Archive pour le Tag 'la baisse'

Finances: La baisse de la bourse américaine contamine Paris

Finances: La baisse de la bourse américaine contamine Paris

 La toute dernière analyse de Jeremy Grantham, Let the wild rumpus begin – littéralement, « Que le chahut sauvage commence » – fait un tabac dans les médias. Gourou de Wall Street, fondateur de la société de gestion GMO (65 milliards de dollars d’actifs), l’octogénaire a vu venir un paquet de krachs et de faillites depuis plus de trente ans.( un papier  de Murielle Motte dans l’Opinion, conforté par le fait que la baisse de la bourse américaine contamine aussi Paris et d’autres bourses dans le monde affectées elles aussi par des bulles extravagantes)

Il juge la bulle actuelle « extravagante » aux Etats-Unis. Il s’agit d’ailleurs de la quatrième « superbulle » en cent ans, après 1929, 2000 et 2007. Avec quelques caractéristiques communes : en fin de cycle, les marchés s’emballent, en l’occurrence le Nasdaq a gagné 50% en un an, hors effet confinement du printemps 2020. Et les investisseurs deviennent complètement irrationnels, en témoigne l’hystérie autour des cryptomonnaies, des NFT ou des « meme stocks », ces actions subitement en vogue sur les réseaux sociaux et dont les cours s’envolent sans raison valable, énumère-t-il.

La spécificité du moment, c’est la simultanéité de bulles, souligne aussi Jeremy Grantham. Aux États-Unis, les prix immobiliers ont bondi de 20% l’an dernier, plus qu’en 2006. En proportion du revenu, c’est encore davantage au Canada, en Australie et en Chine. Par ailleurs, les prix de la dette (inverses des taux d’intérêt) n’ont jamais été aussi élevés, etles cours des matières premières(énergie, métaux, agricoles) volent de record en record. L’expert prédit un appauvrissement des Américains de 35 000 milliards de dollars si les marchés retracent ne serait-ce que les deux tiers de leur emballement par rapport à leur valorisation historique.

Pourquoi cette analyse aujourd’hui ? Parce que la Bourse ignore totalement l’inflation, alors que les valorisations (les PER) y sont théoriquement sensibles, rappelle-t-il. Comme les banquiers centraux, les investisseurs veulent croire qu’elle est transitoire. Mais les banquiers centraux sont en train de changer d’avis.

Coronavirus France : tendance à la baisse,

Coronavirus France : tendance à la baisse,

 

386 nouveaux décès liés à l’épidémie de Covid-19 ont été signalés à l’hôpital, au cours des dernières 24 heures, selon l’agence sanitaire, et comme le présente notre tableau de bord de l’évolution de l’épidémie. La veille, 436 décès avaient été enregistrés.

 

Dans les hôpitaux, une lente diminution des patients s’est amorcée depuis plusieurs jours. On comptait ainsi 31 875 patients du Covid-19 hospitalisés, vendredi, selon le site de Santé publique France, Geodescontre 32 314 la veille. Par ailleurs, 4 566 malades sont en service de réanimation, vendredi, selon le site de Santé publique France. Ils étaient 4 637 malades en réanimation la veille, 4 759 mercredi et 4 854 mardi .

 

Enfin, 22 882 contaminations supplémentaires ont été recensées, au cours des dernières 24 heures, détaille Santé publique France. La veille, 21 150 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés.

Marchés financiers : la baisse va continuer

Marchés financiers : la baisse va continuer

La chute des marchés boursier devrait se poursuivre même si quelques rebond sont à attendre dans les jours à venir. Globalement la tendance sera cependant baissière. Le CAC 40 a en effet enregistré hier  une baisse de plus de 2 % comme à Wall Street. Une baisse de plus de 2 % comme à Wall Street. La bourse de Tokyo elle 2,7 % et Shanghai encore 2,7 %. La première préoccupation des marchés concerne l’évolution de la situation économique et financière de la Chine. Préoccupation encore confirmée ce matin avec l’annonce de l’indicateur de conjoncture de Markit qui prévoit une nouvelle chute de l’industrie manufacturière à un niveau au plus bas depuis six ans. La chute de l’activité économique en Chine s’accompagne d’une crise financière grave affectant les entreprises, les collectivités locales mais aussi le système bancaire. Cela traduit à l’évidence le net ralentissement de l’économie mondiale. Une nouvelle crise n’étant  plus à exclure. Il y a la baisse de la demande mondiale. Aussi  la chute des matières premières qui prive nombre de pays de ressources essentielles et qui pèsent sur la demande mondiale. D’une manière générale cela se traduit par une diminution des commandes extérieures des grands pays exportateurs comme la Chine, le Japon et même l’Allemagne. Pour ce qui concerne l’Europe s’ajoute depuis hier les incertitudes concernant l’avenir politique de Tsipras, premier ministre  et par conséquent l’avenir du plan d’aide à la Grèce. Les indices de conjoncture de Markit qui devraient  être publiés aujourd’hui devraient contribuer à alimenter les inquiétudes sur la croissance mondiale. Ajoutons à cela que certains cours été notoirement surévalués au regard des résultats économiques et financiers et qui étaient surtout dopés par la masse de liquidités répandues par les banques centrales. Le peu d’attractivité des obligations à part ailleurs opéré des reports sur le marché des actions. Encore une fois il y aura des rebonds mais la correction générale est en cours.

Michel Sapin : la baisse des dépenses publiques mais comment ?

Michel Sapin : la baisse des dépenses publiques  mais comment ?

Sapin souhaite que la réforme de la CSG ne se transforme pas en augmentation, curieux non ? Il y a cependant de bonnes raisons pour qu’il en soit ainsi et que finalement la fameuse réforme fiscale ne serve de  prétexte pour  élargir l’assiette d’imposition IR-CSG. Ne serait-ce que pour compenser les pertes de TVA ( 11 milliards en 2013)   Quand à la réduction des dépenses publiques ( 50 milliards sur 5 ans) , cela reste du domaine virtuel. Invité de « Questions d’Info » LCP/FranceInfo/LeMonde/AFP, le ministre du Travail Michel Sapin a expliqué, à propos de la réforme fiscale en cours d’élaboration, que « le principe même » de la CSG progressive était « séduisant » mais que sa mise en application était « extrêmement difficile ». L’idée d’une fusion de l’impôt sur le revenu avec la contribution sociale généralisée est une des pistes explorées dans le cadre de la remise à plat du système fiscal. Il faut « faire attention justement à ce que la progressivité sur la CSG qui est une bonne idée ne se transforme pas en augmentation de la CSG pour une bonne partie des Français. Ce n’est pas l’objectif du gouvernement », a-t-il poursuivi. Partant de ce constat, il a enchaîné: « Comment fait-on, alors, si on n’augmente pas (les impôts)? C’est la question de la dépense publique, c’est la question de la maîtrise de la dépense publique ». Il a alors évoqué une « réduction ordonnée, intelligente, de la dépense publique« , comme lui paraissant « être demain la seule solution ». A cet égard, il a souligné le plan de 50 milliards d’euros d’économies sur 4 ans (2014, 2015, 2016, 2017) sur la dépense publique annoncé le matin même par le Premier ministre. « C’est 15 milliards, 15 milliards, puis 10 milliards et 10 milliards. C’est déjà beaucoup », a-t-il commenté. « Donc, mettons en œuvre ce plan de rationalisation de la dépense publique, d’économie dans la dépense publique. Ça vaut pour l’État, ça vaut pour les collectivités locales, ça vaut aussi évidemment pour les régimes sociaux », a ajouté le ministre.

Sondage vitesse autos : Les Français contre la baisse des vitesses

Sondage vitesse autos : Les français contre la baisse des vitesses

 

Les français contre la limitation de vitesse à 76%. Pourtant on ne fait pas une politique en additionnant les sondages ; A partir des années 80,  la lutte contre la vitesse et l’alcool (deux principaux facteurs d’accidents) ont permis obtenir des résultats très significatifs ; les français étaient largement contre. Ils avaient tort et ont encore tort à moins de considérer que 3700 morts par an soit le tribu à payer à l’idéologie de la vitesse. Il conviendrait sans doute daller beaucoup plus loin et plus exactement d’agir plus finement en  ajustant  les vitesses à ne pas dépasser aux risques potentiels locaux. Les Français tiennent à leurs acquis. Y compris sur la route, malgré le nombre toujours élevé de morts au volant. Un sondage de l’Ifop pour Radio Alouette montre qu’ils sont clairement opposés à toute idée de réduction des limitations de vitesse, quelles que soient la nature de la route (autoroute, route nationale, ville). Manuel Valls avait pourtant laissé entendre qu’une telle idée était « inéluctable », le 11 juillet . Au total, 76% des 1.005 Français interrogés selon la méthode des quotas par l’institut de sondage sont contre ce début d’idée, dont 49% y sont « tout à fait opposés ». Naturellement, l’aversion est la plus forte chez les foyers détenteurs d’un véhicule motorisé (78%), tandis que ceux qui n’en possèdent pas se disent en majorité favorables à cette baisse (51%). Un sondage d’Europe1.fr portant sur la même question avait déjà montré une opposition forte à cette idée mi-juillet, avec 86% de sondés contre, et seulement 12% pour (2% sans opinion). La question posée par l’Ifop portait sur une baisse de vitesse maximale de 130 km/h à 120 km/h sur autoroute, de 90 km/h à 80 km/h sur route nationale, et de 50 km/h à 30 km/h en ville. Le ministre de l’Intérieur citait au passage l’exemple de l’Espagne, où la baisse des limitations a permis de faire chuter la mortalité sous la barre symbolique des 1.500 victimes par an. En France, 3.645 personnes ont trouvé la mort sur les routes en 2012 – un plus bas historique – et 26% des accidents mortels avaient pour cause une vitesse excessive.

 

Croissance : révision à la baisse pour la BCE mais on ne bouge pas !

Croissance : révision à la baisse pour la BCE mais on ne bouge pas

La récession va s’accentuer, une raison pour la BCE pour ne pas bouger. La Banque centrale européenne (BCE) a revu à la baisse sa prévision de croissance 2013 pour la zone euro, mais à la hausse celle de 2014, selon des chiffres présentés par son président Mario Draghi. La BCE s’attend désormais à une contraction du Produit intérieur brut (PIB) de la zone euro cette année de 0,6% contre un recul de 0,5% prévu jusqu’ici, mais table sur une hausse de 1,1% en 2014 contre 1% jusqu’ici. Sa prévision d’inflation pour 2013 a été abaissée à 1,4% contre 1,6% attendu jusqu’à présent, mais maintenue inchangée pour 2014, à 1,3%. Pour autant la BCE ne prend aucune mesure nouvelle face à cette dégradation ; comme toujours on attend des jours meilleurs en 2014 alors qu’on n’en sait strictement rien.

Bourse : et maintenant, la baisse

Bourse : et maintenant, la baisse

 

Optimisme la semaine passée sur des rumeurs et de fausses informations sur le chômage aux Etats-Unis. Avec le quasi échec du sommet européen (Merkel conteste déjà les concluions sur la recapitalisation des banques), le problème espagnol qui demeure, les mauvais résultats des entreprises aux Etats-Unis, il faut s’attendre à une phase de baisse. Le contraire de ce que disent nombre d’analystes. Cela d’autant plus que maintenant les indicateurs économiques vont confirmer l’écroulement de la croissance (donc aussi les résultats des entreprises à terme et l’endettement public).  Sur la semaine écoulée, l’indice CAC 40 a pris 3,41%, pour terminer vendredi à 3.504,56 points. Il s’est octroyé 10,91% depuis le 1er janvier.  Mais les analystes ont mis leurs lunettes roses. « L’humeur est clairement à l’optimisme. Du côté de la zone euro, il y a deux catalyseurs: les choses bougent en Espagne et les contours d’une union bancaire sont en train de se préciser », relève Olivier Raingeard, chef économiste de la Banque Neuflize OBC.  Les 27 dirigeants européens ont trouvé jeudi soir lors d’un sommet à Bruxelles un compromis permettant à la Banque centrale européenne (BCE) de surveiller l’ensemble des 6.000 banques de la zone euro à partir du 1er janvier 2014. L’Espagne a été la grande vedette de la semaine. Madrid a obtenu un répit des agences de notation, Moody’s n’ayant pas déclassé la dette du pays au rang des investissements spéculatifs. Sur le marché obligataire secondaire, où s’échangent les titres déjà émis, les taux d’emprunt espagnols à 10 ans sont retombés à leur niveau le plus bas depuis avril, autour des 5,35%.   »Même si le dossier espagnol reste le fil rouge pour les opérateurs parisiens, les entreprises sont de nouveau au centre des attentions depuis le début de la semaine », souligne Aymeric Diday, gérant chez la banque Pictet.  Renault a rebondi sur des rumeurs de nouvelles synergies avec Nissan, Crédit Agricole a enfin finalisé la cession de sa filiale grecque en grande difficulté Emporiki, Alcatel-Lucent a annoncé la suppression de près de 5.500 postes dans le monde dont près de 1.430 en France, et Carrefour la cession de ses activités colombiennes.  Les nombreux résultats trimestriels notamment aux Etats-Unis ont aussi rythmé les échanges.   »Les publications des grandes banques ont été globalement solides outre-Atlantique et bien accueillies, mais le marché s’inquiète davantage du secteur technologique », après les résultats décevants d’Intel et d’IBM, souligne M. Raingeard.  Le bal des publications de sociétés va se poursuivre de ce côté-ci de l’Atlantique, la place de Paris entrant dans le vif du sujet avec les résultats attendus de Vinci, France Télécom, Sanofi ou Technip. Les ventes de PPR, Schneider Electric et Publicis seront aussi publiées.  La réunion du comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed), mardi et mercredi, sera un autre temps fort de la semaine, même si aucune annonce majeure n’est attendue.  Lors de ce dernier rendez-vous mensuel, l’institut avait lancé un troisième programme d’assouplissement monétaire destiné essentiellement à soutenir le marché de l’emploi.

 

 




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