Archive pour le Tag 'laisser-aller'

Violences : résultat du laisser-aller

Violences : résultat du laisser-aller

Macron une nouvelle fois laissera en héritage un énorme échec en matière de rénovation des banlieues. Pire publiquement, il a jeté aux orties le très complet rapport Borloo en mai 2018 humiliant au passage les acteurs de la Refondation et Borloo lui-même. Les conséquences de ce rejet sont énormes. En effet la nature ayant horreur du vide, le commerce de la drogue et le communautarisme ont peu à peu prit la place de l’ordre républicain.

En cause, une certaine idéologie de la part de Macron en même temps qu’un calcul politique pour récupérer les voix grâce à une certaine tolérance vis-à-vis des situations hors normes dans ces quartiers.

Le coût pour le pays de ce laxisme et de cet immobilisme est considérable car ils ont favorisé la montée de générations condamnées à vie à la marginalisation. Et la France détient le triste privilège d’être en tête de l’insécurité en Europe.

Rappel des évènements:le 22 mai 2018, l’ancien ministre de la Ville de Jacques Chirac, Jean-Louis Borloo, remet officiellement au président de la République son rapport intitulé « Vivre ensemble, vivre en grand », composé de dix-neuf programmes thématiques.

Sauf que tout ne passe pas comme prévu. Après avoir laissé parler son invité, Emmanuel Macron refuse d’annoncer un plan ville ou un plan banlieue, considérant que « cette stratégie est aussi âgée que [lui] ».

« Le premier plan a été présenté par Raymond Barre à peu près au moment où je suis né. Je n’y crois pas ! », lance alors le chef de l’Etat à l’assistance composée d’associations, d’élus locaux, d’entreprises engagées et de parlementaires.

Toujours cette volonté de transgression, d’ignorance du réel et de mépris de la part d’un Macron dont on mesure petit à petit et sans doute pour longtemps les erreurs d’orientation tout autant que le manque de maturité politique.

En effet lors de la remise d’un rapport surtout sur une question stratégique, aucun responsable ne s’exprime de manière aussi brutale que grossière. Bref Macron en la circonstance a fait preuve d’une légèreté et d’un mépris coupable qui mériterait rapidement un débat au Parlement.

Politique-violences: Immobilisme et laisser-aller

Politique-violences: Immobilisme et laisser-aller

Macron une nouvelle fois laissera en héritage un énorme échec en matière de rénovation des banlieues. Pire publiquement, il a jeté aux orties le très complet rapport Borloo en mai 2018 humiliant au passage les acteurs de la Refondation et Borloo lui-même. Les conséquences de ce rejet sont énormes. En effet la nature ayant horreur du vide, le commerce de la drogue et le communautarisme ont peu à peu prit la place de l’ordre républicain.

En cause, une certaine idéologie de la part de Macon en même temps qu’un calcul politique pour récupérer les voix grâce à une certaine tolérance vis-à-vis des situations hors normes dans ces quartiers.

Le coût pour le pays de ce laxisme et de cet immobilisme est considérable car ils ont favorisé la montée de générations condamnées à vieà la marginalisation.

Rappel des événements:le 22 mai 2018, l’ancien ministre de la Ville de Jacques Chirac, Jean-Louis Borloo, remet officiellement au président de la République son rapport intitulé « Vivre ensemble, vivre en grand », composé de dix-neuf programmes thématiques.

Sauf que tout ne passe pas comme prévu. Après avoir laissé parler son invité, Emmanuel Macron refuse d’annoncer un plan ville ou un plan banlieue, considérant que « cette stratégie est aussi âgée que [lui] ».

« Le premier plan a été présenté par Raymond Barre à peu près au moment où je suis né. Je n’y crois pas ! », lance alors le chef de l’Etat à l’assistance composée d’associations, d’élus locaux, d’entreprises engagées et de parlementaires.

Toujours cette volonté de transgression, d’ignorance du réel et de mépris de la part d’un Macron dont on mesure petit à petit et sans doute pour longtemps les erreurs d’orientation tout autant que le manque de maturité politique.

En effet lors de la remise d’un rapport surtout sur une question stratégique, aucun responsable ne s’exprime de manière aussi brutale que grossière. Bref Macon en la circonstance a fait preuve d’une légèreté et d’un mépris coupable qui mériterait rapidement un débat au Parlement.

Macron et les banlieues : Immobilisme et laisser-aller

Macron et les banlieues : Immobilisme et laisser-aller

Macro une nouvelle fois laissera en héritage un énorme échec en matière de rénovation des banlieues. Pire publiquement il a jeté aux orties le très complet rapport Borloo en mai 2018 humiliant au passage les acteurs de la Refondation et Borloo lui-même. Les conséquences de ce rejet sont énormes. En effet la nature ayant horreur du vide, le commerce de la drogue et le communautarisme ont peu à peu prit la place de l’ordre républicain.

En cause, une certaine idéologie de la part de Macon en même temps qu’un calcul politique pour récupérer les voix grâce à une certaine tolérance vis-à-vis des situations hors normes dans ces quartiers.

Le coût pour le pays de ce laxisme et de cet immobilisme est considérable car ils ont favorisé la montée de générations condamnées à vieà la marginalisation.

Rappel des événements:le 22 mai 2018, l’ancien ministre de la Ville de Jacques Chirac, Jean-Louis Borloo, remet officiellement au président de la République son rapport intitulé « Vivre ensemble, vivre en grand », composé de dix-neuf programmes thématiques.

Sauf que tout ne passe pas comme prévu. Après avoir laissé parler son invité, Emmanuel Macron refuse d’annoncer un plan ville ou un plan banlieue, considérant que « cette stratégie est aussi âgée que [lui] ».

« Le premier plan a été présenté par Raymond Barre à peu près au moment où je suis né. Je n’y crois pas ! », lance alors le chef de l’Etat à l’assistance composée d’associations, d’élus locaux, d’entreprises engagées et de parlementaires.

Toujours cette volonté de transgression, d’ignorance du réel et de mépris de la part d’un Macron dont on mesure petit à petit et sans doute pour longtemps les erreurs d’orientation tout autant que le manque de maturité politique.

En effet lors de la remise d’un rapport surtout sur une question stratégique, aucun responsable ne s’exprime de manière aussi brutale que grossière. Bref Macon en la circonstance a fait preuve d’une légèreté et d’un mépris coupable qui mériterait rapidement un débat au Parlement.

PSG : trop de laisser-aller

PSG : trop de laisser-aller

Le PSG aurait pu gagner par 4 à 0 et termine par un petit match nul ; En cause le relatif laisser aller tant en défense qu’en attaque ; Globalement le PSG a dominé outrageusement mais a totalement manqué d’opportunisme sur les occasions. En défense auusi beaucoup de flottement (c’était déjà le cas en fin de saison ) et T. Silva ne parait toujours pas revenu à son meilleur niveau). En clair un manque de rigueur qui pourrait coûter plus cher contre d’autres équipes ; une satisfaction toutefois la bonne prestation de Pastore  (pour une fois). Profitant des gros problèmes d’alignement de la défense d’en face, perdant de nombreux ballons dans l’axe et offrant de gros cadeaux aux doubles champions de France, Zlatan Ibrahimovic et ses coéquipiers auraient pu tuer le match avant même le retour aux vestiaires. Mais après que le Suédois a ouvert la marque sur un excellent ballon de Pastore, Johnny Placide, le gardien rémois a remis son équipe dans le coup en repoussant un penalty du buteur parisien, qui avait trouvé le poteau un peu plus tôt sur un but tout fait. Des ratés qui ont permis à Reims de rester à distance avant d’égaliser et même de prendre l’avantage sur une belle action collective en fin de première mi-temps. Les Rémois, qui avaient pris deux fois 3-0 la saison dernière, ont payé ensuite les efforts consentis. Mais ils ont réussi à conserver jusqu’au bout un match nul très encourageant face à une équipe parisienne qui ne devrait pas être souvent tenue en échec cette saison sur ce qu’elle a montré pendant les vingt premières minutes. Sans une faute de main de Placide en seconde mi-temps permettant à Ibrahimovic de réaliser un nouveau doublé, on peut même penser que Reims aurait pu signer la première sensation de la saison. A l’arrivée, comme lors des trois dernières saisons, ce Paris Saint-Germain, qui s’est fait peur sur la pelouse de Delaune faute de ne n’avoir pas su plier le match, n’est pas parvenu à remporter son premier match de championnat. C’est devenu une habitude.

 




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