Archive pour le Tag 'l’Assemblée'

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Dissolution de l’assemblée : 43 % des Français pour

Dissolution de l’assemblée : 43 % des Français pour

L’idée d’une dissolution fait son chemin surtout chez le président de la république qui constate que le Parlement bloque en tout cas retarde sa politique. Progressivement les Français semblent se faire à cette idée dont les conséquences pourraient être graves pour les formations de gauche actuellement très divisées et peu audibles dans l’opinion.

Selon le sondage Ifop pour le JDD, 43 % des Français se disent favorables à une dissolution de l’Assemblée nationale.

Dépourvu d’une majorité absolue et en parallèle de l’utilisation à plusieurs reprises de l’article 49-3 de la Constitution, Emmanuel Macron a récemment brandi la menace d’une dissolution de l’Assemblée nationale. Une éventualité matière à débat et à spéculation électorale, qui signifierait le renvoi des Français aux urnes pour de nouvelles élections législatives moins de six mois après l’élection de juin. Cette possibilité divise fortement les Français, dont une majorité relative – là aussi – se montre favorable à une dissolution (43 %) tandis qu’un petit tiers (32 %) s’y déclare opposé.

Avenir du Ferroviaire : le gouvernement refuse le plan de soutien voté à l’Assemblée nationale

Avenir du Ferroviaire : le gouvernement refuse le plan de soutien voté à l’Assemblée nationale

Le gouvernement encore été pris au dépourvu avec le vote surprise de l’Assemblée nationale concernant un soutien supplémentaire au développement du ferroviaire. En toute fin de nuit ce dernier lundi, les députés ont adopté par 78 voix contre 54 un amendement prévoyant trois milliards d’euros supplémentaires pour le développement du rail en France. Un amendement qui n’avait pas le soutien de l’exécutif. De toute manière comme le gouvernement entend utiliser le 49–3, cet amendement sera rejeté.

Reste que le pouvoir est encore interrogé sur sa volonté réelle de transition écologique. Le train est en effet le seul mode alternatif écologique à la voiture pour les longues distances et certains trajets régionaux.

Le système ferroviaire souffre de toute évidence d’un manque d’adaptation liée aux insuffisances d’ investissements mais aussi à un manque de dynamisme et d’innovation de l’entreprise.S ans parler d’une gestion assez laxiste.

Le problème actuellement, c’est que ce pouvoir traite des modes de transport de manière isolée et n’aborde pas de façon globale la problématique intermodale des transports. Tout se résume essentiellement pour l’instant la substitution de la voiture électrique au moteur thermique. Une nécessité peut-être avec une généralisation possible mais pas avant 2050 et encore car d’ici là la filière hydrogène pourrait devenir opérationnelle. Or la question essentielle est surtout de développer des transports de substitution à l’automobile chaque fois que possible.

Défendu par le PS, LFI et LR, cet amendement a vocation à « investir » dans le train au moment où les rapports concernant le manque d’investissements dans le réseau ferroviaire se multiplient tout comme les appels du pied de la SNCF.

Cette adoption a provoqué les railleries de Clément Beaune, ministre des Transports. « Les milliards volent en escadrille (…) C’est magique, c’est gratuit, c’est Halloween, c’est le contribuable qui paye ».

Reste que le gouvernement aura la possibilité d’écarter cet amendement puisqu’il a l’intention d’actionner à nouveau le 49.3 pour faire adopter sans vote ce volet dépenses du budget de l’Etat.
Rappelons que le patron de la SNCF a chiffré le besoin d’investissement dans le ferroviaire à environ 100 milliards d’euros supplémentaires sur 15 ans afin de contribuer à la décarbonation des transports en doublant la part du train.

Dans une tribune publiée par Le Monde en juillet dernier et adressée à la Première ministre, Jean Rottner, président de la région Grand-est affichait clairement son inquiétude, estimant que sans « sursaut » financier, il faudra s’attendre à « des fermetures de lignes de plus en plus nombreuses ».

« Soyons clairs, le vieillissement du réseau entraînera très vite des fermetures de lignes de plus en plus nombreuses (…) La conséquence est simple: le système pousse à réduire les circulations et toute politique d’accroissement de l’offre est vouée à l’échec. J’en appelle à un sursaut pour sauver le ferroviaire français dont le modèle est à bout de souffle », s’inquiètait-t-il.

Ferroviaire : le gouvernement refuse le plan de soutien voté à l’Assemblée nationale

Ferroviaire : le gouvernement refuse le plan de soutien voté à l’Assemblée nationale

Le gouvernement encore été pris au dépourvu avec le vote surprise de l’Assemblée nationale concernant un soutien supplémentaire au développement du ferroviaire. En toute fin de nuit ce lundi, les députés ont adopté par 78 voix contre 54 un amendement prévoyant trois milliards d’euros supplémentaires pour le développement du rail en France. Un amendement qui n’avait pas le soutien de l’exécutif. De toute manière comme le gouvernement entend utiliser le 49–3, cet amendement sera rejeté.

Reste que le pouvoir est encore interrogé sur sa volonté réelle de transition écologique. Le train est en effet le seul mode alternatif écologique à la voiture pour les longues distances et certains trajets régionaux.

Le système ferroviaire souffre de toute évidence d’un manque d’adaptation liée aux insuffisances d’ investissements mais aussi à un manque de dynamisme et d’innovation de l’entreprise.

Le problème actuellement c’est que ce pouvoir traite des modes de transport de manière isolée et n’aborde pas de façon globale la problématique intermodale des transports. Tout se résume essentiellement pour l’instant la substitution de la voiture électrique au moteur thermique. Une nécessité peut-être avec une généralisation possible mais pas avant 2050 et encore car d’ici là la filière hydrogène pourrait devenir opérationnelle. Or la question essentielle est surtout de développer des transports de substitution à l’automobile chaque fois que possible.

Défendu par le PS, LFI et LR, cet amendement a vocation à « investir » dans le train au moment où les rapports concernant le manque d’investissements dans le réseau ferroviaire se multiplient tout comme les appels du pied de la SNCF.

Cette adoption a provoqué les railleries de Clément Beaune, ministre des Transports. « Les milliards volent en escadrille (…) C’est magique, c’est gratuit, c’est Halloween, c’est le contribuable qui paye ».
Reste que le gouvernement aura la possibilité d’écarter cet amendement puisqu’il a l’intention d’actionner à nouveau le 49.3 pour faire adopter sans vote ce volet dépenses du budget de l’Etat.
Rappelons que le patron de la SNCF a chiffré le besoin d’investissement dans le ferroviaire à environ 100 milliards d’euros supplémentaires sur 15 ans afin de contribuer à la décarbonation des transports en doublant la part du train.

Dans une tribune publiée par Le Monde en juillet dernier et adressée à la Première ministre, Jean Rottner, président de la région Grand-est affichait clairement son inquiétude, estimant que sans « sursaut » financier, il faudra s’attendre à « des fermetures de lignes de plus en plus nombreuses ».
« Soyons clairs, le vieillissement du réseau entraînera très vite des fermetures de lignes de plus en plus nombreuses (…) La conséquence est simple: le système pousse à réduire les circulations et toute politique d’accroissement de l’offre est vouée à l’échec. J’en appelle à un sursaut pour sauver le ferroviaire français dont le modèle est à bout de souffle », s’inquiètait-t-il.

Budget 2023–2027: une trajectoire financière illusoire rejetée par l’Assemblée

Budget 2023–2027: une trajectoire financière illusoire rejetée par l’Assemblée

La trajectoire financière du gouvernement pour la période 2023–2027 est complètement illusoire que l’assemblée a rejeté les orientations du gouvernement. Pour l’essentiel cette trajectoire financière prévoyait de ramener le déficit public à moins de 3 % du produit intérieur brut alors qu’en 2021 ce déficit est de 6,1 %. Par ailleurs, la dérive sera toujours importante en 2022 mais surtout à partir de 2023 en raison de la baisse d’activité économique d’une part et de la sous-estimation des dépenses publiques.

En réalité ses propositions de trajectoire financière sont surtout dessinées à faire croire à Bruxelles que la France est bien décidée à rétablir ses grands équilibres. Une promesse souvent faite mais rarement réalisée.En outre, sur la période indiquer il faudra tenir compte du gonflement de la dette provoquée par la remontée des taux d’intérêt qui va faire croître de manière inquiétante la charge financière supportée par le budget pour le remboursement des emprunts.Par 243 voix pour, 309 contre, les députés ont rejeté ce mardi en première lecture le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027. C’est une première, qui était attendue, toutes les oppositions s’étant liguées contre le texte. Lors de son examen en séance la semaine dernière, le projet de loi avait déjà été largement dénaturé. Les articles, très politiques, demandant des efforts financiers aux collectivités locales ayant été notamment été supprimés.
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« C’est un rejet qui était attendu, a commenté Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics (…), alors que le projet avait été rejeté en commission des finances le 4 octobre dernier. Vous avez choisi de garder une cohérence, qui est celle de s’opposer quoi qu’il en coûte aux textes qui sont présentés par le gouvernement. » Le concept de loi de programmation des finances publiques a été introduit en 2008 dans le droit parlementaire. Malgré cette entorse, l’exécutif a déjà annoncé la couleur : il n’utilisera pas l’article 49-3 de la Constitution pour faire adopter le projet de loi, comme pour le budget. L’impact d’un rejet est en effet limité en France.

C’est à Bruxelles que cela pose essentiellement problème. Le pacte budgétaire européen, un traité adopté en pleine crise des dettes souveraines en 2012, impose en effet aux États membres de publier à intervalles réguliers de tels textes. Le rejet pourrait aussi faire sourciller les investisseurs soucieux de la crédibilité de la France en matière de gestion des finances publiques. Le texte prévoyait notamment de ramener le déficit public à moins de 3 % du produit intérieur brut (PIB) d’ici à cinq ans.

L’Assemblée nationale a voté une nouvelle modulation des règles d’indemnisation.

L’Assemblée nationale a voté une nouvelle modulation des règles d’indemnisation.

Ce texte constitue la première étape du vaste projet de réforme du marché du travail qui, selon le gouvernement, doit mener vers le plein-emploi d’ici à 2027. Il prévoit notamment de changer les règles d’indemnisation pour en moduler la durée en fonction de l’état du marché du travail.

Le gouvernement a durci le texte en incorporant des dispositions sur les abandons de poste. Actuellement, les salariés qui quittent leur emploi sans préavis doivent ensuite être licenciés par leur employeur, ce qui leur permet de bénéficier des indemnités chômage. Les députés Ensemble citoyens (Renaissance, MoDem et Horizons) et LR, qui assurent à l’unisson s’appuyer sur des « retours de terrain » et des « témoignages d’employeurs », ont déposé des amendements communs, travaillés avec le gouvernement en amont, pour créer une « présomption de démission » qui bloquerait donc l’ouverture des droits.

Le vice-président LREM de l’Assemblée Hugues Renson dénonce le rôle croupion des députés et renonce à se représenter

Le vice-président LREM  de l’Assemblée Hugues Renson dénonce le rôle croupion des députés et renonce à se représenter

Le vice-président de l’Assemblée Dénonce le rôle de chambre d’enregistrement de décisions élaborées ailleurs ».

« Le Parlement ne fonctionne plus comme il le devrait ». Hugues Renson, vice-président LREM de l’Assemblée nationale, a annoncé mercredi 16 février son intention de ne pas se représenter lors des prochaines législatives.

Député de Paris et co-fondateur d’En commun, mouvement incarnant l’aile gauche de la majorité, Hugues Renson affirme que sa décision est « un acte politique mûrement réfléchi ».  »Elle est à la fois le fruit d’un doute sur la recomposition politique et le projet progressiste tels que je les avais envisagés, d’une inquiétude sur l’évolution de notre démocratie parlementaire, et une alerte, aussi, sur les dérives de notre système politico-médiatique »écrit-il sur son site internet.

 

Le délit d’«écocide» voté à l’assemblée

Le délit d’«écocide» voté à l’assemblée

l’assemblée se fait encore plaisir avec le vote d’un concept d’écocide  mais en vidant l’idée de tout SON CONTENU. Précédemment on parait  de crime d’ ECOCIDE. Un crime transformé en délit et qui finira pour certains par des contraventions en cas  D’infraction .

De toute façon la définition est tellement floue qu’on pourra accuser tout le monde ou personne avec un tel texte de loi. Toute activité humaine a par définition un impact sur l’environnement y compris quand on respire, quand on se déplace, quand on se loge ou quand on se restaure. La grande question est de savoir à quel État d’artificialisation  de l’environnement on se réfère. A l’ère néandertalienne, , avant l’ère industrielle ou depuis que les écolos bobos ont découvert les vertus de la nature. Bref , ce délit constitue un écran de fumée pour faire semblant surtout de satisfaire les très agités membres de la Convention citoyenne choisis au hasard mais qui ne représente pourtant pas la sociologie du pays

 

Comme d’habitude en France à défaut d’action on utilise le subterfuge d’une réglementation inapplicable éventuellement injuste et contre-productive. La création de ce nouveau délit, l’une des mesures phares du projet de loi «Climat et résilience» examiné en commission spéciale, avait été jugée sévèrement tant par les membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC) que par les juristes du Conseil d’Etat. Les premiers, qui avaient réclamé la création d’un «crime» d’écocide, lui avaient attribué la note de «2,7/10» au moment d’évaluer la transposition des propositions de la CCC dans le texte de loi. Les seconds avaient pointé le risque d’inconstitutionnalité de cette mesure jugée confuse et mal ficelée. Remarquons qu’on a quand même assortie le délit d’une possibilité de 10 ans de prison. Une sentence qui pourrait être prononcée contre la plupart des inventeurs des technologies depuis environ un siècle. Le pire c’est que la sanction tiendra compte du caractère d’intentionnalité. Il faudra par exemple remonter à la responsabilité de celui ou de ceux qui ont inventé l’automobile ou la domestication du bœuf. Heureusement il semble bien que cette bouillie législative ne pourra pas être appliquée de manière rétroactive. Ainsi pourront être exonéré de responsabilité nos ancêtres néandertaliens et l’Homo sapiens ayant inventé les premiers outils.

Micro loi Climat: votée sans enthousiasme par l’assemblée

Micro loi Climat: votée sans enthousiasme par l’assemblée

 

La micro loi a été adopté par l’assemblée avec Conformément aux préconisations de la Convention citoyenne (CCC) avec l’introduction de «garantie» de «la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique». Cette loi se caractérise par insuffisance  et dans d’autres domaines par son excès. Bref une noix surtout politique pour donner l’impression aux membres de la Convention citoyenne et aux écolos bobos que la problématique environnementale sera mieux prise en charge. Le concept de garantie de la préservation de l’environnement, concept au demeurant flou devrait aussi faire l’objet d’un référendum. Mais la question se pose quand d’une part parce que ce référendum risque d’être très dangereux et que le calendrier politique permettra sans doute pas d’inscrire un référendum plébiscite sans beaucoup d’intérêt.

Climat : l’Assemblée adopte une phrase inutile

Climat : l’Assemblée adopte une phrase inutile

 

La France « garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique ». C’est la phrase adoptée dans l’article de la loi sur le climat qui devrait faire ultérieurement l’objet d’un référendum. Autant dire une phrase qui ne sert strictement à rien puisque un engagement  du même type figure déjà dans des textes ayant valeur constitutionnelle.

Un peu toujours la même maladie réglementaire en France : masquer l’inaction en multipliant les textes notamment législatifs.

C’est le genre de phrase d’une généralité désarmante et insipide qui n’engage strictement à rien. Justement la pour faire semblant de donner raison aux écolos bobos notamment de la Convention citoyenne. Il n’y a rien de précis, de concret et d’efficace dans cette affirmation véritable promesse de coiffeur.

Le pire dans l’affaire c’est que le ministre de la justice Moretti qu’on a connueplus original s’enfonce dans la défense de ce texte INSIPIDE. La vraie question étant  de savoir si les pouvoirs publics veulent réellement agir et pas seulement défendre.

Ce que rappelle le président de la chambre haute, Gérard Larcher (LR), qui a mis en garde contre toute tentation de « faire un coup » et privilégie le verbe « agir » (pour l’environnement) à « garantir »« Si vous refusez de céder sur le verbe garantir, vous aurez un résultat zéro » vu les intentions du Sénat. « Vous aurez perdu beaucoup de temps », a relevé le député LR Julien Aubert.

Délit «séparatisme» : vote unanime de l’assemblée

Délit «séparatisme» : vote unanime de l’assemblée

Les députés ont adopté par 130 voix pour et 4 abstentions le délit de séparatisme. Il prévoit de punir de cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende toute personne menaçant, violentant ou intimidant un élu ou un agent du service public dans le but de se soustraire totalement ou partiellement aux règles des services publics. Si l’infraction est commise par un étranger, une interdiction du territoire français pourra être prononcée.

Ces dispositions doivent permettre de pénaliser la pression communautariste et font partie des mesures préparées par le gouvernement après l’assassinat en octobre dernier de l’enseignant Samuel Paty, qui avait subi des menaces après avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves. Les parlementaires ont longuement débattu de l’accompagnement des agents. Ils avaient déjà ajouté en commission que l’administration elle-même pourrait déposer plainte face à de telles menaces, violences ou intimidations à l’égard d’un de ses agents.

Le gouvernement perd ses nerfs à l’assemblée

Le gouvernement perd ses nerfs à l’assemblée

 

Visiblement le gouvernement éprouve un peu de difficulté à maîtriser ses nerfs face à différentes vagues de critiques aussi bien politiques que professionnelles sur la manière dont il conduit à la fois la crise sanitaire et la politique économique qui en découle. Une première fois Olivier Véran avait invité les députés à sortir de l’assemblée s’il ne comprenait pas les enjeux sanitaires. Une curieuse injonction pour un responsable en fait non élu s’adressant à des représentants de la république eux élus en bonne et due forme.

C’est aussi le Premier ministre qui manifeste une grande fébrilité en s’adressant de manière un peu ridicule et colérique à l’assemblée pour justifier les choix du gouvernement notamment en ce qui concerne l’ouverture des commerces et la politique hospitalière

Dans ce dernier cas de figure, Castex confirme qu’il ne parvient pas à imprimer dans l’opinion publique et dans la classe politique. Visiblement le costume est bien trop grand pour l’intéressé. Castex veut se faire le porte-voix de Macron et néglige notamment, comme son patron, les corps intermédiaires, les élus et plus généralement l’opinion. Une situation dont Macron et surtout responsable avec sa manie d’aller chercher des responsables venus de nulle part non seulement à l’Assemblée nationale mais aussi au sein de son gouvernement et même comme Premier ministre.

À cet égard, il y a lieu de s’interroger sur la décision de Macron de mettre fin au mandat d’Édouard Philippe qui lui au moins avait le mérite de présenter une certaine stature, une certaine autorité et une certaine expérience même si évidemment il y avait matière à être opposé à certaines orientations.

Lagardère : l’assemblée générale refusée par la justice mais la guerre continue

Lagardère : l’assemblée générale refusée par la justice mais la guerre continue

 

 

Comme pour Veolia, Lagardère risque de s’enliser dans les méandres judiciaires. En effet, Bolloré et le fonds Ambert avait demandé une assemblée générale que refuse Lagardère. Le tribunal de commerce de Paris a tranché a balayé la demande de Vivendi et Amber, respectivement actionnaires de Lagardère à hauteur de 26% et 20%, d’organiser une assemblée générale exceptionnelle.

La justice a considéré que les deux groupes « ne démontrent pas avec l’évidence requise qu’ils poursuivent un autre but que celui de leurs intérêts propres », . Mais Bolloré a bien l’intention de faire appel tandis que Lagardère-récemment encore renforcé par le groupe Arnault–recherche aussi les moyens juridiques de combattre cette mainmise sur son groupe.

Il n’est pas impossible qu’on assiste comme pour Veolia Suez à la mise à l’abri juridique de certaines activités et à de nouveaux renforcements du capital par des nouveaux venus.

Coronavirus: L’état d’urgence sanitaire restauré sans débat à l’assemblée

Coronavirus: L’état d’urgence sanitaire restauré sans débat à l’assemblée

 

On se demande pourquoi l’Assemblée nationale continue ses travaux. D’abord parce que  finalement avec Macron elle ne sert à peu près à rien puisque la majorité a seulement pour mission d’approuver les textes du gouvernement. Une situation encore aggravée avec le Coronavirus. Ainsi le gouvernement sans consultation aucune du Parlement décide de restaurer l’urgence sanitaire. Bref la démocratie par décret.

Observons que pendant ce temps-là l’assemblée nationale fait semblant de discuter du un budget de 2021 complètement obsolète avec les orientations annoncées par le chef de l’État. Ce qu’a d’ailleurs reconnu secrétaire d’État des relations avec le Parlement.

On comprend évidemment le caractère d’urgence des mesures à prendre pour traiter la situation sanitaire mais cela n’est pas contradictoire avec l’ouverture d’un débat à l’assemblée. Le gouvernement a donc décidé mercredi par décret de rétablir l’état d’urgence sanitaire en France à partir de samedi en raison de l’épidémie due au nouveau coronavirus, peut-on lire dans le compte-rendu du conseil des ministres.

“Eu égard à sa propagation sur le territoire national, telle qu’elle ressort des données scientifiques disponibles, l’épidémie de covid-19 constitue une catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population”, dit le communiqué.

“Elle justifie que l’état d’urgence sanitaire soit déclaré afin que les mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu puissent être prises.”

Conclusion : on ferait mieux de mettre l’Assemblée nationale et plus généralement le Parlement en congé !

Société– Syndicaliste voilée à l’assemblée: une provocation de l’UNEF

Société– Syndicaliste voilée à l’assemblée: une provocation de l’UNEF

Une provocation de plus de l’UNEF qui se fait représenter à l’Assemblée nationale par une femme voilée dans le cadre du débat sur la crise sanitaire. La preuve d’une nouvelle dérive gauchiste et communautariste du syndicat étudiant. L’UNEF qui a longtemps dominé le paysage syndical chez les étudiants est désormais passée derrière l’autre syndicat Fage en terme de représentativité en raison notamment de son positionnement politique à l’extrême gauche.

 

«Je ne peux accepter qu’au sein de l’Assemblée nationale, le cœur battant de la démocratie (…), nous acceptions qu’une personne se présente en hijab devant une commission d’enquête», a dénoncé , Anne-Christine Lang député ), a quitté ce jeudi la commission parlementaire qui avait pour but de «mesurer et prévenir les effets l’ancienne porte-parole de Cédric Villani lors des élections municipales. D’autres députés ont également quitté la séance.

«En tant que députée et féministe, attachée aux valeurs républicaines, à la laïcité et aux droits des femmes, je ne peux accepter qu’une personne vienne participer à nos travaux à l’Assemblée nationale en hijab, qui reste pour moi une marque de soumission», a ensuite insisté Anne-Christine Lang sur Twitter.

En mai 2018, elle avait déjà pointé la «dérive de l’Unef» à la suite de la nomination de Maryam Pougetoux. Tout comme Marlène Schiappa, alors secrétaire d’État à l’Égalité femmes hommes.

 

Une syndicaliste voilée crée un scandale à l’assemblée

Une syndicaliste voilée crée un scandale à l’assemblée

Une provocation de plus de l’UNEF qui se fait représenter à l’Assemblée nationale par une femme voilée dans le cadre du débat sur la crise sanitaire. La preuve d’une nouvelle dérive gauchiste et communautariste du syndicat étudiant. L’UNEF qui a longtemps dominé le paysage syndical chez les étudiants est désormais passée derrière l’autre syndicat Fage en terme de représentativité en raison notamment de son positionnement politique à l’extrême gauche.

«Je ne peux accepter qu’au sein de l’Assemblée nationale, le cœur battant de la démocratie (…), nous acceptions qu’une personne se présente en hijab devant une commission d’enquête», a dénoncé , Anne-Christine Lang député ), a quitté ce jeudi la commission parlementaire qui avait pour but de «mesurer et prévenir les effets l’ancienne porte-parole de Cédric Villani lors des élections municipales. D’autres députés ont également quitté la séance.

«En tant que députée et féministe, attachée aux valeurs républicaines, à la laïcité et aux droits des femmes, je ne peux accepter qu’une personne vienne participer à nos travaux à l’Assemblée nationale en hijab, qui reste pour moi une marque de soumission», a ensuite insisté Anne-Christine Lang sur Twitter.

En mai 2018, elle avait déjà pointé la «dérive de l’Unef» à la suite de la nomination de Maryam Pougetoux. Tout comme Marlène Schiappa, alors secrétaire d’État à l’Égalité femmes hommes.

 

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