Archive pour le Tag 'juillet'

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Pétrole: prolongation de l’accord de réduction qu’en juillet ?

Pétrole: prolongation de l’accord de réduction qu’en juillet ?

 

Le cartel pétrolier et d’autres pays producteurs comme la Russie, réunis sous le groupe Opep+, se sont entendus samedi pour prolonger d’un mois, jusqu’à la fin juillet, leur accord portant sur la réduction de production de pétrole. L’OPEP+ a également exigé que des pays tels que le Nigeria et l’Irak, qui ont dépassé leurs quotas de production en mai et juin, compensent par des réductions supplémentaires de juillet à septembre. Certains pays ont en effet des difficultés à respecter les quotas qui constituent pour certains l’essentiel voire l’unique ressource budgétaire. Tout dépendra en fait,  des conditions de la reprise en 2020. Certes cette reprise ne sera pas du même niveau que 2019 mais elle pourrait contribuer à augmenter la demande très atone et en dessous de la production

Orly: réouverture avant juillet ?

Orly: réouverture avant juillet ?

Décidément ça flotte vraiment au gouvernement qui a décidé de n’imposer aucune mesure de distanciation dans les avions mais qui dans le même temps bloque toujours l’ouverture d’Orly. Le risque est évidemment un détournement de trafic compris sur des aéroports européens proches. “Il faut deux conditions pour que le trafic reprenne: un que la situation sanitaire s’améliore (…), deux qu’on se mette d’accord entre les pays européens voisins et les pays méditerranéens au sens large sur les mesures sanitaires”, a expliqué Jean-Baptiste Djebbari sur l’antenne de BFM TV.

“Si les compagnies aériennes sont prêtes par exemple mi-juin, on peut envisager à ces conditions de reprendre le trafic aérien à Orly vers le 26 juin”, a-t-il ajouté, confirmant une date qu’il avait déjà évoquée dimanche.

Canicule Juillet 2019 : record mondial confirmé depuis 2000 ans

Canicule Juillet 2019 : record mondial confirmé depuis 2000 ans  

Une novelle étude de  l’Agence océanique et atmosphérique américaine NOAA, a confirmé des observations émises par l’Union européenne il y a quelques jours.

« La majeure partie de la planète a connu une chaleur sans précédent en juillet, les températures ayant atteint de nouveaux sommets au cours du mois le plus chaud jamais enregistré », a commenté l’agence américaine, précisant que la chaleur record avait également « réduit la banquise dans l’Arctique et l’Antarctique à des niveaux historiquement bas ».

Selon la NOAA, la température moyenne de la planète en juillet était 0,95 degré Celsius au-dessus de la moyenne du 20e siècle, de 15,8 degrés Celsius, ce qui en fait le mois le plus chaud jamais enregistré, pour des mesures remontant à 1880. Le mois le plus chaud précédemment enregistré était juillet 2016.

« Neuf des dix mois de juillet les plus chauds ont eu lieu depuis 2005, les cinq dernières années ayant été les cinq plus chaudes », a affirmé l’agence. L’Alaska a connu son mois de juillet le plus chaud depuis qu’elle a commencé à y prendre des mesures en 2005.

Plusieurs pays d’Europe ont enregistré de nouveaux records de température, et ce fut aussi le mois le plus chaud jamais enregistré dans toute l’Afrique. En moyenne, la banquise de l’Arctique a atteint son niveau le plus bas en juillet, 19,8% sous la moyenne, encore plus bas que le record historique de juillet 2012, selon des données de la NOAA et la Nasa. La banquise de l’Antarctique était quant à elle 4,3 % inférieure à la moyenne relevée entre 1981 et 2010.

Deux études autres études ont contré  les climatosceptiques qui contestent le réchauffement, ses causes humaines et se réfugient derrière la science pour raccommoder le climat. La première étude, publiée dans la revue Nature, met, par exemple, en évidence que lors du «petit âge glaciaire» (de 1300 à 1850), s’il a fait extraordinairement froid en Europe et aux États-Unis pendant plusieurs siècles, il n’a pas fait froid partout sur la planète. «Lorsque nous retournons dans le passé, nous trouvons des phénomènes régionaux, mais aucun n’est mondial», explique Nathan Steiger de l’Université Columbia à New York. «Alors qu’actuellement, le réchauffement est global. 98% du globe s’est réchauffé après la révolution industrielle», ajoute-t-il.

Un deuxième article, dans Nature Geoscience, examine la moyenne des variations de température sur de courtes périodes, de quelques décennies chacune. Leurs conclusions sont claires: à aucun moment depuis le début de notre ère, les températures n’ont augmenté aussi rapidement et aussi régulièrement qu’à la fin du XXe siècle: quand après-guerre, la production – alimentée par les combustibles fossiles — et la consommation ont atteint des niveaux sans précédent. Ce résultat «souligne le caractère extraordinaire du changement climatique actuel», explique Raphael Neukom de l’Université de Berne en Suisse, coauteur de l’étude.

Ces études «devraient enfin stopper les climatosceptiques qui prétendent que le réchauffement climatique observé récemment s’inscrit dans un cycle climatique naturel», souligne Mark Maslin de l’University College de Londres, commentant les travaux

 

États-Unis: le déficit budgétaire se creuse en juillet davantage que prévu

États-Unis: le déficit budgétaire se creuse en juillet davantage que prévu

 

Le président américain qui critique la Chine pour les manipulations de sa monnaie ne fait finalement pas autre chose, lui, en aggravant le déficit du budget. Une manière finalement de faire encore davantage de fausse monnaie. Ainsi le déficit budgétaire en juillet à encore largement dérapé. Le déficit budgétaire des Etats-Unis avait déjà  bondi de 17% pour l’exercice 2018, représentant désormais 3,9% du produit intérieur brut (PIB) sous l’effet d’un accroissement des dépenses militaires et de sécurité nationale, combiné à une baisse des recettes fiscales.

Le déficit des finances de l’Etat fédéral s’est établi à 779 milliards de dollars sur les douze mois de l’année budgétaire, clos fin septembre, contre 666 milliards en 2017 (3,5% du PIB), selon les chiffres du Trésor américain rendus publics lundi. Il s’agit de son plus haut niveau depuis 2012, a précisé l’administration et

Le déficit budgétaire des Etats-Unis s’est encore détérioré en juillet, faisant déjà grimper le déficit des dix premiers mois de l’exercice fiscal à un niveau supérieur à celui de l’ensemble de l’année dernière.

 

Selon les comptes du Trésor américain publiés jeudi, le déficit mensuel s’est établi à 120 milliards de dollars en juillet, contre 77 milliards un an plus tôt, soit un bond de 56%.

C’est davantage que les prévisions des analystes, qui visaient un manque à gagner de 100 milliards de dollars sur le mois.

Canicule de juillet: la faute aux humains

Canicule de juillet: la faute aux humains

 

Des records de chaleur et des dépassements de température liés directement à l’activité humaine.  «Sans le changement climatique induit par les humains, une canicule aussi exceptionnelle que celle-ci aurait eu des températures environ 1,5 à 3°C moins élevées», affirment des chercheurs du réseau World Weather Attribution. Des records de température ont été battus dans plusieurs pays d’Europe de l’Ouest lors de cette vague de chaleur brève mais intense: 42,6°C à Paris et à Lingen, en Allemagne, 41,8°C à Begijnendijk, dans le nord de la Belgique, et 40,4°C dans le sud des Pays-Bas. Des températures inédites ont également été atteintes au Royaume-Uni, avec 38,7°C au Jardin botanique de l’Université de Cambridge. Les scientifiques de ce réseau ont pris comme référence les trois jours consécutifs les plus chauds lors de cet épisode caniculaire.

 

Pour la France, en combinant différents modèles, les scientifiques estiment que «la probabilité qu’un tel événement se produise a été multiplié par au moins dix», selon leur rapport. Concernant la canicule qui avait frappé l’Hexagone fin juin, ils avaient déjà calculé qu’elle avait été rendue «au moins cinq fois plus probable» que si l’Homme n’avait pas altéré le climat.

Croissance Japon : comme en Chine , baisse de l’activité manufacturière en juillet – PMI

Croissance Japon : comme en Chine, baisse  de l’activité manufacturière en juillet – PMI

Comme la Chine, le Japon enregistre une  baisse de – l’activité du secteur manufacturier en juillet (pour un troisième mois consécutif), Le Japon dont la croissance est très dépendante des débouchés chinois.  Signe que la croissance pourrait bien se tasser au second trimestreles prix à la consommation (hors produits frais) au Japon ont progressé de seulement 0,6% en juin sur un an ;  une évolution au plus bas depuis au moins un an et s’éloignant ainsi encore plus de la cible de 2% visée en vain par la Banque du Japon et le gouvernement depuis plus de six ans. Et c’est encore pire (+0,5%) si l’on calcule sans tenir compte non plus des prix de l’énergie qui font grimper la moyenne quand les cours du pétrole augmentent. L’inflation découlant d’une demande motrice souhaitée par les autorités apparaît encore illusoire, même si la pénurie de main-d’œuvre entraîne une augmentation des salaires dans certains secteurs. Conclusion, la tendance de la croissance est dans le rouge, ce que confirme l’indice PMI. Manufacturier. L’indice PMI manufacturier s’est établi en lecture définitive à 49,4 en juillet en données corrigées des variations saisonnières, contre 49,3 en juin, restant sous le seuil de 50 qui sépare contraction et expansion de l’activité.

La version “flash” de l’indice était ressortie à 49,6.

D’après les résultats de l’enquête, la production industrielle s’est contractée pour un septième mois consécutif et a décliné à son rythme le plus important en quatre mois, mettant en avant la persistance du ralentissement engendré par les pressions commerciales.

“Les indicateurs prévisionnels suggèrent que les industriels du Japon se préparent à un nouveau trimestre difficile, les entreprises ayant réduit leurs stocks et achats afin de limiter les coûts”, a déclaré Joe Hayes, économiste chez IHS Markit, le cabinet d’études qui réalise l’enquête.

Japon: commerce en baisse en juillet

Japon: commerce en baisse en juillet

Comme en Chine, on constate un certain repli des échanges internationaux du fait du tassement économique mondial. Le Japon a en effet dégagé en juillet un excédent courant en repli à cause d’un solde commercial déficitaire sur fond de dépenses énergétiques accrues, selon des données publiées lundi par le ministère des Finances. Sur le mois passé en revue, le surplus courant a reculé de 14,4% à 2.009,7 milliards de yens (15,7 milliards d’euros au cours actuel). Il s’agit du 49e mois dans le vert pour la troisième économie du monde, dans le viseur du président américain qui veut forcer ses partenaires à ouvrir davantage leur marché aux biens américains.

Chômage : hausse en juillet

Chômage : hausse en juillet

 

Conséquence du net tassement de la croissance : le chômage progresse en juillet. Hasard sans doute mais les grands médias font pour la plupart l’impasse sur cette information qui constitue pourtant un indicateur fondamental pour évaluer la politique économique et sociale du gouvernement.  Le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité est en effet reparti en nette hausse en juillet en France métropolitaine après son léger repli du mois de juin, effaçant quasiment le recul enregistré depuis le début de l’année, selon les données mises en ligne lundi par le ministère du Travail et Pôle emploi.

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans aucune activité) a progressé de 0,6% le mois dernier pour s’établir à 3.462.000, soit 19.300 inscrits supplémentaires par rapport à fin juin. Au total, depuis le début de l’année, les effectifs de cette catégorie ont connu quatre baisses et trois hausses mensuelles, qui se soldent à fin juillet par un reflux de seulement 1.400 inscrits.En ajoutant les catégories B et C (personnes exerçant une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a augmenté de 26.200 par rapport à fin juin, soit une hausse de 0,5%, à5.645.200, un plus haut depuis le début de cette série statistique en janvier 1996. La hausse des effectifs de la catégorie A en juillet aconcerné toutes les tranches d’âge, qu’il s’agisse des jeunes (+5.800 inscrits, soit +1,2%), des 25-49 ans (+9.300 inscrits, soit +0,5%) ou des seniors (+4.200 inscrits, soit +0,5%).La Dares (Direction des études et des statistiques duministère du Travail) met en ligne chaque mois les données reflétant l’évolution du nombre de demandeurs d’emploi inscrit à Pôle emploi mais ne commente ces chiffres que tous les trimestres, afin de mieux refléter les tendances sous-jacentes. Au deuxième trimestre, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a augmenté de 0,1% et le nombre d’inscrits à Pôle emploi tenus de rechercher un emploi (qui relèvent des trois catégories A, B et C) a enregistré une progression de même ampleur.

Baisse des créations d’entreprises en juillet

 Baisse des créations d’entreprises en juillet

Les créations d’entreprises ont reculé de 3,3% en juillet, après avoir déjà baissé de 1,1% en juin, tant du côté des micro-entreprises que des sociétés classiques, a indiqué vendredi l’Insee.

Selon l’organisme public de statistiques, les créations d’entreprises classiques ont enregistré sur un mois un repli de 3,9%, après un recul de 1,7% le mois précédent.

Les immatriculations de micro-entrepreneurs, qui étaient restées quasiment stables en juin (-0,3%), ont pour leur part reculé de 2,5%, précise l’Insee dans un communiqué.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois en données brutes poursuit néanmoins son accélération, avec une progression de 16,3%, contre 15,6% en juin et 13,9% en mai.

Sur les trois derniers mois, l’Insee fait état d’une dynamique particulièrement positive dans le secteur des transports et de l’entreposage, où 8.300 créations d’entreprises ont été enregistrées.

« Au sein de ce secteur, c’est dans les autres activités de poste et de courrier, incluant la livraison à domicile, que la hausse est la plus importante », avec 7.400 créations de sociétés, précise le communiqué.

Selon l’Insee, près de 43% des créations d’entreprises sont des immatriculations de micro-entrepreneurs, un chiffre en hausse pour le neuvième mois consécutif

Juillet Août : Le retour des vieilles badernes à la télé

Juillet Août : Le retour des vieilles badernes à la télé

C est c’est la tradition en France, pendant les vacances les grands médias sont pratiquement en congé. Les principaux animateurs disparaissent des écrans pendant au moins deux mois. Pour combler le vide, on va chercher de jeunes présentateurs sur le banc des remplaçants et on va recruter dans le banc et l’arrière banc des vieilles badernes experts  en banalité. C’est l’occasion de revoir quelques personnalités d’un autre âge qui ont eu un moment ou à un autre leur heure de gloire médiatique. Certes l’âge n’est pas forcément un critère car certains à 80 ans et plus témoignent encore d’une grande pertinence d’analyse. Mais beaucoup ont lâché prise et n’ont pas effectué de travaux de recherche tout simplement de travaux intellectuels depuis des années voir des dizaines d’années. Du coup, leurs propos paraient un peu surréalistes ;  cela d’autant plus quand on les fait  intervenir dans des champs d’actualité qui leur sont inconnus. Peu importe, il s’agit de combler le vide estival.  Les experts sortent alors des lieux  de retraite, bredouillent des mots incompréhensibles sur tous thèmes, sur la canicule, sur l’économie, sur les transports, sur la politique et surtout sur la communication. Une raison à cela les vrais experts, eux, se font rémunérer et sont en vacances. Les pépés de Viennent gratuitement et sont disponibles à tout instant pour venir bafouiller quelques banalités datées,  sorte de cartes postales médiatiques adressées à leurs petits-enfants. C’est la France, le pays, l’économie et les médias sont en vacances pendant près de deux mois !

Macron ne parlera pas le 14 juillet… mais tous les autres jours

Macron ne parlera pas le 14 juillet… mais tous les autres jours

Ce président se veut particulièrement disruptif et contradictoire. Ainsi il avait décidé que la parole de l’Elysée se ferait rare par opposition à ce qu’avaient fait Sarkozy et Hollande. En réalité, Macron est omniprésent dans les médias, il parle tout le temps, sur tout, même les faits divers. En outre il cadenasse la communication du gouvernemenet. Un gouvernemenet terrorisé sur ce point. Macron  a donc une nouvelle fois décidé de ne pas se plier au traditionnel exercice de l’interview télévisée. Du 14 juillet. Manière de confirmer une posture faussement disruptive dans la mesure où il ne se privera pas de s’exprimer tous les autres jours ! Une totale contradiction. On pourraiat m^me parler d’affolement dans le com. de Macron suite en particulier à sa chute dans les sondages. Le délire verbal prend le pas sous le poids de la publication de la baisse régulière de la popularité du chef de l’Etat.   «Il a déjà accepté de prononcer des vœux comme ses prédécesseurs le 31 décembre au soir, il ne faut pas trop en demander», ironise-t-on encore. Est-ce à dire que ce choix est définitif? «Emmanuel Macron refuse de se laisser enfermer dans quoique ce soit, y compris ses décisions» ! Balaie-t-on dans entourage.

Congrès du 9 juillet : le boycott s’élargit

Congrès du 9 juillet : le boycott s’élargit

Comme l’année dernière, les députés de la France insoumise ne se déplaceront pas à Versailles. «Le monarque Emmanuel Macron recevra de nouveau les représentants du peuple à Versailles. Ils auront le droit d’écouter sa majesté et de lui répondre une fois qu’il sera parti. Ce nouveau monde a tout de l’ancien régime et rien de la République. Ce sera sans nous», a fustigé mardi sur Twitter le député LFI Éric Coquerel, quelques minutes après la décision de son groupe de s’abstenir. Depuis la révision constitutionnelle de 2008, la déclaration du Président devant le Congrès peut en effet «donner lieu, hors sa présence, à un débat qui ne fait pas l’objet d’un vote». «Pourquoi écouterions-nous un discours auquel nous ne pouvons pas répondre?», a interrogé le député LFI Adrien Quatennens mercredi sur Europe 1. «Vous avez un président de la République qui convoque le Parlement, qui va parler, et qui ensuite s’en ira et à qui nous ne pourrons pas répondre», a déploré l’élu LFI du Nord.  Déjà absente l’année dernière, la sénatrice écologiste Esther Benbassa a annoncé sur Twitter qu’elle ne se rendrait pas non plus au Congrès lundi prochain. «Je ne réponds pas aux convocations d’un prince n’ayant pour ambition que d’humilier le Parlement», a-t-elle expliqué, en référence au projet de réforme constitutionnelle. L’opposition voit dans le texte du gouvernement un affaiblissement du rôle du Parlement par rapport à l’exécutif. La sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann devrait emboîter le pas à l’écologiste. Comme l’année dernière également, le député Nouvelle Gauche, Régis Juanico – qui a dernièrement rejoint le mouvement Générations de Benoît Hamon – a indiqué qu’il ne ferait pas, lui non plus, «partie de l’auditoire». «On ne convoque pas le Congrès par convenance personnelle pour en faire un rituel par ailleurs fort coûteux pour les finances publiques», a-t-il estimé. Les deux députés LR, Pierre Cordier et Julien Dive, qui avaient déjà boudé le Congrès l’année dernière, ont également expliqué dans un communiqué de presse qu’ils renouvelleraient leur absence. «Nous estimons que ces réunions doivent être réservées à des situations exceptionnelles, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui», ont-ils indiqué, prétextant eux aussi le coût important d’un tel événement.

Gaz: augmentation de 7,45% au 1er juillet

Gaz: augmentation de 7,45% au 1er juillet

 

Pas vraiment étonnant que la consommation s’essouffle avec la croissance car les hausses de dépenses contraintes ne cessent de progresser. Après le carburant, c’est le tour des tarifs réglementés du gaz. Les tarifs réglementés de vente du gaz appliqués par Engie à moins de 5 millions de clients vont augmenter de 7,45% en moyenne au 1er juillet, reflétant une hausse des cours sur les marchés, a annoncé vendredi le gouvernement. Ils progresseront de « 7,45% TTC pour un client moyen chauffé au gaz », a indiqué à l’AFP le ministère de la Transition écologique et solidaire.

Sondage Conflit SNCF : poursuite en juillet pour 73%

Sondage Conflit SNCF : poursuite en juillet pour 73%

Selon un sondage IFOP, les français sont assez pessimistes sur l’évolution du conflit dont ils pensent qu’il se prolongera en juillet pour 73% des sondés. Cependant ils sont 80% à estimer que le gouvernement ira jusqu’au bout de sa réforme. Une majorité se dégage aussi pour appuyer cette volonté de réforme gouvernementale pour 64% ; Tout parait réuni pour que le conflit s’enlise m^me si la participation diminue de manière sensible.Sur le fond de la mobilisation, les positions de l’opinion semblent s’être cristallisées. 42% des Français disent trouver la contestation des cheminots justifiée, soit autant que la semaine dernière. Atteignant 47% le 11 avril, le soutien à la grève s’était légèrement effrité avant de se stabiliser depuis le début du mois de mai.  Le nombre de Français qui souhaitent que le gouvernement aille au bout de la réforme est également stable par rapport à la semaine dernière à 64%. Un chiffre qui est toutefois nettement plus élevé que fin mars où le soutien à la réforme atteignait à peine la majorité (51%). Enfin, 80% des Français affirment penser que le gouvernement ira au bout du projet de loi. C’est deux points de moins que la semaine dernière.

 

 

SNCF : Grève en juillet et août

SNCF : Grève en juillet  et août

 

Contrairement à ce qu’affirmé Pepy, le patron de la SNCF, le conflit pourrait bien continuer cet été. L’objectif sera de détendre le calendrier des grèves et de l’étaler sur juillet et août. Une sorte de prolongation de l’action déjà particulière de cette grève perlée. Un moyen d’économiser les forces et de maintenir la pression pendant encore longtemps. Une façon aussi d’occuper la scène médiatique puisque la bataille de com. utilisée par le gouvernemenet, les grands médias proches de la droite et les syndicats constitue une arme essentielle pour peser.   L’intersyndicale de la SNCF, qui se réunit mardi pour faire le point du mouvement social contre la réforme ferroviaire, pourrait en effet décider d’une prolongation de la grève entamée le 3 avril pendant les vacances d’été, a confirmé lundi un responsable de la CFDT, désormais sur une ligne dure. Le cinquième acte de la grève à la SNCF s’est ouvert dimanche soir pour deux jours, avec un trafic ferroviaire toujours perturbé. Selon la direction de l’entreprise publique, 17,45% des cheminots étaient en grève lundi à la mi-journée, contre 22,73% lors de la journée précédente. Le taux de grévistes reste toutefois élevé chez les conducteurs (62,6%). Il est de 48,7% chez les contrôleurs et de 24,4% chez les aiguilleurs. Deux TGV sur cinq circulaient lundi, de même que trois TER sur sept, trois Intercités sur dix et trois Transilien sur sept. Un train sur deux était en service à l’international, notamment trois Eurostar sur quatre. La grève contre la réforme de la SNCF se déroule théoriquement jusqu’au jeudi 28 juin, à raison de deux jours sur cinq, selon le calendrier arrêté par les syndicats représentatifs qui laissent toutefois entendre, CFDT y compris, que la grève pourrait empiéter sur juillet, voire août. “Il n’y aura pas de grève cet été parce que les cheminots sont des gens responsables”, a assuré dimanche le président du directoire de la SNCF, Guillaume Pepy, au “Grand Jury” RTL-LCI-Le Figaro, estimant que le mouvement “s’érod[ait] lentement”. “Il nous dit ‘la loi est votée, circulez y’a plus rien à voir’, sauf que la loi, il y a plein de choses qu’elle ne prévoit pas”, particulièrement sur les garanties sociales, a répliqué lundi sur LCI Rémi Aufrère-Privel, secrétaire général adjoint de la CFDT-Cheminots.

 

 

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