Archive pour le Tag 'journée'

Fiscalité : une deuxième journée de solidarité pour les personnes âgées et handicapées

Fiscalité : une deuxième journée de solidarité pour les personnes âgées et handicapées

 

Faute de d’avoir engagé une réflexion globale pour le financement du quatrième âge, on  risque de se rabattre sur la proposition d’une nouvelle journée de solidarité financière pour les personnes âgées et handicapées. Vingt ans après la première, cette journée «pourrait se traduire par la suppression d’un jour férié». Elle «permettrait de générer 2,4 milliards d’euros de recettes supplémentaires» en faveur de l’autonomie des personnes âgées et handicapées, avance un rapport.

 Afin de financer la branche autonomie de la sécurité sociale, le Sénat propose de créer «une deuxième journée de solidarité». En d’autres termes, sacrifier un jour de repos, afin de travailler davantage, sans être rémunéré, pour le bien collectif. «La création d’une deuxième journée de solidarité, qui pourrait se traduire par la suppression d’un jour férié, permettrait de générer 2,4 milliards d’euros de recettes supplémentaires (3,3 milliards d’euros en augmentant symétriquement la contribution des retraités)», calculent les auteurs.

Pour rappel, la première journée de solidarité a été instaurée en 2004.

Réforme des retraites: Nouvelle journée de protestation le 6 juin

Réforme des retraites: Nouvelle journée de protestation le 6 juin


De la réforme des retraites est encore loin d’être tournées contrairement à ce que souhaitait le gouvernement. D’abord les syndicats toujours unis mettent des conditions à la reprise du dialogue avec le gouvernement et veulent toujours évoquer la réforme des retraites. Par ailleurs il prévoit une nouvelle journée de protestation le 6 juin soit deux jours avant Le vote de la proposition de loi qui vise à annuler la réforme des retraites déposées par le groupe « Liot » à l’assemblée.

Les membres de l’intersyndicale ontpar avance critiquer la nouvelle séquence de discussion sur laquelle l’exécutif mise beaucoup. « Le gouvernement a annoncé l’ouverture d’un cycle de concertations sans que l’objet ni le cadre ne soient précisément fixés », taclent ainsi les centrales dans leur communiqué.

Cette petite phrase témoigne du sentiment chez tous les syndicats que « le rapport de force est en notre faveur », selon les mots de François Hommeril prononcés en tête de cortège lundi 1er mai. «On a gagné la bataille de l’opinion», confirme Yvan Ricordeau. «Sur le plan politique, au sens noble du terme, on a l’avantage et on en a bien conscience », ajoute-t-il.

Car après avoir demandé – sans succès – à rencontrer l’exécutif pendant de longs mois, c’est maintenant ce dernier qui est en position de demandeur. Élisabeth Borne et Olivier Dussopt ont ainsi rappelé à plusieurs reprises que de nombreux dossiers, allant de l’emploi des seniors à la pénibilité en passant par le « travailler mieux », étaient maintenant à l’ordre du jour et que l’exécutif n’avancerait pas sans les partenaires sociaux.

Malgré les tensions, les syndicats songeraient d’ailleurs à répondre par la positive à l’invitation de discuter, y compris les plus radicaux. À la CGT, si on attend de consulter ses structures, on a conscience que s’il fallait y aller, « mieux vaut tous ensemble que séparément », justifie Thomas Vacheron, membre du bureau confédéral de la CGT en charge des retraites.

Les syndicats veulent toutefois faire payer désormais le prix de l’entêtement du gouvernement. « Tout va coûter plus cher, dorénavant », avait averti Laurent Berger, le numéro un de la CFDT.

Retraites: une nouvelle journée de mobilisation le 13 avril

Retraites: une nouvelle journée de mobilisation le 13 avril


Alors que les grands médias aux mains des financiers mettent le phare sur la baisse ( très relative) de mobilisation de la journée d’hier, l’intersyndicale confirme son intention de poursuivre la protestation avec une journée nouvelle de mobilisation le 13 avril veille de la décision du conseil constitutionnel.

Une douzième journée de mobilisation est donc prévue le 13 avril, a appris BFMTV auprès d’une source syndicale.

Une date importante puisque la décision du Conseil constitutionnel sur le texte est attendue le lendemain, le 14 avril.

Les prises de parole des représentants des différentes organisations syndicales laissaient peu de place au doute concernant la poursuite de la mobilisation.

« On ne peut pas tourner la page tant que la réforme n’est pas retirée », indiquait par exemple Sophie Binet, nouvelle secrétaire générale de la CGT, avant le lancement du cortège parisien jeudi en début d’après-midi.

Pour les syndicats, l’enjeu sera de convaincre les Français de continuer à battre le pavé. La mobilisation était en baisse ce jeudi dans différentes villes à l’image de Bordeaux, de Nice ou encore de Paris, cependant, la détermination semble intacte et l’opinion est toujours aussi fortement opposée à la réforme de Macron.

RETRAITES: NOUVELLE JOURNÉE DE MOBILISATION LE JEUDI 23 MARS

RETRAITES: NOUVELLE JOURNÉE DE MOBILISATION LE JEUDI 23 MARS

Suite au recours par le gouvernement de l’article 49.3 pour faire passer sa réforme des retraites sans vote, l’intersyndicale a appelé à la tenue le jeudi 23 mars d’une nouvelle journée de grève et de manifestations en France.

En attendant, l’intersyndicale invite les Français à « mener des actions calmes et déterminées ». Elle « appelle à des rassemblements syndicaux de proximité ce week-end ».

Elle réitère une nouvelle fois sa demande de retrait total de la réforme.

Dénonçant un passage « en force », l’intersyndicale « mesure avec gravité la responsabilité que porte l’exécutif dans la crise sociale et politique qui découle de cette décision, véritable déni de démocratie », écrit-elle dans un communiqué.

La dernière journée de mobilisation, mercredi, a réuni plus d’1,5 million de personnes dans toute la France selon l’intersyndicale, 480.000 selon le ministère de l’Intérieur.

« Aujourd’hui, c’est ce mouvement social exemplaire qui démontre que le président de la République et son gouvernement sont en échec devant l’Assemblée nationale », disent les huit principaux syndicats français dans leur communiqué.

Dans un communiqué distinct, le syndicat étudiant L’Alternative a appelé les étudiants à tenir des assemblées générales dès vendredi « pour bloquer leurs lieux d’études » et « à se rapprocher des secteurs en grève, à repérer et bloquer les axes routiers, les gares, les ports et aéroports à proximité pour soutenir les travailleurs ».

DOSSIER : RÉFORME DES RETRAITES

Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 février

Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 février


Après le 19 janvier, le 31 janvier, le 7 février et le 11 février, les syndicats opposés à la réforme des retraites appellent les Français à redescendre dans la rue une cinquième fois dans quelques jours seulement, le jeudi 16 février. «L’intersyndicale réunie ce jour a décidé d’une journée nationale d’action interprofessionnelle le 16 février», a déclaré à l’AFP Dominique Corona, secrétaire général adjoint de l’Unsa, au nom de l’intersyndicale.

La nouvelle date du 16 février permettra de maintenir la pression sur l’exécutif. Impossible en effet de passer trois semaines sans agir, le calendrier des débats au Parlement sur la réforme étant extrêmement serré, argumentent les syndicalistes. Les débats à l’Assemblée nationale doivent ainsi, en théorie, se terminer le 17 février, soit le lendemain de la nouvelle journée d’action. Au-delà, les centrales ont les yeux rivés sur la fin des congés, début mars, pour frapper un grand coup. Les parlementaires sont d’ailleurs au centre de l’attention de l’intersyndicale, qui «invite à interpeller les députés et sénateurs» pour empêcher le texte de passer.

Reste à voir la manière dont le mouvement social va évoluer, et notamment s’il continuera au-delà d’un éventuel vote de la réforme au Parlement. Mardi, peu avant le départ de la manifestation parisienne, le patron de la CGT, Philippe Martinez, appelait à des «grèves plus dures, plus nombreuses, plus massives, et reconductibles». Si le gouvernement continue de faire la sourde oreille, le mouvement social «passera à la vitesse supérieure», mettait-il en garde. «Nous voulons continuer à mobiliser», assurait quant à lui son homologue de la CFDT, Laurent Berger. Et d’ajouter que «rien n’est exclu» pour les suites à donner à la mobilisation.

Journée d’action 19 JANVIER: 70 % de grévistes dans les écoles

Journée d’action 19 JANVIER: 70 % de grévistes dans les écoles

Beaucoup d’écoles seront fermées le 19 janvier avec une prévision de 70 % de grévistes. Le Snuipp-FSU, premier syndicat du primaire, a prévu en effet mardi que 70% des enseignants du premier degré seraient grévistes jeudi, dans le cadre de la mobilisation nationale intersyndicale contre la réforme des retraites.

 

« Ce chiffre de 70% de grévistes n’est pas une surprise car on sent que la question de la retraite est une préoccupation majeure pour les enseignants », explique Guislaine David, secrétaire générale du Snuipp-FSU.

Selon la syndicaliste, « c’est à peu près les mêmes chiffres que le 5 décembre 2019″. Lors de la dernière mobilisation d’ampleur contre la réforme des retraites il y a plus de trois ans, le monde de l’éducation s’était fortement mobilisé, avec un taux de grévistes atteignant 70% dans le primaire selon le Snuipp-FSU, contre 55% selon le ministère.

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Journée d’action CGT du 10 novembre : encore une très faible mobilisation

Globalement, la participation à la journée d’action décidée unilatéralement par la CGT le 10 novembre a été encore assez anecdotique. Plusieurs raisons à cela, d’une part une action décidée sans concertation avec les autres organisations syndicales, d’autre part la multiplication de journées qui usent la mobilisation.

Une stratégie qui ne sert pas la cause des salariés quand les organisations syndicales affichent une telle faiblesse. À noter que la participation a surtout concerné des fonctionnaires et assimilés ( secteurs nationalisés).

Selon la CGT, la mobilisation a rassemblé, jeudi, quelque 10.000 personnes dans la capitale, et «plus de 100.000» dans l’Hexagone. Des chiffres bien plus élevés que ceux des autorités : à Paris, les forces de l’ordre ont dénombré 2400 manifestants, contre 300 à Bordeaux, 650 à Lille, un millier à Lyon et 30.400 dans tout le pays. Des chiffres, là aussi, faibles, alors que les autorités s’attendaient à un léger regain du nombre de participants, entre 40.000 et 50.000 manifestants au niveau national, et «moins de 5000 à Paris», selon l’AFP. Le bilan est tout de même en légère hausse par rapport à la mobilisation du 27 octobre, lors des vacances scolaires : ce jour-là, selon la police, les défilés avaient rassemblé 14.000 manifestants en province et 1360 à Paris. La CGT, quant à elle, n’avait pas donné de chiffre.

Cet activisme de nature un peu gauchiste de la CGT s’inscrit dans la perspective du remplacement de Bruno Martinez avec une lutte entre la ligne radicale et la ligne plus modérée

Secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot a récemment fustigé la multiplication des journées de manifestation «saute-mouton», estimant que cette stratégie «non seulement c’est contre-productif, deuxièmement ça fait peu bouger les choses, troisièmement ça use les troupes».Quant aux syndicats réformistes ils considèrent ces actions comme de l’agitation.

Social-Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco

Social-Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco

Après le relatif échec de la journée de mobilisation CGT du 18 octobre, il fallait s’attendre cette fois un énorme fiasco concernant la nouvelle journée décidée seule par la CGT.C’est à peine si les médias mentionnent cette journée qui en faitn’a mobilisé que 15 000 personnes dans toute la France !

Un échec lamentable qui hypothèque par ailleurs les suites alors que paradoxalement les difficultés sociales s’amplifient face à l’inflation. En cause évidemment une stratégie complètement suicidaire de la CGT.

Contrairement à la journée du 18 octobre, FO, Solidaires et la FSU n’étaient pas de la partie. La CGT espère que ces organisations la rejoindront pour une autre journée de mobilisation déjà annoncée pour le 10 novembre.

Après le succès mitigé de la mobilisation du 18 octobre, la CGT organise adonc organisé une nouvelle journée d’action en faveur des salaires en pleines vacances scolaires et en l’absence de participation d’autres syndicats.

La CGT semble s’inscrire dans une espèce de fuite en avant en multipliant des journées d’action qu’elle décide seule comme si l’objectif était surtout interne pour régler la question de l’arbitrage entre les réalistes et les gauchistes en vue du congrès CGT qui doit désigner le remplaçant de Martinez.

La CGT ne semble pas tenir compte du faite que la grève précédente du 18 octobre n’a nullement provoquée d’élargissement de la mobilisation. Au contraire on assiste chez Total et les autres pétroliers à une reprise discrète et même honteuse. Il n’y aura pas d’autres négociations d’autant que l’opinion publique après la révélation des salaires du secteur se montre très dubitative pour ne pas dire plus.

Chez EDF très prudemment un accord avec les organisations syndicales a été signé pour la revalorisation des salaires.

L’échec de la stratégie syndicale de la CGT ne doit cependant pas dissimuler le fait que la question du pouvoir d’achat demeure centrale face à une inflation galopante par ailleurs très sous-estimée notamment dans l’alimentation et pour certains services. Officiellement l’inflation et de 6 % environ et de 10 % pour l’alimentation. La réalité sans doute c’est que cette inflation est plus proche de 10 % pour l’ensemble et de 20 % dans l’alimentation.

Globalement, les augmentations de salaires vont tourner autour de 3 % en 2022, la perte de pouvoir d’achat sera donc de 3 %. Une situation qui va surtout peser de manière dramatique pour les plus défavorisés.

La conjoncture économique complexe du fait notamment de la crise de l’énergie et de l’environnement géo politique commanderait une action concertée de la totalité des syndicats pour entreprendre des négociations avec le patronat en fonction des réalités des branches et des entreprises.

Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco à prévoir

Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco à prévoir

Après le relatif échec de la journée de mobilisation CGT du 18 octobre, il faut s’attendre cette fois un énorme fiasco concernant la nouvelle journée décidée seule par la CGT.

Contrairement à la journée du 18 octobre, FO, Solidaires et la FSU ne seront pas de la partie. La CGT espère que ces organisations la rejoindront pour une autre journée de mobilisation déjà annoncée pour le 10 novembre.

Après le succès mitigé de la mobilisation du 18 octobre, la CGT organise ce jeudi une nouvelle journée d’action en faveur des salaires, qui s’annonce peu mobilisatrice en pleines vacances scolaires et en l’absence de participation d’autres syndicats.

La CGT semble s’inscrire dans une espèce de fuite en avant en multipliant des journées d’action qu’elle décide seule comme si l’objectif était surtout interne pour régler la question de l’arbitrage entre les réalistes et les gauchistes en vue du congrès CGT qui doit désigner le remplaçant de Martinez.

La CGT ne semble pas tenir compte du faite que la grève précédente du 18 octobre n’a nullement provoquée d’élargissement de la mobilisation. Au contraire on assiste chez Total et les autres pétroliers à une reprise discrète et même honteuse. Il n’y aura pas d’autres négociations d’autant que l’opinion publique après la révélation des salaires du secteur se montre très dubitative pour ne pas dire plus.

Chez EDF très prudemment un accord avec les organisations syndicales a été signé pour la revalorisation des salaires.

L’échec de la stratégie syndicale de la CGT ne doit cependant pas dissimuler le fait que la question du pouvoir d’achat demeure centrale face à une inflation galopante par ailleurs très sous-estimée notamment dans l’alimentation et pour certains services. Officiellement l’inflation et de 6 % environ et de 10 % pour l’alimentation. La réalité sans doute c’est que cette inflation est plus proche de 10 % pour l’ensemble et de 20 % dans l’alimentation.

Globalement, les augmentations de salaires vont tourner autour de 3 % en 2022, la perte de pouvoir d’achat sera donc de 3 %. Une situation qui va surtout peser de manière dramatique pour les plus défavorisés.

La conjoncture économique complexe du fait notamment de la crise de l’énergie et de l’environnement géo politique commanderait une action concertée de la totalité des syndicats pour entreprendre des négociations avec le patronat en fonction des réalités des branches et des entreprises.

Vers une journée de grève générale par la CGT ?

Vers une journée de grève générale par la CGT ?

La CGT a décidé de préparer une journée de grève interprofessionnelle la semaine prochaine pour protester contre les réquisitions lancées par le gouvernement dans les dépôts de carburant. Mots d’ordre: salaires, retraites et libertés syndicales. Le jour sera décidé ce jeudi, après une réunion avec les responsables des unions départementales.

Philippe Martinez, leader de la CGT, a condamné la réquisition annoncé par le gouvernement une « décision scandaleuse » et annoncé le dépôt d’un référé, pour s’y opposer.

La réquisition ne vise pas les opérations de la raffinerie et donc la production de carburant. Elle « va permettre d’assurer l’expédition des produits », « normalement aujourd’hui vers la région parisienne » par oléoduc, a précisé une porte-parole d’Esso France.

Les grévistes du dépôt de Flandres de TotalEnergies, près de Dunkerque, seront les prochains à faire l’objet de réquisitions, selon le porte-parole du gouvernement

5 octobre : une journée de mobilisation par les syndicats d’extrême-gauche

5 octobre : une journée de mobilisation par les syndicats d’extrême-gauche

Ce sont surtout les syndicats d’extrême-gauche qui participeront à une journée de mobilisation le 5 octobre à l’initiative de la CGT. On retrouvera en particulier FO, de FSU, de Solidaires (Sud) et des organisations de jeunesse (Unef, UNL, Fidl, MNL) . Par contre les syndicats réformistes n’y participeront pas notamment la CFDT premier syndicat de France, la CFTC et la CGC

Les principales revendications seront assez générales et devraient couvrir notamment l’emploi, la protection sociale et la défense des droits d’une jeunesse particulièrement fragilisée par la crise et les salaires. Une sorte de journée fourre-tout à caractère autant politique que syndical.

La monnaie afghane perd 6 % en une journée

La monnaie afghane perd 6 % en une journée

une chute de 6 % en un jour par rapport au dollar pour la monnaie afghane suite à la victoire des talibans.  Cette chute devrait s’accentuer et de façon mécanique faire augmenter les importations et la plupart des produits de consommation. L’existence même de la monnaie afghane pourrait être en cause. Du coup les talibans pourraient substituer à cette monnaie dévalorisée le dollar ou la monnaie pakistanaise.

Manifs anti passe : cinquième journée de mobilisation

Manifs anti passe : cinquième journée de mobilisation

Le ministère de l’Intérieur, régulièrement accusé par les manifestants de sous-estimer la protestation, a compté 214.845 manifestants dans tout l’Hexagone, dont 13.900 à Paris. Ce serait moins que le week-end précédent qui avait réuni 230 000 personnes. Le sud-est a été, comme à son habitude, particulièrement mobilisé : ils étaient notamment 22.000 à Toulon, 6 000 à Nice ou encore 7 500 à Montpellier.

 

Elon Musk : le manipulateur, a gagné a gagné 25 milliards de dollars en une journée

Elon Musk : le manipulateur, a gagné a gagné 25 milliards de dollars en une journée

 

Les actions de Tesla ont soudain gagné 20 % en une journée grâce à l’annonce de la livraison de 18 000 véhicules électriques en février. À ce rythme on a traitera de l’ordre de 240 000 véhicules dans l’année. Et pour cela l’action Tesla est valorisée 10 ou 20 fois plus que celle des autres constructeurs. Pourtant les autres grands constructeurs mondiaux livrent de l’ordre d’un million de véhicules par mois.

Autant dire que l’action tesla est complètement surestimée et pourrait constituer un jour une bulle financière particulièrement dangereuse. C’est une bulle surtout alimentée par les annonces tapageuses d’ Elon Musk qui se vante de pouvoir rapidement emmener des touristes sur la Lune puis sur Mars ou encore investit d’un coup 1,5 milliards en matière de but quoi une réalisant au passage un substantiel bénéfice.

Certains analystes relevent ainsi la corrélation entre la dynamique du titre Tesla et celle du bitcoin, qui a caracolé mardi en hausse de 4 % autour de 54.000 dollars. Le mois dernier, Elon Musk avait donné un solide coup de pouce à la monnaie virtuelle en investissant 1,5 milliard de dollars dans le bitcoin et en affirmant bientôt accepter l’achat de ses véhicules avec du bitcoin.

Fondé en 2003, Tesla a dégagé un bénéfice net annuel pour la première fois l’année dernière, de 721 millions de dollars, profitant d’un intérêt grandissant pour les véhicules électriques. La marque a livré presque un demi-million de voitures en 2020, ce qui reste bien loin des 9,5 millions de véhicules vendus par le numéro un mondial en volume, Toyota.

La journée commémorative de la colonisation contestée en Australie

La journée commémorative de la colonisation contestée en Australie

 

D’une certaine façon, il y a actuellement deux grands courants qui s’opposent par rapport à la colonisation. D’un côté il y a une espèce de névrose décoloniale  qui attribue tous les maux économiques, sociaux et démocratiques des pays colonisés à leur tuteur passé. D’un autre coté, ceux qui tout en condamnant la colonisation estime que la domination, l’exploitation et la soumission des peuples tiennent  à des raisons internes des pays colonisés depuis leur indépendance.

La «Journée de l’Australie», qui n’a été formellement déclarée comme un jour férié qu’en 1994, est au cœur de polémiques de plus en plus vives depuis quelques années. Présents en Australie depuis au moins 40.000 ans, les aborigènes, dont le nombre était estimé à un million lors de l’arrivée des colons en 1788, ne représentent plus que 3% des 25 millions d’Australiens. Ils sont donc aujourd’hui moins nombreux qu’au début de la colonisation. Les aborigènes restent de loin la population la plus défavorisée du pays avec en particulier des taux de pauvreté et d’incarcération plus élevés. Ils sont en outre en moins bonne santé que la population générale.

La droite continue de défendre bec et ongles le principe de la célébration du 26 janvier et des réussites de la colonisation dans tous les domaines

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