Archive pour le Tag 'la faute'

35 000 morts en TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION

35 000 morts en TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION

Un drame épouvantable qui a déjà fait plus de 35 000 morts imputables au risque sismique de la région mais aussi au non-respect des normes de construction.

Dans ces pays pauvres, la corruption permet de se satisfaire de normes internationales et même locales de façon très aléatoire. Pour preuve, certains propriétaires fabriquent eux-mêmes les parpaings voire les poutrelles avec la dose nécessaire de ciment. Trop de parpaings ne contiennent en effet que des doses infinitésimales de ciment de sorte que maisons et immeubles sont construits en quelque sorte sur du sable. Un phénomène assez général dans les pays pauvres.

Vingt-trois millions de personnes sont « potentiellement exposées, dont environ cinq millions de personnes vulnérables », a mis en garde l’Organisation mondiale de la santé. L’OMS avait auparavant dit redouter « des bilans huit fois plus élevés que les nombres initiaux ».

Le mauvais temps complique la tâche des secours et rend le sort des rescapés plus amer encore, grelottant sous des tentes ou autour de braseros improvisés. Profondément meurtrie, la région turque de Kahramanmaras (Sud-Est), difficile d’accès, est ensevelie sous la neige.

En Syrie, le bilan devrait « grimper considérablement car des centaines de personnes restent piégées sous les décombres », selon les Casques blancs (volontaires de la protection civile) dans les zones rebelles.

Crise Immobilier : la faute aux banques ( sondage)

Crise Immobilier : la faute aux banques

 

Pas vraiment une surprise mais une confirmation, les français estiment que les banques sont le premier facteur explicatif de la risque de l’immobilier. De fait le secteur immobilier à l’origine de la cirse bancaire de 2009 est appréhendé aujourd’hui par les banques avec la plus grande réserve ? En clair il faut t une solide solvabilité pour que les banques consentent à prêter.  La donne a en effet changé, précédemment les banques prêtaient avec largesse car en cas de défaillance de l’emprunteur, elles vendaient le bien avec une très forte plus value, donc sans risque financier bien au contraire et cela jusqu’à la crise financière. Aujourd’hui les prix baissent, le raisonnement ne tient plus et certaines garanties de solvabilité des candidats emprunteurs sont aléatoires (exemple revenus salariaux appuyés sur  CDD, des CDI dans des secteurs économiques et/ou entreprises  fragiles etc.). Il fauta environ prés de 5000 euros de revenus pour un bien d’une valeur de 240 000 euros. Autant dire que la cible des futurs emprunteurs devient de plus en plus réduite pour les banques. Un sondage Ipsos pour le réseau immobilier Orpi publié ce vendredi 5 septembre révèle que les banques sont citées comme premier facteur de blocage du marché, à 49%, loin devant le gouvernement (15%), les agents immobiliers (15%), les acheteurs (14%) et les vendeurs (7%). Quelque 45% des sondés juge que les banques sont « les mieux positionnées pour débloquer le marché », là encore loin devant le gouvernement (34%) ou les vendeurs (9%). Des banques de plus en plus exigeantes, selon les Français Or pour 59% des Français, les banques se montrent au contraire « de plus en plus exigeantes et sélectives dans l’attribution de crédits », alors même que les taux d’intérêt des crédits immobiliers sont tombés à 2,68% en moyenne au mois d’août, soit leur plus bas depuis quelque 70 ans. Pour débloquer le marché immobilier, 32% des sondés préconisent le retour à « plus de souplesse dans les conditions d’accès au crédit », devant une amélioration des aides aux ménages accédant à la propriété (26%) ex aequo avec une politique fiscale plus favorable (26%). Ce sondage a été réalisé par internet du 18 au 22 juillet, auprès d’un échantillon de 2.012 personnes, représentatif de la population française.

Gouvernement : dette, chômage,fiaclité, croissance, c’est la faute aux agences de notation !

Gouvernement : dette, chômage, croissance, c’est la faute aux agences de notation !  

 

Finalement quand on écoute les commentaires du gouvernement, on en vient à se demander si ce ne sont pas les agences de notation qui sont responsables de notre situation (qu’elles ne comprennent pas ! ). Pour Hollande on maintient le cap, même si on ne sait où on va ; si, dans le mur ! Une situation surréaliste quand le gouvernement affirme que le pays va mieux alors que nombre de français vivent dans une réalité concrète de déclin. Deux visions, deux mondes qui s’ignorent. Le monde technocratique et jacobin, le monde du terrain ; pour une fois au moins une majorité de français seront d’accord avec S&P.   qui  a justifié sa décision d’abaisser d’un cran à « AA » la note de la France, fixée depuis début 2012 à « AA+ », par le fait que le pays avait perdu de sa marge de manœuvre financière et n’était pas en mesure de se réformer davantage en raison du maintien d’un chômage élevé.  Sans broncher, le président François Hollande, qui réunissait ce vendredi à l’Elysée les grandes institutions financières internationales, a affirmé que la France maintiendrait son « cap » en matière économique.   »Cette politique qui repose sur des réformes qui ont déjà été engagées, qui se poursuivront, est la seule qui permette d’assurer la crédibilité » financière de la France, a-t-il assuré, mettant également en avant « les faibles niveaux des taux d’intérêt (de la dette française) sur les marchés ». Jean-Marc Ayrault, en déplacement à Marseille, a reproché à l’agence de n’avoir « pas pris en compte toutes les réformes » menées depuis l’arrivée de la majorité au pouvoir l’an dernier, dont celle des retraites, en cours d’adoption. Et le ministre de l’Economie Pierre Moscovici a pourfendu les « jugements critiques et inexacts » de l’agence de notation. Plus offensif encore, son collègue au Redressement productif, Arnaud Montebourg, a accusé les agences de notation d’avoir perdu toute crédibilité durant la crise financière. Même le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer a rejoint ce concert de critiques, jugeant depuis Londres que l’analyse de S&P était « incomplète », ce dont l’agence s’est défendue. Selon l’analyse de l’agence de notation, « la marge de manœuvre budgétaire de la France s’est réduite, alors (qu’elle) la considér(ait) auparavant comme élevée au regard des pays comparables ». « Nous ne percevons pas, pour la période à venir, de plan d’ensemble articulé permettant de libérer le potentiel de croissance, préalable indispensable à la baisse du chômage », a expliqué à l’AFP le chef économiste pour l’Europe de l’agence, Jean-Michel Six. S&P juge que « le niveau actuel du chômage amoindrit le soutien populaire en faveur de nouvelles réformes structurelles et sectorielles et affecte les perspectives de croissance à plus long terme ». C’est un nouveau coup dur pour le gouvernement, qui a fait de la maîtrise des finances publiques sa ligne conductrice depuis son arrivée au pouvoir l’an dernier, dans l’espoir notamment de maintenir au plus bas les taux d’intérêt des emprunts d’Etat, et donc le coût de la dette publique.

 

Hollande : « La faute aux autres et à l’Europe »

Hollande : «La faute aux autres et à l’Europe »

 

45 minutes de bla-bla au lieu des 20 minutes prévues. La crise ? La faute au gouvernement précédant et à l’austérité imposée par l’Europe. La solution :  « Tout mettre en œuvre pour le chômage ». Un peu court ! Une réforme de l’assurance-vie, un plan d’épargne action pour les PME ; l’appel aux capitaux extérieurs ;  bref du bricolage. L’Union européenne va mieux depuis un an, a fait valoir M. Hollande, vantant son action pour « faire bouger les lignes » en Europe et y faire le trait d’union entre Nord et Sud. « La zone euro a été stabilisée, des instruments de solidarité ont été introduits, l’union bancaire a été définie (…) notre taux d’intérêt est à son plus bas historique », a-t-il détaillé.  Les indicateurs économiques sont pourtant passés au rouge mercredi avec l’entrée officielle de la France en récession, tandis que le pouvoir d’achat des ménages a enregistré une baisse record de 0,9% en 2012, selon l’Insee. Le chômage avait déjà atteint en mars un niveau record.   »Ce qui frappe l’Europe, c’est la récession, provoquée par des politiques d’austérité, qui touche tous les pays de la zone euro », a expliqué M. Hollande.  Il a aussi mis en cause l’héritage de ses prédécesseurs, qu’il a accusés ne pas avoir fait « des choix courageux sur la compétitivité » ou le « sérieux budgétaire », tout en affirmant ne rechercher « aucune défausse » à son action.   »Notre économie est à l’arrêt depuis 2008. Je sais que cette situation engendre des difficultés pour bon nombre de mes compatriotes », a reconnu M. Hollande.  Aux membres de la majorité qui lui demandent de tracer des perspectives à moyen terme, il s’est attaché à dessiner les « prochaines étapes » du quinquennat.  Il a réitéré son objectif d’inverser avant la fin de l’année la courbe du chômage, qui atteint un niveau record. « Je m’y tiens! », a-t-il lancé. « Tout doit être mis en œuvre pour que les mesures qui ont déjà été engagées puissent être amplifiées pour faire reculer le chômage à la fin de l’année », a poursuivi le chef de l’Etat qui a demandé d’élargir les emplois d’avenir au secteur privé et le contrat de génération à la création d’entreprises.  Pour stimuler l’investissement, il annoncé que l’assurance-vie serait « réformée » et a réaffirmé que l’imposition des plus-values mobilières serait « révisée », afin de « mieux orienter l’épargne des Français vers l’investissement productif ».   »Un plan d’épargne action pour les PME sera créé avec des dispositifs incitatifs », a-t-il promis. Il a confirmé que Jean-Marc Ayrault présenterait en juin un plan d’investissement sur 10 ans dans quatre grands domaines.    »Tout ne peut pas venir de l’Etat et, donc, pour financer ces investissements d’avenir, nous devrons aussi aller chercher le secteur privé, le partenariat, des capitaux extérieurs, des fonds d’investissement, parfois même de l’étranger », a justifié M. Hollande.  Pour « sortir l’Europe de sa langueur », il a aussi annoncé le lancement d’une « initiative » en quatre points portant sur le gouvernement économique de l’Union européenne, la jeunesse, l’énergie et une nouvelle étape d’intégration européenne.  En réponse aux critiques venues de son propre camp contre l’Allemagne d’Angela Merkel, il a jugé le moteur franco-allemand « indispensable, je dis bien indispensable ».

 

Moscovici -élections italiennes: la faute à la croissance

Moscovici -élections italiennes: la faute à la croissance

L’issue des élections italiennes, avec une forte montée du vote protestataire, montre que l’Italie, comme l’Europe, a besoin de perspectives de croissance pour équilibrer les sacrifices demandés à son peuple, a déclaré mardi Pierre Moscovici. Le ministre français de l’Economie et des Finances, qui s’exprimait dans le cadre d’un sommet organisé par Reuters sur la zone euro, a estimé en outre qu’un rétablissement de la croissance était un « préalable » à tout progrès vers plus d’intégration européenne. Pour lui, l’impasse qui semble découler du scrutin italien est « sans doute une préoccupation ». Mais il a espéré que le dirigeant de centre gauche Pier Luigi Bersani serait en mesure de former un gouvernement « équilibré et réformiste ». En attendant, il a estimé que le travail de réformes « sérieux » mené par le président du Conseil sortant Mario Monti était « sans doute nécessaire à un moment donné ». Mais l’Union européenne ne peut se contenter de demander à ses membres de rétablir leurs finances publiques quoi qu’il en coûte. « Le message de l’Italie, c’est : attention, quand on se trouve dans une situation où on demande pendant une durée longue à des peuples de faire des sacrifices, alors il peut y avoir à la fin des rébellions », a dit Pierre Moscovici. Le risque est que le résultat des élections italiennes, où l’ex-humoriste Beppe Grillo a réalisé une percée, trouve sa traduction dans chaque pays, a-t-il poursuivi. « En France, n’oublions pas qu’aux dernières élections présidentielles, madame Le Pen a fait près de 20%, c’est pas un comique, là, pour le coup, mais c’est toujours sinistre ! » C’est pour cette raison que le gouvernement français, confronté à des perspectives de stagnation de l’économie en 2013, discute avec Bruxelles pour obtenir un report à 2014 de son objectif de déficits publics ramenés à 3% du PIB.




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