Archive pour le Tag 'l’Assemblée'

Suppression par l’Assemblée nationale des Zones à faibles émissions

Suppression par l’Assemblée nationale des Zones à faibles émissions

La commission spéciale chargée d’étudier le projet de loi de « simplification » a voté mercredi la suppression des « Zones à faibles émissions » (ZFE), censées pousser les automobilistes à acheter des véhicules moins polluants, mais qui pénaliseraient les ménages modestes .

Contre l’avis du gouvernement, les députés ont adopté des amendements identiques de LR et du Rassemblement national, avec des voix issues des groupes macronistes, Horizons, UDR et des indépendants de Liot, et l’abstention de plusieurs députés de gauche.

La gauche elle-même est critique des ZFE. Elles « ont été développées sans aucun développement des alternatives efficaces à la voiture individuelle », a déploré en commission Sandrine Nosbé (LFI), qui s’est abstenue comme d’autres élus de son groupe, l’ex-insoumis Hendrik Davi (groupe écologiste), ou la socialiste Mélanie Thomin.

Les députés ont également adopté des amendements pour desserrer les contraintes des collectivités sur l’artificialisation des sols (ZAN).

L’Assemblée pour la saisie des avoirs russes

L’Assemblée pour la saisie des avoirs russes

Avec cette résolution les députés veulent peser sur le gouvernement. Notons que les extrémistes de gauche et de droite (LFI, PC , rassemblement national) ont comme à la veille de la deuxième guerre mondiale montrait leur penchant l’agresseur. Un curieux pacifisme qui masque en réalité un soutien à l’impérialisme de Poutine mais aussi le rapport plus qu’ambigu de ces organisations à la démocratie libérale.

Les députés ont adopté mercredi 12 mars une résolution sur le renforcement du soutien à l’Ukraine, contenant notamment un appel à la saisie des avoirs russes gelés, à laquelle s’oppose le gouvernement. Sur cette question, comme sur celle de la construction d’une Europe de la défense ou encore du soutien au processus d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne, l’hémicycle s’est toutefois montré divisé lors des débats, parfois houleux. Le texte a été adopté avec 288 voix pour, et 54 contre, avec le soutien notamment des députés macronistes, socialistes, écologistes, et des partis de droite Les Républicains et Horizons. La France insoumise (LFI) et des députés communistes ont voté contre. Le Rassemblement national (RN) s’est lui abstenu.

Ukraine: Intervention ferme et de haut niveau de Bayrou à l’assemblée

Ukraine:  Intervention ferme et de haut niveau de Bayrou à l’assemblée

De l’avis de la plupart des experts un peu objectifs, le Premier ministre a effectué un exercice de haut niveau devant l’Assemblée nationale à propos en particulier du conflit de l’Ukraine. Un discours qui part parenthèses dépasse sans doute aussi les compétences d’un premier ministre et qui touche largement à la zone de responsabilité du président lui-même. Dommage qu’une partie des extrêmes notamment à gauche n’est pas jugée bon d’être en nombre à l’assemblée. Encore une attitude irresponsable d’autant que le risque de conflit menace de plus en plus en Europe.

 

Pour preuve d’ailleurs dès lundi soir cette décision encore invraisemblable de Trump de suspendre immédiatement toute aide militaire à l’Ukraine. Comme une sorte d’invitation à Poutine d’en profiter pour enfoncer le clou de la défense ukrainienne et en profiter pour éjecter hélas Zelinsky. La donne s’est encore nettement durci avec un aliment complet des États-Unis sur la politique de Poutine. Les Européens vont être contraints de réagir encore effort ou bien d’accepter les risques de vassalisition y compris par la contrainte militaire.

François Bayrou parfaitement eut raison raison de signaler et de souligner avec force et pertinence la responsabilité de Poutine est désormais le basculement des équilibres du monde. Ce qui impose évidemment de garantir autrement la sécurité et la défense de l’Europe.

 

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

 

L’Assemblée nationale a rejeté l’article d’un projet de loi transposant cette échéance européenne de 2035en droit français.

Pourra-t-on toujours acheter des véhicules thermiques neufs en France après 2035 ? L’Assemblée nationale a voté, lundi 17 février, la suppression d’un article transposant cette nouvelle échéance européenne, à la place du précédent objectif de 2040. Les députés LR, RN et même une élue macroniste ont défendu contre l’avis du gouvernement des amendements de suppression de cette mesure, estimant que les constructeurs automobiles européens ne sont pas prêts et que les véhicules électriques sont encore trop chers.

Politique : Bayrou joue l’opinion publique contre les frondeurs de l’assemblée

 En engageant deux 49-3, Bayrou joue clairement l’opinion publique contre les frondeurs de l’assemblée. Mathématiquement , les frondeurs de gauche et de droite sont majoritaires. Cependant l’opinion publique ulcérée par l’attitude des députés risque d’annihiler les intentions de faire tomber toute suite le gouvernement. En clair les projets de loi de finances devraient passer et les motions de censure devraient être rejetées sauf revirement de dernière minute.

« Nous voici à l’heure de vérité. Aucun pays ne peut vivre sans budget », a justifié celui qui dirige le gouvernement depuis le 13 décembre en décidant l’adoption sans vote du texte issu des travaux de la Commission mixte paritaire (CMP), que Matignon n’a pas modifié.

« Est-ce que ce budget est parfait ? Non. (…) Mais c’est un équilibre. Nous sommes tous ensemble désormais devant notre devoir », a fait valoir François Bayrou.

Après avoir longuement négocié avec le gouvernement, le Parti socialiste (PS) a décidé de ne pas voter la censure promise par La France insoumise sur le PLF, écornant gravement l’alliance avec le parti de Jean-Luc Mélenchon au sein du Nouveau Front populaire (NFP), aux côtés des communistes et des écologistes.

« Nous sommes opposés au budget 2025 de François Bayrou mais la France a besoin d’un budget. Nous ne voterons donc pas la censure sur le budget Bayrou », écrit dans un communiqué le parti doté de 66 députés.

Le camp présidentiel veut croire que le besoin de stabilité exprimé par les Français empêchera toute censure, au moins pour l’instant.

« C’est un encouragement, pas un soulagement », a dit à Reuters le député MoDem Erwan Balanant à l’annonce de la « non-censure » du PS. « Il suffit d’aller dans nos campagnes, les gens en ont marre du bordel, ils veulent de la stabilité ».

Du côté de La France insoumise, la colère était palpable à l’image de la réaction du président de la Commission des Finances de l’Assemblée, Eric Coquerel.

« C’est extrêmement grave et j’espère que les députés socialistes ne suivront pas l’avis de leur parti », a-t-il dit à la presse dans les couloirs du Palais-Bourbon.

 

 

Bayrou à l’Assemblée : «un coté Joe Biden»?

 Bayrou à l’Assemblée : «un coté Joe Biden»?

Bayrou Ne s’est pas montré très à l’aise lors de la séance des questions à l’Assemblée nationale. Il a même paru un peu décalé, bref pas à la hauteur des enjeux et surtout de l’urgence sur certains problèmes notamment évidemment Mayotte. Bayrou sort de sa zone de confort en s’engageant sur le terrain de la responsabilité nationale et il devra sans doute montrer un peu plus de précision, de travail et même de cohérence s’il veut durer davantage que Barnier.

Un député écolo Benjamin Lucas a même estimé que Bayrou pouvait faire penser à Jo Biden. Invité de BFMTV, le député écologiste Benjamin Lucas a partagé à cet égard sa «stupéfaction»«Ne sachant pas s’il faut aller vite ou lentement», en référence au débit de parole singulier de François Bayrou, le parlementaire du Nouveau Front populaire (NFP) regrette que le premier ministre n’ait finalement «rien eu à dire». Puis s’est permis une comparaison osée entre le successeur de Michel Barnier et l’actuel président américain : «Il me fait penser à Joe Biden».

 

Dissolution de l’Assemblée nationale ?

Dissolution de l’Assemblée nationale ?

En l’état de la constitution, il faudra attendre l’été pour permettre d’organiser de nouvelles élections de l’Assemblée nationale. En attendant, l’assemblée risque d’être paralysée par les trois groupes qui s’y opposent. D’où cette idée d«autodissolution» de l’Assemblée nationale proposée par le député Stéphane Vojetta . Stéphane Vojetta, député des Français de l’étranger (apparenté au groupe macroniste), propose un nouveau concept : «l’autodissolution, ou la démission collective des 577 députés qui forment l’Assemblée nationale».

Emmanuel Macron étant obligé d’attendre le mois de juin 2025 pour redissoudre l’Assemblée, la situation de blocage dans l’hémicycle pose des difficultés au chef de l’État qui doit trouver la personnalité idoine au poste de premier ministre sans risque de censure. Si la piste d’un gouvernement technique, déjà évoquée cet été après les élections législatives, est toujours d’actualité, Stéphane Vojetta demande aux députés de «démissionner simultanément le 1er janvier pour permettre l’émergence d’une majorité claire.

Compte tenu des blocages cette idée est loin d’être saugrenue mais on voit mal beaucoup de députés couper la branche sur laquelle sont ainsi provisoirement pour beaucoup

Budget à l’assemblée : un débat pour rien

Budget à l’assemblée : un débat pour rien

Projet Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien. Finalement le débat à l’assemblée nationale n’aura servi à rien sinon qu’à ajouter incohérences, impôts et dépenses. Faute de temps, le projet de loi revient donc dans sa version initiale devant le Sénat qui doit reprendre le travail à zéro tellement la copie modifiée par l’assemblée est invraisemblable. Schématiquement elle se caractérise par des impôts et des dépenses supplémentaires.

 

La copie du gouvernement n’était déjà pas fameuse mais la copie modifiée est un modèle d’incompétence. Résultat : le texte initialement proposé par le gouvernement sera envoyé tel quel au Sénat, composé en majorité de Républicains. Une aubaine pour le gouvernement, qui n’a pas eu à dégainer plusieurs 49.3 et a plutôt misé sur le dépôt d’un grand nombre d’amendements afin de faire traîner les débats à l’Assemblée. Le PLFSS initial sera transmis au Sénat  et ce dernier aura 20 jours i pour l’examiner.

 

Devant ces mesures incohérentes, la Cour des comptes a publié mercredi un document alarmant sur la dégradation du déficit de la sécu dans les années à venir. « D’ici à 2028, la trajectoire financière de la Sécurité sociale continuerait de se dégrader, le déficit annuel atteindrait 19,9 milliards d’euros. L’accumulation de tels déficits, sans solution de financement, conduit à la reconstitution d’une nouvelle dette sociale qui atteindrait, d’ici à 2028, près de 100 milliards d’euros », anticipe-t-elle.

En cause, un effet de ciseau entre un niveau de recettes mal anticipées et une dynamique des dépenses de santé insuffisamment maîtrisée. Le vieillissement de la population ainsi que la baisse du nombre d’actifs qui se profilent vont également rajouter du poids dans les dépenses de l’Assurance maladie. Pour la Cour des comptes, la seule solution est « une stratégie pluriannuelle de redressement des comptes sociaux ».Des observations qui valent aussi pour le budget général.

 

 

Le budget dingo rejeté par l’Assemblée nationale

Le budget dingo rejeté par  l’Assemblée nationale

 

Ce budget complètement dingo a été rejeté par l’Assemblée nationale. Rien d’étonnant à cela dès le départ la proposition du gouvernement était déjà en contradiction avec ses propres objectifs ( notamment augmentation préférée des impôts par rapport à la réduction des dépenses). Ensuite les différents courants de l’assemblée de manière complètement contradictoire et souvent paradoxale n’ont eu de cesse de compléter le texte initial déjà bancal avec des impôts supplémentaires.

Du coup en finale la droite a rejeté ce « budget de gauche « incohérent et irresponsable. Le texte initial du gouvernement va donc être expédié au Sénat dans sa forme initiale pour un réexamen complet. Ensuite interviendra une réunion interparlementaire avant sans doute le recours aux 49 -3. On voit mal d’ailleurs comment Sénat et Assemblée nationale pourraient trouver un compromis cohérent visant en particulier au désendettement et à la réduction du déficit budgétaire. Bref le débat à l’Assemblée nationale n’a servi strictement à rien.

La partie « recettes » du texte a été approuvé par 192 députés, issus du Nouveau Front populaire, contre 362, membres des quatre groupes de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national et de ses alliés ciottistes.

Une majorité de députés rejette le matraquage fiscal et ne peut pas légiférer contre le droit », a aussitôt réagi le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, à l’issue du scrutin.

« La culture de compromis et de coalition ne s’est pas vue. Je le regrette. L’examen du texte au Sénat va permettre de retrouver des amendements discutés à l’Assemblée nationale. Ce travail n’a pas servi à rien », a-t-il poursuivi devant un hémicycle bondé, après une séance de questions au gouvernement.

Le gouvernement Barnier s’apprête donc à retrouver une version du texte qu’il avait présentée il y a un mois jour pour jour après moults reports.

Budget à l’assemblée : un débat pour rien

Budget à l’assemblée : un débat pour rien

Projet Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien. Finalement le débat à l’assemblée nationale n’aura servi à rien sinon qu’à ajouter incohérences, impôts et dépenses. Faute de temps, le projet de loi revient donc dans sa version initiale devant le Sénat qui doit reprendre le travail à zéro tellement la copie modifiée par l’assemblée est invraisemblable. Schématiquement elle se caractérise par des impôts et des dépenses supplémentaires.

 

La copie du gouvernement n’était déjà pas fameuse mais la copie modifiée- mais non votée- est un modèle d’incompétence. Résultat : le texte initialement proposé par le gouvernement sera envoyé tel quel au Sénat, composé en majorité de Républicains. Une aubaine pour le gouvernement, qui n’a pas eu à dégainer plusieurs 49.3 et a plutôt misé sur le dépôt d’un grand nombre d’amendements afin de faire traîner les débats à l’Assemblée. Le PLFSS initial sera transmis au Sénat ce vendredi et ce dernier aura 20 jours à compter de samedi pour l’examiner. Il aura notamment à traiter de la question de la fiscalité des entreprises et de l’évolution des retraites mais aussi du reste qui témoigne de l’irresponsabilité de l’Assemblée nationale.

 

Devant ces mesures incohérentes, la Cour des comptes a publié mercredi un document alarmant sur la dégradation du déficit de la sécu dans les années à venir. « D’ici à 2028, la trajectoire financière de la Sécurité sociale continuerait de se dégrader, le déficit annuel atteindrait 19,9 milliards d’euros. L’accumulation de tels déficits, sans solution de financement, conduit à la reconstitution d’une nouvelle dette sociale qui atteindrait, d’ici à 2028, près de 100 milliards d’euros », anticipe-t-elle.

En cause, un effet de ciseau entre un niveau de recettes mal anticipées et une dynamique des dépenses de santé insuffisamment maîtrisée. Le vieillissement de la population ainsi que la baisse du nombre d’actifs qui se profilent vont également rajouter du poids dans les dépenses de l’Assurance maladie. Pour la Cour des comptes, la seule solution est « une stratégie pluriannuelle de redressement des comptes sociaux ».Des observations qui valent aussi pour le budget général.

 

 

Projet Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien

Projet Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien

 

Finalement le débat à l’assemblée nationale n’aura servi à rien sinon qu’à ajouter incohérences, impôts et dépenses. Faute de temps, le projet de loi revient donc dans sa version initiale devant le Sénat qui doit reprendre le travail à zéro tellement la copie modifiée par l’assemblée est invraisemblable. Schématiquement elle se caractérise par des impôts et des dépenses supplémentaires.

 

La copie du gouvernement n’était déjà pas fameuse mais la copie modifiée- mais non votée- est un modèle d’incompétence. Résultat : le texte initialement proposé par le gouvernement sera envoyé tel quel au Sénat, composé en majorité de Républicains. Une aubaine pour le gouvernement, qui n’a pas eu à dégainer plusieurs 49.3 et a plutôt misé sur le dépôt d’un grand nombre d’amendements afin de faire traîner les débats à l’Assemblée. Le PLFSS initial sera transmis au Sénat ce vendredi et ce dernier aura 20 jours à compter de samedi pour l’examiner. Il aura notamment à traiter de la question de la fiscalité des entreprises et de l’évolution des retraites mais aussi du reste qui témoigne de l’irresponsabilité de l’Assemblée nationale.

 

Devant ces mesures incohérentes, la Cour des comptes a publié mercredi un document alarmant sur la dégradation du déficit de la sécu dans les années à venir. « D’ici à 2028, la trajectoire financière de la Sécurité sociale continuerait de se dégrader, le déficit annuel atteindrait 19,9 milliards d’euros. L’accumulation de tels déficits, sans solution de financement, conduit à la reconstitution d’une nouvelle dette sociale qui atteindrait, d’ici à 2028, près de 100 milliards d’euros », anticipe-t-elle.

En cause, un effet de ciseau entre un niveau de recettes mal anticipées et une dynamique des dépenses de santé insuffisamment maîtrisée. Le vieillissement de la population ainsi que la baisse du nombre d’actifs qui se profilent vont également rajouter du poids dans les dépenses de l’Assurance maladie. Pour la Cour des comptes, la seule solution est « une stratégie pluriannuelle de redressement des comptes sociaux ».Des observations qui valent aussi pour le budget général.

 

Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien

Budget 2025 : le débat de l’assemblée n’a servi à rien

 

Finalement le débat à l’assemblée nationale n’aura servi à rien sinon qu’à ajouter incohérences, impôts et dépenses. Faute de temps, le projet de loi revient donc dans sa version initiale devant le Sénat qui doit reprendre le travail à zéro tellement la copie modifiée par l’assemblée est invraisemblable. Schématiquement elle se caractérise par des impôts et des dépenses supplémentaires.

 

La copie du gouvernement n’était déjà pas fameuse mais la copie modifiée- mais non votée- est un modèle d’incompétence. Résultat : le texte initialement proposé par le gouvernement sera envoyé tel quel au Sénat, composé en majorité de Républicains. Une aubaine pour le gouvernement, qui n’a pas eu à dégainer plusieurs 49.3 et a plutôt misé sur le dépôt d’un grand nombre d’amendements afin de faire traîner les débats à l’Assemblée. Le PLFSS initial sera transmis au Sénat ce vendredi et ce dernier aura 20 jours à compter de samedi pour l’examiner. Il aura notamment à traiter de la question de la fiscalité des entreprises et de l’évolution des retraites mais aussi du reste qui témoigne de l’irresponsabilité de l’Assemblée nationale.

 

Devant ces mesures incohérentes, la Cour des comptes a publié mercredi un document alarmant sur la dégradation du déficit de la sécu dans les années à venir. « D’ici à 2028, la trajectoire financière de la Sécurité sociale continuerait de se dégrader, le déficit annuel atteindrait 19,9 milliards d’euros. L’accumulation de tels déficits, sans solution de financement, conduit à la reconstitution d’une nouvelle dette sociale qui atteindrait, d’ici à 2028, près de 100 milliards d’euros », anticipe-t-elle.

En cause, un effet de ciseau entre un niveau de recettes mal anticipées et une dynamique des dépenses de santé insuffisamment maîtrisée. Le vieillissement de la population ainsi que la baisse du nombre d’actifs qui se profilent vont également rajouter du poids dans les dépenses de l’Assurance maladie. Pour la Cour des comptes, la seule solution est « une stratégie pluriannuelle de redressement des comptes sociaux ».Des observations qui valent aussi pour le budget général.

 

Député LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Député LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Il est clair que nombre de députés atterris là au gré des circonstances et des vagues politiques n’ont pas leur place au Parlement ainsi le député LFI Thomas Portes a-t-il menacé l’un de ses collègues en séance en hurlant : «Ferme ta gueule ! On va s’occuper de toi» .Le député LFI Thomas Portes N’en est pas à sa première provocation, c’est même un peu ses spécialités comme d’une façon générale celle de nombre de membres du parti des Insoumis.

Il faut dire que Thomas Portes n’en est pas à sa première provocation. En pleine réforme des retraites au printemps 2023, il s’était affiché en photo sur ses réseaux sociaux, le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du Travail d’alors Olivier Dussopt. Plus récemment, il s’était opposé à la participation des athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Paris pour protester contre la politique de Benyamin Netanyahou.

Thomas Portes , l ’ancien sous-chef de guerre de la SNCF à Montauban a conservé la dialectique musclée d’un ancien membre de la CGT qui ne s’embarrasse pas des règles de simple politesse puisque finalement en faveur d’un régime de démocrature ou effectivement on a l’habitude de régler le sort des opposants. Bref, un communiste provocateur à la mode de 1950.

L’Assemblée nationale aurait sans doute intérêt à se montrer plus rigoureuse vis-à-vis de la tenue des débats si elle ne veut pas se déconsidérer un peu plus vis-à-vis de l’opinion

 

Arrêter le matraquage fiscal de l’Assemblée nationale !

Arrêter le matraquage fiscal de  l’Assemblée nationale !

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en fait se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Il est clair que nombre de députés atterrit la au gré des circonstances et des vagues politiques n’ont pas leur place au Parlement ainsi le député LFI Thomas Portes a-t-il menacé l’un de ses collègues en séance en hurlant : «Ferme ta gueule ! On va s’occuper de toi» .Le député LFI Thomas Portes N’en est pas à sa première provocation, c’est même un peu ses spécialités comme d’une façon générale celle de nombre de membres du parti des Insoumis.

Il faut dire que Thomas Portes n’en est pas à sa première provocation. En pleine réforme des retraites au printemps 2023, il s’était affiché en photo sur ses réseaux sociaux, le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du Travail d’alors Olivier Dussopt. Plus récemment, il s’était opposé à la participation des athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Paris pour protester contre la politique de Benyamin Netanyahou.

Thomas Portes , l ’ancien sous-chef de guerre de la SNCF à Montauban a conservé la dialectique musclée d’un ancien membre de la CGT qui ne s’embarrasse pas des règles de simple politesse puisque finalement en faveur d’un régime de démocrature ou effectivement n’a l’habitude de régler le sort des opposants. Bref, un communiste provocateur à la mode de 1950.

L’Assemblée nationale aurait sans doute intérêt à se montrer plus rigoureuse vis-à-vis de la tenue des débats si elle ne veut pas se déconsidérer un peu plus vis-à-vis de l’opinion

 

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