Archive pour le Tag 'l’alimentaire'

Prix de l’alimentaire: L’explosion

Prix de l’alimentaire: L’explosion

Au rythme actuel l’inflation atteindra 20 % d’ici un mois ou deux pour les denrées alimentaires sur deux ans.
Selon Circana, qui épluche les tickets en sortie de caisse la progression des prix atteint 17,7 % sur deux ans et le phénomène va s’amplifier d’ici juin. La progression pourrait aller qu’à 25 %

L’inflation continue sa progression en France. En février, les prix à la consommation ont augmenté de 6,2 % sur un an, après 6 % en janvier, selon l’estimation provisoire publiée par l’Insee mardi matin. Sur un mois, la hausse est, elle aussi, plus robuste à +0,9 %, contre 0,4 % en dépit du reflux des prix de l’énergie.

L’alimentation est devenue le premier contributeur de l’inflation, loin devant l’énergie. En février, les prix des produits alimentaires ont bondi de 14,5 % sur un an. Et alors que les négociations commerciales entre les industriels et les enseignes de la grande distribution doivent s’achever ce mercredi, de nouvelles hausses sont attendues dans les rayons. la Fédération du commerce et de la distribution a fait état d’ une augmentation à venir de l’ordre de 10 % .

« La pression va rester forte sur les prix alimentaires en raison de la poursuite de la propagation des chocs passés. Pour autant, les hausses à venir devraient être lissées dans le temps car les distributeurs ont sans doute des stocks à écouler. De ce fait, cela ne devrait pas créer une grande marche d’escalier sur l’inflation au mois de mars », observe Julien Pouget.

Ces nouvelles hausses de prix ne sont pas une bonne nouvelle à l’heure où la croissance dans l’Hexagone freine : le PIB ne s’est amélioré que d’un modeste 0,1 % au quatrième trimestre 2022, a confirmé l’Insee ce mardi.

Si l’économie française a bien progressé de 2,6 % sur l’ensemble de l’année 2022, la consommation des ménages, le moteur traditionnel de la croissance, n’a, elle, cessé de ralentir au fil des mois, se repliant même au dernier trimestre (-1,2 %). En janvier, un rebond a néanmoins été enregistré, nourri par les dépenses d’énergie « par contrecoup du chèque énergie », selon l’Insee, mais aussi par la reprise des achats de biens fabriqués et de produits alimentaires (respectivement +1,3 % et +0,6 %).

De fait, l’inflation alimentaire a fortement accéléré en mars. Elle atteint désormais 16,2 % sur un an, contre 14,5 % fin février. Sur un mois, les prix ont encore augmenté de 1,8 %, selon Circana, qui épluche les tickets en sortie de caisse. «C’est la hausse mensuelle la plus marquée depuis le début de l’inflation il y a un an», décrypte Emily Meyer, directrice des études de Circana.

Consommation: Explosion des prix dans l’alimentaire

Consommation: Explosion des prix dans l’alimentaire

Au rythme actuel l’inflation atteindra 20 % d’ici un mois ou deux pour les denrées alimentaires sur deux ans.
Selon Circana, qui épluche les tickets en sortie de caisse la progression des prix atteint 17,7 % sur deux ans et le phénomène va s’amplifier d’ici juin.

L’inflation continue sa progression en France. En février, les prix à la consommation ont augmenté de 6,2 % sur un an, après 6 % en janvier, selon l’estimation provisoire publiée par l’Insee mardi matin. Sur un mois, la hausse est, elle aussi, plus robuste à +0,9 %, contre 0,4 % en dépit du reflux des prix de l’énergie.

L’alimentation est devenue le premier contributeur de l’inflation, loin devant l’énergie. En février, les prix des produits alimentaires ont bondi de 14,5 % sur un an. Et alors que les négociations commerciales entre les industriels et les enseignes de la grande distribution doivent s’achever ce mercredi, de nouvelles hausses sont attendues dans les rayons. Même si Bercy écarte l’idée d’un « mars rouge », la Fédération du commerce et de la distribution a fait état en début de semaine d’ une augmentation à venir de l’ordre de 10 % .

« La pression va rester forte sur les prix alimentaires en raison de la poursuite de la propagation des chocs passés. Pour autant, les hausses à venir devraient être lissées dans le temps car les distributeurs ont sans doute des stocks à écouler. De ce fait, cela ne devrait pas créer une grande marche d’escalier sur l’inflation au mois de mars », observe Julien Pouget.

Ces nouvelles hausses de prix ne sont pas une bonne nouvelle à l’heure où la croissance dans l’Hexagone freine : le PIB ne s’est amélioré que d’un modeste 0,1 % au quatrième trimestre 2022, a confirmé l’Insee ce mardi.

Si l’économie française a bien progressé de 2,6 % sur l’ensemble de l’année 2022, la consommation des ménages, le moteur traditionnel de la croissance, n’a, elle, cessé de ralentir au fil des mois, se repliant même au dernier trimestre (-1,2 %). En janvier, un rebond a néanmoins été enregistré, nourri par les dépenses d’énergie « par contrecoup du chèque énergie », selon l’Insee, mais aussi par la reprise des achats de biens fabriqués et de produits alimentaires (respectivement +1,3 % et +0,6 %).

De fait, l’inflation alimentaire a fortement accéléré en mars. Elle atteint désormais 16,2 % sur un an, contre 14,5 % fin février. Sur un mois, les prix ont encore augmenté de 1,8 %, selon Circana, qui épluche les tickets en sortie de caisse. «C’est la hausse mensuelle la plus marquée depuis le début de l’inflation il y a un an», décrypte Emily Meyer, directrice des études de Circana.

Inflation Russie: Plus 20 % sur l’alimentaire

Inflation Russie:Plus 20 % sur l’alimentaire

 

L’inflation, qui s’envole en Russie depuis des mois, a encore accéléré en avril, atteignant 17,8% sur un an, selon les données de l’agence de statistiques Rosstat publiées vendredi, un niveau jamais vu depuis 2002.

À. Les produits de base sont parmi les plus touchés: les céréales (+35,5%), les pâtes (+29,6%), le beurre (+26,1%) et les fruits et légumes (+33,0%). Les prix du matériel audiovisuel, comme les télévisions, ont progressé de 22,7%, tandis que les pris des matériaux de construction ont augmenté de 27,5%. Par rapport au mois de mars de cette année, les prix ont progressé de 1,6% en avril.

Sur l’ensemble de l’année 2022, l’inflation annuelle pourrait atteindre 23%, avant de ralentir l’année prochaine et de revenir à l’objectif de 4% en 2024, selon la Banque centrale russe. L’inflation, galopante depuis des mois, est liée à la reprise post-pandémie et à la flambée des prix des matières premières, auxquelles s’ajoutent désormais les sanctions occidentales contre la Russie et leur lot de perturbations de la logistique. La hausse de prix mine le pouvoir d’achat des Russes, qui ont peu d’épargne, et s’avère un casse-tête pour les autorités, qui ont tenté des mesures de contrôle des prix controversées.

La Banque centrale a drastiquement augmenté son taux à 20% dans la foulée des premières sanctions après l’entrée des troupes russes en Ukraine fin février, avant de commencer une baisse graduelle. Il est actuellement à 14%

Les géants de l’alimentaire pour le végétal industriel

  • Les grands de l’alimentaire n’ont pas tardé à se convertir au bio ou à faire semblant. Désormais ils vont beaucoup plus loin en se préparant à la mutation totale aux produits dits végétaux.
  • Une sorte de nouvelle industrie qui va brasser des plantes dont  les conditions de production sont inconnues pour en faire souvent des plats préparés et autres préparations « gastronomiques ».  Les industriels ne juraient ces dernières années que par le bio, les innovations alimentaires de la traditionnelle vague pré-estivale ont cette année un goût très prononcé de… végétal. Plus précisément, des recettes exemptes de toutes protéines issues des animaux. Exit donc le lait, le beurre, le miel, la viande, le crème ou les œufs, qui sont remplacés par des substituts végétaux censés reproduire la texture et - plus difficilement - le goût des produits carnés ou laitiers.
  • La phase ultérieure sera sans doute la substitution par des pilules à la limite de l’industrie alimentaire et pharmaceutique. Bon appétit !
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Coronavirus Italie : les commerces fermés sauf pour l’alimentaire

Coronavirus Italie : les commerces fermés sauf pour l’alimentaire

 

L’Italie deuxième pays le plus touché après la Chine continue de prendre des mesures draconiennes pour tenter de ralentir la propagation du virus après une progression de plus de 30 % hier. Soit au total de leurs de 12 000 personnes affectées et 827 décès.

Le plus inquiétant dans ce bilan c’est surtout la vitesse de propagation du virus. À cette vitesse certains experts internationaux pensent que à terme 30 % de la population pourrait être concernée. Cela d’autant plus qu’on ignore à peu près tout des conditions de transmission de la maladie surtout de la part de personnes saines. En Italie, le gouvernement a donc décidé de confiner une grande partie de la population.

Dernière mesure la fermeture de tous les commerces saufs ceux relatifs à l’alimentaire. Tous les commerces seront fermés dès jeudi en Italie à l’exception de ceux qui commercialisent de l’alimentation et des produits de santé, a annoncé mercredi soir le président du Conseil italien Giuseppe Conte dans une allocution télévisée.

Les salons de coiffure et de beauté seront également fermés, de même que les bars et les restaurants. Seuls les restaurants d’entreprise pouvant garantir une distance d’un mètre ou plus entre les clients pourront rester ouverts.

“Nous ne verrons les effets de ces efforts considérables que dans quelques semaines”, a prévenu le chef du gouvernement italien. Ces mesures courent jusqu’au 25 mars. Cette intervention s’est produite quelques heures après l’annonce d’une nouvelle hausse spectaculaire du nombre de cas de contamination et de décès dans la péninsule.

Selon le dernier bilan, le nombre de décès s’élève désormais à 827, ce qui représente une hausse de 31% par rapport à mardi, pour 12.462 contaminations.




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