Archive pour le Tag 'Jouyet'

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« Jean-Pierre Jouyet ment « (Fillon)

« Jean-Pierre Jouyet ment « (Fillon)

 

Il a sans doute raison Fillon, Jouyet ment. Il a d’abord menti en affirmant qu’il n’avait jamais parlé des affaires de Sarkozy avec Fillon puis ‘est rétracté en disant le contraire. D’après lui Filon aurait évoqué les pénalités financières infligées à Sarkozy et payées par l’UMP (suite aux dépassements de campagne). Cette affaire ressemble à une vaste manipulation. Car si effectivement les affaires ont été évoquées, Fillon n’aurait jamais demandé à l’Elysée d’accélérer les procédures contre Sarkozy. François Fillon a  donc affirmé dimanche soir qu’il n’avait « jamais fait pression sur la justice ». L’ancien premier ministre UMP a aussi accusé Jean-Pierre Jouyet d’avoir menti, sur leurs conversations lors d’un déjeuner révélé par deux journalistes du quotidien Le Monde.  La polémique déclenchée par les révélations de deux journalistes du journal Le Monde devrait rebondir au-delà d’un week-end déjà chargé en déclarations. Au cours d’un déjeuner, François Fillon aurait demandé au secrétaire général de l’Elysée d’accélérer les procédures judiciaires contre son grand rival à l’UMP, Nicolas Sarkozy. Lors d’un entretien sur TF1 dimanche soir, François Fillon a démenti toute intervention et reproché à Jean-Pierre Jouyet « un mensonge » sur la teneur de leur conversation.  François Fillon a choisi de mener une contre-offensive en rappelant qu’il n’a jamais été associé à la moindre affaire en trente ans de vie politique.   Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée, a déclaré ces dernières heures avoir parlé avec François Fillon des pénalités de l’UMP. Il s’agit de l’ardoise payée par l’UMP pour le dépassement des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, en 2012. C’est un point de la polémique auquel s’accroche François Fillon, en maintenant qu’il n’a jamais évoqué à table, ce sujet. « Nous n’avons pas parlé des pénalités. Si Monsieur Jouyet dit cela, c’est un mensonge. » Si les enregistrements révélaient que Mr Jouyet s’était vraiment exprimé ainsi, alors ce serait un scandale d’Etat. » (François Fillon)  L’ancien Premier ministre a par ailleurs demandé aux deux journalistes à l’origine de l’affaire, de révéler les enregistrements qu’ils disent avoir en leur possession. Interrogé sur France Info, après l’intervention de François Fillon, Gérard Davet co-auteur avec Fabrice Lhomme du livre Sarko s’est tuer à l’origine des révélations, a maintenu la teneur des conversations avec Jean Pierre Jouyet. 

 

 

 

Affaire Fillon-Sarkozy: pourquoi Jouyet a-t-il parlé ?

Affaire Fillon-Sarkozy: pourquoi Jouyet a-t-il parlé ?

Le plus surprenant dans cette affaire ce n’est pas que Fillon ait souhaité que Sarkozy soit plus vite plombé par ses affaires judicaires mais que Jouyet le secrétaire de l’Elysée ait cru bon de rapporter ces propos à des journalistes ; car finalemenet pour l’instant cette affaire ne peut que renforcer la posture de Sarkozy qui se considère comme une  « victime expiatoire de la justice ». Il se pourrait que le coup de révélations de l’Elysées soit à plusieurs bandes. D’abord on discrédite certains opposants à Sarkozy, ce qui profite à l’intéressé. On laisse monter Sarkozy comme indiscutable représentant de l’opposition pour 2017 et le plus tard possible on le discrédite par une ou plusieurs condamnations judiciaires pour l’abattre mais aussi pour complètement déstabiliser l’opposition à quelques mois de l’ échéance présidentielle. Un sorte de plan machiavélique qui n’est pas à exclure car on peut difficilement comprendre la lenteur des procédures à l’encontre de Sarkozy autrement ; onze  affaires dans lesquelles il est impliqué et qui n’avance qu’à pas d’escargot (sauf une avec un non lieu).. François Fillon a-t-il sollicité l’Elysée pour accélérer les procédures judiciaires visant Nicolas Sarkozy? Les révélations du Monde ont pris un nouvel écho ce samedi, après l’annonce d’une plainte en justice du camp Fillon. Les deux journalistes ont eux maintenu leur version et affirmé détenir un enregistrement audio.  Dans leur livre Sarko s’est tuer (Stock), Gérard Davet et Fabrice Lhomme affirment que le 24 juin dernier, dans un restaurant proche de l’Elysée, François Fillon aurait demandé à Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Élysée, d’accélérer les procédures contre Nicolas Sarkozy, notamment celle concernant le dépassement du plafond des dépenses de campagne en 2012. «Tapez vite, tapez vite! Jean-Pierre, tu as bien conscience que si vous ne tapez pas vite, vous allez le laisser revenir. Alors agissez!», aurait lancé l’ex Premier ministre. L’information aurait d’ailleurs été confirmée par Jean-Pierre Jouyet le 20 septembre lors d’un entretien enregistré par les deux journalistes. Gérard Davet et Fabrice Lhomme soulignent avoir tout enregistré «afin de restituer le plus fidèlement possible les propos échangés lors du repas du 24 juin 2014», tels que les aurait rapportés quatre mois plus tard Jean-Pierre Jouyet. François Fillon et Jean-Pierre Jouyet ont démenti avoir tenu ces propos, tout comme Antoine Gosset-Grainville, l’ancien directeur adjoint de cabinet de Fillon, également présent à ce déjeuner. Mercredi, l’ancien Premier ministre avait  jugé «méprisable» le procédé «qui consiste à me prêter la volonté de m’appuyer sur les plus hautes autorités de l’État pour faire pression sur l’autorité judiciaire». «Je ne peux pas croire que le secrétaire général de l’Élysée ait pu tenir aux journalistes du Monde les propos qui lui sont prêtés, déclare encore François Fillon dans le Journal du Dimanche. Je ne peux pas ne pas voir dans ces attaques invraisemblables une forme de déstabilisation et de complot.» «Nous avons parlé d’autre chose […] il ne m’a, bien entendu, pas demandé une quelconque intervention, démarche par ailleurs inimaginable», a expliqué de son côté le secrétaire général de l’Elysée. Ce samedi, l’entourage de François Fillon annonce que l’ancien Premier ministre allait déposer une plainte «contre les deux journalistes, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, et contre Le Monde pour diffamation». L’affaire pourrait nuire politiquement à François Fillon, alors que celui-ci s’est déclaré candidat à la primaire de l’UMP en vue de la présidentielle de 2017. Ses proches ont déjà dégainé, à l’image du député Jérôme Chartier, qui a dénoncé «une polémique infâme». «C’est du pain béni pour Nicolas Sarkozy», aurait réagi un proche de François Hollande, interrogé par l’AFP. Ces révélations relancent les rumeurs sur l’existence d’un «cabinet noir» à l’Élysée, propagées l’année passée via l’hebdomadaire Valeurs actuelles par un ex-chef du service des télécommunications et de l’informatique de la présidence. Ce dernier mettait en cause de supposées recherches illégales dans les archives électroniques protégées de l’ex-président Sarkozy. Les révélations ne devraient toutefois pas éclabousser le chef de l’Etat, qui n’aurait pas voulu s’immiscer dans les affaires judiciaires, selon l’article du Monde.

 

BPIfrance : J-Pierre Jouyet quitte la présidence

BPIfrance : J-Pierre Jouyet  quitte la présidence 

Pour éviter sans doute les conflits avec Montebourg, J. Pierre Jouyet qui ne souhaitait pas soutenir les « canards boiteux » quitte la présidence de BPIfrance. Jean-Pierre Jouyet, par ailleurs directeur général de la Caisse des dépôts (CDC), a expliqué samedi sur France Inter qu’il souhaitait laisser sa place dans le cadre des changements à venir au sein du conseil d’administration de BPIfrance. Ségolène Royal, qui en était vice-présidente, va quitter l’organisme après avoir été nommée ministre de l’Ecologie du gouvernement de Manuel Valls, et Louis Gallois a démissionné en vue de son arrivée comme président de PSA Peugeot Citroën. « C’est une nouvelle étape qui commence pour BPIfrance », a dit Jean-Pierre Jouyet à propos de l’organisme détenu par l’Etat et la CDC et créé pour soutenir les petites et moyennes entreprises. « Le bilan de sa première année est très bon puisqu’il y a eu près de 80.000 entreprises en France qui ont été accompagnées. Le rôle de BPIfrance, je crois, est désormais reconnu au service de l’économie et de l’emploi. » « J’ai le sentiment du devoir accompli et je pense qu’à une nouvelle étape de la BPI, et compte tenu du renouvellement du conseil d’administration, il me paraît sage qu’il y ait un nouveau président donc je quitterai mes fonctions de président le 1er mai. » La dernière étape d’organisation de BPIfrance est intervenue ce mois-ci avec la création de « BPIfrance investissement », qui devrait permettre à a banque d’investir huit milliards d’euros au capital des entreprises d’ici 2017.

 

Livret A : Taux à 1.5% pour Jouyet

Livret A : Taux à 1.5% pour Jouyet

 

 

Un taux « politique » à 1.5% ou un autre « mécanique » à entre 1 et 1.25%. C’est la position de Jouyet qui au passage s’autorise à dire ce qui lui parait politiquement acceptable alors qu’il n’a aucun mandat pour le faire en tant de patron de la caisse de dépôt peut-être un conseil politique à son ami Hollande , « politiquement » un peu dans le potage) Une manière aussi de bien préparer les esprits à une baisse alors qu’on sait qu’elle se fonde sur un indice obsolète des prix de l’INSEE qui sous-estime de manière notoire les dépense en particulier.  contraintes « Politiquement », on peut considérer qu’il ne faudrait pas baisser le taux au-dessous des 1,50% », déclare-t-il dans un entretien au Journal du Dimanche, en rappelant que c’est « à l’Etat et à la Banque de France d’en décider ».   »Mais si l’on raisonne de façon mécanique », ajoute-t-il, « on devrait descendre entre 1% et 1,25% ».  Le gouverneur de la Banque de France (BdF) Christian Noyer a estimé en juin qu’il y aurait « probablement un nouveau mouvement » à la baisse sur le taux du Livret A cet été.  Le taux du livret d’épargne pourrait être revu à la baisse début août si l’inflation restait modérée, selon la formule de calcul prévue par la loi.  Concernant le financement du logement, M. Jouyet espère « d’ici la fin de l’année » la création d’un fonds de « plus de 1,7 milliard d’euros », conjointement avec les assureurs et les investisseurs institutionnels, « pour la construction de 10.000 logements ».

Florange-ArcelorMittal : la BPI n’a pas vocation à aider « les canards boiteux », déclare son futur patron ou la morgue d’un technocrate politicard français ; un vrai socialiste !

Florange-ArcelorMittal : la BPI n’a pas vocation à aider « les canards boiteux », déclare son futur patron ou la morgue d’un technocrate politicard  français ; un vrai  socialiste !  

Jouyet débute bien sa mission, » pas d’argent pour les canards boiteux comme Florange ArcelorMittal « !  La future Banque publique d’investissement (BPI), qui doit voir le jour début 2013, n’a pas vocation « à aider les canards boiteux », a en effet indiqué son futur président, Jean-Pierre Jouyet, en réponse à une question sur un éventuel soutien à l’aciérie de Florange (Moselle).   »La BPI aura vocation à maintenir l’activité et non pas à aider les canards boiteux », a déclaré M. Jouyet lors d’un entretien à Europe 1, en réponse à la question: « Est-ce que la BPI devra sauver Florange ? ». Marié une petite fille de Taittinger (l’une des plus grosses fortunes de France) et technocrate type, Jouyet qui navigue enter politique et administration  s’y connait en économie réelle. Pour faire court, il a fait sa carrière dans l’administration. Nommé à l’Inspection générale des Finances à la sortie de l’ENA, il occupe ensuite le poste de chef de bureau au service de la législation fiscale au sein du ministère des Finances. Il est, de 1988 à 1991, le directeur de cabinet de Roger Fauroux, ministre de l’Industrie et de l’Aménagement du territoire. En 1991, il devient chef adjoint du cabinet de Jacques Delors, président de la Commission européenne, puis chef de cabinet de 1994 à 1995].De 1995 à 1997, il est avocat associé au cabinet Jeantet Associés. En 1997, il est appelé dans l’équipe de Lionel Jospin, Premier ministre, dont il sera le directeur adjoint de cabinet jusqu’en 2000 En 2000, il occupe ensuite le poste de directeur du Trésor, jusqu’à l’arrivée de Nicolas Sarkozy, ministre de l’Économie et des Finances en 2004. Celui-ci le fait nommer ambassadeur chargé des questions économiques internationales.  Il est ensuite nommé chef du Service de l’Inspection générale des finances. Le 18 mai 2007, il devient secrétaire d’État chargé des affaires européennes auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, dans le gouvernement de François Fillon. Il est choisi par le président de la République Nicolas Sarkozy pour prendre la tête de l’Autorité des marchés financiers (AMF. Le 19 juillet 2012il est nommé directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, après avoir obtenu les 3/5es des voix de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale et du Sénat le 10 juillet

 

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