Archive pour le Tag 'l’agonie'

Politique: Un pouvoir à l’agonie !

Politique: Un pouvoir à l’agonie !

Le pouvoir devient ultra minoritaire dans le pays et se trouve de plus en plus acculé et presque à l’agonie si l’on en juge par la condamnation globale de la politique économique et sociale par 75 % de la population dont 73 % souhaitent aussi, d’après un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, que le gouvernement retire sa réforme des retraites pour mettre fin aux blocages et grèves. Le moins que l’on puisse dire c’est que le pouvoir est de plus en plus acculé dans une impasse et que les contradictions s’ajoutent aux contradictions nourrissantes ainsi la chienlit dans le pays.

Notons sur le plan économique le coût assez exorbitant des manifestations qui privent le pays de production et les commerçants d’activité. En clair, l’espérance de croissance de 0,6 % en 2023 pourrait être annulée. La perte de recettes pourrait être au moins équivalente aux économies attendues de la réforme des retraites .La conséquence directe des mouvements sociaux jusque-là pourraient être une division par deux désespérances de croissance. Soit une perte de 0,3 % en 2023 ou encore une pertes d’environ 100 milliards ! Pour preuve du tassement de la croissante la baisse de la consommation le mois dernier qui alimente au moins la moitié la croissance globale.

Preuve de ces contradictions, le président de la république qui d’abord s’oppose à toute réception de l’intersyndicale puis revient sur sa position après sa lamentable intervention à la télé mais n’envisage pas de rencontres avant le 14 avril, histoire de gagner du temps ou plutôt d’en perdre.

Preuve de ces contradictions, la première ministre qui lâche ses derniers feux en réunissant sans mandat et sans ordre du jour l’intersyndicale pour parler de tout et de rien histoire de montrer qu’elle existe encore. Preuve de ces contradictions qui touchent au pathétique, le ministre du travail complètement lessivé qui fait son coming out en plein conflit pour avouer qu’il est homosexuel comme si cela présentait le moindre intérêt politique social ou sociétal. Et Darmanin (Ersatz de Sarkozy) avec sa voix fluette d’adolescent en pleine mutation et qui cherche désespérément les poils de sa barbe qui veut jouer au dur en contribuant à la violence contre des casseurs irresponsables qui ne recherchent que cela.

Globalement un pouvoir, complètement hors sol qui ne se rend pas compte qu’il s’agit d’une colère globale dont l’étincelle a été la réforme des retraites mais qui se situe plus globalement dans une problématique sociale et démocratique. Une majorité de la population ne supporte plus l’environnement et la verticalité d’un pouvoir technocratique ignorant et finalement méprisant. On est passé d’une position à la réforme de la retraite à une position au système politique et vis-à-vis de Marcon en particulier.Bref maintenant une vraie crise politique.

Un pouvoir à l’agonie

Un pouvoir à l’agonie

Le pouvoir devient ultra minoritaire dans le pays et se trouve de plus en plus acculé et presque à l’agonie si l’on en juge par la condamnation globale de la politique économique et sociale par 75 % de la population dont 73 % souhaitent aussi, d’après un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, que le gouvernement retire sa réforme des retraites pour mettre fin aux blocages et grèves. Le moins que l’on puisse dire c’est que le pouvoir est de plus en plus acculé dans une impasse et que les contradictions s’ajoutent aux contradictions nourrissantes ainsi la chienlit dans le pays.

Notons sur le plan économique le coût assez exorbitant des manifestations qui privent le pays de production et les commerçants d’activité. En clair, l’espérance de croissance de 0,6 % en 2023 pourrait être annulée. La perte de recettes pourrait être au moins équivalente aux économies attendues de la réforme des retraites.

Preuve de ces contradictions, le président de la république qui d’abord s’oppose à toute réception de l’intersyndicale puis revient sur sa position après sa lamentable intervention à la télé mais n’envisage pas de rencontres avant le 14 avril, histoire de gagner du temps ou plutôt d’en perdre.

Preuve de ces contradictions, la première ministre qui lâche ses derniers feux en réunissant sans mandat et sans ordre du jour l’intersyndicale pour parler de tout et de rien histoire de montrer qu’elle existe encore. Preuve de ces contradictions qui touchent au pathétique, le ministre du travail complètement lessivé qui fait son coming out en plein conflit pour avouer qu’il est homosexuel comme si cela présentait le moindre intérêt politique social ou sociétal. Et Darmanin (Ersatz de Sarkozy) avec sa voix fluette d’adolescent en pleine mutation et qui cherche désespérément les poils de sa barbe qui veut jouer au dur en contribuant à la violence contre des casseurs irresponsables qui ne recherchent que cela.

Globalement un pouvoir, complètement hors sol qui ne se rend pas compte qu’il s’agit d’une colère globale dont l’étincelle a été la réforme des retraites mais qui se situe plus globalement dans une problématique sociale et démocratique. Une majorité de la population ne supporte plus l’environnement et la verticalité d’un pouvoir technocratique ignorant et finalement méprisant. On est passé d’une position à la réforme de la retraite à une position au système politique et vis-à-vis de Marcon en particulier.Bref maintenant une vraie crise politique.

Poutine : l’agonie meurtrière d’un dictateur fou ?

Poutine : l’agonie meurtrière  d’un dictateur fou 

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref , il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.

Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.Poutine va sans doute écraser l’Ukraine mais en vain car la guerre sera longue et meurtrière dans les deux camps. Une sorte  d’Afghanistan. Cette invasion insensée va se traduire par une adhésion précipitée des autres anciennes républiques soviétiques vers l’OTAN et l’union européenne. Un bilan géostratégique et humain dramatique y compris pour la Russie qui un jour ou l’autre devra se débarrasser de son dictateur.

 

Russie -Poutine : l’agonie meurtrière d’un dictateur fou

Russie  -Poutine : l’agonie meurtrière  d’un dictateur fou 

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

Politique -Poutine : l’agonie programmée et dangereuse d’un dictateur

Politique -Poutine : l’agonie programmée et dangereuse  d’un dictateur

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref ,il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement et celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

 

Poutine : l’agonie programmée d’un dictateur

Poutine : l’agonie programmée et dangereuse  d’un dictateur

 

La puissance de Poutine en Russie est aujourd’hui incontestable. Il règne en maître et même en Tsar car aucune contestation n’est tolérée, la démocratie est complètement étouffée, les s’opposant neutralisés, mis en prison voire empoisonnés. Le problème du dictateur, c’est qu’il est de plus en plus enfermé dans sa paranoïa sachant pertinemment que sa légitimité est de plus en plus contestée. En matière de politique intérieure , Poutine n’est plus soutenu en effet que par environ 25 % de l’opinion publique.

Il faut dire que le contexte économique et social s’est fortement dégradé sous la direction de son gouvernement. Régulièrement, la Russie a reculé dans les classements économiques ne figurant plus qu’au 50e rang en matière de richesse par habitant. Bref presque un pays sous-développé. Poutine ne peut s’appuyer sur aucune philosophie idéologique un peu consistante. Il n’a pas l’appui de l’équivalent de l’ancien parti communiste.

Bref il est seul d’autant plus qu’il s’est régné la terreur parmi son entourage. Ce régime de dictateur est appelé à disparaître un jour ou l’autre, dans un an, dans 10 ans, plus tard ? Mais il finira avec Poutine peut-être même dans la violence quand les Russes auront compris que le pire  obstacle au développement et à la paix est Poutine lui-même. Un scénario possible car évidemment la Russie est un grand pays ,  produit d’une grande histoire et d’une grande culture. Certes il n’a  n’a jamais vraiment connu la démocratie mais notamment grâce à Internet, il  peut mesurer le décalage énorme entre son niveau de développement est celui de pays voisins qui ont bien davantage réussi.Le problème, c’est que le dictateur , conscient de ses échecs autant que du mépris qu’il suscite et qu’il pourrait réagir comme une bête blessée par des actes inconsidérés qui précipiteraient même le suicide de son pays.

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol