Archive pour le Tag 'lâche'

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Platini se lâche …….. Trop tard !

Platini se lâche …….. Trop tard !

 

Cette fois Platini se lâche. Il vient sans doute de comprendre que sa candidature pour la présidence de la Fifa et définitivement compromise. Il attaque sans ménagements la Fifa et sa fameuse commission d’éthique ; de ce point de vue,  il a parfaitement raison d’autant que les procédures utilisées par la fameuse commission ne sont pas même légales. Juridiquement c’est de l’arnaque pure et simple, l’objectif est de bloquer la candidature de Platini assuré sans cela d’être élu ; il faut  de favoriser d’autres candidats qui veulent leur part de l’énorme gâteau que représente la Fifa. Du coup progressivement Platini est lâché aussi bien à l’intérieur de la Fifa qu’à l’intérieur de l’union européenne de football (UEFA). Ceci étant,  sa défense est à la fois tardive et maladroite d’abord Platini ne répond pas clairement concernant les faits qui lui sont reprochés ensuite son argument juridique est faiblarde. De toute évidence, Platini a du mal à exister dans les paniers de crabes que sont les organisations internationales. Peut-être n’a-t-il jamais eu vraiment la carrure d’un dirigeant international, il a sans doute fait trop de compromissions qui l’ont ensuite piégé. Sur le terrain par exemple du rapport de l’argent avec le foot après quelques tentatives il a vite renoncé à assainir des situations aujourd’hui démentielles. Acculé,  Michel Platini semble changer de braquet. C’est tout du moins l’impression qu’il donne en se confiant à nos confrères de l’AFP ce mardi, suite à sa suspension de toute activité liée au football lors des huit prochaines années. Condamnation émise lundi par la commission d’éthique de la Fifa, qui vaut également pour Joseph Blatter. «Je me bats contre cette injustice, de tribunaux en tribunaux», estime le dirigeant de 60 ans, qui affiche toutefois son intention de ne pas céder, à l’heure ou son image ne cesse d’être entachée et où sa candidature pour la présidence de la Fifa semble désormais appartenir au passé. «C’est le vrai match qui commence», assure-t-il avec vigueur comme pour démontrer son acharnement sans faille, au moment d’évoquer son intention de saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS), dernier recours à ses yeux pour tenter de lever sa lourde suspension. «Mon nom est jeté en pâture dans la presse, regrette l’ancien meneur de jeu de l’équipe de France. Quoi qu’il advienne, mon image aura été écornée, j’en aurai pris plein la gueule. On m’a mis dans le même sac que Blatter.» Une phrase lourde de sens, lui qui ne souhaitait plus voir son image accolée à celle du président démissionnaire de la Fifa. Condamné à huit mois de suspension par le tribunal interne de la Fifa, qui le juge coupable «d’abus de position», de «conflit d’intérêt» et de «gestion déloyale», après avoir reçu un paiement controversé de 1,8 million d’euros de la part de Sepp Blatter en 2011, pour un travail de conseiller achevé en 2002, Michel Platini abat sa dernière carte. Il le sait mieux que personne. «Les gens de la commission d’éthique sont davantage impliqués dans une question de calendrier – pour m’empêcher de me présenter à temps pour l’élection à la présidence de la Fifa – et dans la médisance que dans l’éthique. Ils ne sont pas éthiques, ils sont pathétiques», attaque l’ancien capitaine de l’équipe de France.

La Chine lâche les vannes des liquidités

La Chine lâche les vannes des liquidités

 

 

Pour tenter de relancer une économie affaiblie la Chine lâche les vannes des liquidités. Elle a d’abord ainsi procédé à une dévaluation de sa monnaie puis réduit ses taux d’intérêt enfin lancé un plan de soutien aux banques. Cette fois la Chine s’apprête à desserrer les contraintes relatives aux prêts  accordés. Mais cette mesure risque de fragiliser un peu plus système financier déjà en difficulté compte tenu en particulier de l’endettement considérable des entreprises et des collectivités locales notamment. Du coup on ne peut écarter complètement l’hypothèse d’un krach.  La chute des bourses asiatiques témoigne des inquiétudes dans ce domaine. La Chine a abandonné samedi l’obligation qu’elle avait imposé aux banques depuis deux décennies de limiter leurs prêts par rapport aux dépôts, a annoncé l’agence Chine nouvelle.  La loi votée en 1975 qui limitait les prêts à 75 % des dépôts a été amendée par le comité permanent du Congrès national du peuple chinois et cette modification rentrera en vigueur le 1er octobre prochain, a annoncé l’agence officielle. Le Congrès national du peuple chinois assure le pouvoir législatif. Cet amendement intervient après que la Banque populaire de Chine, banque centrale, ait annoncé mardi dernier qu’elle réduisait ses taux d’intérêt de référence afin de réduire les fonds que les banques doivent conserver. Cette décision a été vue comme une tentative de stimuler les prêts et de soutenir l’économie chinoise en difficulté. La PBC a également annoncé l’élimination d’un plafond sur les taux d’intérêt pour les dépôts à terme d’une durée de plus d’un an. Les mesures prises par la Chine pour libéraliser les contrôles de taux d’intérêts sont interprétées comme destinées à ouvrir le pays au système financier.

Sondage : Hollande lâché par les enseignants

Sondage : Hollande lâché par  les enseignants

 

Descente aux enfers pout Hollande même chez les enseignants pourtant traditionnellement assez favorables à la gauche. La dernière réforme des collèges a fini d’enfoncer un président déjà discrédité sur un terrain dont il avait pourtant fait une priorité. Une priorité qui s’est surtout concrétisée en gadgets, en bricolage et  en bonnes paroles (travaux interdisciplinaire, travaux extra scolaires, numérique, réduction des programmes etc).   Selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro, seuls 21% des professeurs déposeraient un bulletin dans l’urne pour le président socialiste sortant, si l’élection présidentielle avait lieu dimanche prochain. Soit une chute de 23 points pour le chef de l’Etat par rapport à 2012. Au total, 76% de sondés se disent également « mécontents » de l’action de François Hollande concernant l’éducation. Idem pour la ministre Najat Vallaud-Belkacem (77% de mécontents).Dans le détail, les réformes ne semblent pas convaincre. Ainsi, sur l’ensemble des professeurs interrogés, 70% se disent « mécontents » des nouveaux programmes pour l’école élémentaire et le collège. La réforme du collège ne séduit, elle, que 21% des enseignants. Selon le sondage, François Bayrou semble le plus à même de récolter les faveurs des professeurs : le président du Modem et ancien professeur récolte 26% des suffrages (+ 10 points par rapport à 2012), si l’élection présidentielle avait lieu dans les prochains jours. Derrière lui, François Hollande (21%) donc ; puis Jean-Luc Mélenchon (18%, + 3 points). Suit Nicolas Sarkozy avec 13% (=). Quant au Front national, il recueille 6% (+ 2 points). A noter que le nombre des sondés qui « ne se prononcent pas » atteint les 25%.

 

Eurotunnel lâche My Ferry Link

Eurotunnel  lâche My Ferry Link

 

Et encore une  entreprise qui va sans doute disparaître ( et les emplois français avec) depuis qu’Eurotunnel a décidé de lâcher la scop my ferry Link. Il seraiat étonnant que Hollande se déplace pour vanter les mérites de cette scop comme il l’a fait chez Fralib ( 29 salariés). En fait il s’agit d’un nouvel abadons d’un armement  français malade depuis longtemps.  Un lent abandon puisque cette affaire de dépérissement du pavillon date de plusieurs dizaines d’années. Rappel de histoire de la scop . SeaFrance est une compagnie maritime française qui assurait les liaisons transmanche par ferries entre Calais et Douvres. Société anonyme à directoire et conseil de surveillance,. La compagnie était détenue à 100 % par la SNCF. Héritière du groupement Sealink. . La compagnie employait 900 personnes, dont 650 navigants français. C’était le premier employeur privé de la ville de Calais. Sa filiale SeaFrance Limited comptait 200 salariés en Angleterre. En 2011 la société est placée en redressement judiciaire. Le 16 novembre 2011, le tribunal de commerce de Paris prononce la liquidation judiciaire de la compagnie, tout en maintenant son activité jusqu’au 28 janvier 2012. À partir du 15 novembre 2011, les bateaux restent à quai. Le syndicat CFDT maritime Nord, décide de créer une société coopérative et participative (SCOP) avec le soutien de certains salariés, pour reprendre l’exploitation de l’entreprise suite à la liquidation judiciaire.. En 2012, Eurotunnel avait donc  racheté les bateaux de l’ex-SeaFrance pour les louer à d’anciens marins de la compagnie regroupés dans la Scop SeaFrance, qui affrète les navires au groupe Eurotunnel via MyFerryLink. Mais un long feuilleton judiciaire a pesé sur l’activité, les autorités britanniques estimant que cette situation posait des problèmes de concurrence. Mi-mai, la cour d’appel britannique a donné raison à la compagnie maritime française, suspendant l’interdiction de desservir Douvres depuis Calais. Cette victoire de MyFerryLink n’a pourtant pas « modifié la donne » pour le groupe Eurotunnel, car la CMA envisageait de poser un recours devant la Cour suprême. Eurotunnel a ainsi décidé fin mai de ne pas renouveler son contrat avec la Scop SeaFrance exploitant la compagnie MyFerryLink, et qui court jusqu’au 2 juillet: une annonce qui, selon certains syndicalistes et connaisseurs du dossier, a pu être causée par les problèmes de gouvernance à l’intérieur de la Scop, et qui a relancé l’incertitude autour de l’avenir des quelque 600 salariés de la société. A présent le groupe, qui exploite le tunnel sous la Manche, se dit confiant dans l’autorisation que doit désormais donner l’autorité britannique de la concurrence et des marchés (CMA) à la nouvelle opération « qui se traduira par 2 opérateurs maritimes d’égale importance ». Il souhaite néanmoins « poursuivre son exploitation en frêteur », de son troisième navire, et en fera la demande aux autorités de la concurrence.

Compte pénibilité : Valls moins pénible lâche du mou

Compte pénibilité : Valls moins  pénible lâche du mou 

 

Devant la fronde patronale qui considérait le compte pénibilité comme une nouvelle cathédrale administrative, Valls devient moins pénible et lâche du mou. Surtout ce ne serait plus à l’employeur de suivre le nombre de points pénibilité mais à  la caisse assurance vieillesse. Le patron lui fournira les éléments une fois par an avec la fiche de paye. Ces points doivent permettre au salarié qui travaillent dans des conditions difficiles  de prétendre légitimement  à certaines formation et même de partir en retraite jusqu’à deux ans avant la date prévue. En fait il semble bien qu’on s’oriente plus vers un suivi individualisé des salariés mais vers quelque chose de plus collectif avec des fiches  métiers par type de pénibilité donc. C’est une  avancée consenti par Valls mais pas forcément bien appréciée par les syndicats qui préféreront notamment le suivi individualisé au suivi plus collectif. La mesure doit normalement appliquer partir de 2016. 

Déficits : Bruxelles lâche du mou pour la France

Déficits : Bruxelles lâche du mou pour la France

 

On ne peut pas traiter tout en même temps la Grèce et le reste. Du coup la France bénéficie de la tolérance de Bruxelles. Pour la Grèce, il faut se montrer intraitable ( en fait on aboutira sans doute à un accord  quand même) pour ne pas inciter d’autres pays en délicatesse avec leurs déficits ( Italie, France Grèce , Espagne etc. ) à s’engouffrer dans  la voie du laxisme. L’Allemagne a aussi besoin du soutien de al France pour serrer la vis à la Grèce. Du coup pour  atteindre le fameux taux de 3% de déficit budgétaire  la France va bénéficier d’un nouveau délai de deux ans, un délai sous condition de reformes structurelles ! la France ne manquera pas de faire des promesses  ( comme sous Sarkozy)  quelle ne tendra pas évidemment !. En effet l ‘échéance sera reportée aux  élections présidentielles de 2017, donc en 2018. Pas vraiment un environnement pour redresser les comptes plutôt  un moment pour promettre la lune.  Pas question d’agiter le spectre de la réforme de la sécu, de l’assurance chômage des 35 heures, du code du travail, des régimes des retraites. Quelques réformettes peut-être , encore faudrait-il une majorité. D’une  certaine manière ce renoncement à uen austérité supplémentaire n’est pas économiquement uen mauvaise nouvelle, ce qui l’est davantage c’est que le relâchement de la contrainte de Bruxelles ne sera pas accompagnée des réformes structurelles nécessaires et du coup les déficits et la dette vont continuer de s’alourdir.   Nicolas Sarkozy était passé outre, François Hollande pourrait s’y soustraire aussi. L’objectif d’un déficit public réduit à 3 % du PIB, Arlésienne du débat politique français, a toutes les chances d’être repoussé à 2018 – c’est-à-dire un an après la présidentielle – d’après un scénario qu’étudie sérieusement la Commission européenne. L’exécutif européen rendra son verdict le 27 février sur la France. Cinq mois après que la Commission a agité l’épouvantail de sanctions et critiqué le manque d’ardeur réformatrice du gouvernement Valls, l’heure est à la conciliation. pour décrocher ce nouveau délai, la France devra faire semblant de  rassurer sur l’exécution du budget 2014 – ce qui ne devrait pas poser de problème – et surtout prouver qu’elle s’engage sur un programme de réformes solides.  Sans majorité jusqu’en 2018, on voit mal comment le gouvernement  pourraiat s’engager dans ce sens.

Travail le dimanche : le gouvernement lâche du mou

Travail le dimanche : le gouvernement lâche du mou

 

Finalement, le gouvernement renvoie la balle aux maires et renonce aux 5 dimanches obligatoires de plein droit. En clair le maire pourra décider entre 0 et 12 dimanches. Une solution plus sage car c’est localement qu’on peut le mieux apprécier le besoins des consommateurs et en particulier l’intérêt touristique local.   Les députés ont jeté dimanche soir les bases d’un compromis sur la question du travail le dimanche. La commission de l’Assemblée sur le projet de loi Macron a planché toute la journée sur le texte. Le sujet du travail dominical est sensible et la majorité plutôt réticente. Le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, a donc dû mettre de l’eau dans son vin.  Les députés ont passé leur dimanche à plancher sur la question du travail dominical, justement. En commission à l’Assemblée, les députés ont examiné les amendements sur les nouvelles règles du travail le dimanche dans les commerces. Cela fait partie du projet de loi sur la croissance et l’activité, qui propose notamment d’élargir à 12 au lieu de 5 le nombre de dimanches où un commerce peut ouvrir dans l’année. Devant les critiques d’élus locaux, largement relayées par une partie de la majorité, Bercy a accepté de renoncer aux cinq dimanches obligatoires comme le prévoyait la mouture initiale. Un amendement a été adopté en ce sens ce lundi matin. Il est désormais prévu que toute ouverture dominicale soit décidée par les élus locaux, ce qui devrait un peu apaiser les tensions dans l’hémicycle. En supprimant les cinq dimanches de plein droit, le nouveau texte laisserait donc aux élus un choix allant de 0 à 12 dimanches. « Dans la grande majorité des communes, les besoins commerciaux sont souvent inférieurs à cinq par an« , a fait valoir le rapporteur (PS) Stéphane Travert, à l’origine de cet amendement.

Intermittents du spectacle : Valls lâche du mou

Intermittents du spectacle : Valls lâche du mou

 

Valls aime bien adopter une posture  Clémenceau d’opérette et se montrer en homme de conviction et d’autorité. Cependant face aux difficultés, il sait comme Hollande louvoyer. Ce qu’il  va faire sans doute aujourd’hui vis-à-vis du régime d’indemnisation chômage des intermittents.  En fait il ne faut pas compter sur le Medef et les syndicats pour changer leurs positions quand à l’évolution de la convention de l’Unedic (les intermittents représentant un quart du déficit). Du coup il est probable que c’est l’Etat lui-même qui prendra au moins en partie ce qui n’est plus financé par l’UNEDIC  pour les intermittents. Un financement qui ne serait que provisoire (sans doute pour couvrir la période jusqu’en 2017).  Au printemps 2014, les partenaires sociaux gestionnaires de l’Unedic, Medef en tête, ont adopté une nouvelle convention réduisant les avantages dont bénéficient les 110.000 intermittents en cas de chômage. Ils ont en particulier décidé d’allonger le « délai de carence », c’est-à-dire la période non indemnisée avant le début d’une nouvelle période de chômage. La nouvelle convention a également prévu de ramener de 12 à 10 mois la période durant laquelle il faut travailler au moins 507 heures pour être indemnisé.  Les partenaires sociaux ont ainsi voulu limiter les abus et combler en partie le déficit d’un milliard d’euros par an du régime chômage des intermittents, soit le quart du déficit total de l’Unedic, alors qu’ils ne représentent  que 5% des inscrits à Pôle emploi, selon la Cour des comptes.  Malgré le tollé suscité chez les intermittents, le gouvernement a pourtant agréé cette nouvelle convention chômage mais en faisant un geste. Le 19 juillet dernier, Manuel Valls a ainsi annoncé que l’Etat prendrait en charge « de manière transitoire », en fait jusqu’à la mi-2016, l’indemnisation de cette période de carence.  Un geste à 90 millions d’euros en année pleine pour le contribuable. Pour 2014, la convention étant entrée en application au 1er juillet, le coût de cette largesse devrait tout de même dépasser 20 millions d’euros. C’est finalement l’Etat qui pourrait donc une nouvelle fois mettre la main à la poche au nom de la politique culturelle. 

On a lâché les kurdes (Kouchner)

On a lâché les kurdes (Kouchner)

 

 Il n’a pas tort Kouchner l’ancien ministre affaire étrangères ; la prise de la ville de ko banê par l’armée islamique est le résultat de l’attentisme des forces de l’alliance anti djihadiste et de l’hypocrisie turque. Une alliance qui ne veut pas fâcher les turcs qui eux en profitent pour régler des comptes avec les kurdes assiégés trop influencés par le PKK. Un PKK aujourd’hui sorti du terrorisme mais qui est toujours considéré comme une menace par la Turquie.

 

(Interview JDD)

Est-on responsable de la chute attendue de Kobanê, cette grande ville kurde de Syrie à la frontière turque?
À Kobanê, nous avons baissé les bras devant les exactions barbares de Daech (l’autre nom de l’État islamique, Ndlr). La majorité des Kurdes syriens se sont battus héroïquement et nous avons hésité à les soutenir parce qu’ils étaient influencés par le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui a longtemps été une organisation terroriste. La France ne s’est toujours pas résolue à agir en Syrie et les Américains s’y sont engagés, mais seulement par des raids aériens. C’était insuffisant. C’est un grand scandale de laisser mourir sous nos yeux ces Kurdes qui sont si proches de nous. Serons-nous récompensés de notre lâcheté? Même pas. Car les frontières coloniales de cette région du monde sont désormais perdues dans cette grande redistribution des cartes au sein du monde musulman dont on ne connaît pas le résultat à l’avance.

 

Impôts: Valls lâche et improvise

Impôts: Valls lâche et improvise

 

Après un vote de confiance peu reluisant, Valls essaye de se rattraper et permet dans improvisation la plus totale la suppression de la première tranche. Une attitude évidemment appréciée par les bénéficiaires mais qui tranche avec son volontarisme de façade sur le redressement des déficits ; En fait V alls faiat se «hollandise »  un peu plus chaque jour( le fameux zig-zig di président de la république). Du coup on se demande su les autres tranches ne vont pas payer pour la suppresion de la première. Mais Valls  tente évidemment  de rassurer. Ce mercredi 17 septembre, le Premier ministre a affirmé sur iTélé que la suppression de la première tranche d’impôt sur le revenu « ne pèsera pas sur les autres contribuables ». « Contrairement à ce que j’ai pu entendre ou lire, ça ne va pas peser sur les autres contribuables », a précisément déclaré le Premier ministre qui fait ainsi référence aux ménages qui paient des impôts au-delà de la première tranche.  Cette première tranche, en vertu du barème appliqué sur les revenus 2013, impose à 5,5% la fraction de revenus comprise entre 6.011 euros et 11.991 euros, pour chaque part fiscale.  Manuel Valls avait indiqué un peu plus tôt ce matin sur France Inter que cette tranche pourrait être supprimée. Ce qui a été confirmé par la suite par le secrétaire d’Etat au Budget, Christian Eckert, devant les députés. Ce dernier avait alors précisé que les baisses d’impôts concerneraient 9 millions de foyers fiscaux.  Toutefois, supprimer cette tranche reviendrait à baisser l’impôt pour l’ensemble des ménages imposables, soit 19 millions. Bien plus que les 9 millions visés par l’exécutif. Bercy travaille donc à un mécanisme pour que la plus grande partie des foyers imposés au-delà de la première tranche paie autant d’impôt qu’avant. Selon une source gouvernementale citée par l’AFP, l’exécutif plancherait sur un « reprofilage » du barème de l’impôt sur le revenu dans le Budget 2015, pour que la mesure soit « neutralisée (ni hausse, ni baisse) pour les quelques 12 millions de contribuables ne bénéficiant pas de la baisse.   »Il va y avoir un reprofilage des tranches au-dessus pour faire en sorte qu’il n’y ait ni baisse ni augmentation pour les ménages qui sont à partir de la troisième tranche d’impôt sur le revenu » (à partir de 26.764 euros par part actuellement,), a plus précisément expliqué cette source.  Par ailleurs, l’exécutif va également ajuster la décote, a précisé ce connaisseur du dossier, afin d’éviter que le changement des tranches entraîne des hausses d’impôt pour certains contribuables.   »Il y a une disparition de la première tranche et pour la deuxième tranche, il y aura un reprofilage de ce qu’on appelle la décote, c’est-à-dire que les gens vont entrer progressivement dans l’impôt sur le revenu comme c’est le cas aujourd’hui », a-t-il expliqué.

 

 

Après Montebourg, Hamon lâche Hollande et Valls

Après Montebourg, Hamon lâche Hollande et Valls

 

Hamon lâche Hollande et Valls en pleine déroute de popularité et de résultats. Il rejoint – avec des nuances dialectiques, Montebourg et les frondeurs du PS. Le bateau coule, il est temps de se préparer à quitter le navire et  gouvernement se fissure. Le ministre de l’Education nationale Benoît Hamon affirme dimanche 24 août, dans Le Parisien que son collègue de l’Economie Arnaud Montebourg et lui ne sont « pas loin des frondeurs » du PS, qui contestent la politique économique de François Hollande et de son Premier ministre Manuel Valls. La veille, Arnaud Montebourg critiquait dans Le Monde la politique de rigueur, « la réduction dogmatique des déficits » et suggérait d’« intensifier les baisses d’impôts concernant les classes moyennes et populaires ». « La relance de la demande est la condition de la réussite de la politique de l’offre qui a été faite depuis deux ans. On ne peut rien vendre aux Français s’ils n’ont pas des revenus suffisants », ajoute à cela Benoît Hamon, qui incarne comme son collègue l’aile gauche du PS, dans Le Parisien/Aujourd’hui en France.  Concernant les parlementaires socialistes frondeurs, très critiques vis-à-vis du gouvernement, Benoît Hamon déclare qu’« Arnaud et moi ne sommes pas loin des frondeurs, mais notre problème n’est pas d’en prendre la tête. Notre volonté est d’être au service d’un rassemblement de la gauche et de peser au sein du gouvernement », insiste-t-il.

 

Déficits: Renzi lâche Hollande

Déficits: Renzi lâche  Hollande

 

Hollande perd encore un allié de poids dans sa démarche vis-à-vis de l’Europe pour davantage de tolérance en matière de déficit. Pourtant l’économie italienne n’est guère brillante puisqu’elle pourrait retrouver la récession en 2014. En dépit de cela, les déficits pourrait être contenus sous les 3% dès 2014 ; ce qui n’est pas le cas de la France qui ne l’envisage plus qu’en 2016 (et encore !). S’il est bien d’accord pour utiliser toute la flexibilité du pacte de stabilité, il n’est pas question pour le président du Conseil italien de déroger aux règles européennes. C’est ce qu’il a affirmé, ce lundi 11 août, dans une interview au Financial Times.  Matteo Renzi se veut rassurant: l’Italie parviendra à contenir son déficit budgétaire sous la limite des 3% du produit intérieur brut (PIB) cette année, sans nouvelles mesures d’austérité. C’est en tout cas ce qu’a affirmé le président du Conseil dans une interview au Financial Times, lundi 11 août. Le retour en récession, avec un PIB qui s’est contracté de 0,2% au deuxième trimestre selon les estimations préliminaires, ne remet pas en cause l’objectif fixé par l’Union européenne, dit-il. « Je n’ai absolument aucun intention de franchir le plafond de 3%. Nous espérons avoir de meilleurs chiffres (de croissance) au deuxième semestre et cela nous permettra d’être à 2,9% », explique-t-il.  En clair, le dirigeant fixe les limites: Paris peut compter sur l’Italie pour défendre l’idée d’utiliser au maximum les flexibilités du pacte de stabilité. Mais en cas de délais supplémentaires, elle ne pourra pas compter sur Matteo Renzi. Pour lui, pas question de déroger aux obligations européennes.  L’Italie avait annoncé en avril prévoir un déficit budgétaire de 2,9% cette année et une croissance de 0,8%. Ces projections seront actualisées en septembre.

Hollande est un « goujat et un lâche »(Sophie Marceau,)

Hollande est un « goujat et un lâche »(Sophie Marceau,)

L’actrice française revient, dans une interview au magazine GQ, sur l’affaire Gayet-Trierweiler. Sophie Marceau considère que François Hollande a été un « goujat » et un « lâche » dans cet épisode de sa vie privée.  La charge de l’actrice est publiée dans le magazine GQ. Interrogée en fin d’interview sur ce qu’elle pense de François Hollande, Sophie Marceau n’est pas tendre avec le président français. « Il a des maîtresses et quand on le sait il refuse d’en parler. Un mec qui se conduit comme ça avec les femmes, c’est un goujat », estime la comédienne de La Boum, en référence à l’affaire Gayet-Trierweiler. « Tromper sa femme pendant un an et demi alors qu’on est président de la République! C’est cinq ans un mandat. On ne lui demande pas d’être abstinent non plus, mais je me dis qu’il peut mettre ça un peu de côté. J’ai l’impression qu’il mélange un peu tout », poursuit Sophie Marceau, en précisant qu’elle n’a « jamais voté » pour François Hollande. « J’avais envie de l’aimer un peu, de me dire qu’il n’est pas si terrible que ça. Mais là, je me suis dit : ‘Quel lâche!’ », conclut-elle.

 

General Motors lâche Peugeot

General Motors lâche Peugeot

Sans doute sceptique ( comme les actionnaires)  sur la viabilité du nouvel accord avec le chinois Dongfeng, General Motors se retire du capital de Peugeot. General Motors a donc créé la surprise jeudi en annonçant sa sortie du capital de PSA Peugeot Citroën quelques heures seulement après la confirmation d’une possible augmentation de capital du constructeur français et de son entrée en discussions avec le constructeur chinois Dongfeng. L’américain, qui était entré au capital de PSA en mars 2012 pour soutenir le groupe français en difficulté, n’a pas souhaité être dilué ni participer à l’augmentation de capital à venir. Les deux groupes ont cependant précisé que cette décision ne remettait pas en cause leurs projets industriels communs. « PSA imaginait que GM envisageait cette opération. Cette annonce ne change en rien l’alliance, les projets de production en commun et les synergies qui y sont associées », a déclaré un porte-parole de PSA. La sortie de GM, qui détient 7% de PSA, va s’opérer via un placement privé auprès d’investisseurs institutionnels, au prix de 10,00 à 10,25 euros par action, avec une décote maximale pouvant atteindre 5,9% sur le cours de clôture de l’action Peugeot, a-t-on appris auprès de traders. Le titre Peugeot a dévissé de 7,6% jeudi à 10,62 euros. En matinée, PSA a confirmé envisager une augmentation de capital et de nouveaux projets de développement avec des partenaires, dont le chinois Dongfeng Motor, en même temps que des dépréciations massives sur ses comptes. Une source au fait du dossier avait indiqué mercredi à Reuters que le conseil de PSA avait accepté d’engager des discussions finales sur un projet qui verrait le chinois et l’Etat français prendre des participations majoritaires dans le groupe, dans le cadre d’une augmentation de capital d’environ 3,5 milliards d’euros.

Guerre économique Chine-Europe : Hollande lâche Bruxelles

Guerre économique Chine-Europe : Hollande lâche Bruxelles

Nouveau changement de position de Hollande qui avait réclamé au cours de sa campagne la taxation des produits chinois. Alors que Bruxelles vient de décider de taxer les panneaux solaires, Hollande lâche Bruxelles à cause des mesures de rétorsion chinoises sur le vin.  Le président français François Hollande a demandé samedi le règlement « dans la discussion » de la querelle commerciale entre l’Europe et la Chine, qui sera évoquée lors du prochain Conseil européen fin juin. Pékin a répliqué cette semaine à la décision de la Commission européenne de taxer les panneaux solaires importés de Chine en ouvrant une enquête sur les importations de vin de l’UE. « Nous devons travailler avec la Chine et c’est ce que l’Europe fait, nous devons le faire en cohésion, c’est-à-dire avec la volonté de développer nos économies mais aussi de poser des règles, des principes, d’ouvrir aussi de nouveaux domaines de coopération », a dit le président devant un parterre d’hommes d’affaires à Tokyo. « Nous avons des problèmes commerciaux avec la Chine que nous devons régler dans la discussion, sans qu’un pays s’octroie un avantage par rapport à un autre », a-t-il ajouté. « Ce que je veux, c’est que les Chinois achètent davantage de produits français », a-t-il poursuivi. « A nous d’être plus compétitifs et à nous de convaincre les Chinois qu’il peut y avoir réciprocité. » Le chef de l’Etat a précisé que la question serait forcément au menu du prochain Conseil européen. « Nous devons avoir une position commune, c’est la Commission européenne qui nous représente pour la politique commerciale, nous débattrons aussi avec elle », a-t-il dit lors d’une conférence de presse à l’Institut français de Tokyo, jugeant important que « tous les pays européens défendent les mêmes thèses ». Durant sa visite dans la capitale nippone, le président français a ménagé les susceptibilités des Japonais à l’égard de la Chine voisine. « Ne me demandez pas de choisir » entre les deux pays, a-t-il déclaré, affirmant la volonté de la France « de travailler avec l’Asie et de ne pas opposer tel ou tel pays ». « Je suis ici heureux d’être au Japon, fier d’être au Japon, fier de ce que nous pouvons faire ensemble », a-t-il ajouté devant les chefs d’entreprise.

 

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