute des vraies préoccupations dans les campagnes. « Nous sommes devant un combat existentiel pour l’agriculture : d’un côté, on continue d’imposer aux agriculteurs français tout un tas de normes sur l’environnement, et, de l’autre, on considère que ce n’est pas un problème d’importer de la nourriture produite avec des moyens interdits en Europe qui ne respectent pas nos critères et standards de qualité ! », explique Arnaud Rousseau.

 

EDF : l’Assemblée nationale vote contre le démantèlement contre l’avis du gouvernement

EDF : l’Assemblée nationale vote contre le démantèlement contre l’avis du gouvernement

À l’occasion d’une discussion concernant le ‘bouclier tarifaire TPE (très petites entreprises) spécifique » pour aider les boulangers et autres artisans à faire face à leur facture d’électricité, les députés de l’opposition ont voté un texte contre le démantèlement d’EDF et cela contre l’avis du gouvernement.

Faute d’effectifs suffisants, les représentants de la majorité de l’assemblée nationale ont quitté la salle et l’amendement présenté par un socialiste a été adopté.

Le pouvoir était contre en raison de la charge financière pour l’Etat, estimée à 18 milliards d’euros par le ministre de l’Industrie Roland Lescure. Des arguments contestés par le président de la commission des Finances Eric Coquerel (LFI) et le rapporteur Philippe Brun (PS).

En cause aussi dans cette affaire la problématique de la régulation de l’électricité. C’est un effet depuis la libéralisation du secteur que nombre d’intermédiaires parasites ,ont provoqué l’envolée des prix pour les entreprises ( des prix qui parfois ont progressé de 50 % voire de 100 %). Notons que les particuliers, eux et les très petites entreprises, bénéficient de tarifs réglementés et de hausse limitée à 15 % par exemple en 2023.

Suspensions de séance et rappels au règlement se sont multipliés. A la reprise de l’une d’elles, Aurore Bergé a annoncé que la majorité présidentielle ne participerait plus aux débats. Les députés macronistes ont donc quitté l’hémicycle, laissant la voie libre à une adoption du texte. Le texte de Philippe Brun veut une « nationalisation réelle » d’EDF et empêcher tout risque de « démembrement ». En commission, il avait fait adopter son texte par une coalition de députés de l’opposition, y compris de droite.

La proposition de loi est examinée au moment où l’Etat tente déjà de mener à bien une offre publique d’achat (OPA) destinée à renationaliser le géant de l’électricité. Bercy a fait valoir mercredi que l’Etat détenait « 95,82% du capital », le reste de l’opération étant suspendu à une décision de la Cour d’appel de Paris sur le recours de certains actionnaires minoritaires. L’audience est prévue le 23 mars et la décision doit être rendue au plus tard le 2 mai.

Pour Philippe Brun, l’OPA laisse la possibilité de « démanteler » le groupe, soupçonnant l’exécutif de ne pas avoir renoncé à un projet controversé de restructuration impliquant la séparation des activités nucléaires, hydroélectriques et renouvelables.

Superprofits : les députés pour une taxe contre l’avis du gouvernement

Superprofits : les députés pour une taxe contre l’avis du gouvernement


Encore une gifle reçue par le gouvernement à l’Assemblée nationale et ce n’est sans doute pas la dernière. Non seulement le gouvernement est coincé actuellement dans la rue ( Par les grévistes et par les automobilistes immobilisés) mais il l’ est également à l’occasion du vote de budget concernant les superprofits. Jusque-là en effet le gouvernement contrairement à d’autres pays s’est toujours refusé à taxer ses superprofits exceptionnelle dont beaucoup de sont directement liés d’ailleurs à l’inflation et non à une meilleure gestion des entreprises. C’est le cas évidemment en particulier dans le pétrole.

Les députés ont évidemment en tête le risque de développement du mécontentement social de salariés qui sont victimes de l’inflation et souhaite une revalorisation des salaires.
L’Assemblée nationale a donc adopté un amendement déposé par les élus MoDem et soutenu par LFI et le RN. 227 députés ont voté pour, 88 contre.

Les députés ont voté pour un amendement déposé par Jean-Paul Mattei, président du groupe MoDem, visant à introduire une « flat tax » à 35% sur les super-dividendes versés supérieurs de 20% à la moyenne des revenus distribués entre 2017 et 2021 au sein d’une entreprise.

227 parlementaires ont voté pour cet amendement, et 88 contre. Dans le détail, RN et la Nupes (LFI, PCF, EELV et PS) ont voté pour.

La majorité présidentielle s’est fracturée, le MoDem votant évidemment pour et Renaissance étant divisé: 19 membres du parti présidentiel ont soutenu la mise en place de cette taxe, y compris Freddy Sertin, suppléant d’Elisabeth Borne.le suppléant de la Première ministre dans le Calvados, Freddy Sertin, fait partie des députés qui se sont affranchis des consignes du gouvernement en votant en faveur de cet amendement
« Je suis fier d’avoir voté cet amendement, car c’est l’essence de ce que nous sommes au MoDem : un parti qui souhaite que la valeur soit bien partagée dans notre pays, explique le député MoDem Erwan Balanant. On s’est regardés avec quelques députés, en se disant qu’on allait le voter », raconte pour sa part le nouveau député Renaissance Benoît Bordat, qui assume sa place dans l’aile gauche de la macronie. « Je soutiens le gouvernement, mais vis-à-vis de l’opinion publique, il y a aussi des symboles. Et on ne peut pas dire que nos alliés du MoDem soient de dangereux gauchistes. »

Superprofits : les députés veulent une taxe contre l’avis du gouvernement

Superprofits : les députés veulent une taxe contre l’avis du gouvernement

Encore une gifle reçue par le gouvernement à l’Assemblée nationale et ce n’est sans doute pas la dernière. Non seulement le gouvernement est coincé actuellement dans la rue ( Par les grévistes et par les automobilistes immobilisés) mais il l’ est également à l’occasion du vote de budget concernant les superprofits. Jusque-là en effet le gouvernement contrairement à d’autres pays s’est toujours refusé à taxer ses superprofits exceptionnelle dont beaucoup de sont directement liés d’ailleurs à l’inflation et non à une meilleure gestion des entreprises. C’est le cas évidemment en particulier dans le pétrole.

Les députés ont évidemment en tête le risque de développement du mécontentement social de salariés qui sont victimes de l’inflation et souhaite une revalorisation des salaires.
L’Assemblée nationale a donc adopté un amendement déposé par les élus MoDem et soutenu par LFI et le RN. 227 députés ont voté pour, 88 contre.

Les députés ont voté pour un amendement déposé par Jean-Paul Mattei, président du groupe MoDem, visant à introduire une « flat tax » à 35% sur les super-dividendes versés supérieurs de 20% à la moyenne des revenus distribués entre 2017 et 2021 au sein d’une entreprise.

227 parlementaires ont voté pour cet amendement, et 88 contre. Dans le détail, RN et la Nupes (LFI, PCF, EELV et PS) ont voté pour.

La majorité présidentielle s’est fracturée, le MoDem votant évidemment pour et Renaissance étant divisé: 19 membres du parti présidentiel ont soutenu la mise en place de cette taxe, y compris Freddy Sertin, suppléant d’Elisabeth Borne.

USA: opposition des sénateurs républicains sur la hausse de l’aide aux particuliers….. contre l’avis de Trump

USA: opposition des sénateurs républicains sur la hausse de l’aide aux particuliers….. contre l’avis de Trump

Nouveau rebondissement aux États-Unis alors qu’un accord se profilait sur le plan de relance entre démocrates et républicains contre l’avis initial de l’actuel président des États-Unis, ce sont maintenant les sénateurs républicains qui s’opposent à une partie de ce plan concernant l’aide aux particulier et contre l’avis de Trump  (qui a changé d’opinion).

On se demande si les républicains n’ont pas été contaminés par la folie de Trump .

Le plan budgétaire d’environ 900 milliards de dollars approuvé la semaine dernière par le Congrès pour compenser l’impact de la crise du coronavirus prévoit un chèque de 600 dollars pour les particuliers.

Donald Trump a menacé la semaine dernière de ne pas ratifier ce nouveau plan de relance si le Congrès n’augmentait pas le montant de l’aide directe aux Américains.

Le président sortant a finalement fait marche arrière dimanche, alors que la menace d’une fermeture partielle des administrations (“shutdown”) se faisait de plus en plus précise, le texte voté au Congrès prévoyant aussi 1.400 milliards de dollars de financements fédéraux.

Mais les élus démocrates, qui souhaitaient de longue date une aide directe aux Américains de 2.000 dollars, ont utilisé l’un de leurs rares points de convergence avec Donald Trump pour organiser lundi un vote sur cette proposition.

D’après la commission bipartite des impôts, qui prépare l’estimation des coûts des projets de loi présentés au Congrès, quelque 464 milliards de dollars seront nécessaires pour financer la proposition.

Le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuck Schumer, a fait part de son intention de voter la hausse de l’aide directe. Le chef de la majorité républicaine, Mitch McConnell, n’a pas évoqué de possible vote après avoir salué la ratification du projet de loi par Donald Trump.

En plus de la question du plan de relance, le Sénat doit se prononcer sur le veto opposé par Donald Trump au projet de budget de la Défense pour 2021. Un vote est attendu dans la semaine, après que la Chambre des représentants s’est prononcée lundi pour contourner le veto du président sortant. Bref politiquement, c’est en ce moment une grande confusion qui règne aux États-Unis en attendant la mise en place de Joe Biden.

Mali: le gouvernement militaire négocie avec les terroristes contre l’avis de la France

Mali: le gouvernement militaire négocie avec les terroristes contre l’avis de la France

 

On peut réellement s’interroger sur ce que fait encore la France au Mali avec la force Barkhane. En effet, le  pouvoir militaire est en train d’entamer des discussions avec des terroristes dans les vastes zones proches de l’Algérie là où se trouve des territoires peuplés de terroristes et considérées comme ingérables. L’objectif serait de faire des concessions aux terroristes en leur accordant un droit de gestion sur ces territoires éloignés qui deviendraient alors une sorte de réservoirs de rebelles que par ailleurs la France devrait combattre avec la force par Barkhane.

Le pouvoir militaire serait même prêt à islamiser d avantage le Mali en reconnaissant l’islam comme religion majeure dans le pays. Autant de concessions que ne peut évidemment accepter la France et qui pourrait remettre en cause la présence même de Barkhane.

Le Premier ministre par intérim du Mali s’est dit lundi ouvert à des discussions avec des rebelles islamistes, dont l’insurrection a rendu de vastes zones du pays ingouvernables, tandis que la France, son ancienne puissance coloniale, a fermement rejeté cette idée.

Le président déchu du Mali, renversé le 18 août par un coup d’Etat militaire, Ibrahim Boubacar Keïta, avait déclaré plus tôt cette année que son gouvernement était prêt à négocier avec les rebelles liés à Al-Qaïda. Cette stratégie a été confirmée pendant les pourparlers nationaux qui ont suivi le coup d’État.

Les responsables maliens ont fourni peu de détails sur les compromis qui pourraient être faits, mais certains partisans des négociations ont déclaré qu’ils pourraient inclure une plus grande reconnaissance de l’Islam dans la vie publique.

“Les conclusions des pourparlers nationaux (…) ont très clairement indiqué la nécessité d’une offre de dialogue à ces groupes armés”, a déclaré le Premier ministre par intérim Moctar Ouane lors d’une conférence de presse avec le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, en visite pour deux jours à Bamako.

“Nous devons y voir une opportunité d’engager des discussions de grande envergure avec les communautés afin de redéfinir les contours d’une nouvelle gouvernance dans les zones concernées”, a-t-il ajouté.




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