Archive pour le Tag 'L’absentéisme :'

L’absentéisme en nette hausse

L’absentéisme en nette hausse


«Nous avons eu en 2022 8,8 millions d’arrêts maladie en France, contre 6,4 millions dix ans plus tôt», a déclaré le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, lors des assises des finances publiques mi-juin. Versées par la Sécu en cas d’arrêt maladie, les indemnités journalières ont coûté 15,7 milliards d’euros en 2022, en hausse de 13 % par rapport à 2021, et de 10,7 % en moyenne par an entre 2019 et 2022, selon la commission des comptes de la Sécurité sociale.

Pour ralentir cette explosion, l’Assurance-maladie a d’une part intensifié les contrôles et réfléchit à responsabiliser les patients. Le principal levier consisterait à rendre obligatoire pour tous (public et privé) les trois jours de délai de carence, ou encore à étendre ce délai à sept jours pour limiter les arrêts courts.

Au-delà des aspects comptables, le Medef reconnaît lui-même un problème de mal-être au travail «Il y a un problème d’arrêts de travail de complaisance», mais «il y a aussi des questions de mal-être et de mal-être au travail», a reconnu cet été Geoffroy Roux de Bézieux l’ancien patron de l’organisation patronale.

Plus généralement, c’est tout l’accompagnement qui doit être repensé. Car si une prise de conscience est visible pour les salariés de retour d’absence longue durée, en revanche il n’est souvent rien proposé pour les arrêts plus ponctuels. «Or, les courtes absences, surtout si elles se répètent, peuvent être les prémices d’un arrêt de longue durée», pointe Sidonie Tulars.

Les absents ne sont pas les seuls sur lesquels l’attention doit être renforcée. Les collaborateurs en poste sont aussi une population sensible. En effet, c’est souvent sur eux que repose la charge de travail que l’employé manquant ne peut pas remplir. Particulièrement lors des courtes périodes, lorsque l’absence n’est pas compensée.

Pour les chefs d’entreprise, il en va aussi de la fidélisation des salariés et de la réduction du turn-over. Un enjeu qui ne va cesser de prendre de l’importance à mesure que le chômage va diminuer et les difficultés de recrutement être de plus en plus prononcées.

Le cannabis comme solution à l’absentéisme !

Le cannabis comme solution à l’absentéisme et au chômage !

Dans certains Etats américains ayant libéralisé le commerce du cannabis, des chercheurs ont observé une baisse des congés maladie, voire une diminution relative du chômage, rapporte dans sa chronique l’économiste Philippe Askenazy. opinion dans le Monde)

 

Ou quand des économistes se mêlent de tout et de rien ,un peu comme les sociologues, sans aucune compétence scientifique.

Ici on passe sous silence les effets cognitifs négatifs par exemple ou encore la mise en cause de la sécurité notamment sur la conduite des engins et autres automobiles. Enfin évoquer le cannabis comme solution au chômage relève sans doute de l’humour et de l’inconscience ( voir ci après les effets du canabis.)

 

Chronique.

 

Il y a cinq ans, même s’il n’avait pas pris clairement position, Emmanuel Macron représentait un espoir pour les partisans de la légalisation du cannabis. Il est la « personnalité de l’année 2022 » pour le magazine La Revue du vin de France, distingué pour « son engagement constant en faveur du vin », cet autre psychotrope. La politique gouvernementale est donc restée figée dans une prohibition du cannabis que revendiquent la plupart des candidats des droites à la présidentielle.

A l’inverse, preuve que, sur les questions sociétales, le clivage gauche droite reste fort, les candidats des gauches sont, dans leur majorité, favorables à une évolution. Les deux principaux en lice – Yannick Jadot (Europe Ecologie-Les Verts) et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) – proposent une forme de légalisation de la consommation récréative. Cette dernière est en marche en Europe : Malte a franchi le pas en décembre 2021, le Luxembourg très bientôt, l’Espagne pourrait encore plus libéraliser sa législation, et surtout, la légalisation figure dans l’accord de la coalition allemande.

Augmentation des accidents du travail

Un des arguments des adversaires de la légalisation récréative concerne le travail et l’emploi. Une accumulation de travaux académiques de différentes disciplines ont établi que la consommation de cannabis est associée à une altération de la concentration et de la motivation, qui se traduirait par une augmentation des accidents du travail et une moindre productivité. Elles seraient moins marquées si la consommation s’effectue après le travail.

Une critique récurrente de ces résultats est que les consommateurs peuvent présenter au préalable des caractéristiques qui expliquent à la fois consommation et moindres performances individuelles. Les rares études de panels, qui corrigent ce biais des caractéristiques individuelles, trouvent d’ailleurs des effets, certes négatifs sur la concentration mais statistiquement peu significatifs. Mais au total, ces travaux ne disent rien de l’impact d’une politique de légalisation.

Moins de congés maladie

Les légalisations des dernières années dans certains Etats américains offrent en revanche des expériences naturelles comparées. Des économistes américains ont ainsi montré que les indemnités journalières maladie/accidents perçues par les usagers de 40 à 62 ans étaient moins fréquentes et leur montant diminué d’un cinquième après légalisation ; plus surprenant encore, les accidents non traumatiques seraient moins fréquents (« Does Marijuana Legalization Affect Work Capacity ? Evidence from Workers’Compensation Benefits », Rahi Abouk, Keshar M. Ghimire, Johanna Catherine Maclean et David Powell, NBER Working Paper n° 28471, février 2021). Les auteurs expliquent ces résultats par l’effet thérapeutique du cannabis et observent une substitution aux antidouleurs, légaux ou non, qui peuvent altérer la concentration des travailleurs encore plus que le cannabis.

 

Les risques du cannabis

 

Les connaissances sur le cannabis et ses impacts restent, encore à ce jour, en constante évolution. La majorité des personnes qui consomment du cannabis ne subissent pas les conséquences négatives de cet usage. Différents facteurs semblent toutefois en favoriser l’apparition chez certaines personnes.

Facteurs de risques

Bien que des problèmes puissent apparaître à la suite d’une première consommation de cannabis, ceux qui sont liés à la santé physique et mentale surviennent surtout à la suite d’une consommation répétée pendant plusieurs mois ou plusieurs années. Les accidents et blessures, quant à eux, peuvent se produire lors d’une consommation isolée ou occasionnelle de cannabis. Certains facteurs peuvent augmenter ou diminuer le risque qu’un consommateur de cannabis subisse des effets négatifs :

  • les prédispositions personnelles ou familiales à un trouble de santé mentale, par exemple la psychose ou la maladie affective bipolaire;
  • la fréquence de consommation du cannabis : une consommation dite régulière, soit au moins une fois par semaine, est souvent liée à un plus grand risque de problèmes de santé;
  • le type de produit consommé : les produits dont le contenu en THC est plus élevé pourraient être plus nuisibles;
  • l’âge à partir duquel la personne consomme du cannabis : la consommation à l’adolescence est généralement associée à un risque accru de conséquences négatives;
  • le contexte de la consommation, par exemple :le mode de consommation : fumer un produit du cannabis semble plus risqué que d’autres modes de consommation, bien que des intoxications aux aliments qui contiennent du cannabis soient fréquentes chez les usagers inexpérimentés.
    • lorsque le cannabis est combiné à d’autres substances comme l’alcool ou des médicaments,
    • lorsque la personne a des responsabilités personnelles telles que le travail ou la supervision d’enfants.

Il faut toutefois être prudent avant d’attribuer à la consommation de cannabis la cause d’une difficulté ou d’un problème de santé. Il est possible que cette difficulté ou ce problème :

  • existait déjà avant la consommation de cannabis;
  • soit la conséquence d’une consommation de cannabis;
  • soit influencé par la consommation de cannabis ou, au contraire, qu’il influence celle-ci.

En fonction de ces facteurs, il demeure difficile de prédire si une personne présentera ou non des problèmes importants après avoir consommé du cannabis. La plupart des experts s’entendent sur le fait qu’aucune consommation de cannabis n’est sécuritaire à 100 %.

Risques pour les capacités cognitives

Les risques et les conséquences négatives de la consommation de cannabis pour la santé résultent notamment de ses effets sur les capacités cognitives d’une personne, comme :

  • son jugement;
  • son attention;
  • sa mémoire;
  • sa capacité à prendre des décisions.

Ces effets peuvent parfois avoir des répercussions sur les activités quotidiennes de la personne, par exemple :

  • la conduite d’un véhicule;
  • le travail;
  • les situations d’apprentissage;
  • d’autres situations qui impliquent des gestes ou des actions nécessitant coordination et rapidité.

Les effets d’une consommation de cannabis débutent dans les minutes qui suivent l’inhalation et un peu plus tard si le cannabis est ingéré. Ces effets se prolongent souvent sur plusieurs heures et sont habituellement réversibles. Certaines études soutiennent qu’un moins bon fonctionnement cognitif pourrait persister plus longtemps si la consommation est répétée et soutenue, surtout si l’usage commence à l’adolescence.

 

L’absentéisme : un mal social et sociétal

L’absentéisme : un mal social et sociétal 

Selon une étude d’un cabinet spécialisé reprise par Le  Figaro,  l’absentéisme serait en hausse du fait en particulier de la dégradation du climat social ambiant. D’autres facteurs explicatifs sont à prendre en compte. Il y a assez souvent un manque de capacité managériale avec des structures et un mode de commandement encore trop rigide. Parallèlement, on constate un moindre attachement des salariés à leur entreprise. La société des loisirs est passée par là, une tendance nettement accentuée avec les 35 heures. Cette augmentation de l’absentéisme est assez corrélée à la détérioration du climat social et politique. Notons aussi que le travail n’est pas assez  rémunéré et considéré dans certaines professions.  le coût de cette absentéisme représenterait de leurs 100 milliards par an. D’après l’étude annuelle du cabinet Gras Savoye Willis Towers Watson, spécialiste en ressources humaines le taux d’absentéisme au travail dans le privé a en effet augmenté de 3,6% entre 2017 et 2018 et plus largement de 16% depuis 2014 pour atteindre aujourd’hui à 3,73%. Ainsi, sur 100 salariés dans une entreprise, près de quatre sont absents chaque jour, note Julien Vignoli, directeur général délégué du cabinet auteur de l’étude. Le nombre de travailleurs à se porter malade au moins une fois dans l’année a lui aussi progressé, de 8% en quatre ans. L’étude porte sur 546 entreprises françaises, pour un panel de plus de 250.000 salariés. Les congés maternité et paternité, sabbatiques, ou encore les absences injustifiées en sont exclus.

Les travaux sur le sujet, qu’ils soient ou non du même cabinet, se suivent et se ressemblent. L’an passé, un baromètre de Ayming faisait part du même climat. Deux grandes raisons à cela, outre les causes majoritaires comme la maladie, note Julien Vignoli. «Il y a d’une part, au sens large, l’engagement dans l’entreprise, les valeurs partagées dans celle-ci, le management, et d’autre part la situation personnelles des salariés». Ainsi, les difficultés managériales, organisationnelles, relationnelles ou encore la surcharge de travail peuvent mener à une forme de découragement des salariés. Par ailleurs, ces derniers se sentent moins liés à l’entreprise qu’avant et plus enclins à s’absenter.

Le directeur général délégué du cabinet détaille le second point en expliquant que le nombre croissant de familles monoparentales mène par exemple à une hausse du nombre d’absence au travail. Il explique que «l’aide aux personnes dépendantes motive également les absences car les salariés n’ont pas d’autres moyens pour venir en support». À cet égard, «le vieillissement de la population est un facteur qui reste explicatif de l’absentéisme», analyse-t-il, car les salariés doivent de plus en plus s’occuper de leurs parents âgés.

Ainsi, à travers ces premiers constats, il est possible de dresser le portrait-robot du salarié le plus souvent absent au travail. Le taux d’absentéisme des femmes est légèrement plus élevé que celui des hommes, en raison très largement des arrêts maladie liés aux grossesses, mais aussi car elles sont plus nombreuses à être à la tête d’une famille monoparentale. Côté catégorie d’âge, les plus de 50 ans sont les plus absents (5,5%) et les non-cadres (5%) le sont plus que les cadres (1,9%). À noter que les jeunes salariés (-30 ans) sont les bons élèves sur le sujet et ont un taux d’absentéisme inférieur à 2%.

En affinant le portrait-robot, on apprend que les professions les plus visées par l’absentéisme sont celles du domaine de la santé, du transport ainsi que du commerce et des services, avec de fortes croissances de taux sur les quatre années concernées. «Pour la santé, toujours dans le secteur privé, nous parlons d’établissements ou la majorité des salariés sont des femmes, où les phénomènes décrits précédemment peuvent jouer, reprend Julien Vignoli. Ajoutons à cela le stress et l’investissement professionnel et humain très fort dans ce secteur, et l’absentéisme y est fort». Il cite en guise d’exemple la situation actuelle des urgences, en crise depuis plus de cinq mois.

, les absences les plus fréquentes sont celles qui durent moins d’une semaine mais ce sont celles qui impactent le moins l’économie, contrairement aux absences de plus de six mois (5% des absences totales). En résumé, reprenant tous ces facteurs, Julien Vignoli met en lien l’absentéisme et le mal-être social qui frappe la France depuis plusieurs mois. Éloignement, crise aux urgences, retraités, de nombreux thèmes peuvent être ramenés à cela.

. Selon le gouvernement, le coût pour la collectivité des arrêts maladie augmente de 4% par an en moyenne.

Pour faire face à cela, l’exécutif avait missionné l’an passé trois experts afin qu’ils rendent différentes préconisations. Parmi leurs propositions, l’instauration d’un jour de carence obligatoire pour tous en cas d’arrêt maladie (comme c’est déjà le cas dans la fonction publique) avec interdiction pour les entreprises de le compenser, meilleure prise en charge des salariés ou encore hausse du télétravail et du temps partiel. Des négociations allant dans ce sens doivent s’ouvrir avec les partenaires sociaux.

L’absentéisme : en hausse

L’absentéisme : en hausse  

Selon une étude d’un cabinet spécialisé reprise par Le  Figaro,  l’absentéisme serait en hausse du fait en particulier de la dégradation du climat social ambiant. D’autres facteurs explicatifs sont à prendre en compte. Il y a assez souvent un manque de capacité managériale avec des structures et un mode de commandement encore trop rigide. Parallèlement, on constate un moindre attachement des salariés à leur entreprise. La société des loisirs est passée par là, une tendance nettement accentuée avec les 35 heures. Cette augmentation de l’absentéisme est assez corrélée à la détérioration du climat social et politique. Notons aussi que le travail n’est pas assez  rémunéré et considéré dans certaines professions.  le coût de cette absentéisme représenterait de leurs 100 milliards par an. D’après l’étude annuelle du cabinet Gras Savoye Willis Towers Watson, spécialiste en ressources humaines le taux d’absentéisme au travail dans le privé a en effet augmenté de 3,6% entre 2017 et 2018 et plus largement de 16% depuis 2014 pour atteindre aujourd’hui à 3,73%. Ainsi, sur 100 salariés dans une entreprise, près de quatre sont absents chaque jour, note Julien Vignoli, directeur général délégué du cabinet auteur de l’étude. Le nombre de travailleurs à se porter malade au moins une fois dans l’année a lui aussi progressé, de 8% en quatre ans. L’étude porte sur 546 entreprises françaises, pour un panel de plus de 250.000 salariés. Les congés maternité et paternité, sabbatiques, ou encore les absences injustifiées en sont exclus.

Les travaux sur le sujet, qu’ils soient ou non du même cabinet, se suivent et se ressemblent. L’an passé, un baromètre de Ayming faisait part du même climat. Deux grandes raisons à cela, outre les causes majoritaires comme la maladie, note Julien Vignoli. «Il y a d’une part, au sens large, l’engagement dans l’entreprise, les valeurs partagées dans celle-ci, le management, et d’autre part la situation personnelles des salariés». Ainsi, les difficultés managériales, organisationnelles, relationnelles ou encore la surcharge de travail peuvent mener à une forme de découragement des salariés. Par ailleurs, ces derniers se sentent moins liés à l’entreprise qu’avant et plus enclins à s’absenter.

Le directeur général délégué du cabinet détaille le second point en expliquant que le nombre croissant de familles monoparentales mène par exemple à une hausse du nombre d’absence au travail. Il explique que «l’aide aux personnes dépendantes motive également les absences car les salariés n’ont pas d’autres moyens pour venir en support». À cet égard, «le vieillissement de la population est un facteur qui reste explicatif de l’absentéisme», analyse-t-il, car les salariés doivent de plus en plus s’occuper de leurs parents âgés.

Ainsi, à travers ces premiers constats, il est possible de dresser le portrait-robot du salarié le plus souvent absent au travail. Le taux d’absentéisme des femmes est légèrement plus élevé que celui des hommes, en raison très largement des arrêts maladie liés aux grossesses, mais aussi car elles sont plus nombreuses à être à la tête d’une famille monoparentale. Côté catégorie d’âge, les plus de 50 ans sont les plus absents (5,5%) et les non-cadres (5%) le sont plus que les cadres (1,9%). À noter que les jeunes salariés (-30 ans) sont les bons élèves sur le sujet et ont un taux d’absentéisme inférieur à 2%.

En affinant le portrait-robot, on apprend que les professions les plus visées par l’absentéisme sont celles du domaine de la santé, du transport ainsi que du commerce et des services, avec de fortes croissances de taux sur les quatre années concernées. «Pour la santé, toujours dans le secteur privé, nous parlons d’établissements ou la majorité des salariés sont des femmes, où les phénomènes décrits précédemment peuvent jouer, reprend Julien Vignoli. Ajoutons à cela le stress et l’investissement professionnel et humain très fort dans ce secteur, et l’absentéisme y est fort». Il cite en guise d’exemple la situation actuelle des urgences, en crise depuis plus de cinq mois.

, les absences les plus fréquentes sont celles qui durent moins d’une semaine mais ce sont celles qui impactent le moins l’économie, contrairement aux absences de plus de six mois (5% des absences totales). En résumé, reprenant tous ces facteurs, Julien Vignoli met en lien l’absentéisme et le mal-être social qui frappe la France depuis plusieurs mois. Éloignement, crise aux urgences, retraités, de nombreux thèmes peuvent être ramenés à cela.

. Selon le gouvernement, le coût pour la collectivité des arrêts maladie augmente de 4% par an en moyenne.

Pour faire face à cela, l’exécutif avait missionné l’an passé trois experts afin qu’ils rendent différentes préconisations. Parmi leurs propositions, l’instauration d’un jour de carence obligatoire pour tous en cas d’arrêt maladie (comme c’est déjà le cas dans la fonction publique) avec interdiction pour les entreprises de le compenser, meilleure prise en charge des salariés ou encore hausse du télétravail et du temps partiel. Des négociations allant dans ce sens doivent s’ouvrir avec les partenaires sociaux.




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