Archive pour le Tag 'Korian'

Société-Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Société-Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Ephad Korian: un maximum de 5 euros en repas mais 100 euros de pension par jour

Ephad Korian: un maximum de  5 euros  en repas mais 100 euros de pension par jour

On comprend aisément que certains EHPAD à but très lucratif soient l’objet de critiques. Ainsi l’un des responsables syndicaux du groupe Korian signale qu » en général les établissements consacrent  seulement cinq euros par jour pour les trois repas tandis que la pension est d’un minimum de 100 € par journée ( au minimum ) . De quoi évidemment réaliser de substantielles bénéfices. Sans parler des autres rationnements concernant les soins et de manière générale les services aux personnes âgées. Plusieurs familles ont donc déposé des plaintes

 

Les trente plaintes déposées contre X émanent de 18 familles de résidents d’établissements gérés par le groupe Korian, pour des faits de « mise en danger de la vie d’autrui », de « non assistance à personne en danger » et d’ »homicide involontaire ». Elles ont été déposées à Aix-en-Provence, Bobigny, Bourges, Le Mans, Marseille, Nantes, Niort, Paris, Pau et Versailles, a détaillé Sarah Saldmann à l’AFP.

L’avocate était déjà à l’origine de près de 80 plaintes déposées en avril à Nanterre contre le groupe Orpea pour des faits similaires, dans la foulée du scandale déclenché par le livre-enquête Les Fossoyeurs du journaliste Victor Castanet. La plupart de ces procédures, hormis celles concernant des cliniques de la filiale Clinea, sont déjà « parties en enquête », a précisé l’avocate.

 

Ce n’est pas la première fois que les pratiques du groupe Korian sont contestées. En avril, l’avocat Fabien Arakelian affirmait déjà à franceinfo que le groupe était aussi concerné par des plaintes de familles concernant des cas de maltraitance, tout comme Orpea et DomusVi, le troisième groupe français d’Ehpad.

Maisons de retraite : après Orpea , Korian dans la tourmente ?

Maisons de retraite : après Orpea , Korian dans la tourmente ?

D’après une enquête du journal la Tribune , Korian le plus grand groupe de maisons de retraite pourrait rapidement se retrouver en pleine tourmente de la même manière qu’Orpea en raison d’une politique excessive de rentabilité qui nuit à la qualité de l’accueil et des soins aux résidents. Notons que le tarif moyen pour un EHPAD et de l’ordre de 2000 € par mois mais qu’il peut atteindre 5000 € et même davantage dans des établissements privés

 

Pour comprendre la crise, la tribune indique qu’il il faut revenir au « business model » de ces établissements privés pour personnes dépendantes à but évidemment lucratif. Le taux d’occupation (TO) – lit occupé par établissement – constitue l’indicateur clé pour monitorer le chiffre d’affaires et définir les budgets de ces unités. De celui-ci dépend le montant des financements publics. Ces dotations sont accordées par les départements et l’agence régionale de santé (ARS) au titre de la prise en charge « soin » et « dépendance » du résident. Un niveau d’occupation des lits élevés couplé à un nombre de personnes âgée très dépendantes font gonfler l’enveloppe publique et… le chiffre d’affaires.

Par ailleurs, le taux d’occupation permet de suivre l’activité la plus lucrative du groupe : l’hôtellerie-restauration, dont les tarifs sont libres. En 2019, elle représentait 59,9% des 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires de l’activité, contre 10,19% pour la dépendance et 18,1% pour les soins, selon la répartition des revenus figurant dans un document interne que La Tribune a pu consulter. Et confirmé par plusieurs budgets d’établissement analysés.

E




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol