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Téléphone: une fonctionnalité pour identifier l’appel ?

Téléphone: une fonctionnalité pour identifier l’appel ?

À l’aide du bouton «Lookup», les utilisateurs de smartphones Android pourront bientôt lancer en un clic une recherche Google du numéro de téléphone mystère.

Avec ce nouveau bouton, faire le distingo entre un appel malveillant et celui de votre banque, votre assureur, ou votre livreur pourrait aller beaucoup plus vite.

 

Politique et Justice -Bayrou encore humilié par l’appel du tribunal

Politique et Justice -Bayrou encore humilié par l’appel du tribunal

Le curieux appel du parquet concernant l’affaire de François Bayrou tourne maintenant au ridicule et surtout à l’injustice criante. L’affaire des assistants parlementaires européens qui auraient également œuvré dans l’intérêt du parti centriste ne tient pas debout. Surtout quand on sait par exemple que les syndicats utilisent des centaines et des centaines de permanents depuis toujours au service de leurs centrales et non au service des entreprises qui les a détachés. On voit mal d’ailleurs pourquoi on leur reprocherait.

La justice sous tutelle de Macron a décidé de tenir en laisse le MoDem et surtout son président auquel Macron doit tout. En effet les troupes de Macon pour l’essentiel n’ont aucune légitimité, aucune compétence pire aucune conviction. Ce sont de purs arrivistes qui ont atterri à l’Assemblée nationale, au gouvernement et dans les plus hautes fonctions sans aucune expérience citoyenne. Bref le même parcours que Macron.
On peut s’étonner de cet acharnement judiciaire ( le même d’ailleurs qui concerne le « rassemblement national pour les mêmes raisons ») alors que la même justice a passé un coup d’éponge très rapide sur les mises en cause de plusieurs membres du gouvernement et sur Macron lui-même concernant par exemple le financement de sa campagne et encore l’affaire Alstom.

« Cet appel [du parquet jeudi] est difficile à comprendre pour ne pas dire incompréhensible », estime François Bayrou, maire de Pau et président du MoDem, invité de France Bleu Béarn Bigorre vendredi 9 février.

« C’est un appel, donc tout le monde voit bien qu’il est difficile à comprendre pour ne pas dire incompréhensible. Des accusations aussi violentes, sept années d’enquête et d’instruction, six semaines de procès, au terme duquel il apparaît de manière évidente qu’aucun élément n’a pu être retenu contre moi et contre mes proches. Les autres accusations sont à mes yeux impossibles à soutenir. Après ces sept années d’enquête et d’instruction où on n’a rien trouvé, le tribunal ayant dit que c’était la relaxe qui était le seul jugement possible, le parquet fait appel », constate François Bayrou.

L’affaire des assistants parlementaires du MoDem « pose la question du financement de notre vie politique », selon l’Observatoire de l’éthique publique
François Bayrou affirme ne pas être inquiet, « pas du tout » préoccupé par ce nouveau procès à venir et parle « d’acharnement ». « Le jugement a été apporté. Cet acharnement à vouloir continuer un procès qui a déjà été jugé et par un tribunal dont on ne peut pas dire que la tendresse ait été la principale caractéristique, ça n’est pas autre chose qu’une tentative de jeter une ombre, de jeter un doute sur la probité d’un courant politique et d’un homme. En tout cas pour moi le jugement ayant été apporté, je considère que je n’ai absolument aucune gêne, aucun trouble à voir porter un appel ».

ustice -Bayrou encore une humilié par l’appel du tribunal

Justice -Bayrou encore une humilié par l’appel du tribunal

Le curieux appel du parquet concernant l’affaire de François Bayrou tourne maintenant au ridicule et surtout à l’injustice criante. L’affaire des assistants parlementaires européens qui auraient également œuvré dans l’intérêt du parti centriste ne tient pas debout. Surtout quand on sait par exemple que les syndicats utilisent des centaines et des centaines de permanents depuis toujours au service de leurs centrales et non au service des entreprises qui les a détachés. On voit mal d’ailleurs pourquoi on leur reprocherait.

La justice sous tutelle de Macron a décidé de tenir en laisse le MoDem et surtout son président auquel Macron doit tout. En effet les troupes de Macon pour l’essentiel n’ont aucune légitimité, aucune compétence pire aucune conviction. Ce sont de purs arrivistes qui ont atterri à l’Assemblée nationale, au gouvernement et dans les plus hautes fonctions sans aucune expérience citoyenne. Bref le même parcours que Macron.
On peut s’étonner de cet acharnement judiciaire ( le même d’ailleurs qui concerne le « rassemblement national pour les mêmes raisons ») alors que la même justice a passé un coup d’éponge très rapide sur les mises en cause de plusieurs membres du gouvernement et sur Macron lui-même concernant par exemple le financement de sa campagne et encore l’affaire Alstom.

« Cet appel [du parquet jeudi] est difficile à comprendre pour ne pas dire incompréhensible », estime François Bayrou, maire de Pau et président du MoDem, invité de France Bleu Béarn Bigorre vendredi 9 février.

« C’est un appel, donc tout le monde voit bien qu’il est difficile à comprendre pour ne pas dire incompréhensible. Des accusations aussi violentes, sept années d’enquête et d’instruction, six semaines de procès, au terme duquel il apparaît de manière évidente qu’aucun élément n’a pu être retenu contre moi et contre mes proches. Les autres accusations sont à mes yeux impossibles à soutenir. Après ces sept années d’enquête et d’instruction où on n’a rien trouvé, le tribunal ayant dit que c’était la relaxe qui était le seul jugement possible, le parquet fait appel », constate François Bayrou.

L’affaire des assistants parlementaires du MoDem « pose la question du financement de notre vie politique », selon l’Observatoire de l’éthique publique
François Bayrou affirme ne pas être inquiet, « pas du tout » préoccupé par ce nouveau procès à venir et parle « d’acharnement ». « Le jugement a été apporté. Cet acharnement à vouloir continuer un procès qui a déjà été jugé et par un tribunal dont on ne peut pas dire que la tendresse ait été la principale caractéristique, ça n’est pas autre chose qu’une tentative de jeter une ombre, de jeter un doute sur la probité d’un courant politique et d’un homme. En tout cas pour moi le jugement ayant été apporté, je considère que je n’ai absolument aucune gêne, aucun trouble à voir porter un appel ».

Niger : l’appel du président déchu Mohamed Bazoum

Niger : l’appel du président déchu Mohamed Bazoum

Michel Galy, chercheur au centre d’études sur les conflits et professeur de géopolitique à l’Institut des relations internationales s’est exprimé sur franceinfo vendredi à propos du président déchu au Niger, Mohamed Bazoum.

La tribune publiée vendredi 4 août dans le Washington Post par le président déchu du Niger Mohamed Bazoum est « inédite et extraordinaire », estime sur franceinfo Michel Galy, chercheur au centre d’études sur les conflits et professeur de géopolitique à l’Institut des relations internationales.

Selon Mohamed Bazoum, le Niger est « le dernier bastion du respect des droits de l’homme » au Sahel, se référant notamment aux coups d’Etat successifs au Mali et au Burkina Faso. Le président nigérien a également regretté que ces deux pays aient recours aux services de « mercenaires russes criminels tels que le groupe Wagner ». « Toute la région du Sahel central pourrait tomber sous l’influence de la Russie via le groupe Wagner, dont le terrorisme brutal s’est manifesté en Ukraine », a déploré le chef d’Etat.

En outre, Mohamed Bazoum craint que « Boko Haram et d’autres mouvements terroristes » tirent parti de l’instabilité au Niger et « utilisent [le] pays comme base pour attaquer les pays voisins et saper la paix, la sécurité et la liberté dans le monde ». In fine, dans ce contexte tempétueux, le président nigérien a réaffirmé que « le seul moyen de réaliser des progrès durables dans la lutte contre la pauvreté et le terrorisme » est de préserver « le pluralisme démocratique » et « le respect de l’Etat de droit ».

D’ordinaire, dans des situations similaires, « les présidents étaient incarcérés sans possibilité de communication, souligne le chercheur. Jusqu’à récemment, Mohamed Bazoum pouvait téléphoner à la terre entière, notamment aux présidents français et américain. Dans sa tribune, il donne peut-être la possibilité aux États-Unis pour qu’ils puissent éventuellement intervenir ». Mohamed Bazoum « appelle » ainsi dans le Washington Post « le gouvernement américain et l’ensemble de la communauté internationale à aider à restaurer l’ordre constitutionnel ».

Fin de l’abondance: l’appel vain de Macron

 Fin de l’abondance: La vaine déclaration  de Macron 

 

 

 

La crise climatique oblige les acteurs à s’interroger sur la façon dont ils font de la politique. Faute de quoi le décalage entre la gravité des enjeux et la faiblesse de la réponse va encore s’accentuer, observe dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

 

Deux raisons pour qualifier de vaine la déclaration de Macron. D’une part son caractère apocalyptique très excessif, d’autre part l’incapacité du Président à agir compte tenu de sa faiblesse politique. NDLR

 

Tout ce qui s’est produit durant l’été invite à une action radicale, résolue et de long terme pour passer du monde de l’abondance à celui de la sobriété. Le chaînon manquant est la main de fer susceptible de conduire cette délicate transformation dans la durée et sans trop d’à-coups. Tel est le paradoxe de cette rentrée politique entièrement dictée par les implications de la crise énergétique et du réchauffement climatique et pourtant dominée par l’affaiblissement relatif de l’exécutif, la vulnérabilité de la majorité et la radicalité des oppositions.

A l’aube du précédent quinquennat, Emmanuel Macron apparaissait comme le roi du pétrole, à peu près tous les pouvoirs semblaient découler du sien. Cinq ans plus tard, c’est un président entravé qui doit conduire, à l’aveugle, la grande transformation du pays. A la perte de la majorité absolue à l’Assemblée nationale s’ajoute pour lui l’impossibilité constitutionnelle de prétendre à un nouveau mandat en 2027. Son autorité s’en trouve automatiquement affaiblie. Elle n’est pas seulement durement contestée par l’opposition. Elle est concurrencée, au sein de la majorité, par l’affirmation d’ambitions qui, pour être légitimes, n’en sont pas moins encombrantes : c’est le ministre de l’économie et des finances, Bruno Le Maire, qui a donné le la pendant les débats parlementaires de l’été.

L’heure est grave, mais il ne suffira pas au président de la République de proclamer comme il l’a fait, mercredi 24 août, en conseil des ministres, « la fin de l’abondance, la fin de l’insouciance, la fin des évidences » pour mettre le pays en ordre de bataille. Après une campagne électorale marquée par une surenchère multipartisane autour de la défense du porte-monnaie, il était, certes, impératif que les mots présidentiels actent la dure réalité. Mais pour passer à l’action, il manque toujours la vision et le récit : quel type de transformation le président de la République entend-il enclencher ? Vers quel modèle de société veut-il aller ? L’absence de réponse claire était le point faible de sa campagne présidentielle. Sans approfondissement, Emmanuel Macron aura le plus grand mal à contenir ses adversaires.

 

Sur le plan idéologique, beaucoup de temps a été perdu durant le premier quinquennat. En l’état actuel, le macronisme se résume à quelques concepts flous : l’humanisme, le progrès, l’Europe, alors que l’écologie, qui s’impose comme la grande cause nationale, ne vient pas spontanément à l’esprit. La sobriété ne faisait pas partie du logiciel de départ d’Emmanuel Macron. Comme le reste, le thème a été insuffisamment travaillé par ses partisans. La République en marche est restée à l’état de mouvement d’accompagnement, soumis au bon vouloir du chef qui voulait avant tout conserver les mains libres.

Total, EDF et Engie: L’appel du vice à la vertu !

Total, EDF et Engie: L’appel du vice à la vertu !

Le souhait conjoint à la sobriété de l’énergie lancée par les patrons de Total, EDF et énergie constitue quand même un curieux appel à la vertu. Pendant des années en effet ces entreprises ont tout misé au contraire sur le développement de la consommation avec par exemple des campagnes publicitaires envahissants voire éhontés ( exemple l’électricité verte promise par Engie).

Voir des entreprises qui ont encouragé tous les gaspillages se transforment aujourd’hui en professeur de morale politique écologique a du mal à convaincre. Le pire c’est que cette initiative viendrait d’Engieaux orientations particulièrement confuses largement impliquées dans le gaz russe comme d’ailleurs encore dans le nucléaire.

Il s’agit en fait d’un appel superficiel sorte de coup de peinture verte à bon compte pour des entreprises souvent critiquées pour leurs insuffisances autant que pour leur contribution aux gaspillages.

Un tel appel ne peut avoir de crédibilité que s’il est lancé par des autorités étrangères au business et au lobbying des énergéticiens.

 

«Nous appelons à une prise de conscience et à une action collective et individuelle pour que chacun d’entre nous – chaque consommateur, chaque entreprise – change ses comportements et limite immédiatement ses consommations énergétiques, électriques, gazières et de produits pétroliers», écrivent-ils dans une tribune parue dans le Journal du dimanche, dont Catherine MacGregor serait à l’initiative

En réalité, ce curieux appel pourrait aussi participer à la légitimité d’une hausse des prix de l’énergie.

«Il est anormal que ce soient les grands dirigeants du secteur qui sonnent la mobilisation générale et pas le gouvernement comme en Allemagne la semaine dernière», réagit un fin connaisseur du monde de l’énergie. Certaines ONG et syndicats, comme la CFDT, appellent à lancer un plan d’économies d’énergie de la même ampleur que celui mis en place lors du premier choc pétrolier en 1973.

Signe que la situation est très tendue, le gouvernement envisage de rouvrir temporairement la centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle), pour faire face aux pics de consommation hivernaux.

L’appel 14 pays pour la protection des océans

L’appel 14 pays pour la protection des océans

Soutenue par l’ONU, l’initiative internationale Ocean Panel exhorte l’ensemble des dirigeants de la planète à un objectif de protection de 30 % des océans d’ici à dix ans. Avec, à la clé, des avantages substantiels, notamment économiques, à tirer de la conservation des eaux de la planète.

Investir dans des océans en bonne santé peut rapporter gros. L’Ocean Panel veut en persuader les états du monde entier. Cette initiative internationale montée il y a deux ans par quatorze pays côtiers, parmi lesquels le Portugal, la Norvège, l’Australie, le Canada, le Japon ou l’Indonésie, présente ce mercredi une série d’actions pour développer une « économie durable de l’océan ».

Pour leur près de 40 millions de kilomètres carrés d’eaux nationales – l’équivalent de l’Afrique -, ces pays prônent une gestion marine « qui équilibre la protection, la production et la prospérité ». Dix ans pour « traiter » l’océan différemment, donc, alors que les mers du monde sont de plus en plus menacées par la pollution, la surexploitation des ressources et le dérèglement climatique. Pourtant, au quotidien, plus de trois milliards de personnes en dépendent pour se nourrir et quelque 90 % des marchandises y sont transportées.

 

L’appel d’intellectuels musulmans

L’appel d’intellectuels musulmans

Défendre l’universalité des valeurs sans opposer les communautés, affirme, dans une tribune au « Monde », un collectif d’intellectuels musulmans.

Tribune.

Le récent appel d’entités de certains pays à boycotter les produits français est incompréhensible, choquant et injuste. Il représente un processus d’exclusion réalisant précisément le travers qu’il est supposé combattre. Qui pourrait raisonnablement dire que la France maltraite ses citoyens de confession musulmane ? Personne, hormis peut-être ceux qui voudraient instiller des germes de discorde au sein de la communauté nationale française.

Plus que jamais la concorde et l’union doivent prévaloir au sein de la communauté nationale française victime actuellement d’une série d’attentats innommables qui nous endeuillent tous. Nous, musulmans de France et d’autres pays méditerranéens, appelons au calme et à la raison.

Il y a deux sujets. D’une part, l’émotion suscitée par les caricatures du Prophète et les déclarations des autorités françaises sur ce sujet. D’autre part, les commentaires du président Emmanuel Macron dans un discours récent sur le séparatisme. Prenons-les un par un.

Les caricatures du Prophète. Les auteurs des appels au boycottage critiquent les caricatures du Prophète, les trouvant blasphématoires et dégradantes. Nous-mêmes, qui écrivons et signons ce texte, les trouvons vulgaires et choquantes. Mais, en France, le blasphème n’est pas un délit. Il peut donc être critiqué, mais pas interdit.

Depuis la Révolution de 1789, la liberté d’expression est protégée, comme le rappelle l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme. Des limites sont clairement énoncées par la loi, ne permettant ni d’injurier ni d’inciter à la haine comme le racisme. De fait, tout citoyen est libre de faire appel à la justice s’il estime que ces limites sont franchies, non pas au nom du droit au blasphème, mais au nom du respect de la dignité humaine, et ce quelle que soit la religion concernée, catholique, protestante, juive ou musulmane. Mais rien, en tout état de cause, ne permet d’utiliser la violence, ni dans la loi française ni dans l’islam.

A l’encontre du message coranique

Que certains musulmans se sentent offusqués et choqués par ces caricatures, nous l’entendons, mais nous rappelons que l’islam rejette aussi toute idolâtrie ou sacralisation d’une personne humaine. De fait, le Prophète Mahomet lui-même rappelait qu’il n’était qu’un messager. Il est à plusieurs reprises moqué, traité de fou, d’usurpateur ou insulté par ses opposants.

A aucun moment Dieu n’a appelé à tuer les auteurs de ces provocations, mais Il a incité à adopter un comportement sage et patient face à l’adversité : « Et Nous savons certes que ta poitrine se serre à cause de ce qu’ils disent. Glorifie donc Ton Seigneur par Sa louange et sois de ceux qui se prosternent, et adore ton Seigneur jusqu’à ce que te vienne la certitude. » (Coran XV, 97-99). Dieu encourage les premiers musulmans à ignorer ces attaques et à faire preuve d’intelligence : « Lorsque vous entendez que l’on renie les versets de Dieu et que l’on s’en raille, ne vous asseyez point avec ceux-là jusqu’à ce qu’ils entreprennent une autre conversation. Sinon, vous serez comme eux. » (Coran IV, 140).

 

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« Non à un retour à la normale » : l’appel de 200 artistes et scientifiques

« Non à un retour à la normale » : l’appel de 200 artistes et scientifiques

 

Un collectif de 200personnalités, artistes et scientifiques , lancent dans une tribune au « Monde » un appel, pour changer en profondeur nos modes de vie, de consommation et nos économies.

Tribune

« La pandémie de Covid-19 est une tragédie. Cette crise, pourtant, a la vertu de nous inviter à faire face aux questions essentielles.

Le bilan est simple : les « ajustements » ne suffisent plus, le problème est systémique.

La catastrophe écologique en cours relève d’une « méta-crise » : l’extinction massive de la vie sur Terre ne fait plus de doute et tous les indicateurs annoncent une menace existentielle directe. A la différence d’une pandémie, aussi grave soit-elle, il s’agit d’un effondrement global dont les conséquences seront sans commune mesure.

Nous appelons donc solennellement les dirigeants et les citoyens à s’extraire de la logique intenable qui prévaut encore, pour travailler enfin à une refonte profonde des objectifs, des valeurs et des économies.

Point de rupture

Le consumérisme nous a conduits à nier la vie en elle-même : celle des végétaux, celle des animaux et celle d’un grand nombre d’humains. La pollution, le réchauffement et la destruction des espaces naturels mènent le monde à un point de rupture.

Pour ces raisons, jointes aux inégalités sociales toujours croissantes, il nous semble inenvisageable de « revenir à la normale ».

La transformation radicale qui s’impose – à tous les niveaux – exige audace et courage. Elle n’aura pas lieu sans un engagement massif et déterminé. A quand les actes ? C’est une question de survie, autant que de dignité et de cohérence.

Lynsey Addario, grand reporter ; Isabelle Adjani, actrice ; Roberto Alagna, chanteur lyrique ; Pedro Almodovar, réalisateur ; Santiago Amigorena, écrivain ; Angèle, chanteuse ; Adria Arjona, actrice ; Yann Arthus-Bertrand, photographe, réalisateur ; Ariane Ascaride, actrice ; Olivier Assayas, réalisateur ; Josiane Balasko, actrice ; Jeanne Balibar, actrice ; Bang Hai Ja, peintre ; Javier Bardem, acteur ; Aurélien Barrau, astrophysicien, membre honoraire de l’Institut universitaire de France ; Mikhail Baryshnikov, danseur, chorégraphe ; Nathalie Baye, actrice ; Emmanuelle Béart, actrice ; Jean Bellorini, metteur en scène ; Monica Bellucci, actrice ; Alain Benoit, physicien, Académie des sciences ; Charles Berling, acteur ; Juliette Binoche, actrice ; Benjamin Biolay, chanteur ; Dominique Blanc, actrice ; Cate Blanchett, actrice ; Gilles Bœuf, ancien président du Muséum national d’histoire naturelle ; Valérie Bonneton, actrice ; Aurélien Bory, metteur en scène ; Miguel Bosé, acteur, chanteur ; Stéphane Braunschweig, metteur en scène ; Stéphane Brizé, réalisateur ; Irina Brook, metteuse en scène ; Peter Brook, metteur en scène ; Valeria Bruni Tedeschi, actrice, réalisatrice ; Khatia Buniatishvili, pianiste ; Florence Burgat, philosophe, directrice de recherche à l’Inrae ; Guillaume Canet, acteur, réalisateur ; Anne Carson, poète, écrivaine, Académie des arts et sciences ; Michel Cassé, astrophysicien ; Aaron Ciechanover, Prix Nobel de chimie ; François Civil, acteur ; François Cluzet, acteur ; Isabel Coixet, réalisatrice ; Gregory Colbert, photographe, réalisateur ; Paolo Conte, chanteur ; Marion Cotillard, actrice ; Camille Cottin, actrice ; Penélope Cruz, actrice ; Alfonso Cuaron, réalisateur ; Willem Dafoe, acteur ; Béatrice Dalle, actrice ; Alain Damasio, écrivain ; Ricardo Darin, acteur ; Cécile de France, actrice ; Robert De Niro, acteur ; Annick de Souzenelle, écrivaine ; Johann Deisenhofer, biochimiste, Prix Nobel de chimie ; Kate del Castillo, actrice ; Miguel Delibes Castro, biologiste, Académie royale des sciences espagnole ; Emmanuel Demarcy-Mota, metteur en scène ; Claire Denis, réalisatrice ; Philippe Descola, anthropologue, médaille d’or du CNRS ; Virginie Despentes, écrivaine ; Alexandre Desplat, compositeur ; Arnaud Desplechin, réalisateur ; Natalie Dessay, chanteuse lyrique ; Cyril Dion, écrivain, réalisateur ; Hervé Dole, astrophysicien, membre honoraire de l’Institut universitaire de France ; Adam Driver, acteur ; Jacques Dubochet, Prix Nobel de chimie ; Diane Dufresne, chanteuse ; Thomas Dutronc, chanteur ; Lars Eidinger, acteur ; Olafur Eliasson, plasticien, sculpteur ; Marianne Faithfull, chanteuse ; Pierre Fayet, membre de l’Académie des sciences ; Abel Ferrara, réalisateur ; Albert Fert, Prix Nobel de physique ; Ralph Fiennes, acteur ; Edmond Fischer, biochimiste, Prix Nobel de médecine ; Jane Fonda, actrice ; Joachim Frank, Prix Nobel de chimie ; Manuel Garcia-Rulfo, acteur ; Marie-Agnès Gillot, danseuse étoile ; Amos Gitaï, réalisateur ; Alejandro Gonzales Iñarritu, réalisateur ; Timothy Gowers, médaille Fields de mathématiques ; Eva Green, actrice ; Sylvie Guillem, danseuse étoile ; Ben Hardy, acteur ; Serge Haroche, Prix Nobel de physique ; Dudley R. Herschbach, Prix Nobel de chimie ; Roald Hoffmann, Prix Nobel de chimie ; Rob Hopkins, fondateur des villes en transition ; Nicolas Hulot, président d’honneur de la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l’Homme ; Imany, chanteuse ; Jeremy Irons, acteur ; Agnès Jaoui, actrice, réalisatrice ; Jim Jarmusch, réalisateur ; Vaughan Jones, médaille Fields de mathématiques ; Spike Jonze, réalisateur ; Camélia Jordana, chanteuse ; Jean Jouzel, climatologue, prix Vetlesen ; Anish Kapoor, sculpteur, peintre ; Naomi Kawase, réalisatrice ; Sandrine Kiberlain, actrice ; Angélique Kidjo, chanteuse ; Naomi Klein, écrivaine ; Brian Kobilka, Prix Nobel de chimie ; Hirokazu Kore-eda, réalisateur ; Panos Koutras, réalisateur ; Antjie Krog, poétesse ; La Grande Sophie, chanteuse ; Ludovic Lagarde, metteur en scène ; Mélanie Laurent, actrice ; Bernard Lavilliers, chanteur ; Yvon Le Maho, écophysiologiste, membre de l’Académie des sciences ; Roland Lehoucq, astrophysicien ; Gilles Lellouche, acteur, réalisateur ; Christian Louboutin, créateur ; Roderick MacKinnon, Prix Nobel de chimie ; Madonna, chanteuse ; Macha Makeïeff, metteuse en scène ; Claude Makélélé, footballeur ; Ald Al Malik, rappeur ; Rooney Mara, actrice ; Ricky Martin, chanteur ; Carmen Maura, actrice ; Michel Mayor, Prix Nobel de physique ; Médine, rappeur ; Melody Gardot, chanteuse ; Arturo Menchaca Rocha, physicien, ex-président de l’Académie des sciences du Mexique ; Raoni Metuktire, chef indien de Raoni ; Julianne Moore, actrice ; Wajdi Mouawad, metteur en scène, auteur ; Gérard Mouroux, Prix Nobel de physique ; Nana Mouskouri, chanteuse ; Yael Naim, chanteuse ; Jean-Luc Nancy, philosophe ; Guillaume Néry, champion du monde d’apnée ; Pierre Niney, acteur ; Michaël Ondaatje, écrivain ; Thomas Ostermeier, metteur en scène ; Rithy Panh, réalisateur ; Vanessa Paradis, chanteuse, actrice ; James Peebles, Prix Nobel de physique ; Corine Pelluchon, philosophe ; Joaquin Phoenix, acteur ; Pomme, chanteuse ; Iggy Pop, chanteur ; Olivier Py, metteur en scène ; Radu Mihaileanu, réalisateur ; Susheela Raman, chanteuse ; Edgar Ramirez, acteur ; Charlotte Rampling, actrice ; Raphaël, chanteur ; Eric Reinhardt, écrivain ; Residente, chanteur ; Jean-Michel Ribes, metteur en scène ; Matthieu Ricard, moine bouddhiste ; Richard Roberts, Prix Nobel de médecine ; Isabella Rossellini, actrice ; Cecilia Roth, actrice ; Carlo Rovelli, physicien, membre honoraire de l’Institut universitaire de France ; Paolo Roversi, photographe ; Ludivine Sagnier, actrice ; Shaka Ponk (Sam et Frah), chanteurs ; Vandana Shiva, philosophe, écrivaine ; Abderrahmane Sissako, réalisateur ; Gustaf Skarsgard, acteur ; Sorrentino Paolo, réalisateur ; Sabrina Speich, océanographe, médaille Albert Defant ; Sting, chanteur ; James Fraser Stoddart, Prix Nobel de chimie ; Barbra Streisand, chanteuse, actrice, réalisatrice ; Malgorzata Szumowska, réalisatrice ; Béla Tarr, réalisateur ; Bertrand Tavernier, réalisateur ; Alexandre Tharaud, pianiste ; James Thierré, metteur en scène, danseur ; Mélanie Thierry, actrice ; Tran Anh Hung, réalisateur ; Jean-Louis Trintignant, acteur ; Karin Viard, actrice ; Rufus Wainwright, chanteur ; Lulu Wang, réalisatrice ; Paul Watson, navigateur, écrivain ; Wim Wenders, réalisateur ; Stanley Whittingham, Prix Nobel de chimie ; Sonia Wieder-Atherton, violoncelliste ; Frank Wilczek, Prix Nobel de physique ; Olivia Wilde, actrice ; Christophe Willem, chanteur ; Bob Wilson, metteur en scène ; Lambert Wilson, acteur ; David Wineland, Prix Nobel de physique ; Xuan Thuan Trinh, astrophysicien ; Muhammad Yunus, économiste, Prix Nobel de la paix ; Zazie, chanteuse.

Municipales : l’appel de maires et de candidats pour annuler le premier tour des élections

Municipales : l’appel de maires et de candidats pour annuler le premier tour des élections

50 maires et candidats signent une tribune initiée par Renaud George, le maire (LREM) de Saint-Germain-au-Mont-d’Or (Rhône) et directeur de campagne de Gérard Collomb. Ils estiment qu’il faut revoter partout. Y compris dans les communes où une liste a dépassé les 50% le 15 mars dernier. «Que s’est-il passé le 15 mars dernier ? Un vol, tout simplement!», assurent ces élus, dont beaucoup ont été battus dès le premier tour. «Cette abstention aura marqué le scrutin car elle n’était pas libre. C’était une abstention  »contrainte »», plaident-ils.

Un avis que ne partage pas le premier ministre. Edouard Philippe a ouvert jeudi la porte à un nouveau scrutin en octobre dans les seules communes où était nécessaire un second tour.

 




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