Archive pour le Tag 'jour'

Page 3 sur 6

VARIANT Covid DELTA : 20.000 CAS PAR JOUR À LA FIN DU MOIS

VARIANT Covid DELTA : 20.000 CAS PAR JOUR À LA FIN DU MOIS

Alors qu’en moyenne en tourne autour de 3000 cas par jour concernant les contaminations,  on pourrait atteindre 20 000 cas si la fin du mois d’après Olivier Véran .

 

« Avec la tendance épidémique de ce variant Delta, qui est beaucoup plus contagieux que le Covid-19 auquel nous avions affaire l’été dernier, les 3000 cas pourraient devenir 6000 cas dans une semaine, 12.000 cas dans quinze jours, et monter au-dessus de 20.000 cas, voire plus, début août si nous n’agissons pas », s’alarme le ministre de la Santé.

 

Olivier Véran  justifie ses prévisions sur l’exemple du Royaume-Uni vis-à-vis duquel nous avons environ un mois de retard concernant l’évolution des contaminations.

Société- Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

Société- Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

Consommation de pain : de 1 kg avant 1900 à 100 g par jour !

 

 

Un peu avant 1900 on consommait  pratiquement 1 kg de pain par jour et par habitant. Aujourd’hui c’est de l’ordre de 100 g !  En cause évidemment les conditions générales de vie relative aux conditions de travail et à l’alimentation. Précédemment, le pain constituait l’aliment de base. Aujourd’hui il est devenu presque anecdotique et en plus décliné dans des dizaines et des dizaines de formules qui d’ailleurs n’ont plus grand-chose à voir avec le pain traditionnel.( Accessoirement avec des prix 5 à 10 fois plus chers).  Il est loin  le temps du pain de huit livres, de quatre livres ou même de deux livres qui aujourd’hui fait nettement moins de 500 g!

 

Concernant les prix, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique et des études économiques, en janvier 2020 une baguette – de 250 grammes donc – coûte 0,88 euro, soit un prix au kilo de 3,52 euros. 20 ans plus tôt, ce prix était de 0,63 euro, soit 2,53 euros par kilo.

 

Selon la dernière étude de la FEB, la Fédération des Entreprises de Boulangeries, si 87% des interrogés déclarent avoir toujours du pain chez eux, ils déclarent en consommer en moyenne 105 grammes par jour en semaine contre 114 grammes en 2015, soit un recul de près de 8%.

Si la quantité moyenne baisse, la quête de qualité progresse. En 2021, les trois critères d’achat du pain sont le goût, la fabrication traditionnelle et la fraîcheur. 65% des Français perçoivent une amélioration de la qualité du pain et les labels rassurent. 96% sont satisfaits du pain qu’ils achètent.

Le pain 100% français est plébiscité par la majorité des personnes interrogées. 52% sont sensibles à l’origine du blé et 73% trouvent important un pain fabriqué à base de blé cultivé en France.

Qui dit pain, dit baguette pour les Français, et ce produit demeure en tête des préférences pour 41% des Français dans sa version « tradition ». La baguette classique arrive juste derrière. Les consommatrices préfèrent quant à elles la baguette aux céréales (22% contre 9% des hommes).

En dehors des baguettes, ce sont le pain complet, le pain de campagne et aux céréales qui remportent la faveur des consommateurs.

Amazon et livraison en un jour : Danger pour les petites entreprises

Amazon et livraison en un jour : Danger pour les petites entreprises

Christopher Mims é voqueDans le Wall Street Journal les conséquences néfastes du raccourcissement des délais de livraison exigé notamment par les grands du numérique comme Amazon .( Notons aussi que ces délais conduisent à une fragmentation des envois qui constituent une véritable catastrophe environnementale NDLR)

Les affaires marchaient bien pour Charleston Gourmet Burger, une petite entreprise familiale basée en Caroline du Sud. Fondée par le couple Chevalo et Monique Wilsondebriano en 2012, elle vendait ses sauces et marinades pour hamburgers dans des milliers de magasins à travers les Etats-Unis, sur la chaîne de téléachat QVC et directement aux clients via son site web. Mais juste avant que la pandémie n’entraîne des confinements en mars, le couple a pris la décision fatidique d’arrêter de vendre en magasins et de se concentrer sur le e-commerce.

Cela a failli être une erreur fatale pour la petite entreprise, seule source de revenus de la famille qui emploie les quatre enfants adolescents et adultes du couple, ainsi que la sœur et la mère de Mme Wilsondebriano.

A l’ère d’Amazon, vendre en ligne est une chose, mais livrer les produits aux clients assez rapidement pour les satisfaire en est une autre. Et les choses deviennent particulièrement difficiles si, comme les Wilsondebriano, le commerçant ne vend pas ses produits par l’intermédiaire d’Amazon, mais se sent quand même obligé de s’aligner sur les promesses de livraison gratuite et rapide du géant du e-commerce.

Le chiffre d’affaires de Charleston Gourmet Burger a alors chuté, passant de plus de 20 000 dollars par mois à seulement 3 000 dollars, selon Mme Wilsondebriano. La famille n’a eu d’autre choix que d’emballer et d’expédier elle-même les commandes, car elle n’avait plus les moyens de payer l’expéditeur tiers qu’elle utilisait jusqu’alors.

Les petites et moyennes entreprises américaines de commerce en ligne se divisent entre gagnants et perdants en fonction de leur capacité à s’adapter aux bouleversements logistiques largement dictés par Amazon et d’autres grands distributeurs

Pourtant, de nombreux acheteurs potentiels se sont plaints des frais de port — environ 8 dollars pour une commande de 40 dollars — et du fait que les sauces et les marinades mettaient trop de temps à arriver, poursuit Mme Wilsondebriano.

« C’est un combat quotidien que d’essayer de suivre le rythme d’Amazon, et ce n’est pas une partie de plaisir », constate-t-elle.

Charleston Gourmet Burger, qui a quitté Amazon il y a deux ans parce que les commissions étaient trop élevées, envisage aujourd’hui d’y retourner.

Les petites et moyennes entreprises américaines de commerce en ligne se divisent entre gagnants et perdants en fonction de leur capacité à s’adapter aux bouleversements logistiques largement dictés par Amazon et d’autres grands distributeurs. Les embauches massives et la construction ininterrompue d’entrepôts par le géant du e-commerce facilitent une livraison toujours plus rapide, qui plus est gratuite avec l’offre Prime.

En conséquence, même les commerçants qui ne vendent pas sur Amazon s’efforcent d’expédier leurs produits aussi vite que possible, soit en supportant un coût supplémentaire, soit en augmentant les prix — au risque de subir une baisse de leurs chiffres d’affaires —, tout en faisant face à des goulets d’étranglement dans la chaîne logistique.

Pour les Wilsondebriano, cela se traduit par un rituel quotidien impliquant toute la famille.

Toutes les deux semaines, des palettes de marchandises — de 1 500 à 3 000 bouteilles — quittent l’usine pour être déposées dans un atelier attenant à leur garage, qui sert d’entrepôt de fortune. En plus de gérer les campagnes publicitaires en ligne qu’ils utilisent pour stimuler leurs ventes, Mme Wilsondebriano et son mari doivent traiter chaque commande reçue sur leur site web.

A leurs moments perdus, entre les cours à distance dispensés sur Zoom, leurs filles de 15 et 16 ans aident à l’emballage et écrivent des messages personnalisés pour remercier les clients. Leur fils de 25 ans, leur fille aînée et la mère de Mme Wilsondebriano donnent aussi un coup de main quand ils sont disponibles.

Une fois les étiquettes apposées sur les colis, le couple les charge dans un SUV et les amène au bureau de poste local.

« C’est comme une chaîne de production », résume Mme Wilsondebriano.

Mais ce n’en est pas une, et encore moins un entrepôt rempli d’humains et de robots, fonctionnant selon un workflow optimisé par des logiciels et destiné à réduire le coût de chaque achat en ligne.

Amazon a été l’une des premières entreprises de e-commerce à faire de sa chaîne logistique un avantage concurrentiel, note Matt Crawford, directeur général des expéditions chez BigCommerce, qui aide les commerçants à créer et à gérer des boutiques en ligne. Lorsque le géant a eu créé sa marketplace — où tout le monde peut vendre des marchandises — et Expedié par Amazon — son service logistique pour l’entreposage et l’expédition des articles que ces entreprises vendent sur la plateforme —, cet avantage s’est étendu à tous les vendeurs prêts à payer pour ces services.

Depuis, Amazon n’a cessé d’accélérer la vitesse à laquelle la plupart des produits vendus sur son site arrivent sur le pas de la porte des acheteurs, en proposant d’abord la livraison sous deux jours, puis le lendemain, et maintenant fréquemment le jour même, grâce à la mise en place du service Prime Now sur son site principal et son application.

« Vous allez assister à une disparition progressive des commerçants qui ne peuvent pas résoudre leur problème de chaîne logistique [pour leurs ventes en ligne] ». Les frais de port des commerçants, via des transporteurs comme UPS, des services postaux américains et FedEx, vont augmenter de 5 à 7 % cette année, en raison de l’explosion de la demande

Selon Steve Denton, directeur général de Ware2Go, une filiale d’UPS qui met en relation des PME de commerce en ligne avec des entrepôts depuis lesquels ils peuvent distribuer leurs marchandises, les vendeurs qui souhaitent bénéficier du très convoité badge Prime d’Amazon — qui garantit une livraison rapide et permet d’augmenter considérablement les ventes — sont confrontés à un choix difficile.

Deux options s’offrent désormais à eux, dit-il. Soit ils paient des commissions de plus en plus élevées à Amazon pour stocker et expédier leurs marchandises à partir des installations de la société, soit ils expédient leurs produits à partir d’entrepôts autres que ceux d’Amazon, mais qui répondent aux exigences strictes du programme Seller Fulfilled Prime de l’entreprise — notamment bénéficier d’une disponibilité au niveau national et d’une expédition rapide. Certains marchands, en particulier ceux qui proposent des articles volumineux ou des produits qui ne se vendent en général pas vite, trouvent cette option plus abordable.

« Vous allez assister à une disparition progressive des commerçants qui ne peuvent pas résoudre leur problème de chaîne logistique [pour leurs ventes en ligne] », assure M. Crawford. Les frais de port des commerçants, via des transporteurs comme UPS, des services postaux américains et FedEx, vont augmenter de 5 à 7 % cette année, en raison de l’explosion de la demande. Et depuis que la Covid a perturbé la logistique dans le monde entier, les commerçants doivent payer plus cher pour stocker davantage de marchandises. Parallèlement, la demande d’expédition plus rapide oblige les distributeurs à déterminer avec précision le nombre d’articles à stocker dans les différents entrepôts d’un réseau qui s’étend sur tout le pays, ajoute-t-il. (Les commissions d’Amazon dissuadent les détaillants de garder longtemps des articles dans ses entrepôts).

La généralisation du modèle de marketplace et la façon dont Amazon façonne les attentes des clients signifient que les exigences croissantes que la société impose aux vendeurs Prime se répercutent sur l’ensemble du secteur du e-commerce

Pour intégrer le programme Seller Fulfilled Prime (SFP), les vendeurs doivent stocker des marchandises dans des entrepôts à partir desquels les clients peuvent être livrés en un ou deux jours, afin de maximiser le nombre de vues sur le site et l’appli d’Amazon.

Le succès d’Amazon avec sa marketplace a engendré de nombreuses copies. Les articles que vous achetez sur les sites de Walmart, Target, Wayfair et de dizaines d’autres grands distributeurs peuvent être vendus et expédiés non par ces entreprises, mais par de plus petites qui versent à ces géants de la distribution une partie de revenus tirés de ces ventes et paient éventuellement d’autres frais en échange de leur référencement.

La généralisation du modèle de marketplace et la façon dont Amazon façonne les attentes des clients signifient que les exigences croissantes que la société impose aux vendeurs Prime se répercutent sur l’ensemble du secteur du e-commerce, explique M. Denton. Les autres marketplaces modifient en effet continuellement leurs propres exigences en matière de livraison pour les vendeurs en s’inspirant largement des standards en vigueur chez Amazon.

Le géant de Seattle dit avoir « apporté des changements à Seller Fulfilled Prime, afin que les clients bénéficient d’une expérience de livraison Prime cohérente, quelle que soit la méthode de traitement de commandes. Amazon prospère quand les vendeurs ont du succès, et ces changements permettent de s’assurer que les vendeurs SFP continuent à satisfaire les clients Prime en leur offrant l’expérience d’achat qu’ils attendent. »

Pour les commerçants en ligne de petite ou moyenne taille, répondre aux dernières exigences de Prime nécessite de prendre des mesures qui, jusqu’à récemment, étaient considérées comme exceptionnelles. Cela signifie qu’il faut faire fonctionner les entrepôts au moins six jours par semaine, et parfois recourir à des envois coûteux à J+1 ou la nuit.

Certains vendeurs prospèrent toutefois dans ce nouveau monde. Au début des années 2000, Lee Siegel a fondé ECR4Kids, un fabricant de meubles et d’équipements de jeux pour enfants en kit. L’entreprise commercialisait alors ses produits auprès d’acheteurs traditionnels — revendeurs et districts scolaires ainsi qu’aux grandes surfaces et même à Amazon — mais uniquement en tant que grossiste et marchand. Fin 2018, pour augmenter ses ventes, M. Siegel a référencé certains de ses produits directement sur la marketplace d’Amazon.

Lorsque la pandémie a frappé, M. Siegel pensait que son chiffre d’affaires allait s’effondrer, mais il a, au contraire, explosé, car les parents d’élèves suivant leurs cours à distance se sont précipités pour acheter des articles comme des bureaux, des chaises et des casiers pour enfant.

A peu près au même moment où il a commencé à vendre sur la marketplace d’Amazon, ECR4Kids a cessé de gérer de ses propres entrepôts pour confier la logistique de ses commandes à des tiers, dont Ware2Go.

Auparavant, déclare M. Siegel, les services de traitement de commandes pouvaient être fournis par n’importe qui disposant « d’un chariot élévateur, d’un quai de chargement et d’un grand entrepôt vide avec des étagères. Mais pour survivre face à Walmart, Costco, Amazon et Wayfair, il faut une approche complètement différente de la satisfaction client et de la rapidité d’expédition. »

Certains se tournent vers des entreprises telles que Productiv, qui exploite six entrepôts de distribution. Alors qu’Amazon a sa propre armée de robots de mise en rayon et de tri des colis, des entreprises comme Productiv testent des systèmes avec des robots d’appui qui suivent les employés de l’entrepôt lorsqu’ils se déplacent dans les rangées d’étagères, puis acheminent vers des convoyeurs tous les articles prélevés sur ces rayonnages.

Comme dans de nombreux autres secteurs, cette automatisation répond en partie à la hausse des salaires et à la rareté de la main-d’œuvre. La demande en matière d’entreposage et de traitement des commandes bat des records chaque mois, ce qui entraîne à la fois une concurrence accrue entre ces services et une plus grande variété d’offres en la matière.

Chez Charleston Gourmet Burger, les choses se sont beaucoup améliorées. Les températures ont grimpé et des millions d’Américains vaccinés se réunissent à nouveau avec leurs amis et leur famille — et sortent leur barbecue. Le chiffre d’affaires mensuel a rebondi à près de 14 000 dollars en mai, et Mme Wilsondebriano prévoit un mois de juin encore meilleur.

En outre, la famille va commencer à essayer de passer par Amazon à la fois pour vendre ses produits et traiter ses commandes. Le géant du e-commerce est, en effet, en train de lancer un programme pilote visant à fournir une assistance supplémentaire aux entrepreneurs noirs comme les Wilsondebriano. Celle-ci comprend notamment la gratuité de publicités, du stockage et du traitement des retours et des services de conseils ainsi que la suppression de certaines commissions. Au cours des deux prochaines semaines, environ 90 % des commandes passées sur le site web de la famille seront traitées par Amazon, et leurs produits apparaîtront sur sa marketplace.

« Etre exonéré d’autant de frais semble être une solution gagnante pour tout le monde, reconnaît Mme Wilsondebriano. Mais je ne sais pas ce que ça va donner concrètement. »

Covid- Brésil: encore 2500 morts par jour

Covid- Brésil: encore 2500 morts par jour

Avec l’Inde, le Brésil est l’un des pays les plus touchés par le virus en raison de l’indigence système sanitaire tout autant que de l’irresponsabilité du pouvoir.  Le Brésil, deuxième pays le plus endeuillé au monde en chiffres absolus par le coronavirus, avec un peu plus de 383.500 morts, avait enregistré en moyenne 2.580 décès quotidiens jeudi soir sur les sept derniers jours, et ce chiffre est resté sous les 3.000 depuis le 15 avril. Le pays compte déjà le pire taux de mortalité des Amériques et de l’hémisphère Sud, avec 182 morts de Covid-19 pour 100.000 habitants, devant les États-Unis (172).

Covid- objectif, c’est 400.000 injections par jour ? (Alain Fischer)

Covid- objectif, c’est 400.000 injections par jour ?  (Alain Fischer)

.


C’est ce que promet Alain Fischer, responsable national de la vaccination dans le Figaro.

Emmanuel Macron a parlé d’accélérer la campagne de vaccination. Comment pouvons-nous faire?

Alain FISCHER. - Nous venons d’injecter près de 7 millions de doses en un mois. Nous restons bien entendu tributaires des livraisons, qui ont pu connaître quelques retards en mars. Globalement, l’offre vaccinale monte en puissance. Nous disposons de trois vaccins (Pfizer, Moderna, AstraZeneca) dont nous attendons 12,2 millions de doses supplémentaires en avril et 17,7 millions en mai. À la fin du mois d’avril, nous pourrions en plus avoir celui de Janssen et, en juin, ceux de Curevac et de Novavax(voir infographie). Délivrer toutes ces doses au plus vite demande néanmoins une certaine organisation, c’est pourquoi nous avons ouvert de nouveaux mégacentres. Nous avons pour objectif une cadence de 400.000 injections par jour en avril.

Covid-Un jour par semaine au bureau maintenu

Covid-Un jour par semaine au bureau maintenu

Le jour de travail une fois par semaine au bureau sera maintenu L’objectif est donc de continuer à permettre aux salariés de bénéficier de cette «soupape de décompression» que représente une journée par semaine passée sur le lieu de travail.

Selon le «Baromètre de la santé psychologique des salariés Français en période de crise» réalisé par OpinionWay pour le cabinet Empreinte Humaine, 49% télétravailleurs se décrivent comme en état de «détresse psychologique» après une année marquée par les mesures sanitaires. Ce taux grimpe à 75% pour les télétravailleurs qui vivent dans moins de 40 mètres carrés. 40% des salariés qui travaillent depuis leur domicile avouent même «saturer du télétravail».

Malgré ces chiffres alarmants sur la santé psychologique des Français en télétravail, le ministère du Travail doit également composer avec les études concernant les lieux de contaminations au coronavirus. Ceux-ci ne plaident pas en faveur d’un retour au bureau. En décembre dernier, l’Institut Pasteur estimait, dans son étude ComCor sur ces lieux de contamination, que le lieu de travail était le deuxième espace d’infection en dehors du foyer. 29% des contaminations interviendraient ainsi au travail.

États-Unis : 20 millions de doses par jour pour 60 000 en France !

États-Unis : 20 millions de doses par jour pour 60 000 en France !

 

Il se confirme tous les jours que la campagne de vaccination en Europe et particulièrement France est catastrophique. Quand on compare la situation avec les États-Unis, il n’y a pas photo. En effet, le président Biden avait décidé 100 millions de vaccinations en 100 jours, un objectif déjà réalisé. Le président américain entend doubler ce chiffre pour passer à 200 millions pendant les trois premiers mois de son mandat. Un chiffre évidemment à comparer avec les 10 millions de vaccinés en France mais en trois mois. Soit autour de 60 à 70 000 vaccinations par jour. L’incurie est imputable à l’Europe qui n’a pas su négocier les vaccins mais aussi à l’immobilisme de l’administration de la santé puisque 30 % de ses vaccins sont immobilisés faute de logistique adaptée.

Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

  • Coronavirus : on se dirige tout droit vers 50 000 contaminations par jour et au moins 500 morts

 

  • inutile de tourner autour du pot, la France -comme d’ailleurs d’autres pays- connaitune troisième vague au développement exponentiel du fait des variants. On se rappelle que le président de la république avait fixé à 5000 la limite supérieure des contaminations pour envisager une libération des contraintes. En fait aujourd’hui,  on est proche des 35 000 et on se dirige tout droit vers les 50 000.
  •  Les mêmes tendances à la hausse se manifestent concernant le dramatique problème des réanimations un hôpital et vis-à-vis des décès. Courant avril on atteindra sans doute les 500 morts par jour et la France dépassera au total très largement les 100 000 morts depuis le début de l’épidémie.
  • En clair se reposera en avril la question d’un vrai confinement et non cette espèce de plan bidon ni déconfinement, ni reconfinement qui ne ressemble à rien et n’est pas de nature à stopper la diffusion de la pandémie.
  •  
  • 5.792 nouveaux cas de Covid-19 ont été décelés en 24 heures, selon les chiffres publiés ce lundi, contre 30.581 la veille et 6471 lundi dernier. Le nombre de cas comptabilisés en France s’élève désormais à 4.298.395. Le taux de positivité des tests s’élève, lui, à 8%.

Les patients actuellement en réanimation sont au nombre de 4548 contre 4406 la veille. Le chiffre le plus élevé depuis fin novembre. Quant aux nouvelles admissions dans ces services, elles sont de 471. Au total, les hôpitaux français comptaient lundi 26.488 malades du Covid-19, dont 1902 arrivés sur les dernières 24 heures. 344 personnes sont mortes à l’hôpital en 24 heures portant le bilan à 92.648 morts depuis le début de la pandémie.

Lycées: l’école un jour sur deux !

Lycées: l’école un jour sur deux !

 

 

Sans doute pris dans le piège de ses contradictions, le premier ministre a précisé que la demi jauge  (c’est-à-dire la moitié de l’effectif,) serait confinée mais de manière globale. En clair, les classes ne seront pas divisées en deux mais elles auront lieu en moyenne un jour sur deux. On mesure évidemment les conséquences de cette scolarisation à mi-temps.

 

 Pour le bac de toute façon, cela ne changera pas grand-chose puisque nous allons sans doute encore dépasser le taux de réussite exceptionnel de 2020. En 2020, on a atteint un taux de réussite de 95 %, 99 % par exemple dans le département de l’Indre-et-Loire. En 2021, on fera sans doute mieux. On peut même faire l’hypothèse d’un taux de réussite de 100 % voire même de 110 % en incluant y compris ceux qui ne se présentent pas. De toute manière,  le bac est mort et c’est tout le système d’orientation qui sera à remettre à plat avec les scores ridicules au bac complètement en contradiction avec l’abaissement général du niveau des élèves français.

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Variants : environ 5000 cas par jour au moins…. au moins

Il pourrait y avoir environ 5000 contaminations par jour du fait des variants. En effet le poids des variants augmente d’environ 50 % par semaine. Autour du 10 février, ils représentent, au total, entre 24 % et 30 % des nouvelles infections, dont 20 % à 25 % pour le seul variant anglais (B.1.1.7), selon Olivier Véran. « Ces données sont cohérentes avec nos chiffres », précise-t-on chez Eurofins, qui crible la moitié des tests positifs chaque semaine.

 

Chez Cerba, en revanche, le 10 février, sur 2 830 échantillons positifs en France, le poids du variant anglais a flambé à 37 %, contre 20 % en moyenne les jours précédents, et la mutation 501Y (caractéristique notamment des variants sud-africain et brésilien) était à près de 4 %. La semaine passée, les trois variants totalisaient 21,3 %, selon le patron de la Cnam. Et ils étaient à 3,3 % les 7 et 8 janvier, d’après la première « enquête flash » commandée par SpF et la nouvelle agence en charge des maladies infectieuses émergentes (ANRS).

 

Coronavirus : alerte confirmée pour le troisième jour avec 26.784 nouveaux cas en 24 heures

  • Coronavirus : alerte confirmée pour le troisième jour avec 26.784 nouveaux cas en 24 heures

L’alerte se confirme avec depuis plusieurs jours un nombre de contaminés supérieurs à 25 000 entre parenthèses on est loin de l’objectif de 5000). Pire , on craint désormais une accélération supplémentaire des contaminations qui pourraient aboutir après de 60 000 personnes concernées par jour d’ici début février. Des chiffres qui condamneraient à un reconfinement quasi total.

 

26.784 nouvelles contaminations ont été détectées en France en 24 heures, selon les chiffres publiés ce mercredi, contre 23.608 la veille. Il s’agit du bilan quotidien le plus élevé depuis le 18 novembre qui avait enregistré 28.383 contaminations. Au total, 2.965.117 cas de Covid-19 ont été recensés en France depuis le début de la pandémie en France. 316 personnes sont mortes depuis la veille à l’hôpital, portant le total à 71.652 morts du coronavirus.

  • La tendance à la hausse des hospitalisations de malades du Covid-19 s’est poursuivie mercredi. Les hôpitaux ont accueilli 1907 nouveaux patients atteints du Covid-19, soit 81 de moins que la veille. Au total, 25.650 personnes sont hospitalisées, chiffre le plus élevé depuis le 8 décembre. 292 patients ont été accueillis dans les services de réanimation en 24 heures (-21). Le nombre de personnes admises en réanimation est toutefois en augmentation, de 2839 la veille à 2852 ce mercredi, un nombre jamais atteint depuis le 15 décembre. Le taux de positivité reste stable à 6,7% comme mardi, en augmentation par rapport à lundi (6,6%).

Coronavirus États-Unis : record avec 3239 décès par jour

Coronavirus États-Unis : record avec 3239 décès par jour

En moyenne, le COVID-19 a tué 3239 personnes par jour aux États-Unis la semaine dernière, plus que le nombre de personnes tuées par les attaques du 11 septembre 2001.

Cumulativement, près de 375000 personnes dans le pays sont décédées du nouveau coronavirus, soit un habitant sur 873. Le total pourrait atteindre plus de 567 000 d’ici le 1er avril, selon une prévision bit.ly/35yAtXs de l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME).

Les États-Unis ont signalé plus de 1,7 million de nouveaux cas de COVID-19 la semaine dernière, en hausse de 17% par rapport aux sept jours précédents. L’ancien chef de la Food and Drug Administration américaine, Scott Gottleib, a déclaré que les nouveaux cas pourraient commencer à diminuer en février.

«À la fin de ce mois, nous aurons probablement infecté environ 30% du public américain et peut-être vacciné 10% supplémentaires, malgré le déploiement très difficile du vaccin», a déclaré Gottleib à CNBC vendredi. «Vous commencez à atteindre des niveaux d’exposition antérieure dans la population où le virus ne se propage pas aussi facilement.»

Aux États-Unis, 13,4% des tests sont revenus positifs pour le virus, contre 13,6% la semaine précédente, selon les données du COVID Tracking Project géré par des bénévoles. Les taux les plus élevés étaient dans l’Iowa à 59%, l’Idaho à 54% et l’Alabama à 45%.

Coronavirus France : 2000 à 3000 vaccinés lundi quand il en faudrait 150 000 par jour

Coronavirus France : 2000 à 3000 vaccinés lundi quand il en faudrait 150 000 par jour

 

Lundi, le ministre de la santé a promis que quelques milliers de personnes seraient vaccinées alors qu’il en faudrait au moins 150 000 par jour pour respecter les objectifs du gouvernement visant à installer une certaine immunité collective.

Personne n’est certain de ces milliers de vaccinations annoncées par le ministre de la santé “D’ici demain soir et mercredi, nous multiplions par quatre le nombre de centres, ce qui fait qu’une centaine d’hôpitaux offriront la vaccination à leurs soignants ainsi qu’aux soignants de ville. D’ores et déjà, je peux vous dire qu’aujourd’hui, nous aurons réalisé plusieurs milliers de vaccination dans tous le pays”, a poursuivi le ministre, ajoutant que l’opération monterait en puissance à partir de mercredi.

Face aux critiques, le gouvernement a décidé d’accélérer la campagne en la rendant possible dès ce week-end pour les professionnels de santé de plus de 50 ans.

Emmanuel Macron, qui, selon le Journal du Dimanche, a fait part de son agacement ce week-end en raison de ce retard, a convoqué une réunion sur le sujet dans l’après-midi, selon l’Elysée. Mais ce n’est pas la première fois que macro laisse volontairement fuitée ces fausses colères contre le gouvernement. Le chef de l’État l’habitude de critiquer la haute administration dont il est pourtant le patron.

ÉTATS-UNIS: UN MILLION DE VACCINATIONS PAR JOUR (Dr Fauci)

ÉTATS-UNIS: UN MILLION DE VACCINATIONS PAR JOUR (Dr Fauci)

Evidemment la France n’est pas prête de rivaliser avec les États-Unis. En ce moment le rythme journalier actuel est de 100 vaccinations par jour en France. Or d’après le docteur faut aussi, conseiller scientifique du gouvernement américain, on  pourrait atteindre un million d’injections par jour,. Il faut dire que la situation est urgente puisque on compte jusqu’alors 350 000 morts.

« 

Le gouvernement de Donald Trump avait promis 20 millions de personnes vaccinées avant la fin de l’année 2020. Actuellement, un peu plus de 4,2 millions de personnes ont reçu la première dose d’un des deux vaccins autorisés dans le pays (Pfizer et Moderna), selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

« C’est bien plus qu’au début », a abondé Anthony Fauci. « Nous pouvons atteindre un million par jour », a-t-il ajouté, confiant. « Nous avons mené des programmes de vaccinations massifs dans notre histoire. Il n’y a pas de raison que nous ne puissions pas le faire aujourd’hui. (…) Nous pouvons le faire. »

123456



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol