Archive pour le Tag 'l’ancien'

Niger: La dictature adopte les méthodes russes pour éliminer l’ancien président

Niger:  La dictature adopte les méthodes russes pour éliminer l’ancien président

 

Les méthodes russes font  école dans les dictatures notamment africaines et le président légitimement élu pourrait être condamné pour trahison. De quoi s’interroger encore un peu plus sur l’avenir démocratique et politique de ce pays qui figure déjà parmi les plus pauvres du monde.

 

Mohamed Bazoum, président du Niger renversé par un régime militaire en juillet 2023, pourrait prochainement être jugé: la justice de son pays a levé vendredi son immunité présidentielle, ouvrant la voie à un procès, ses avocats dénonçant «l’avènement de l’arbitraire». «La Cour ordonne la levée de l’immunité de Mohamed Bazoum», a déclaré Abdou Dan Galadima, président de la plus haute juridiction du Niger, créée en novembre 2023 par le régime militaire.

 

Les autorités de Niamey accusent le président renversé de «complot d’attentat à la sécurité et l’autorité de l’État», «crime de trahison», «faits présumés d’apologie du terrorisme» et de «financement du terrorisme». Mohamed Bazoum est détenu depuis le coup d’État du 26 juillet dans la résidence présidentielle, avec son épouse Hadiza dans des conditions spartiates, sans téléphone ni droit de visite hormis leur médecin, depuis mi-octobre, selon leur entourage.

Henri Proglio , l’ancien patron d’EDF impliqué dans une enquête de corruption

Henri Proglio , l’ancien patron d’EDF impliqué dans une enquête de corruption

 L’enquête porte sur l’activité de consultant que l’ancien patron du fournisseur d’électricité mène avec son cabinet de conseil, Henri Proglio Consulting, fondé en 2015. Outre ces contrats de conseil, décrochés en Russie ou au Congo-Brazzaville, les enquêteurs s’interrogent également sur l’origine des 300.000 euros en espèces retrouvés dans le coffre d’une banque, selon Libération, confirmé par la source judiciaire. Son avocat, Me Jean-Pierre Mignard, a précisé à l’AFP ne pas pouvoir commenter cette enquête, n’ayant pas accès au dossier.

Henri Proglio, EDF et son ancien secrétaire général, Alain Tchernonog, seront jugés du 21 mai au 6 juin pour favoritisme par le tribunal correctionnel pour des contrats passés entre 2010 et 2016 avec des consultants sans mise en concurrence. Une dizaine de consultants seront jugés à leurs côtés pour recel de favoritisme.

Six autres consultants ont déjà été condamnés depuis début 2023 dans le cadre de cette affaire lors de comparutions sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), sorte de plaider-coupable. Membre du conseil international de Rosatom, géant public russe du secteur nucléaire, M. Proglio avait annoncé ne pas vouloir démissionner en mars 2022, quelques jours après le déclenchement de la guerre en Ukraine.

 

Microsoft récupère l’ancien patron viré d’OpenAI

Microsoft récupère l’ancien patron viré d’OpenAI

Sam Altman, le fondateur et directeur général de l’entreprise qui a lancé ChatGPT, viré par son conseil d’administration, a été recruté par Microsoft ce lundi pour diriger une nouvelle branche de recherche dans l’IA.

C’est un véritable putsch du conseil d’administration qui a permis de virer le fondateur qui voulait conserver une mission de service public après la transformation d’OpenAI en entreprise en 2018. Ainsi les fonds américains ont eu raison du créateur et fondateur aujourd’hui recruté par Microsoft.

« S’associer à la startup la plus en pointe dans l’IA générative était tellement important pour Microsoft qu’ils ont accepté d’injecter 13 milliards de dollars sans avoir le moindre contrôle en termes de gouvernance. C’est une erreur majeure, une aberration dans le monde économique. Le renversement de Sam Altman n’aurait pas été possible dans une entreprise normale », estime Stéphane Roder, le Pdg et fondateur d’AI Builders, cabinet de conseil indépendant spécialisé en IA.

Resteront cependant des problèmes de déontologie pour Sam Altman chez Microsoft.

Immobilier : tendance à la baisse dans l’ancien

Immobilier : tendance à la baisse dans l’ancien

La tendance à la baisse des prix dans l’immobilier s’installe sans doute durablement en raison globalement du manque de solvabilité des candidats à l’accession à la propriété. En cause, la folle envolée des prix de l’immobilier au cours de ces 10 à 20 dernières années, la hausse des taux et la baisse des capacités à emprunter.

Les prix de l’immobilier ancien ont donc reculé de 0,8% au deuxième trimestre par rapport au précédent, selon l’indice Notaires-Insee, dévoilé ce jeudi. Ce chiffre marque la deuxième baisse d’affilée d’un trimestre à l’autre. Sur un an, la hausse des prix décélère

« Les années folles sont terminées. On va passer à un autre paradigme de l’immobilier », a prévenu d’emblée Elodie Frémont, présidente de la commission statistiques immobilières des Notaires du Grand Paris.

En Ile-de-France, région la plus tendue, les prix baissent désormais rapidement, avec un recul de 3,1% sur un an. Cette baisse est portée par l’accentuation du recul des prix des appartements (‑3,7% sur un an au deuxième trimestre 2023, après -1,3% lors du précédent). Elle est davantage marquée pour Paris (-4,4%) que pour la Petite Couronne (-3,8%) et la Grande Couronne (-1,7%). La baisse s’explique également par le repli inédit des prix des maisons (‑1,9 %), qui diminuent sur un an pour la première fois depuis le premier trimestre 2016.

Le nombre de transactions, indicateur de l’activité du marché et qui avait atteint un record absolu en 2021, continue de refluer rapidement.

Les causes sont multiples, mais la principale est la flambée des taux d’intérêt, qui ont renchéri le coût des crédits, selon Élodie Frémont. Ces derniers augmentent sous l’effet de taux d’intérêt en forte remontée, résultat direct de la politique de resserrement monétaire mis en place par la Banque centrale européenne pour freiner l’inflation.

Une baisse générale des prix, déjà observée par les réseaux d’agences, ne devrait pas tarder à arriver. « Sans aucun doute, la baisse va s’accélérer », juge ainsi Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleurs Agents. « L’achat devient de moins en moins intéressant financièrement, parce que pour rentabiliser son achat, il faut attendre de plus en plus longtemps », remarque-t-il.

L’ancien ministre de la justice Michel Mercier condamné pour emplois fictifs !

L’ancien ministre de la justice Michel Mercier condamné pour emplois fictifs !

Encore un coup dur pour la justice avec la condamnation de l’ancien ministre de la justice de Nicolas Sarkozy pour emplois fictifs. La preuve aussi que certains élus confondent assez souvent intérêt collectif et intérêt personnel

.
L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy (2010-2012), âgé de 75 ans, s’est rendu coupable de «détournement de fonds publics» pour avoir versé dans le cadre de ses fonctions de sénateur 50.000 euros de salaire à son épouse, Joëlle, entre 2005 et 2009, et 37.000 euros à sa fille, Delphine, de 2012 à 2014.

Jugeant que les faits étaient «d’une gravité certaine» et que Michel Mercier avait fait «prévaloir son intérêt personnel sur l’intérêt commun», la justice l’a également condamné à 50.000 euros d’amende, cinq ans d’inéligibilité et trois ans d’interdiction de toute fonction publique.

L’ancien sénateur centriste a également été reconnu coupable de détournement de fonds publics par négligence pour avoir continué à payer un assistant parlementaire qui ne travaillait plus pour lui.
Il était également jugé pour prise illégale d’intérêts, mais les faits qui lui étaient reprochés à ce titre ont été déclarés prescrits par le tribunal.

Reconnues coupables de complicité et de recel, son épouse Joëlle et sa fille Delphine ont été condamnées, respectivement, à 18 mois de prison avec sursis et 40.000 euros d’amende pour la première et à 12 mois avec sursis et 10.000 euros d’amende pour la seconde. L’avocat de Michel Mercier n’a pas souhaité faire de commentaire.

Justifiant l’emploi de sa fille de 2012 à 2014, alors qu’elle vivait à Londres et n’a jamais mis les pieds au Sénat, il avait ainsi affirmé qu’elle lui servait de «conseillère culturelle». Delphine Mercier, elle, a dit avoir jeté «lors d’un déménagement» toutes ses notes relatives à son travail. Dans son délibéré, le tribunal a estimé que «ces déclarations étaient dénuées de toute vraisemblance».
Autres affaires

Elections législatives : Une caricature de la démocratie de l’ancien monde

Elections législatives : Une caricature de la démocratie de l’ancien monde 

 

Les responsables de l’association Tous élus, dont les coprésidents Julien Loyer et Tatiana Mariotto protestent, dans une tribune au « Monde », contre la manière dont, soit des candidats hors-sol, soit des personnalités déjà élues ont été désignés pour représenter la Nouvelle Union populaire, écologique et sociale.

 

Nous sommes en 2022, et un accord qualifié d’historique réjouit tous les partisans et militants de la gauche et de l’écologie. Tous ? Non ! Les organisations qui, depuis quelques années, tentent d’insuffler un renouveau dans les institutions ne s’y reconnaissent pas.

Nous désapprouvons les conséquences de cet accord pour les candidatures issues de la société civile. Notre démocratie, qui est aujourd’hui malade, a besoin d’être réoxygénée. Cela commence par un profond besoin de renouvellement.

Ce sont des techniques de l’ancien monde qui viennent de se jouer sous nos yeux. Que l’on se félicite chez les partisans de la gauche et de l’écologie d’avoir réussi à rassembler, sous la même bannière, des opinions que tout semblait séparer il y a quelques mois, nous le comprenons.

Ce que nous dénonçons, ce sont les négociations qui mènent à envoyer des candidatures hors-sol de personnalités souvent déjà élues, parce qu’il est plus stratégique de présenter une étiquette Parti socialiste (PS) qu’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) ou parce que l’on a des relations dans le parti. Ces accords ont parfois été conclus au mépris d’une candidature citoyenne, portant les mêmes valeurs, qu’on a alors écartée. Ce n’est pas ce que nous attendons d’un renouvellement véritable.

Nous ne pouvons pas attendre demain pour commencer ce renouvellement profond au sein de nos institutions politiques, aujourd’hui décriées, boudées, et dont les représentants, pour beaucoup, ont perdu la confiance de leurs administrés. Cela tombe bien, des citoyens se tiennent prêts à agir. Ils y pensent et sont parfois engagés sur le terrain depuis des années, et prolongent leur engagement militant par un engagement politique. Ils se sont formés rigoureusement, pendant des semaines, et font campagne avec leurs petits moyens, ou cherchent une investiture depuis plusieurs mois.

L’égalité des chances, que vous prônez, s’arrête-t-elle donc aux portes de l’Assemblée nationale ? La promotion et la représentation des femmes, de la jeunesse et de toutes les classes populaires n’ont-elles de sens que portées par des hommes (surtout) et des femmes expérimentées ? …

Orpea: l’ancien DG visé pour avoir vendu 600 000 € d’actions juste avant le scandale

Orpea: l’ancien DG visé pour avoir vendu 600 000 € d’actions juste avant le scandale

 

 

La découverte de la vente de près de 600 000 € d’actions par l’ancien DG d’Orpéa sonne comme un aveu des scandales dénoncés par le livre « les fossoyeurs »

Une enquête préliminaire pour délit d’initié vise désormais Yves Le Masne, l’ex-directeur général d’Orpea, débarqué le 30 janvier par le conseil d’administration. Le parquet national financier souhaite étudier les circonstances dans lesquelles le dirigeant a revendu des actions Orpea, le 29 juillet dernier, pour 588.000 euros. L’opération, révélée le 2 février par Le Canard enchaîné , a eu lieu trois semaines après que la direction d’Orpea a été officiellement informée de la publication de l’enquête de Victor Castanet. Son livre, Les Fossoyeurs , accuse l’entreprise de maltraitance, pointe des pratiques financières douteuses et désigne Yves Le Masne comme l’un des trois instigateurs d’un « système Orpea ». Le 21 juin, Orpea a reçu une liste de 56 questions du journaliste ; le 6 juillet, l’entreprise a refusé d’y répondre.

Sous-marins : l’ancien premier ministre australien critique son pays

Sous-marins : l’ancien premier ministre australien critique son pays

Kevin Rudd, l’ancien premier ministre australien signataire de l’accord stratégique entre Paris et Canberra, critique, dans une tribune au « Monde », la volte-face de son gouvernement dans l’achat de sous-marins. (extrait)

Tribune.

 

Il est inhabituel qu’un ancien premier ministre d’un pays critique les décisions d’un de ses successeurs dans les pages d’opinion d’un journal étranger. Si, dans le débat politique australien, je me suis montré férocement critique à propos de l’orientation générale prise par la politique étrangère menée par le gouvernement conservateur actuel depuis que j’ai quitté mes fonctions, j’ai rarement pris la plume pour émettre ces critiques à l’étranger. Mais, face à la mauvaise gestion du projet de remplacement de notre flotte sous-marine avec l’appui de la France, et au vu de l’importance que j’attache aux relations stratégiques entre Canberra et Paris, je suis convaincu d’avoir, en tant qu’ancien premier ministre, la responsabilité de faire clairement entendre mon point de vue sur cette extraordinaire débâcle que vient de provoquer le gouvernement australien.

J’estime que la décision du gouvernement de Scott Morrison est profondément discutable en de maints aspects fondamentaux. Elle viole l’esprit et la lettre du partenariat stratégique adopté par la France et l’Australie en 2012, renforcé par le premier ministre australien, Malcolm Turnbull, en 2017. Elle ne répond pas à cette obligation contractuelle de base prise par l’Australie : consulter l’industriel de défense français Naval Group si elle décide, comme elle l’a fait, de changer radicalement les termes de l’appel d’offres. Canberra ne souhaite plus commander douze sous-marins à propulsion conventionnelle, mais huit sous-marins à propulsion nucléaire.

L’Australie a commis l’erreur de ne pas laisser à la France la possibilité de lui soumettre une autre offre (en partie ou en totalité nouvelle) pour ces appareils nucléaires, alors que l’Hexagone a une longue expérience dans leur fabrication. Outre ces manquements fondamentaux, Scott Morrison n’a pas non plus respecté le protocole diplomatique de base : il n’a pas officiellement notifié le gouvernement français de sa décision unilatérale avant d’annoncer publiquement l’annulation du contrat. Enfin, Canberra n’a pas saisi quel serait l’impact de sa décision, tant en France que sur les efforts de rapprochement international afin de former un front uni face à la montée en puissance de la Chine.

Depuis longtemps, l’Australie entretient avec la France des liens étroits. Près de 50 000 de nos fils, qui ont défendu la France et la Belgique pendant la première guerre mondiale, sont enterrés sur le sol français. Près d’un quart de million d’Australiens se sont battus sur ces sanglants champs de bataille. En 1914, un tel chiffre ne représentait pas moins de 5 % de la population australienne. Nos deux pays étaient également alliés pendant la seconde guerre mondiale contre l’Allemagne nazie – notamment lors de campagnes menées contre le régime de Vichy dans le Pacifique et au Moyen-Orient. Mon propre père, par exemple, s’est battu aux côtés de la France libre lors de la campagne de Syrie, en 1941.

L’ancien président George W. Bush félicite Biden pour sa victoire

L’ancien président George W. Bush félicite Biden pour sa victoire

 

Il est probable que progressivement les responsables politiques de poids du camp républicain vont abandonner les excentricités de Trump et son déni de démocratie. Plusieurs responsables républicains ont déjà reconnu la victoire de Biden. Dernièrement , l’ex-président républicain George W. Bush, dont la victoire en 2000 avait été arrachée devant les tribunaux, a téléphoné dimanche 8 novembre à Joe Biden pour le féliciter de sa victoire et salué son  »discours patriotique »« Le président Trump a le droit de demander des recomptages et de déposer des recours en justice et tous les problèmes en suspens seront tranchés », a-t-il écrit dans un communiqué. Mais, a-t-il ajouté, « les Américains peuvent avoir confiance dans cette élection honnête, dont l’intégrité sera confirmée et dont le résultat est clair ».

Retraites : « une pratique de négociation de l’ancien régime  » (Jean-Marie Pernot, politiste)

Retraites : « une pratique de négociation de l’ancien régime  » (Jean-Marie Pernot, politiste)

Jean-Marie Pernot, politiste, chercheur associé à l’IRES (Institut de recherches économiques et sociales)  analyse, dans une tribune au « Monde », le conflit actuel sur les retraites qui, selon lui, s’inscrit dans la continuité d’un refus de négocier un compromis qui caractérise les pratiques de l’Etat français depuis l’Ancien Régime.

 

 

«  La France vit ces temps-ci une séquence bien connue, facile à anticiper et dont on est surpris que quelqu’un puisse en être surpris. Toute annonce brutale de changement des régimes spéciaux de retraites – et plus encore l’annonce de leur suppression – provoque des grèves plus ou moins importantes et durables dans le secteur public, et un immanquable blocage des transports. Les années 1995 et 2003 sont encore dans les mémoires, et personne parmi les initiateurs de la réforme ne peut prétendre ignorer cette quasi-loi de physique sociale.

La répétition du même incite à chercher les causes de telles récurrences. Il y a certes le côté chiffon rouge de toute annonce de réforme perçue comme autant de réductions des droits ; il est commode également d’évoquer nos institutions, la Ve République, l’avilissement progressif du Parlement et l’état de mort clinique des arènes de discussion extérieures au périmètre de l’Elysée. On peut également souligner l’arrogance des « certitudes technocratiques » (Pierre Bourdieu) en rapport avec la sociologie des élites au pouvoir, laquelle se caractérise par l’entre-soi et une coupure assez générale avec la vie de la grande majorité des citoyens.

Il y a enfin des interrogations autour de la « culture » syndicale de la négociation, mais cette question-là en appelle d’autres. Les syndicats ne vivent pas dans l’éther mais dans la société, les conduites et les représentations qu’ils véhiculent se sont construites dans l’interaction avec les autres acteurs des relations sociales, le patronat et l’Etat. Et il serait hasardeux de prétendre sans autre examen que ces acteurs-là auraient par définition la culture de la négociation et du compromis.

Pour éclairer quelque peu ces questions, il importe de prendre en compte la longue durée. La grève d’août 1953 contre un projet de réforme des régimes spéciaux nous renvoie à des temps antérieurs à la VRépublique et au rôle de l’énarchie. Le président du Conseil, Joseph Laniel, annonçait une réforme, début août, sans autre détail sinon un rallongement conséquent de la durée d’activité des agents publics.

Deux semaines plus tard, le pays comptait 4 millions de grévistes, soutenus par l’opinion publique. Le pouvoir dut reculer, mais sans négocier. Des tractations eurent lieu à l’Elysée, occupé alors par le socialiste Vincent Auriol, où se mêlaient diverses influences mais sans présence syndicale. »

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol