Archive pour le Tag 'laquelle ?'

Google obligé de négocier avec la presse mais laquelle ?

 Google obligé de négocier avec la presse mais laquelle ?

 

En apparence d’une victoire pour la presse et les agences concernant la décision de la cour d’appel de Paris de contraindre Google à négocier une rémunération de l’information. C’est l’application française du droit voisin européen.

Cette dernière permet aux éditeurs d’exiger une rémunération de la part des plateformes en ligne lorsqu’elles diffusent des extraits d’articles de presse ou d’information.

Le problème c’est que Google n’a prévu qu’une enveloppe de 1 milliard sur trois ans pour rémunérer l’ensemble de la presse au plan mondial. Soit environ 300 millions quand son site affaire est de 200 milliards. Le risque est donc que cette rémunération soit très marginale. Le second risque c’est qu’elle soit limitée aux très gros titres et que 90 % des autres éditeurs d’information soient évincés.

Les grands médias ne seraient pas forcément opposés à cette restriction démocratique car ils connaissent une énorme crise économique qui se traduit en particulier par la baisse des recettes publicitaires liées à celles de la baisse de l’audience.

La décision de la Cour d’appel relativise l’engagement pris la semaine dernière par Google de verser un milliard de dollars au cours des trois prochaines années aux éditeurs du monde entier pour l’utilisation de leurs contenus . Car l’arrangement français implique de trouver une méthodologie durable pour rémunérer les éditeurs et les agences de presse.

Le véhicule de Google dédié à la rémunération des éditeurs d’information, baptisé Google News Showcase, doit être lancé en Allemagne où des partenariats ont été signés avec plusieurs médias comme Der Spiegel, Stern et Die Zeit, ainsi qu’au Brésil.

Avant même la décision de la Cour d’appel, Google France avait indiqué mercredi soir être proche d’un accord avec les éditeurs français sur la rémunération “des droits voisins au titre de la loi”.

« La réforme des retraites se fera » (Darmanin) oui mais laquelle ?

« La réforme des retraites se fera » (Darmanin) oui mais laquelle ?

Difficile d’être plus flou que Darmanin interrogé par le JDD sur les propositions du gouvernement pour sortir du conflit.

Ferez-vous des propositions pour sortir du conflit avant jeudi?
Darmanin :On ne peut pas amender un texte qui n’existe pas. Si l’objectif de la grève est de nous faire renoncer à la réforme, ce sera difficile de trouver un compromis. S’il s’agit de préciser certains points, d’intégrer des revendications légitimes ou de mettre en place des calendriers de transition adaptés, le Premier ministre a dit que sa porte était ouverte.

 

En clair, Darmanin ne connaît pas le contenu de la réforme, la grève est donc inutile; On peut préciser certains point dit-il mais il n’indique pas l’axe central de l’évolution ( structurelle, paramétrique, universelle, avec régimes spéciaux et pour qui) . Tout ce que sait Darmanin c’est qu’il y aura une reforme !

 

Vous attendez-vous à une grève massive jeudi?
Darmanin : Le gouvernement est conscient que la mobilisation des syndicats sera forte contre un projet qui est pourtant destiné à sauver le système des retraites et à mettre fin à des inégalités entre Français. Ceux qui bénéficient des régimes spéciaux, à la RATP ou à la SNCF, sont ceux qui peuvent le plus facilement provoquer des blocages. On peut comprendre que certains s’interrogent sur la réforme et attendent des clarifications, mais on peut aussi souligner que ceux qui ont des intérêts particuliers souhaitent les garder – ce qui peut être compréhensible -, donc ne pas être traités comme tous les Français. Toutes les réformes des retraites ont suscité de fortes contestations

 

Pas vraiment convaincant et d’une certaine manière un flou qui nourrit les incertitudes  sur une réforme sans doute nécessaire mais dont on ne perçoit pas clairement la philosophie ,  les objectifs et les modalités.

Syrie-Irak : Hollande pour une action d’ampleur mais laquelle ?

Syrie-Irak : Hollande pour  une action d’ampleur  mais laquelle ?

Hollande prend déjà conscience des limites du futur plan européen concernant l’accueil des réfugiés et réclame une action d’ampleur pour limiter cet exode. De ce point de vue la décision de la France d’effectuer des opérations de reconnaissance aérienne en Syrie voir quelques frappes paraît assez désuète et inadapté aux enjeux si l’on en juge déjà par le résultat des  opérations aériennes effectuées en Irak qui n’ont pas empêché l’État islamique d’étendre son territoire. Or la stratégie internationale consiste pour l’instant à se limiter à des frappes aériennes chaque grand pays considérant qu’il serait dangereux et inopportun d’envoyer des troupes au sol. En outre ces frappes sont laissés à l’initiative de chaque État puisque l’alliance internationale est à la fois limitée et relativement virtuelle. C’est pourtant une véritable armée qu’il faut constituer car il faudra environ 150 000 hommes formés équipés et motivés pour abattre l’État islamique. C’est une nécessité  pour mettre fin à la barbarie de l’État islamique. Mais pour l’instant par peur des réactions de leur population les responsables des grands pays développés font preuve d’une certaine prudence voire d’une certaine hypocrisie vis-à-vis des moyens nécessaires à engager car il s’agira d’une guerre d’ampleur. Or pour l’instant l’Europe se limite aux aspects humanitaires. Pourtant  l’exode des populations fuyant la Syrie et l’Irak ne cessera qu’avec une « action d’ampleur » et un soutien aux pays voisins qui les accueillent, a reconnu  mardi François Hollande. Le président a ouvert à Paris une conférence internationale sur les victimes de violences ethniques et religieuses au Moyen-Orient, co-organisée par la France et la Jordanie. « L’urgence, elle est humanitaire », a déclaré François Hollande, évoquant la situation dans les camps de réfugiés en Turquie, au Liban, en Irak et en Jordanie.   »Si nous n’aidons pas plus les pays qui accueillent, si nous ne soutenons pas davantage les familles qui sont dans ces camps de réfugiés ou dispersées dans les pays voisins, alors non seulement il y aura des drames (…) mais il y aura cet exode, cet exode qui ne cessera pas s’il n’y a pas une action d’ampleur », a-t-il ajouté.  Un « plan d’action » a été adopté à l’issue de cette conférence.  Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a annoncé à la fin de la conférence un nouvel effort financier de la France pour soutenir le Liban, la Jordanie, la Turquie et l’Irak qui supportent le poids des réfugiés.  Paris leur a déjà consacré près de 100 millions d’euros et 25 millions supplémentaires financeront (à hauteur de 10 millions) un fonds d’urgence qui se concentrera sur des projets, comme des logements à Erbil, dans le Kurdistan irakien, et les camps dans les pays voisins de la Syrie pour 15 millions. « Nous ne laisserons pas la diversité millénaire du Moyen-Orient disparaître sans réagir, » a déclaré Laurent Fabius a l’issue d’un point de presse avec son homologue jordanien.

 

Réforme pénale : pour Ayrault il n’y a qu’une ligne ; oui mais laquelle ?

Reforme pénale : pour Ayrault il n’y a qu’une ligne ; oui mais laquelle ?

 

Une seule ligne parait- il pour Ayrault coconnant la réforme pénale ; problème : laquelle ? : le laxisme humanisant de Taubira ou la fermeté d’affichage  de Valls ? A la question de savoir s’il n’y avait pas deux lignes au sein du gouvernement, celle de Manuel Valls et celle de Christiane Taubira, Jean-Marc Ayrault a répondu : « Je pense qu’il n’y pas deux lignes, il n’y en a qu’une », celle d’une justice « ferme et efficace ». Le projet de loi sera présenté au Conseil des ministres en septembre, a indiqué le Premier ministre, affirmant que ce dernier « répondra à cette exigence d’efficacité de la justice ». Selon lui, le texte s’affine. « Depuis la note de Manuel Valls du 25 juillet, et ce qui est en cours aujourd’hui, je peux vous dire que le projet a beaucoup évolué », a-t-il ajouté devant la presse. « Nous sommes dans un processus normal (…) Des notes de ministres, j’en reçois plusieurs par semaine », a insisté Jean-Marc Ayrault. Avant de conclure : « Nous ne voulons pas improviser un projet de loi, nous voulons réussir un projet de loi. » Mardi déjà, les services du Premier ministre avaient évoqué une « phase normale d’échanges préalables aux arbitrages ». « Qu’il y ait des divergences d’appréciation entre les ministres de la Justice et de l’Intérieur, cela n’est pas anormal. Le processus de préparation de la loi pénale est en cours et se poursuit », avaient-ils indiqué à l’AFP.

 




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