Archive pour le Tag 'labellisés'

Le pétrole enfin exclu des fonds verts labellisés ISR

Le pétrole enfin exclu des fonds verts labellisés ISR

Le ministère a décidé qu’à partir du 1er mars 2024 pourront bénéficier du label socialement responsable (ISR) uniquement les fonds qui excluent de leurs portefeuilles « les entreprises qui exploitent du charbon ou des hydrocarbures non conventionnels, ainsi que celles qui lancent de nouveaux projets d’exploration, d’exploitation ou de raffinage d’hydrocarbures (pétrole ou gaz ».

Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a tranché : TotalEnergies ne doit plus figurer dans un fonds d’investissement qui se revendique du (nouveau) label ISR (Investissement socialement responsable). La décision peut paraître anecdotique ; elle est pourtant capitale dans l’univers de la gestion d’actifs. Et c’est le résultat d’une intense bataille de lobbying, de plusieurs mois, sinon d’années, qui a vu notamment la position de Bercy fluctuer tout le long de l’été. En mars 2021, le ministère avait mandaté l’Inspection générale des finances (IGF) pour mener une mission d’évaluation. L’IGF avait rendu un rapport au vitriol, affirmant que le label ISR « s’expose à une perte inéluctable de crédibilité et de pertinence, à moins qu’il n’évolue radicalement ».

Depuis, Bercy discutait avec les différentes parties prenantes pour envisager une réforme de ce label créé en 2016 qui a été jusqu’ici accordé à près de 1 200 fonds, représentant 773 milliards d’euros d’encours. Une orientation climat est donc assumée, même si l’entourage du ministre précise que « le label ISR n’est pas un label uniquement climat ou écologique, il impose des exigences sur les trois piliers de l’ESG (environnement, social et gouvernance) avec même une sélectivité renforcée sur ces trois critères, mais le climat en devient un socle obligatoire ».

Union économique : nucléaire et gaz labellisés verts !

Union économique : nucléaire et gaz labellisés verts !

 

Ce n’est pas tellement sur des critères environnementaux relatifs aux émissions de carbone que le nucléaire et le gaz viennent d’être labellisés verts par les autorités européennes. Il s’agit plutôt d’un compromis qui pour l’instant met fin à la guerre entre la France qui défend le nucléaire et l’Allemagne qui défend le gaz russe.

Du coup il s’agit surtout d’un compromis surtout politique. Notons en effet que le nucléaire ne produit aucune émission de carbone mais que les Allemands ( et d’autres) voulaient exclure le nucléaire de la labellisation verte européenne (taxinomie).  Les commissaires européens ont fini par approuver ce mercredi, via un acte délégué, l’inclusion de l’atome civil et du gaz dans les investissements « verts » de l’Union européenne. Un graal pour les deux filières en question et pour les pays qui les défendent, ceux-ci ayant fait pression pendant de longs mois afin que ces activités intègrent la précieuse liste, aux côtés des énergies renouvelables.

Et pour cause, cette classification ne sera pas que symbolique : concrètement, elle servira à flécher les financements privés vers les activités reconnues « durables », mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. Et ce, par la mise en place une grille d’analyse harmonisée à destination des investisseurs européens, de manière à clarifier l’impact des fonds qu’ils placent auprès des entreprises, de plus en plus pris en compte par les agences de notation financière. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés qui sont en jeu.

Climat-UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

Climat-UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on assiste à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé vert. Le président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.




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