Archive pour le Tag 'lâche'

Page 3 sur 4

Schäuble lâche sur les impôts

Schäuble lâche sur les impôts

Sans doute pour répondre aux critiques internationales, aussi pour nourrir la campagne électorale, l’austère  ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, juge envisageable que les baisses d’impôts promises par le gouvernement après les élections du 24 septembre soient supérieures aux 15 milliards d’euros évoqués jusqu’à présent.  »Nous prévoyons, au total, de faire davantage que corriger les impôts sur le revenu de 15 milliards d’euros », assure le ministre en allusion aux hausses « clandestines » imposées aux Allemands dues au fait que Berlin n’ajuste pas les tranches d’imposition en fonction de l’inflation, comme c’est le cas dans de nombreux autres pays européens. Wolfgang Schäuble précise que la CDU souhaite donner un coup de pouce supplémentaire aux jeunes familles pour leur permettre de faire construire un logement, tout en soutenant les programmes de recherche et développement dans les petites et moyennes entreprises. Il dit espérer pouvoir commencer dès 2020 à réduire la « taxe de solidarité » créée après la réunification allemande pour aider à la reconstruction des infrastructures de l’ex-Allemagne de l’Est.

De Rugy lâche Hamon pour Macron

De Rugy lâche Hamon pour Macron

Adieu  la charte de la Belle alliance populaire, De Rugy lâche Hamon et se prononce pour Hamon. . Pas étonnant car les positions de cette écolo modéré plutôt centriste sont assez incompatibles avec les orientations gauchistes de Benoît Hamon.  Candidat au scrutin en janvier, l’élu écologiste, éliminé au premier tour, se devait ainsi de soutenir le vainqueur, Benoît Hamon. Mais un mois plus tard, François De Rugy a fait son choix : ce sera finalement Emmanuel Macron. Après avoir rencontre l’ancien ministre de l’Economie à son QG jeudi dernier, il a annoncé son ralliement mercredi sur France Info . Avant de passer le Rubicon, François De Rugy a toutefois rencontré le co-directeur de campagne de Benoît Hamon, Mathieu Hanotin, afin, selon BFMTV, d’évoquer une place dans l’équipe de campagne. Finalement, François De Rugy rejoindre l’équipe du leader d’En Marche. Selon ses proches interrogés par BFMTV, le député de Loire-Atlantique « est surpris par le fait qu’Hamon ne s’adresse qu’à Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon ». Ses fidèles mettent également en avant son indépendance : « François De Rugy est libre et cohérent. » Dans l’entre-deux-tours de la campagne de la primaire de gauche, François De Rugy avait déjà critiqué Benoît Hamon, sans appeler pour autant à voter Manuel Valls au second tour du scrutin.  »Benoît Hamon a certes verdi son projet socialiste, mais d’un autre côté il refuse la responsabilité, avait-il déclaré sur France Info. Je ne peux pas voter pour Benoît Hamon et en même temps je vois Manuel Valls qui lui assume la responsabilité et je pourrais converger avec lui là-dessus mais il reste très en retrait sur l’écologie, sur les réformes dites de société, démocratiques et je le regrette. A ce stade, je ne suis pas en mesure de dire que je voterai pour l’un ou pour l’autre, je suis déjà en mesure de dire que je ne pourrai pas voter pour Benoît Hamon. »

La France lâche la Centrafrique

La France lâche la Centrafrique

 

 

Inutile de tourner autour du pot,  la France n’a plus les moyens de financer l’opération militaire Sangaris  en république centrafricaine du coup on passe le bébé à une force de l’ONU sert quatre fois plus nombreuses mais très peu professionnelles. En réalité l’État de Centrafrique n’existe pratiquement plus en dehors de la capitale minée par le terrorisme et  le pillage. Du coup sitôt que les forces françaises auront quitté le pays il faut s’attendre à des désordres, des pillages voire à des troubles meurtriers et des actes terroristes  Les responsables français multiplient les déclarations rassurantes alors que l’opération militaire Sangaris prend officiellement fin ce lundi en République centrafricaine. La France «n’abandonnera jamais la Centrafrique», a affirmé dimanche soir le Premier ministre Manuel Valls, après de nouveaux troubles meurtriers dans le pays. Si «nous n’avons pas vocation à demeurer présents ad vitam aeternam» et que la force onusienne de la Minusca «doit monter en puissance», il est «hors de question de laisser ce pays seul», a-t-il assuré lors d’une interview accordée à France 24 et RFI. Pour le Premier ministre, qui s’est dit «très inquiet» des nouvelles violences qui ont fait 25 morts cette semaine, «les Nations Unies, l’Union européenne et la France, ensemble, doivent permettre de sauvegarder la paix civile». «Nous n’abandonnerons jamais ce pays», a-t-il dit, en écho au chef de la diplomatie Jean-Marc Ayrault, selon qui «la France ne laisse pas tomber la Centrafrique». Si Paris se veut rassurant et met en avant la présence de plus de 10.000 Casques bleus de la Minusca, nombre de Centrafricains ne cachent pas leur inquiétude au sujet du départ des soldats français, arrivés dans l’urgence en décembre 2013. «Les groupes armés sont en train de prendre leurs marques. Et je crains qu’ils ne lancent une offensive générale une fois les Français partis», a confié à l’Agence France Presse un responsable politique centrafricain de premier plan sous couvert d’anonymat, ajoutant: «les groupes armés redoutent la force française, mais pas la force onusienne».

(Avec AFP

Bayrou se lâche contre Sarkozy

Bayrou se lâche contre Sarkozy

Objet de nombreuses attaques de la part de Sarkozy à  cause de son soutien à Juppé contre l’ancien président de la république, Bayrou considère par ailleurs que la radicalisation de Sarkozy à l’égard de Juppé et de lui même caractérise un certain état de panique de l’intéressé qui recule dans les sondages. Il dénonce surtout le caractère systématiquement violent et méprisant  de Sarkozy : « Comment quelqu’un qui a été président de la République et qui aspire à le redevenir peut-il se comporter de la sorte ? », s’interroge le président du MoDem dans un texte intitulé « un affrontement fondateur » publié sur sa page Facebook. « Comment peut-il en arriver à cette violence de chaque minute, lâchant des insultes avec un mépris affiché, crachant sur ceux qui ne votent pas pour lui, n’hésitant pas à leur enjoindre sans crainte du ridicule de ‘se taire’? », ajoute le leader centriste auquel les sarkozystes vouent une rancune tenace depuis son vote en faveur de François Hollande en 2012. Nicolas Sarkozy a multiplié les attaques ces dernières semaines contre le maire de Pau, soutien déclaré d’Alain Juppé qui fait la course en tête dans les sondages à un mois de la primaire à droite et du centre. Des élus proches de l’ex-chef de l’Etat ont également fustigé le « retour opportuniste » du président du MoDem et ont plaidé pour une alternance « solide, franche et visible ». « Ce n’est pas parce qu’il n’est pas assez violent, assez clivant, assez injurieux que Sarkozy décroche, c’est précisément parce que tout le monde voit toute la faiblesse que révèle un tel comportement », riposte François Bayrou. « Et c’est pour cette raison que les Français, de droite, du centre et d’ailleurs, malgré la logique partisane de la primaire, s’apprêtent à lui dire non. Une deuxième fois », ajoute-t-il. « J’affirme même, à l’encontre de Nicolas Sarkozy, et je défendrai cette ligne, que tous ces grands courants du pluralisme français, très à droite, très à gauche ou très au centre, doivent être représentés dans nos institutions, même ceux avec lesquels je suis le plus en désaccord et en affrontement. »

(Avec Reuters)

2017 : Cambadélis lâche Hollande

2017 : Cambadélis lâche Hollande

 

 

En se prononçant de plus en plus clairement pour l’organisation d’une primaire à gauche Cambadélis le premier secrétaire du parti socialiste lâche en fait Hollande. Plusieurs raisons à cela,  la première c’est la dégradation des sondages qui rendent la candidature de Hollande de plus en plus improbable en tout cas irréaliste. Seconde raison, c’est l’occasion pour le premier secrétaire du parti socialiste de prendre date afin par avance de reporter la responsabilité d’un éventuel échec à gauche sur ceux  qui n’accepteraient  pas la primaire (Mélenchon ou Duflot par exemple). C’est aussi l’occasion pour Jean-Christophe Cambadélis de montrer son opposition aux orientations actuelles du gouvernement concernant la réforme du droit du travail. Jean-Christophe Cambadélis veut montrer que le parti socialiste reprend son indépendance et que François Hollande n’est qu’un candidat potentiel pour 2017, un candidat comme les autres. Au-delà de cette nouvelle posture de Cambadélis il y a sans doute le constat que François Hollande n’a plus aucune chance pour 2017 et qu’il convient de sauver les meubles avec une primaire pourrait redonner un peu de dynamisme au parti socialiste. (Interview de Cambadélis dans le JDD)

 

Cette semaine, le PS a participé au comité d’organisation de la primaire de la gauche. Vous êtes vraiment favorable à ce processus?

 
C’est la conclusion du tripartisme. Dans le bipartisme, droite contre gauche, il fallait rassembler au second tour. Aujourd’hui, il faut être au second tour. Il serait donc plus efficace qu’il y ait un candidat unique de la gauche. Si cette primaire sans préalables et sans préjugés permet de sélectionner le meilleur candidat de la gauche, c’est une bonne idée, et il faut l’organiser. Je n’ai aucun souci. Je pense que le candidat le plus crédible par temps de crise est le président de la République.

[…]

Quel est, selon vous, le bon calendrier?
Je l’ai dit aux initiateurs de l’appel « Notre primaire » : pour moi, elle doit avoir lieu à l’hiver prochain, en décembre ou en janvier. Le président de la République, s’il était candidat, n’aurait pas obligation de participer à tous les débats : il ne ferait pas le tour de France. Il n’a pas de problème de notoriété! On peut aménager les choses pour que chacun puisse se présenter. Et surtout, il faut que tout le monde s’engage à soutenir le vainqueur.

 

François Hollande est-il d’accord pour participer à cette primaire? Êtes-vous ici son porte-parole?
Je ne suis pas son porte-parole quand je défends la primaire ni quand je critique la loi El Khomri. Je suis le premier des socialistes : je cherche une position qui allie valeurs et efficacité. Le Président n’est pas candidat : il n’a pas donné d’indication en ce sens. Pour lui, tout est ouvert.

 

 

Le projet de loi de Myriam El Khomri est salué par la droite et le Medef et vivement contesté par la gauche et les syndicats. Que vous inspire ce texte?
C’est un avant-projet qui doit évoluer. Face au chômage de masse, entre ceux qui veulent ne rien faire et ceux qui veulent tout défaire, il y a la place pour ceux qui veulent faire. Nous devons élaborer un nouveau modèle, un nouveau mix entre souplesse et sécurité. Le texte tel qu’il a été soumis au Conseil d’État doit donc être rééquilibré.

Platini se lâche …….. Trop tard !

Platini se lâche …….. Trop tard !

 

Cette fois Platini se lâche. Il vient sans doute de comprendre que sa candidature pour la présidence de la Fifa et définitivement compromise. Il attaque sans ménagements la Fifa et sa fameuse commission d’éthique ; de ce point de vue,  il a parfaitement raison d’autant que les procédures utilisées par la fameuse commission ne sont pas même légales. Juridiquement c’est de l’arnaque pure et simple, l’objectif est de bloquer la candidature de Platini assuré sans cela d’être élu ; il faut  de favoriser d’autres candidats qui veulent leur part de l’énorme gâteau que représente la Fifa. Du coup progressivement Platini est lâché aussi bien à l’intérieur de la Fifa qu’à l’intérieur de l’union européenne de football (UEFA). Ceci étant,  sa défense est à la fois tardive et maladroite d’abord Platini ne répond pas clairement concernant les faits qui lui sont reprochés ensuite son argument juridique est faiblarde. De toute évidence, Platini a du mal à exister dans les paniers de crabes que sont les organisations internationales. Peut-être n’a-t-il jamais eu vraiment la carrure d’un dirigeant international, il a sans doute fait trop de compromissions qui l’ont ensuite piégé. Sur le terrain par exemple du rapport de l’argent avec le foot après quelques tentatives il a vite renoncé à assainir des situations aujourd’hui démentielles. Acculé,  Michel Platini semble changer de braquet. C’est tout du moins l’impression qu’il donne en se confiant à nos confrères de l’AFP ce mardi, suite à sa suspension de toute activité liée au football lors des huit prochaines années. Condamnation émise lundi par la commission d’éthique de la Fifa, qui vaut également pour Joseph Blatter. «Je me bats contre cette injustice, de tribunaux en tribunaux», estime le dirigeant de 60 ans, qui affiche toutefois son intention de ne pas céder, à l’heure ou son image ne cesse d’être entachée et où sa candidature pour la présidence de la Fifa semble désormais appartenir au passé. «C’est le vrai match qui commence», assure-t-il avec vigueur comme pour démontrer son acharnement sans faille, au moment d’évoquer son intention de saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS), dernier recours à ses yeux pour tenter de lever sa lourde suspension. «Mon nom est jeté en pâture dans la presse, regrette l’ancien meneur de jeu de l’équipe de France. Quoi qu’il advienne, mon image aura été écornée, j’en aurai pris plein la gueule. On m’a mis dans le même sac que Blatter.» Une phrase lourde de sens, lui qui ne souhaitait plus voir son image accolée à celle du président démissionnaire de la Fifa. Condamné à huit mois de suspension par le tribunal interne de la Fifa, qui le juge coupable «d’abus de position», de «conflit d’intérêt» et de «gestion déloyale», après avoir reçu un paiement controversé de 1,8 million d’euros de la part de Sepp Blatter en 2011, pour un travail de conseiller achevé en 2002, Michel Platini abat sa dernière carte. Il le sait mieux que personne. «Les gens de la commission d’éthique sont davantage impliqués dans une question de calendrier – pour m’empêcher de me présenter à temps pour l’élection à la présidence de la Fifa – et dans la médisance que dans l’éthique. Ils ne sont pas éthiques, ils sont pathétiques», attaque l’ancien capitaine de l’équipe de France.

La Chine lâche les vannes des liquidités

La Chine lâche les vannes des liquidités

 

 

Pour tenter de relancer une économie affaiblie la Chine lâche les vannes des liquidités. Elle a d’abord ainsi procédé à une dévaluation de sa monnaie puis réduit ses taux d’intérêt enfin lancé un plan de soutien aux banques. Cette fois la Chine s’apprête à desserrer les contraintes relatives aux prêts  accordés. Mais cette mesure risque de fragiliser un peu plus système financier déjà en difficulté compte tenu en particulier de l’endettement considérable des entreprises et des collectivités locales notamment. Du coup on ne peut écarter complètement l’hypothèse d’un krach.  La chute des bourses asiatiques témoigne des inquiétudes dans ce domaine. La Chine a abandonné samedi l’obligation qu’elle avait imposé aux banques depuis deux décennies de limiter leurs prêts par rapport aux dépôts, a annoncé l’agence Chine nouvelle.  La loi votée en 1975 qui limitait les prêts à 75 % des dépôts a été amendée par le comité permanent du Congrès national du peuple chinois et cette modification rentrera en vigueur le 1er octobre prochain, a annoncé l’agence officielle. Le Congrès national du peuple chinois assure le pouvoir législatif. Cet amendement intervient après que la Banque populaire de Chine, banque centrale, ait annoncé mardi dernier qu’elle réduisait ses taux d’intérêt de référence afin de réduire les fonds que les banques doivent conserver. Cette décision a été vue comme une tentative de stimuler les prêts et de soutenir l’économie chinoise en difficulté. La PBC a également annoncé l’élimination d’un plafond sur les taux d’intérêt pour les dépôts à terme d’une durée de plus d’un an. Les mesures prises par la Chine pour libéraliser les contrôles de taux d’intérêts sont interprétées comme destinées à ouvrir le pays au système financier.

Sondage : Hollande lâché par les enseignants

Sondage : Hollande lâché par  les enseignants

 

Descente aux enfers pout Hollande même chez les enseignants pourtant traditionnellement assez favorables à la gauche. La dernière réforme des collèges a fini d’enfoncer un président déjà discrédité sur un terrain dont il avait pourtant fait une priorité. Une priorité qui s’est surtout concrétisée en gadgets, en bricolage et  en bonnes paroles (travaux interdisciplinaire, travaux extra scolaires, numérique, réduction des programmes etc).   Selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro, seuls 21% des professeurs déposeraient un bulletin dans l’urne pour le président socialiste sortant, si l’élection présidentielle avait lieu dimanche prochain. Soit une chute de 23 points pour le chef de l’Etat par rapport à 2012. Au total, 76% de sondés se disent également « mécontents » de l’action de François Hollande concernant l’éducation. Idem pour la ministre Najat Vallaud-Belkacem (77% de mécontents).Dans le détail, les réformes ne semblent pas convaincre. Ainsi, sur l’ensemble des professeurs interrogés, 70% se disent « mécontents » des nouveaux programmes pour l’école élémentaire et le collège. La réforme du collège ne séduit, elle, que 21% des enseignants. Selon le sondage, François Bayrou semble le plus à même de récolter les faveurs des professeurs : le président du Modem et ancien professeur récolte 26% des suffrages (+ 10 points par rapport à 2012), si l’élection présidentielle avait lieu dans les prochains jours. Derrière lui, François Hollande (21%) donc ; puis Jean-Luc Mélenchon (18%, + 3 points). Suit Nicolas Sarkozy avec 13% (=). Quant au Front national, il recueille 6% (+ 2 points). A noter que le nombre des sondés qui « ne se prononcent pas » atteint les 25%.

 

Eurotunnel lâche My Ferry Link

Eurotunnel  lâche My Ferry Link

 

Et encore une  entreprise qui va sans doute disparaître ( et les emplois français avec) depuis qu’Eurotunnel a décidé de lâcher la scop my ferry Link. Il seraiat étonnant que Hollande se déplace pour vanter les mérites de cette scop comme il l’a fait chez Fralib ( 29 salariés). En fait il s’agit d’un nouvel abadons d’un armement  français malade depuis longtemps.  Un lent abandon puisque cette affaire de dépérissement du pavillon date de plusieurs dizaines d’années. Rappel de histoire de la scop . SeaFrance est une compagnie maritime française qui assurait les liaisons transmanche par ferries entre Calais et Douvres. Société anonyme à directoire et conseil de surveillance,. La compagnie était détenue à 100 % par la SNCF. Héritière du groupement Sealink. . La compagnie employait 900 personnes, dont 650 navigants français. C’était le premier employeur privé de la ville de Calais. Sa filiale SeaFrance Limited comptait 200 salariés en Angleterre. En 2011 la société est placée en redressement judiciaire. Le 16 novembre 2011, le tribunal de commerce de Paris prononce la liquidation judiciaire de la compagnie, tout en maintenant son activité jusqu’au 28 janvier 2012. À partir du 15 novembre 2011, les bateaux restent à quai. Le syndicat CFDT maritime Nord, décide de créer une société coopérative et participative (SCOP) avec le soutien de certains salariés, pour reprendre l’exploitation de l’entreprise suite à la liquidation judiciaire.. En 2012, Eurotunnel avait donc  racheté les bateaux de l’ex-SeaFrance pour les louer à d’anciens marins de la compagnie regroupés dans la Scop SeaFrance, qui affrète les navires au groupe Eurotunnel via MyFerryLink. Mais un long feuilleton judiciaire a pesé sur l’activité, les autorités britanniques estimant que cette situation posait des problèmes de concurrence. Mi-mai, la cour d’appel britannique a donné raison à la compagnie maritime française, suspendant l’interdiction de desservir Douvres depuis Calais. Cette victoire de MyFerryLink n’a pourtant pas « modifié la donne » pour le groupe Eurotunnel, car la CMA envisageait de poser un recours devant la Cour suprême. Eurotunnel a ainsi décidé fin mai de ne pas renouveler son contrat avec la Scop SeaFrance exploitant la compagnie MyFerryLink, et qui court jusqu’au 2 juillet: une annonce qui, selon certains syndicalistes et connaisseurs du dossier, a pu être causée par les problèmes de gouvernance à l’intérieur de la Scop, et qui a relancé l’incertitude autour de l’avenir des quelque 600 salariés de la société. A présent le groupe, qui exploite le tunnel sous la Manche, se dit confiant dans l’autorisation que doit désormais donner l’autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) à la nouvelle opération « qui se traduira par 2 opérateurs maritimes d’égale importance ». Il souhaite néanmoins « poursuivre son exploitation en frêteur », de son troisième navire, et en fera la demande aux autorités de la concurrence.

Compte pénibilité : Valls moins pénible lâche du mou

Compte pénibilité : Valls moins  pénible lâche du mou 

 

Devant la fronde patronale qui considérait le compte pénibilité comme une nouvelle cathédrale administrative, Valls devient moins pénible et lâche du mou. Surtout ce ne serait plus à l’employeur de suivre le nombre de points pénibilité mais à  la caisse assurance vieillesse. Le patron lui fournira les éléments une fois par an avec la fiche de paye. Ces points doivent permettre au salarié qui travaillent dans des conditions difficiles  de prétendre légitimement  à certaines formation et même de partir en retraite jusqu’à deux ans avant la date prévue. En fait il semble bien qu’on s’oriente plus vers un suivi individualisé des salariés mais vers quelque chose de plus collectif avec des fiches  métiers par type de pénibilité donc. C’est une  avancée consenti par Valls mais pas forcément bien appréciée par les syndicats qui préféreront notamment le suivi individualisé au suivi plus collectif. La mesure doit normalement appliquer partir de 2016. 

Déficits : Bruxelles lâche du mou pour la France

Déficits : Bruxelles lâche du mou pour la France

 

On ne peut pas traiter tout en même temps la Grèce et le reste. Du coup la France bénéficie de la tolérance de Bruxelles. Pour la Grèce, il faut se montrer intraitable ( en fait on aboutira sans doute à un accord  quand même) pour ne pas inciter d’autres pays en délicatesse avec leurs déficits ( Italie, France Grèce , Espagne etc. ) à s’engouffrer dans  la voie du laxisme. L’Allemagne a aussi besoin du soutien de al France pour serrer la vis à la Grèce. Du coup pour  atteindre le fameux taux de 3% de déficit budgétaire  la France va bénéficier d’un nouveau délai de deux ans, un délai sous condition de reformes structurelles ! la France ne manquera pas de faire des promesses  ( comme sous Sarkozy)  quelle ne tendra pas évidemment !. En effet l ‘échéance sera reportée aux  élections présidentielles de 2017, donc en 2018. Pas vraiment un environnement pour redresser les comptes plutôt  un moment pour promettre la lune.  Pas question d’agiter le spectre de la réforme de la sécu, de l’assurance chômage des 35 heures, du code du travail, des régimes des retraites. Quelques réformettes peut-être , encore faudrait-il une majorité. D’une  certaine manière ce renoncement à uen austérité supplémentaire n’est pas économiquement uen mauvaise nouvelle, ce qui l’est davantage c’est que le relâchement de la contrainte de Bruxelles ne sera pas accompagnée des réformes structurelles nécessaires et du coup les déficits et la dette vont continuer de s’alourdir.   Nicolas Sarkozy était passé outre, François Hollande pourrait s’y soustraire aussi. L’objectif d’un déficit public réduit à 3 % du PIB, Arlésienne du débat politique français, a toutes les chances d’être repoussé à 2018 – c’est-à-dire un an après la présidentielle – d’après un scénario qu’étudie sérieusement la Commission européenne. L’exécutif européen rendra son verdict le 27 février sur la France. Cinq mois après que la Commission a agité l’épouvantail de sanctions et critiqué le manque d’ardeur réformatrice du gouvernement Valls, l’heure est à la conciliation. pour décrocher ce nouveau délai, la France devra faire semblant de  rassurer sur l’exécution du budget 2014 – ce qui ne devrait pas poser de problème – et surtout prouver qu’elle s’engage sur un programme de réformes solides.  Sans majorité jusqu’en 2018, on voit mal comment le gouvernement  pourraiat s’engager dans ce sens.

Travail le dimanche : le gouvernement lâche du mou

Travail le dimanche : le gouvernement lâche du mou

 

Finalement, le gouvernement renvoie la balle aux maires et renonce aux 5 dimanches obligatoires de plein droit. En clair le maire pourra décider entre 0 et 12 dimanches. Une solution plus sage car c’est localement qu’on peut le mieux apprécier le besoins des consommateurs et en particulier l’intérêt touristique local.   Les députés ont jeté dimanche soir les bases d’un compromis sur la question du travail le dimanche. La commission de l’Assemblée sur le projet de loi Macron a planché toute la journée sur le texte. Le sujet du travail dominical est sensible et la majorité plutôt réticente. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, a donc dû mettre de l’eau dans son vin.  Les députés ont passé leur dimanche à plancher sur la question du travail dominical, justement. En commission à l’Assemblée, les députés ont examiné les amendements sur les nouvelles règles du travail le dimanche dans les commerces. Cela fait partie du projet de loi sur la croissance et l’activité, qui propose notamment d’élargir à 12 au lieu de 5 le nombre de dimanches où un commerce peut ouvrir dans l’année. Devant les critiques d’élus locaux, largement relayées par une partie de la majorité, Bercy a accepté de renoncer aux cinq dimanches obligatoires comme le prévoyait la mouture initiale. Un amendement a été adopté en ce sens ce lundi matin. Il est désormais prévu que toute ouverture dominicale soit décidée par les élus locaux, ce qui devrait un peu apaiser les tensions dans l’hémicycle. En supprimant les cinq dimanches de plein droit, le nouveau texte laisserait donc aux élus un choix allant de 0 à 12 dimanches. « Dans la grande majorité des communes, les besoins commerciaux sont souvent inférieurs à cinq par an« , a fait valoir le rapporteur (PS) Stéphane Travert, à l’origine de cet amendement.

Intermittents du spectacle : Valls lâche du mou

Intermittents du spectacle : Valls lâche du mou

 

Valls aime bien adopter une posture  Clémenceau d’opérette et se montrer en homme de conviction et d’autorité. Cependant face aux difficultés, il sait comme Hollande louvoyer. Ce qu’il  va faire sans doute aujourd’hui vis-à-vis du régime d’indemnisation chômage des intermittents.  En fait il ne faut pas compter sur le Medef et les syndicats pour changer leurs positions quand à l’évolution de la convention de l’Unedic (les intermittents représentant un quart du déficit). Du coup il est probable que c’est l’Etat lui-même qui prendra au moins en partie ce qui n’est plus financé par l’UNEDIC  pour les intermittents. Un financement qui ne serait que provisoire (sans doute pour couvrir la période jusqu’en 2017).  Au printemps 2014, les partenaires sociaux gestionnaires de l’Unedic, Medef en tête, ont adopté une nouvelle convention réduisant les avantages dont bénéficient les 110.000 intermittents en cas de chômage. Ils ont en particulier décidé d’allonger le « délai de carence », c’est-à-dire la période non indemnisée avant le début d’une nouvelle période de chômage. La nouvelle convention a également prévu de ramener de 12 à 10 mois la période durant laquelle il faut travailler au moins 507 heures pour être indemnisé.  Les partenaires sociaux ont ainsi voulu limiter les abus et combler en partie le déficit d’un milliard d’euros par an du régime chômage des intermittents, soit le quart du déficit total de l’Unedic, alors qu’ils ne représentent  que 5% des inscrits à Pôle emploi, selon la Cour des comptes.  Malgré le tollé suscité chez les intermittents, le gouvernement a pourtant agréé cette nouvelle convention chômage mais en faisant un geste. Le 19 juillet dernier, Manuel Valls a ainsi annoncé que l’Etat prendrait en charge « de manière transitoire », en fait jusqu’à la mi-2016, l’indemnisation de cette période de carence.  Un geste à 90 millions d’euros en année pleine pour le contribuable. Pour 2014, la convention étant entrée en application au 1er juillet, le coût de cette largesse devrait tout de même dépasser 20 millions d’euros. C’est finalement l’Etat qui pourrait donc une nouvelle fois mettre la main à la poche au nom de la politique culturelle. 

On a lâché les kurdes (Kouchner)

On a lâché les kurdes (Kouchner)

 

 Il n’a pas tort Kouchner l’ancien ministre affaire étrangères ; la prise de la ville de ko banê par l’armée islamique est le résultat de l’attentisme des forces de l’alliance anti djihadiste et de l’hypocrisie turque. Une alliance qui ne veut pas fâcher les turcs qui eux en profitent pour régler des comptes avec les kurdes assiégés trop influencés par le PKK. Un PKK aujourd’hui sorti du terrorisme mais qui est toujours considéré comme une menace par la Turquie.

 

(Interview JDD)

Est-on responsable de la chute attendue de Kobanê, cette grande ville kurde de Syrie à la frontière turque?
À Kobanê, nous avons baissé les bras devant les exactions barbares de Daech (l’autre nom de l’État islamique, Ndlr). La majorité des Kurdes syriens se sont battus héroïquement et nous avons hésité à les soutenir parce qu’ils étaient influencés par le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui a longtemps été une organisation terroriste. La France ne s’est toujours pas résolue à agir en Syrie et les Américains s’y sont engagés, mais seulement par des raids aériens. C’était insuffisant. C’est un grand scandale de laisser mourir sous nos yeux ces Kurdes qui sont si proches de nous. Serons-nous récompensés de notre lâcheté? Même pas. Car les frontières coloniales de cette région du monde sont désormais perdues dans cette grande redistribution des cartes au sein du monde musulman dont on ne connaît pas le résultat à l’avance.

 

Impôts: Valls lâche et improvise

Impôts: Valls lâche et improvise

 

Après un vote de confiance peu reluisant, Valls essaye de se rattraper et permet dans improvisation la plus totale la suppression de la première tranche. Une attitude évidemment appréciée par les bénéficiaires mais qui tranche avec son volontarisme de façade sur le redressement des déficits ; En fait V alls faiat se «hollandise »  un peu plus chaque jour( le fameux zig-zig di président de la république). Du coup on se demande su les autres tranches ne vont pas payer pour la suppresion de la première. Mais Valls  tente évidemment  de rassurer. Ce mercredi 17 septembre, le Premier ministre a affirmé sur iTélé que la suppression de la première tranche d’impôt sur le revenu « ne pèsera pas sur les autres contribuables ». « Contrairement à ce que j’ai pu entendre ou lire, ça ne va pas peser sur les autres contribuables », a précisément déclaré le Premier ministre qui fait ainsi référence aux ménages qui paient des impôts au-delà de la première tranche.  Cette première tranche, en vertu du barème appliqué sur les revenus 2013, impose à 5,5% la fraction de revenus comprise entre 6.011 euros et 11.991 euros, pour chaque part fiscale.  Manuel Valls avait indiqué un peu plus tôt ce matin sur France Inter que cette tranche pourrait être supprimée. Ce qui a été confirmé par la suite par le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, devant les députés. Ce dernier avait alors précisé que les baisses d’impôts concerneraient 9 millions de foyers fiscaux.  Toutefois, supprimer cette tranche reviendrait à baisser l’impôt pour l’ensemble des ménages imposables, soit 19 millions. Bien plus que les 9 millions visés par l’exécutif. Bercy travaille donc à un mécanisme pour que la plus grande partie des foyers imposés au-delà de la première tranche paie autant d’impôt qu’avant. Selon une source gouvernementale citée par l’AFP, l’exécutif plancherait sur un « reprofilage » du barème de l’impôt sur le revenu dans le Budget 2015, pour que la mesure soit « neutralisée (ni hausse, ni baisse) pour les quelques 12 millions de contribuables ne bénéficiant pas de la baisse.   »Il va y avoir un reprofilage des tranches au-dessus pour faire en sorte qu’il n’y ait ni baisse ni augmentation pour les ménages qui sont à partir de la troisième tranche d’impôt sur le revenu » (à partir de 26.764 euros par part actuellement,), a plus précisément expliqué cette source.  Par ailleurs, l’exécutif va également ajuster la décote, a précisé ce connaisseur du dossier, afin d’éviter que le changement des tranches entraîne des hausses d’impôt pour certains contribuables.   »Il y a une disparition de la première tranche et pour la deuxième tranche, il y aura un reprofilage de ce qu’on appelle la décote, c’est-à-dire que les gens vont entrer progressivement dans l’impôt sur le revenu comme c’est le cas aujourd’hui », a-t-il expliqué.

 

 

1234



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol