Archive pour le Tag 'Kouchner)'

2017 : Kouchner pour Valls ou Macron….ou Fillon ?

2017 : Kouchner pour  Valls  ou  Macron….ou Fillon ?

Kouchner sur Franc info ne sait pas trop pour qui il se décidera en 2017. L’ancien ministre socialiste, devenu ministre de Sarkozy hésite encore. Normal ses convictions sont inversement proportionnelles à la  hauteur de ses ambitions et surtout de l’estime qu’il se porte. Il pense peut-ê ter pouvoir jouer encore un rôle. Pour l’instant il se déclare proche de Valls mais aussi de Macron. Pourquoi pas Fillon si c’est une  porte d’entrée dans le nouveau gouvernement ! L’ancien ministre socialiste Bernard Kouchner a annoncé qu’il voterait pour Manuel Valls dans le cadre de la primaire de la gauche. Mais sur France Info, il dit aussi être « intéressé » par Emmanuel Macron. Invité de France Info mercredi matin, Bernard Kouchner a répété qu’il voterait pour Manuel Valls dans le cadre de la primaire de la gauche. « Sauf si je change d’avis », a toutefois ajouté dans la foulée l’ancien ministre des Affaires étrangères. « Parce qu’il y a un type intéressant, c’est Macron aussi », explique Bernard Kouchner. « Cette façon – que je croyais très risquée – de s’imposer en quittant François Hollande à qui il devait beaucoup, j’ai trouvé ça un peu rude. Mais finalement, il s’impose par une manière de dire les choses talentueuse, assez décidée », développe le socialiste, qui voit entre Valls et Macron « beaucoup de similitudes ». Est-il séduit par Emmanuel Macron? « Il m’intéresse », répond simplement Bernard Kouchner, qui déplore une « démagogie extraordinaire » dans les propositions des candidats à la primaire de la gauche. « Je lis les arguments des uns et des autres et les promesses faites, on dirait le discours du Bourget. Et ce n’est pas un compliment! ».

Emmanuel Macron « c’est Coluche ou Kouchner ?

Emmanuel Macron « c’est Coluche ou Kouchner ?

Dans les allées du pouvoir on ne se fait guère de cadeaux notamment concernant les étoiles montantes qui bouleversent l’oligarchie.  Macron va l’apprendre à ses dépens d’autant qu’il n’économise guère son exposition médiatique. Récemment François Hollande avait suggéré que le phénomène Macron pouvait se comparer à celui de Coluche, une comparaison en réalité assez vacharde car Coluche était surtout un humoriste. Certains proches de François Hollande le comparent à ces quelques personnalités qui ont occupé le haut de l’affiche mais qui n’ont jamais été capables de traduire ces bonnes intentions en victoire politique en tout cas de les mettre à la hauteur des ambitions affichées. De ce point de vue Rocard constitue sans doute un excellent exemple des capacités du PS  à détruire les compétences. Alors que Rocard  était au plus haut dans les sondages, qu’il montrait une grande efficacité comme Premier ministre, le parti socialiste et Mitterrand ont réussi leur travail de démolition d’une personnalité trop innovante et trop compétente pour la gauche. Macron qui n’est peut-être pas le sauveur attendu mais qui apporte un peu de fraîcheur et de nouveauté dans un paysage politique sclérosé pourrait bien connaître le même sort car au PS les  capacités à détruire sont plus importantes que celles à construire. Du coup maintenant c’est la comparaison avec Kouchner qui est à la mode de la dérision vis-à-vis de Macron. Une comparaison d’autant plus facile que Kouchner a effectuée un voyage de gauche à droite sans grande état d’âme. « Emmanuel Macron, dit un ministre , c’est Bernard Kouchner : c’est la personnalité préférée des Français, et il n’a jamais gagné une élection. Kouchner avait fait plusieurs tentatives et il a toujours perdu. Je prédis la même chose à Emmanuel Macron ». Vous savez ce qu’on dit ? Avec des amis comme ça, pas besoin d’ennemis.
Deux semaines après avoir lancé son mouvement, En marche, le ministre de l’Économie a provoqué le 22 avril stupeur et colère dans la majorité en affirmant ne pas se sentir l’ »obligé » de François Hollande, tout en protestant de sa loyauté, au point de susciter des interrogations sur son maintien au gouvernement. Omniprésent dans les médias, Emmanuel Macron reste ambigu sur ses intentions pour 2017.

(Avec RTL)

Procès Bonnemaison : Kouchner « Médecin… et parfois ministre »……Toujours cabotin

Procès Bonnemaison : Kouchner   »Médecin… et parfois ministre »……Toujours cabotin

 

 

On se demande bien ce que Kouchner venait faire au procès de Bonnemaison à propos d’euthanasie mais c’est en toute modestie que Kouchner a honoré de sa présence le tribunal de province d’Angers. A 75 ans, M. Kouchner est une sorte de grand témoin professionnel, qui peut déposer dans maintes enceintes, sur des sujets variés. Là, il est supposé apporter un soutien moral à Nicolas Bonnemaison, acquitté en première instance et qui répond à nouveau, en appel, de sept assassinats. Hélas, le cofondateur de Médecins sans Frontières ne connaît ni l’accusé, ni le dossier – qu’il a la bonne idée de ne jamais évoquer. Ce n’est pas grave: avant lui, d’autres personnes, connues ou pas, ont illuminé les débats de leur sagesse, de leur hauteur de vue, de leur humilité: Jean-Claude Ameisen, président du Comité consultatif national d’éthique, Jean Leonetti, député et architecte en chef de la loi qui porte son nom, Michèle Delaunay, cancérologue et une seule fois ministre, ou encore le Dr Thierry Saint-Val, médecin et jamais ministre à ce jour, ont expliqué tout ce qu’il fallait savoir sur la fin de vie pour essayer de comprendre la situation particulière de Nicolas Bonnemaison. De sorte que, pour rester dans le registre médical, le propos passe-partout de M. Kouchner constitue un témoignage de confort, qui survient quand il n’y a plus rien à apprendre. Hormis cette profonde maxime du cabotin mondain  » «la mort, c’est pour toute la vie».

On a lâché les kurdes (Kouchner)

On a lâché les kurdes (Kouchner)

 

 Il n’a pas tort Kouchner l’ancien ministre affaire étrangères ; la prise de la ville de ko banê par l’armée islamique est le résultat de l’attentisme des forces de l’alliance anti djihadiste et de l’hypocrisie turque. Une alliance qui ne veut pas fâcher les turcs qui eux en profitent pour régler des comptes avec les kurdes assiégés trop influencés par le PKK. Un PKK aujourd’hui sorti du terrorisme mais qui est toujours considéré comme une menace par la Turquie.

 

(Interview JDD)

Est-on responsable de la chute attendue de Kobanê, cette grande ville kurde de Syrie à la frontière turque?
À Kobanê, nous avons baissé les bras devant les exactions barbares de Daech (l’autre nom de l’État islamique, Ndlr). La majorité des Kurdes syriens se sont battus héroïquement et nous avons hésité à les soutenir parce qu’ils étaient influencés par le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui a longtemps été une organisation terroriste. La France ne s’est toujours pas résolue à agir en Syrie et les Américains s’y sont engagés, mais seulement par des raids aériens. C’était insuffisant. C’est un grand scandale de laisser mourir sous nos yeux ces Kurdes qui sont si proches de nous. Serons-nous récompensés de notre lâcheté? Même pas. Car les frontières coloniales de cette région du monde sont désormais perdues dans cette grande redistribution des cartes au sein du monde musulman dont on ne connaît pas le résultat à l’avance.

 




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