Archive pour le Tag 'justes'

Santé- Les justes revendications des médecins généralistes libéraux

Santé- Les justes revendications des médecins généralistes libéraux

Il est clair que les conditions de travail et de rémunération des médecins libéraux généralistes surtout méritent une autre reconnaissance. D’autant plus si on compare par exemple avec les médecins spécialisés. 25 € la consultation pour les généralistes et le double au moins pour les spécialistes qui ne passent pas en moyenne davantage de temps avec les patients. Et qui compte tenu des conditions de rémunération peuvent en outre s’offrir de larges plages de congés.

En outre, ces médecins libéraux assurent une sorte de service public avec souvent une amplitude de travail démentielle . Et maintenant on leur demande de suppléer les carences de l’hôpital dont les urgences refusent désormais des patients. Toutefois le risque est grand de créer une sorte d’amalgame des revendications de médecins libéraux dans les conditions de travail sont très différentes ou encore avec les médecins salariés dont les situations sont différentes.

Plusieurs collectifs dont « Médecins pour demain » appellent les médecins libéraux à faire grève et ne pas recevoir de patients entre ce lundi 26 décembre et le lundi 2 janvier, dans le but d’obtenir une revalorisation des tarifs de leurs consultations de 25 à 50 euros.

Les collectifs de médecins réclament un doublement du tarif de consultation de base qui passerait alors de 25 à 50 euros. Une revalorisation des revenus des professionnels libéraux qui devrait, d’après les collectifs interrogés, créer un « choc d’attractivité » vers une médecine de ville en manque criant d’effectifs. D’après les organisations de médecins, les jeunes soignants ne seraient plus attirés par la médecine généraliste faute de revenus suffisants et d’une trop forte quantité de tâches administratives.

François Braun a redit jeudi soir qu’il reverrait « dès janvier (l’offre de soins), territoire par territoire », sur la base des travaux du Conseil national de la refondation (CNR).On se demande bien quelle est la compétence de ce conseil national de la Refondation, gadget de MacroN qui tourne en . Il a promis de « prendre à bras le corps le système de santé pour le réformer ».

Les justes revendications des médecins généralistes libéraux

Les justes revendications des médecins généralistes libéraux

Il est clair que les conditions de travail et de rémunération des médecins libéraux généralistes surtout méritent une autre reconnaissance. Surtout si on compare par exemple avec les médecins spécialisés. 25 € la consultation pour les généralistes et le double au moins pour les spécialistes qui ne passent pas en moyenne davantage de temps avec les patients. Et qui compte tenu des conditions de rémunération peuvent en outre s’offrir de larges plages de congés.

En outre, ces médecins libéraux assurent une sorte de service public avec souvent une amplitude de travail démentielle . Et maintenant on leur demande de suppléer les carences de l’hôpital dont les urgences refuse désormais des patients. Toutefois le risque est grand de créer une sorte d’amalgame des revendications de médecins libéraux dans les conditions de travail sont très différentes

Plusieurs collectifs dont « Médecins pour demain » appellent les médecins libéraux à faire grève et ne pas recevoir de patients entre ce lundi 26 décembre et le lundi 2 janvier, dans le but d’obtenir une revalorisation des tarifs de leurs consultations de 25 à 50 euros.

Les collectifs de médecins réclament un doublement du tarif de consultation de base qui passerait alors de 25 à 50 euros. Une revalorisation des revenus des professionnels libéraux qui devrait, d’après les collectifs interrogés, créer un « choc d’attractivité » vers une médecine de ville en manque criant d’effectifs. D’après les organisations de médecins, les jeunes soignants ne seraient plus attirés par la médecine généraliste faute de revenus suffisants et d’une trop forte quantité de tâches administratives.

François Braun a redit jeudi soir qu’il reverrait « dès janvier (l’offre de soins), territoire par territoire », sur la base des travaux du Conseil national de la refondation (CNR).On se demande bien quelle est la compétence de ce conseil national de la Refondation, gadget de MacroN qui tourne en . Il a promis de « prendre à bras le corps le système de santé pour le réformer ».

Des politiques climatiques socialement justes

Des politiques climatiques socialement justes

Des politiques climatiques socialement plus justes sont possibles d’après les économistes Simone Tagliapietra et Georg Zachmann dans une tribune au « Monde ».

«  Les « gilets jaunes » représentent un cas intéressant de ce qui risque de devenir un phénomène de plus en plus fréquent en Europe, au fur et à mesure que les politiques environnementales seront renforcées en vue de la réalisation des objectifs fixés dans l’accord de Paris. Si les politiques climatiques sont élaborées sans prendre en compte leurs conséquences sur la répartition des richesses, elles devront compter avec un risque accru de résistance sociale. Afin d’éviter ce risque, et de veiller à ce que la décarbonation jouisse d’un fort soutien populaire, il est essentiel que les gouvernements mettent en place des politiques équitables. Les effets sur la répartition des richesses des différentes politiques climatiques varient en effet considérablement. Le contexte national, le secteur concerné, l’outil politique et la mise en œuvre déterminent quels types de ménages seront les plus affectés. Dans un pays pauvre, les taxes sur les carburants frappent les couches les plus riches de la population, qui ont les moyens d’acheter une voiture : elles auront donc tendance à réduire les inégalités. En revanche, dans un pays relativement riche, où les habitants situés en dehors des grandes villes ont tendance à être moins aisés mais ont davantage besoin d’une voiture, les taxes sur les carburants routiers peuvent accroître les inégalités. La taxation du carbone peut également avoir des conséquences très différentes sur la répartition des richesses en fonction du secteur d’origine des émissions : la taxation du carbone dans l’aviation réduira sans doute les inégalités car elle retombera davantage sur les ménages à revenu élevé. En revanche, la taxation du carbone provenant du chauffage tendra à accroître les inégalités. Les taxes sur les carburants routiers se situent entre les deux, et pèseront principalement sur la classe moyenne : les ménages les plus pauvres ne possèdent généralement pas de voiture, et les ménages à revenu élevé ne dépensent qu’une très petite partie de leur revenu en carburant pour la route. Par ailleurs, les décideurs politiques peuvent choisir différents instruments pour décarbonner un secteur donné, ce qui peut avoir des conséquences différentes en matière de répartition : décarboner le transport routier en obligeant les constructeurs d’automobiles à faire en sorte que les émissions moyennes de toutes les voitures vendues soient inférieures à un certain seuil – comme cela est mis en œuvre aux Etats-Unis et dans l’Union européenne – peut accroître encore plus les inégalités que les prix des carburants routiers. En effet, les constructeurs d’automobiles réagissent à cette injonction en baissant le prix des voitures à propulsion hydrogène, électrique et hybride – qui sont généralement achetées par des ménages aisés, en raison du prix relativement élevé de ces technologies –, et en augmentant le prix des véhicules thermiques, généralement achetés par des ménages à faible revenu, afin de respecter les objectifs moyens d’émission de la flotte. »




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