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Gifle à Macron : l’auteur fait appel

Gifle à Macron : l’auteur fait appel

De toute évidence la justice à deux visages, deux champs d’application et deux  vitesses. Ainsi l’auteur de la gifle à Macon aura été pratiquement jugée immédiatement et condamné. Certes le geste n’est pas très démocratique mais il n’y a pas non plus mort d’homme. Par ailleurs un président de la république n’a sans doute pas à se mêler sans raison à la foule surtout en contradiction des contraintes sanitaires.

Politiquement de toute manière cette gifle est bien méritée même si juridiquement , elle est condamnable. Une autre gifle vient d’être reçue par le président de la république lors des élections régionales où sont parti en marche  démontre son inexistence locale. L’auteur de la gifle a fait appel de sa condamnation surtout vis-à-vis des peines complémentaires à la prison. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme mais surtout à une interdiction définitive d’exercer dans la fonction publique, l’interdiction de détenir une arme pendant cinq ans et la privation des droits civiques, civils et familiaux pour trois ans.

Le gifleur  sans doute d’être condamné mais sans doute pas autant et surtout aussi vite. Dans le même temps Sarkozy, Macron lui-même, Tapie traînent des gamelles judiciaires depuis des mois et même parfois des dizaines d’années. Par exemple on ne sait toujours pas dans quelles conditions ont été financé les campagnes électorales de Macron. L’affaire Ferrand qui a permis à sa concubine de faire un petit bénéfice de 700 000 € a été enterrée. La plupart des affaires de Sarkozy traînent en longueur du fait des rapports particuliers de ces derniers avec le président de la république.

Non parlons pas de l’affaire Tapie, lui aussi proche de Macron. Une affaire où la ministre de l’économie a signé » imprudemment » ( terme employé par la Cour de justice qui a valu un rappel à l’ordre seulement de Christine Lagarde) un chèque de 400 millions. Encore une fois une gifle qui démocratiquement n’est pas justifiée mais un système juridique trop souvent aux ordres des plus puissants et qui peut aussi expliquer le désintérêt des Français pour la chose publique et les critiques sur le fonctionnement de l’État.

Attaque d’une policière à La Chapelle-sur-Erdre : toujours le même profil pour l’auteur

Attaque d’une policière à La Chapelle-sur-Erdre : toujours le même profil pour l’auteur

Encore un délinquant bien connu d’origine étrangère, psychologiquement dérangée tissée  notamment radicalisé en prison.. D’origine sénégalaise, l’homme de 39 ans est né à Saint-Nazaire, deuxième d’une frarie de huit enfants. Ses antécédents judiciaires sont nombreux : 72 mentions au total, pour des faits allant de l’usage de stupéfiants et du vol avec arme, à des violences volontaires. Sorti de prison en mars dernier, il avait été condamné par la cour d’assises du Nord à huit ans de détention après avoir séquestré, armé d’un fusil, un couple de personnes âgées à qui il espérait dérober de l’argent.

L’intéressé était inscrit dans le Fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), un fichier créé en mars 2015 et qui recense, selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, un peu plus de 8.000 individus connus pour des positions extrêmes et susceptibles de menacer la sûreté de l’État.

 Ndiaga Dieye semble avoir, d’après le procureur, respecté scrupuleusement ses obligations de réinsertion et de soin en prenant son traitement et en rencontrant le service pénitentiaire d’insertion et de probation. En réalité, un parcours d’insertion relativement virtuel comme pour la plupart des détenus.

FÉMINICIDE À HAYANGE: L’auteur considéré comme non-violent !

FÉMINICIDE À HAYANGE: L’auteur considéré comme non-violent !

 

Les responsables de l’enquête affirment que l’auteur n’était pas repéré comme non-violent. Pourtant, la jeune femme avait pourtant déposé plainte le 3 novembre dernier contre son conjoint pour menaces de mort réitérées. Une main courante pour des faits similaires avait également été déposée.

Le 23 novembre dernier, le jeune homme avait été interpellé dans le cadre d’une autre affaire (délits routiers graves, outrage, rodéo automobile). Pour ces faits distincts des menaces de mort, il avait été condamné par le tribunal judiciaire de Thionville à un an de prison ferme avec mandat de dépôt, avant d’en ressortir le 12 mai dernier avec un placement sous bracelet électronique. Ce placement s’était toutefois effectué au domicile de la victime, avec qui il vivait en concubinage, et ce malgré la plainte de fin 2020.

 

 




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