Archive pour le Tag 'l’apaisement'

Social : Laurent Berger appelle à l’apaisement mais refuse de reculer sur l’âge de la retraite

Social : Laurent Berger appelle à l’apaisement mais refuse de reculer sur l’âge de la retraite

La Première ministre, Elisabeth Borne, a fait semblant de tendre la main à l’opposition politique et aux syndicats dimanche. Une main tendue avec une certaine hypocrisie estime Laurent Berger. « C’est quelle main tendue ? Je suis désolé de le dire comme ça, mais elle est où la main tendue, sur la question des retraites ? (Or) c’est le sujet actuel », a-t-il répondu.

« Si la main tendue, c’est rediscutons et travail et des retraites, et en mettant de côté pour l’instant la réforme qui a été adoptée par le 49-3, qui n’est pas validée par le Conseil constitutionnel (…), si ces deux sujets sont sur la table, on va discuter », a-t-il ajouté.
« Vous n’imaginez pas quand même qu’il y a deux millions de personnes dans la rue jeudi dernier », d’un côté et « qu’on (ne) va pas discuter des retraites si on est invités à discuter » d’un autre côté.

à propos de la journée de mobilisation de mardi, Laurent Berger a déclaré : « non, ce n’est pas forcément la dernière (…). On va au moins aller jusqu’au Conseil constitutionnel ». La décision de ce dernier est attendue d’ici à trois semaines. Et une nouvelle fois Laurent Berger a attiré l’attention sur les dangers de la colère qui monte.

Ukraine : Vladimir Poutine obligé de jouer l’apaisement ?

 

Ukraine : Vladimir Poutine obligé de jouer l’apaisement ?

 

 

 

D’une certaine manière le va-t-en-guerre Poutine et bien contraint d’envisager une situation d’apaisement pour le problème de l’Ukraine. Dans le pire des cas, il pourrait en effet envahir une partie de l’Ukraine au moins dans les zones proches des frontières et qui comprennent d’ailleurs des populations russophones.

 

Du côté des forces occidentales, la réplique pourrait sans doute pas être militaire car elle serait très risquée au point d’entraîner un conflit ensuite non maîtrisable. La solution est connue ce serait de stopper les achats de gaz et de pétrole à la Russie dont c’est pourtant l’essentiel des revenus. La Russie est en effet très appauvrie depuis la fin de l’URSS et vit surtout sur le produit de ses exportations.  Il est donc probable que les occidentaux, les Européens d’abord et ensuite les États-Unis acceptent de ne pas étendre l’influence de l’OTAN jusqu’à l’Ukraine. La Russie pourra alors continuer de faire commerce de son pétrole et de son gaz avec le monde surtout avec l’Europe et l’Allemagne.

Poutine a d’ailleurs baissé d’un ton hier en affirmant qu’il souhaitait une solution d’apaisement pour l’Ukraine.

Extraditions leaders catalans : le conseil de l’Europe pour l’apaisement

Extraditions leaders catalans : le conseil de l’Europe pour l’apaisement

Les démons fascisants travaillent toujours un peu l’Espagne.-Cet entêtement à poursuivre juridiquement les indépendantistes catalans qui avaient organisé un référendum. Des indépendantistes arrêtés, jetés en prison ou exilés. Le conseil de l’Europe demande enfin l’apaisement pour mettre fin à la chasse aux sorcières vis-à-vis de responsables qui certes ont organisé un référendum illégal mais non provoqué aucun désordre mortel. Les manifestations des indépendantistes sont en effet demeuré très pacifiques. Dans une résolution adoptée par l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), l’organisation paneuropéenne appelle le gouvernement espagnol à «envisager de gracier, ou de libérer de toute autre manière», les politiques catalans condamnés pour leur participation «dans l’organisation du référendum anticonstitutionnel» de 2017 «et des manifestations pacifiques de grande envergure qui l’ont accompagné».

 

Le texte adopté par l’APCE invite encore Madrid «à entamer un dialogue ouvert et constructif avec l’ensemble des forces politiques de Catalogne, y compris celles qui s’opposent à l’indépendance, afin de renforcer la qualité de la démocratie espagnole, et de trouver un compromis qui permette à l’Espagne (…) de régler les différends politiques (…) sans recours au droit pénal, mais dans le plein respect de l’ordre constitutionnel» espagnol.

Espagne : enfin l’apaisement pour la Catalogne ?

Espagne : enfin l’apaisement pour la Catalogne ?

 

Le parti indépendantiste  ERC de la Catalogne a décidé de laisser sa chance au parti socialiste revenu au pouvoir. Il ne s’opposera pas à la constitution d’un gouvernement conduit par le leader socialiste Pedro Sanchez. Une manière de renouer le dialogue et d’envisager plus sereinement le devenir de la Catalogne.

L’Espagne peine à se doter d’un gouvernement stable depuis l’irruption en 2015 sur la scène politique de nouvelles formations nées après la crise financière de 2008, qui ont fragmenté le Parlement et mis fin au bipartisme entre conservateurs du Parti populaire et socialistes du PSOE.

Quatre élections législatives ont eu lieu en autant d’années, les dernières en novembre dernier.

Arrivés alors en tête avec 120 élus, les socialistes ont conclu avec le parti de gauche Podemos (35 élus) un accord de coalition pour quatre ans, mais les deux formations restent loin de la majorité avec 155 députés sur 350 au Congrès des députés, la chambre basse du Parlement.

En s’abstenant lors du vote d’investiture, l’ERC, qui compte 13 élus, devrait permettre à Pedro Sanchez de former un gouvernement et sortir de l’impasse.

Concernant la Catalogne, les conclusions du dialogue sur l’avenir de la région seront soumises au vote des habitants, ce qui pourrait ouvrir la voie à une nouvelle tentative de sécession, comme celle, avortée, d’octobre 2017.

L’ERC a informé le président de l’exécutif catalan, l’indépendantiste Quim Torra, qu’il pousserait en faveur d’un nouveau référendum sur l’indépendance de la Catalogne lors de son dialogue avec le gouvernement central.




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