Archive pour le Tag 'lâche'

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Après Montebourg, Hamon lâche Hollande et Valls

Après Montebourg, Hamon lâche Hollande et Valls

 

Hamon lâche Hollande et Valls en pleine déroute de popularité et de résultats. Il rejoint – avec des nuances dialectiques, Montebourg et les frondeurs du PS. Le bateau coule, il est temps de se préparer à quitter le navire et  gouvernement se fissure. Le ministre de l’Education nationale Benoît Hamon affirme dimanche 24 août, dans Le Parisien que son collègue de l’Economie Arnaud Montebourg et lui ne sont « pas loin des frondeurs » du PS, qui contestent la politique économique de François Hollande et de son Premier ministre Manuel Valls. La veille, Arnaud Montebourg critiquait dans Le Monde la politique de rigueur, « la réduction dogmatique des déficits » et suggérait d’« intensifier les baisses d’impôts concernant les classes moyennes et populaires ». « La relance de la demande est la condition de la réussite de la politique de l’offre qui a été faite depuis deux ans. On ne peut rien vendre aux Français s’ils n’ont pas des revenus suffisants », ajoute à cela Benoît Hamon, qui incarne comme son collègue l’aile gauche du PS, dans Le Parisien/Aujourd’hui en France.  Concernant les parlementaires socialistes frondeurs, très critiques vis-à-vis du gouvernement, Benoît Hamon déclare qu’« Arnaud et moi ne sommes pas loin des frondeurs, mais notre problème n’est pas d’en prendre la tête. Notre volonté est d’être au service d’un rassemblement de la gauche et de peser au sein du gouvernement », insiste-t-il.

 

Déficits: Renzi lâche Hollande

Déficits: Renzi lâche  Hollande

 

Hollande perd encore un allié de poids dans sa démarche vis-à-vis de l’Europe pour davantage de tolérance en matière de déficit. Pourtant l’économie italienne n’est guère brillante puisqu’elle pourrait retrouver la récession en 2014. En dépit de cela, les déficits pourrait être contenus sous les 3% dès 2014 ; ce qui n’est pas le cas de la France qui ne l’envisage plus qu’en 2016 (et encore !). S’il est bien d’accord pour utiliser toute la flexibilité du pacte de stabilité, il n’est pas question pour le président du Conseil italien de déroger aux règles européennes. C’est ce qu’il a affirmé, ce lundi 11 août, dans une interview au Financial Times.  Matteo Renzi se veut rassurant: l’Italie parviendra à contenir son déficit budgétaire sous la limite des 3% du produit intérieur brut (PIB) cette année, sans nouvelles mesures d’austérité. C’est en tout cas ce qu’a affirmé le président du Conseil dans une interview au Financial Times, lundi 11 août. Le retour en récession, avec un PIB qui s’est contracté de 0,2% au deuxième trimestre selon les estimations préliminaires, ne remet pas en cause l’objectif fixé par l’Union européenne, dit-il. « Je n’ai absolument aucun intention de franchir le plafond de 3%. Nous espérons avoir de meilleurs chiffres (de croissance) au deuxième semestre et cela nous permettra d’être à 2,9% », explique-t-il.  En clair, le dirigeant fixe les limites: Paris peut compter sur l’Italie pour défendre l’idée d’utiliser au maximum les flexibilités du pacte de stabilité. Mais en cas de délais supplémentaires, elle ne pourra pas compter sur Matteo Renzi. Pour lui, pas question de déroger aux obligations européennes.  L’Italie avait annoncé en avril prévoir un déficit budgétaire de 2,9% cette année et une croissance de 0,8%. Ces projections seront actualisées en septembre.

Hollande est un « goujat et un lâche »(Sophie Marceau,)

Hollande est un « goujat et un lâche »(Sophie Marceau,)

L’actrice française revient, dans une interview au magazine GQ, sur l’affaire Gayet-Trierweiler. Sophie Marceau considère que François Hollande a été un « goujat » et un « lâche » dans cet épisode de sa vie privée.  La charge de l’actrice est publiée dans le magazine GQ. Interrogée en fin d’interview sur ce qu’elle pense de François Hollande, Sophie Marceau n’est pas tendre avec le président français. « Il a des maîtresses et quand on le sait il refuse d’en parler. Un mec qui se conduit comme ça avec les femmes, c’est un goujat », estime la comédienne de La Boum, en référence à l’affaire Gayet-Trierweiler. « Tromper sa femme pendant un an et demi alors qu’on est président de la République! C’est cinq ans un mandat. On ne lui demande pas d’être abstinent non plus, mais je me dis qu’il peut mettre ça un peu de côté. J’ai l’impression qu’il mélange un peu tout », poursuit Sophie Marceau, en précisant qu’elle n’a « jamais voté » pour François Hollande. « J’avais envie de l’aimer un peu, de me dire qu’il n’est pas si terrible que ça. Mais là, je me suis dit : ‘Quel lâche!’ », conclut-elle.

 

General Motors lâche Peugeot

General Motors lâche Peugeot

Sans doute sceptique ( comme les actionnaires)  sur la viabilité du nouvel accord avec le chinois Dongfeng, General Motors se retire du capital de Peugeot. General Motors a donc créé la surprise jeudi en annonçant sa sortie du capital de PSA Peugeot Citroën quelques heures seulement après la confirmation d’une possible augmentation de capital du constructeur français et de son entrée en discussions avec le constructeur chinois Dongfeng. L’américain, qui était entré au capital de PSA en mars 2012 pour soutenir le groupe français en difficulté, n’a pas souhaité être dilué ni participer à l’augmentation de capital à venir. Les deux groupes ont cependant précisé que cette décision ne remettait pas en cause leurs projets industriels communs. « PSA imaginait que GM envisageait cette opération. Cette annonce ne change en rien l’alliance, les projets de production en commun et les synergies qui y sont associées », a déclaré un porte-parole de PSA. La sortie de GM, qui détient 7% de PSA, va s’opérer via un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels, au prix de 10,00 à 10,25 euros par action, avec une décote maximale pouvant atteindre 5,9% sur le cours de clôture de l’action Peugeot, a-t-on appris auprès de traders. Le titre Peugeot a dévissé de 7,6% jeudi à 10,62 euros. En matinée, PSA a confirmé envisager une augmentation de capital et de nouveaux projets de développement avec des partenaires, dont le chinois Dongfeng Motor, en même temps que des dépréciations massives sur ses comptes. Une source au fait du dossier avait indiqué mercredi à Reuters que le conseil de PSA avait accepté d’engager des discussions finales sur un projet qui verrait le chinois et l’Etat français prendre des participations majoritaires dans le groupe, dans le cadre d’une augmentation de capital d’environ 3,5 milliards d’euros.

Guerre économique Chine-Europe : Hollande lâche Bruxelles

Guerre économique Chine-Europe : Hollande lâche Bruxelles

Nouveau changement de position de Hollande qui avait réclamé au cours de sa campagne la taxation des produits chinois. Alors que Bruxelles vient de décider de taxer les panneaux solaires, Hollande lâche Bruxelles à cause des mesures de rétorsion chinoises sur le vin.  Le président français François Hollande a demandé samedi le règlement « dans la discussion » de la querelle commerciale entre l’Europe et la Chine, qui sera évoquée lors du prochain Conseil européen fin juin. Pékin a répliqué cette semaine à la décision de la Commission européenne de taxer les panneaux solaires importés de Chine en ouvrant une enquête sur les importations de vin de l’UE. « Nous devons travailler avec la Chine et c’est ce que l’Europe fait, nous devons le faire en cohésion, c’est-à-dire avec la volonté de développer nos économies mais aussi de poser des règles, des principes, d’ouvrir aussi de nouveaux domaines de coopération », a dit le président devant un parterre d’hommes d’affaires à Tokyo. « Nous avons des problèmes commerciaux avec la Chine que nous devons régler dans la discussion, sans qu’un pays s’octroie un avantage par rapport à un autre », a-t-il ajouté. « Ce que je veux, c’est que les Chinois achètent davantage de produits français », a-t-il poursuivi. « A nous d’être plus compétitifs et à nous de convaincre les Chinois qu’il peut y avoir réciprocité. » Le chef de l’Etat a précisé que la question serait forcément au menu du prochain Conseil européen. « Nous devons avoir une position commune, c’est la Commission européenne qui nous représente pour la politique commerciale, nous débattrons aussi avec elle », a-t-il dit lors d’une conférence de presse à l’Institut français de Tokyo, jugeant important que « tous les pays européens défendent les mêmes thèses ». Durant sa visite dans la capitale nippone, le président français a ménagé les susceptibilités des Japonais à l’égard de la Chine voisine. « Ne me demandez pas de choisir » entre les deux pays, a-t-il déclaré, affirmant la volonté de la France « de travailler avec l’Asie et de ne pas opposer tel ou tel pays ». « Je suis ici heureux d’être au Japon, fier d’être au Japon, fier de ce que nous pouvons faire ensemble », a-t-il ajouté devant les chefs d’entreprise.

 

Austérité Italie: l’UE lâche du lest

Austérité Italie: l’UE lâche du lest

 

 

Van Rompuy mange son chapeau sur l’austérité en Italie mais par petits bouts afin que la croissance ne reprenne pas trop vite en Europe ! « J’ai redit que l’UE continuerait à se tenir aux côtés de l’Italie dans la poursuite de notre engagement commun de surmonter la crise économique et de promouvoir la croissance et les emplois, en utilisant pleinement la flexibilité existante tout en conservant comme objectif central le maintien de finances publiques saines », a déclaré dans un communiqué M. Van Rompuy à l’issue d’une rencontre avec M. Letta.  Ce dernier a annoncé lundi une série de mesures de relance, notamment le non paiement prévu en juin de la deuxième quote-part annuelle de la taxe foncière sur la résidence principale. Au total, ces mesures sont évaluées à quelque 10 milliards d’euros.  Lundi, M. Letta avait dit espérer obtenir une « marge de manoeuvre » de la part de la Commission européenne pour financer cette relance. Cela pourrait passer par un délai pour revenir dans les clous des 3% de déficit public. De tels délais ont déjà été accordés à l’Espagne et au Portugal, et la France devrait aussi bénéficier prochainement d’un an supplémentaire, soit 2014 au lieu de 2013.  Le chef du gouvernement italien sera reçu jeudi matin par le président de la Commission, José Manuel Barroso.  Depuis sa nomination, M. Letta assure que son pays respectera ses engagements européens, et plaide dans le même temps contre l’austérité et pour l’adoption au niveau européen de mesures en faveur de la croissance.  Sa rencontre avec M. Van Rompuy clôturait une journée au cours de laquelle il avait rencontré le président français François Hollande à Paris, puis le Premier ministre belge Elio Di Rupo à Bruxelles, qui sont sur la même ligne que lui.  M. Van Rompuy a estimé que la visite de M. Letta à Bruxelles très peu de temps après son investiture était un « signe clair » de son « engagement à continuer à travailler en étroite coopération avec l’Union européenne ».  Alors que le chef du gouvernement italien plaide pour la mise en oeuvre rapide de l’union bancaire, qui doit permettre d’éviter que ne se reproduisent des crises bancaires dévastatrices pour le reste de l’économie et pour les finances publiques, M. Van Rompuy a souligné que cette question figurerait au programme des prochains sommets européens, notamment celui du mois de juin. Il a « remercié » M. Letta « pour son programme très pro-européen et son ferme engagement à travailler étroitement avec les institutions européennes et les membres du Conseil européen pour promouvoir des progrès rapides et concrets dans la réalisation de l’union économique et monétaire ».

 

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