Archive pour le Tag 'la folie'

La folie de Veolia continue avec un recours judiciaire contre les administrateurs de Suez

La folie de Veolia continue avec un recours judiciaire contre les administrateurs de Suez

La folie de Veolia continue pour discréditer non seulement Suez que Veolia ambitionne de liquider mais aussi toute la filière au eau  et services associés. En effet l’entreprise de démolition conduite par Veolia ne peut plonger les donneurs d’ordres nationaux comme internationaux que dans l’incertitude la plus profonde quant aux activités qui seront maintenues tant par Veolia que par Suez.

Veolia a rejeté dimanche une proposition de Suez d’engager des négociations via une offre de des fonds Ardian et Global Infrastructure Partners (GIP), demande en référé la suspension des effets de l’activation de la fondation néerlandaise sur les activités eau de Suez en France, indiquent lundi Les Echos.

Selon le quotidien, Veolia va déclencher une action en responsabilité contre les administrateurs de Suez ayant voté en faveur de l’activation de cette fondation pour leur réclamer le paiement solidaire de 300 millions d’euros, en réparation du préjudice financier que Veolia estime subir du fait de l’irréversibilité de la fondation.

L’activation de cette fondation bloque l’OPA que vise Veolia.

Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

Economie-Le bitcoin : au-dessus des 50 000 $, la folie continue !

La folie continue avec le coin maintenant au-dessus de 50 000 $ et qui a augmenté de 70 % depuis un an.

L’immense spéculation en cours alimentée par certains patrons de grandes entreprises comme celui de Tesla pourrait bien constituer une dramatique escroquerie pour beaucoup de petits porteurs. Surtout si on rappelle l’extrême volatilité d’une cryptomonnaie  qui ne repose en faite sur aucun actif et peut rechuter brutalement comme en 2018.

 

La semaine dernière, le constructeur automobile électrique Tesla a créé la surprise en annonçant avoir investi 1,5 milliard de dollars de sa trésorerie en bitcoin. Le patron de Tesla et homme le plus riche du monde, Elon Musk, n’hésite pas à vanter les mérites des cryptomonnaies sur les réseaux sociaux.

 

La bataille est à la fois spéculative mais aussi stratégique. Pour certains il s’agit de faire monter la cryptomonnaie  au plus haut avant la prise de bénéfice dont le coût sera payé par les investisseurs naïfs. Mais pour d’autres ,il s’agit de menacer le système financier et la souveraineté monétaire des Etats. En faite de supprimer même nombre de souverainetés des Etats dont l’action en l’absence de monnaie serait forcément très réduite.

 

Le marché des cryptomonnaies ne fait cependant pas l’unanimité: plusieurs banquiers centraux, comme Andrew Bailey au Royaume-Uni, ont écarté l’idée de considérer le bitcoin comme une monnaie à part entière, ou même comme un «or numérique» qui servirait à conserver la richesse.

CAC 40 : 60 milliards aux actionnaires, la folie !

CAC 40 : 60 milliards aux actionnaires, la folie !

Encore un record de rémunération des actionnaires en France qui pose évidemment question. D’une part parce que la hausse de 25 % de la valorisation boursière en 2019 est complètement déconnectée d’une part des résultats des entreprises, d’autre part du niveau de l’activité. Aussi  parce que cette  rémunération révèle une politique particulièrement anti redistributive de la richesse nationale. S’il est normal que les capitaux investis reçoivent une rémunération, il est par contre totalement surréaliste d’atteindre de tels records. Des records qui justifieront nécessairement des corrections très douloureuses pour nombre de petits porteurs au moment de la crise financière qui se prépare. Pourtant les journaux financiers de droite se félicitent de cette rémunération.

Une rémunération française qui surpasse les retours financiers obtenus dans d’autres pays et ne peuvent être réalisé qu’aux dépens de l’investissement et du pouvoir d’achat des salariés. Pire, les journaux financiers de droite font le lien avec le problème des retraites pour donner une légitimité à ces  profits excessifs. Le problème, c’est que les mêmes médias manifesteront moins d’enthousiasme quand la crise financière éclatera. Ce qui ne les empêche pas aujourd’hui de conclure que cette rémunération records souligne les mérites de la capitalisation !  À hauteur de 60 milliards d’euros, les liquidités restituées aux actionnaires du CAC 40 dépassent le niveau record de 2007. Elles ont augmenté de 12 % par rapport à l’année dernière. Compte tenu des bons résultats 2019 attendus, les dividendes et les rachats d’actions devraient encore progresser cette année.


« Les entreprises du CAC40 ont distribué 60 milliards d’euros à leurs actionnaires l’an dernier. La santé financière des entreprises est un atout pour les systèmes de retraite par capitalisation. » Indique le très droitier journal l’Opinion.

Création de métropoles votée, la folie de la concentration urbaine

Création de métropoles  votée, la folie de la concentration urbaine

 

 

On comprend évidemment que les collectivités se concertent pour la réalisation de certains équipements notamment de transports, par contre on ne peut que s’étonner de la folie de la concentration urbaine et cela dans tous les pays.  Le véritable enjeu est en effet de concurrencer les villes étrangères qui ne cessent de grossir. Des monstres urbains se constituent avec toutes les conséquences néfastes en termes de qualité de vie, de sécurité, d’environnement, de coût du foncier  et aussi de fiscalité. De villes qui deviennent impossibles à gérer alors que le développement des technologies de l’information devrait au contraire contribuer à un aménagement plus équilibré du territoire. Les députés ont ouvert la voie à la création des métropoles de Paris, Lyon et Marseille, et d’une dizaine d’autres en province, lors de l’examen en première lecture du projet de loi sur la décentralisation. Les députés ont ouvert la voie à la création des métropoles de Paris, Lyon et Marseille, et d’une dizaine d’autres en province, lors de l’examen en première lecture du projet de loi sur la décentralisation, achevé dans la nuit de vendredi à samedi après quatre jours de débat.  Le vote solennel de l’ensemble du projet de loi, défendu par la ministre de la Réforme de l’Etat Marylise Lebranchu, est prévu pour mardi prochain, le texte devant ensuite repartir au Sénat après les vacances. Les métropoles de droit commun, qui seront créées par décret, seront Toulouse, Lille, Bordeaux, Nantes, Strasbourg, Rennes, Rouen, Grenoble, Montpellier et Brest. Elles s’ajouteront à la métropole de Nice, la seule actuellement existante, et à celles de Paris, Lyon et Aix-Marseille-Provence, qui disposeront de statuts spécifiques. Elles se substitueront aux intercommunalités existantes et disposeront de compétences étendues (développement économique, tourisme, transports, habitat, environnement, eau, etc.).  La métropole du Grand Paris, qu’avait rejetée le Sénat en juin et qui entrera en vigueur début 2016, regroupera la capitale et l’ensemble des communes des départements de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne). Elle aura en charge les questions d’habitat, d’environnement et d’aménagement, tandis que les transports continueront à relever de la région Ile-de-France.  Les socialistes ont voté pour la création de cette nouvelle entité, qui remédiera selon eux au « morcellement » et à la « complexité » de l’organisation territoriale en Ile-de-France. L’UMP, l’UDI et le Front de gauche ont voté contre, fustigeant « un monstre technocratique » générateur de « doublons ». Écologistes et radicaux de gauche se sont abstenus.  La métropole sera administrée par un conseil composé pour un quart de représentants du Conseil de Paris et pour trois quarts de ceux des conseils municipaux des autres communes. Les règles budgétaires seront établies par le gouvernement par ordonnance dans les 18 prochains mois.  Les députés ont également fixé les règles de création des autres métropoles. Des métropoles pouvaient déjà être constituées depuis une loi de 2010, mais seulement sur une base volontaire : de ce fait seule existe actuellement la métropole de Nice Côte d’Azur, présidée par Christian Estrosi (UMP), qui soutient d’ailleurs pour l’essentiel les nouvelles dispositions adoptées.  Le projet de loi rend automatique la transformation en métropoles des intercommunalités de plus de 400.000 habitants si elles se situent au centre d’une aire urbaine de plus de 650.000 habitants ou sont des capitales régionales. 

Révision générale des valeurs locatives des habitations ou la folie des élus locaux

Révision générale  des valeurs locatives des habitations  ou la folie des élus locaux

 

 

A l’unanimité le sénat a voté le principe d’une révision générale de 40 millions de logements ; en cause évidemment une augmentation substantielle de la fiscalité locale. Sous prétexte d’inégalités, on va donc procéder à cette révision générale à partir de 2016. On va mobiliser pour cela des dizaines de milliers de fonctionnaires pour procéder à cette opération immense. Le sénat composé d’élus locaux voit à travers cette manœuvre l’opportunité de faire croitre une fiscalité locale qui dérape déjà et devient insupportable notamment dans les villes. Le gouvernement a proposé d’engager la révision des valeurs locatives des locaux à usage d’habitation, par voie d’un amendement adopté à l’unanimité vendredi par le Sénat dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012. Pour l’instant seule la révision des valeurs locatives des locaux professionnels a été lancée et les élus réclamaient que les habitations soient également concernées. L’amendement du gouvernement prévoit une première phase de concertation avec les associations d’élus d’une part et de propriétaires et locataires d’autre part. « Avant le 1er janvier 2014″ à l’issue de cette concertation une loi de finance fixera « les conditions générales » de cette révision. Ensuite en 2014 et 2015 une expérimentation sera conduite dans trois départements. Avant le 30 septembre 2015, le gouvernement présentera au parlement un rapport sur ces expérimentations et la révision des valeurs locatives sera conduite à partir de 2016. Elle sera prise en compte pour les impôts de l’année 2018, selon le calendrier fixé dans l’amendement. Les valeurs locatives servent de base au calcul des principaux impôts locaux, c’est-à-dire la taxe foncière, la taxe d’habitation, et, en partie, les impôts qui ont remplacé la taxe professionnelle. Elles n’ont pas été actualisées depuis les années 70 en ce qui concerne les locaux commerciaux et ne l’ont été que « de manière partielle » pour les logements, devenant une source « d’inégalités » ; en fait une source de fiscalité nouvelle. De toute manière si le sénat devait ne pas adopter cette mesure, elle serait reprise par l’assemblée nationale d’après le ministre du budget.

 




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