Archive pour le Tag 'jeux'

Page 2 sur 3

Jeux olympiques Paris 2024: Des risques économiques et sportifs

Jeux olympiques Paris 2024: Des risques économiques et sportifs

 

Un papier du Monde (extrait) explique les risques que prend la France a organisé des JO en 2024.

La réussite des Jeux de Paris suppose que soient menés à bien en temps et en heure les chantiers prévus pour les accueillir dignement, et que les athlètes français y brillent. Or des regrets ou des inquiétudes se font jour sur ces deux plans.

Après Tokyo, le drapeau olympique flotte depuis lundi sur le parvis de l’Hôtel de ville de Paris, officialisant le choix de la capitale française pour les prochains Jeux olympiques (JO) d’été, qui s’ouvriront dans trois ans à peine, le 26 juillet 2024. Pour Paris, qui n’a pas accueilli les Jeux depuis 1924, mais aussi pour la France qui ne les a organisés que cinq fois depuis leur renaissance en 1894, ce compte à rebours désormais lancé représente une série considérable de défis.

Coup de projecteur planétaire sur un pays prestigieux menacé de déclin et sur sa capitale qui fait toujours rêver partout dans le monde, adhésion populaire à une grande machinerie sportive à l’heure du localisme et de la sobriété, promotion de la Seine-Saint-Denis, département le plus jeune et le plus cosmopolite de France… Les JO de Paris constituent une exceptionnelle occasion, non seulement de mettre en valeur le pays et sa diversité, mais aussi de faire rêver et de rassembler des Français que l’anxiété sanitaire porte à la division et au repli.

Plus prosaïquement, la réussite des Jeux de Paris suppose que soient menés à bien en temps et en heure les chantiers prévus pour les accueillir dignement, et que les athlètes français y brillent, confirmant le rôle mobilisateur d’une pareille échéance pour le sport national. Or des regrets ou des inquiétudes se font jour sur ces deux plans.

Un échec cuisant

Si les principales constructions neuves, comme l’Arena de la porte de La Chapelle, à Paris, ainsi que le village des athlètes et le centre aquatique à Saint-Denis, sortent de terre dans les temps, le retard pris par le chantier des nouvelles lignes de métro qui doivent desservir Le Bourget a obligé les organisateurs à revoir l’implantation de certaines compétitions et d’un centre de presse. Alors que l’agglomération parisienne piaffe depuis plus d’une décennie pour organiser les Jeux et que la desserte de la banlieue nord par le Grand Paris Express est cruciale pour les habitants, c’est un échec cuisant.

 

Quant à la moisson de médailles espérée pour la France, elle apparaît tout sauf certaine. Certes, les performances des sportifs français à Tokyo en basket, handball et volley représentent un exploit inédit. Que les Français brillent dans ce triptyque « BHV », ces sports largement pratiqués dans le cadre scolaire et dans les clubs, est un hommage aux professeurs d’éducation physique et sportive et aux bénévoles. C’est aussi une bouffée d’air pour des milliers d’associations sportives qui ont souffert de la crise sanitaire.

Pourtant, le triomphe des « sports co » français est l’arbre qui cache la forêt. Les échecs en athlétisme, natation, boxe et cyclisme n’ont pas permis d’atteindre la « quarantaine de médailles » espérée par Emmanuel Macron à l’ouverture de Jeux de Tokyo. Avec 33 récompenses, la France se classe huitième au tableau des médailles, loin derrière la Royaume-Uni – 65 médailles –, qui s’affirme depuis les Jeux de Pékin en 2008 comme la principale puissance olympique européenne.

 

 

Jeux olympiques: comme en économie, la France à la traîne

Jeux olympiques: comme en économie, la France à la traîne

 

La France a obtenu des résultats spectaculaires dans quelques disciplines comme le handball, le basket-ball, le volley-ball ou encore le judo. Des victoires remarquables mais qui cachent  un peu la forêt du grand vide sportif du pays. En effet, la France n’a obtenu à Tokyo que 33 médailles soit un score aussi mauvais que celui réalisé à Athènes en 2004. La question qui se pose est de savoir si la France sera prête pour les jeux qu’elle organise sur son sol en 2024. Rien n’est sûr car le déclin est général dans le pays.

 Les résultats sportifs sont d’une certaine manière le reflet de la vie socio-économique caractérisée par un manque de compétitivité, d’innovation et aussi du courage. Résultat des déficits abyssaux, un chômage record comme le prélèvement obligatoire. L’autre caractéristique de la France, c’est l’écroulement de son système de formation scolaire  qui nous renvoie dans les dernières places du classement international dans toutes les disciplines.

Pour 2024, les délais sont sans doute trop courts pour renverser les tendances sur le plan sportif. Il faudrait pour cela un immense plan de mobilisation pour systématiser la détection des sportifs actuellement en milieu scolaire. Or souvent la discipline sportive en milieu scolaire est réduite à pas grand-chose. Quant aux clubs sportifs dans la discipline majeure qu’est l’athlétisme, beaucoup sont à l’agonie faute de moyens. Quant aux fédérations qui sont supposées animer leur sport dans le pays, elles ont trop  tendance  à vivre surtout pour elles-mêmes.

Jeux olympiques et grandes finales sportives reportées …ou annuleés !

Jeux olympiques et grandes finales sportives reportées …ou annuleés !

 

Sous la pression de nombre de comités olympiques nationaux et des athlètes eux-mêmes, le Japon s’est enfin résolu à reporter les JO qui devaient débuter  à partir de juillet. La date est théoriquement reportée d’un an. Il en sera de même pour les grandes autres finales sportives, elles aussi reportées mais qui pourraient bien être elles-aussi purement annulées et en raison du chevauchement des calendriers annuels. Thomas Bach, président du CIO, s’est entretenu avec le Premier Ministre nippon, Shinzo Abe, plus tôt dans la journée. Pour le moment aucune date quant à la tenue du plus important événement sportif mondial n’a été évoquée. Le communiqué précise cependant que les JO auront lieu “au plus tard à l’été 2021”. C’est la première fois depuis la seconde guerre mondiale que les olympiades sont reportées. Concernant le football, l’UEFA a aussi décidé de reporter les grandes finales mais là rien et sur car tout dépendra de la durée de l’épidémie. D’autres événements sont eux aussi reportés ou annulés.

LES JEUX OLYMPIQUES DE TOKYO ANNULÉS ?

LES JEUX OLYMPIQUES DE TOKYO ANNULÉS ?

La pandémie relative aux Coron virus au plan mondial se confirme de jour en jour. Désormais tous les continents sont atteints. Il y a encore quelques jours par exemple en France le ministre de la santé affirmait  qu’il n’existait plus aucune personne infectée. En quelques jours l’épidémie a fait apparaître la contagion 130 personnes. Bref, la France comme l’Iran comme la Corée du Sud constitue aussi un foyer d’infection important. Selon l’OMS, l’Italie a atteint un seuil “décisif”, tout comme l’Iran et la Corée du Sud, qui se classe juste derrière la Chine avec 2.337 cas, dont 571 ont été signalés vendredi, et 13 morts.

En Chine continentale, où la situation semble en revanche s’améliorer, 327 nouvelles infections ont été signalées vendredi. Il s’agit du bilan quotidien le plus faible depuis le 23 janvier. Au total, un peu plus de 78.800 cas et 2.800 décès y ont été recensés depuis l’apparition de la maladie à Wuhan, dans le centre du pays.

 

L’Iran quant à elle état de 388 cas, dont 34 mortels, ce qui lui vaut le bilan le plus lourd hors de Chine en termes de mortalité, mais l’épidémie pourrait y avoir été sous-estimée, selon le Dr Mike Ryan, directeur exécutif chargé du Programme de gestion des situations d’urgence sanitaire de l’OMS. Tous les établissements scolaires y seront fermés pour trois jours à partir de samedi. Se pose évidemment la question de la régulation voire de la limace l’annulation de certains grands rassemblements y compris des JO de Tokyo qui devrait se dérouler en juillet. Pas sûr cependant que l’épidémie puisse être maîtrisé à temps.

Mike Ryan le Dr Mike Ryan, directeur exécutif chargé du Programme de gestion des situations d’urgence sanitaire de l’OMS  a par ailleurs annoncé que l’éventuelle annulation des Jeux olympiques de Tokyo, qui doivent s’ouvrir en juillet, était en discussion. Les organisateurs doivent par ailleurs se prononcer la semaine prochaine sur le maintien ou non du parcours de la torche olympique, qui doit arriver le 20 mars au Japon pour un relais qui doit s’étaler sur 121 jours.

Vendredi, le nombre de cas confirmés dans l’archipel a passé le seuil des 200, dont quatre ont été mortels, mais 700 ont été dénombrés à bord du Diamond Princess, le bateau de croisière placé en quarantaine à Yokohama. Un passager britannique a succombé vendredi au coronavirus, ce qui porte le bilan à bord à six morts, d’après l’agence Kyodo.

Dans le monde entier nombre de manifestations sportives, économiques ou culturelles risquent donc d’être annulées.

Française des jeux (FDJ) : un avenir comme le PMU ?

 Française des jeux (FDJ) : un avenir comme le PMU ?

Non seulement la privatisation de la Française des jeux est scandaleux mais en plus elle comporte des risques. Il y a encore quelques années, personne n’aurait mis en doute l’avenir du PMU qui absorbé une bonne partie des paris. Or cette véritable  institution a été mise en cause.  Les paris hippiques ont fortement diminué ces dernières années : une baisse de 19 % entre 2012 et 2016 : un léger rebond a toutefois été enregistré depuis.

 Les raisons de cette situation sont en partie connues. L’ouverture du marché des paris en ligne, en 2010, a rebattu les cartes d’un secteur habitué aux monopoles. Les paris sportifs et ceux liés au poker ont bousculé les paris des hippodromes qui furent en forte progression entre 1999 et 2008. Dans les bars PMU, des courses à « l’image démodée » attirent des parieurs vieillissants. Nombre de joueurs ont par ailleurs préféré se tourner vers des paris plus rémunérateurs : pendant que les enjeux hippiques piétinaient, les mises collectées par la Française des jeux, ont progressé de 43,3 % entre 2009 et 2016. Mais la Française des jeux pourrait elle-même être concurrencée par l’offre sur Internet.

De toute manière, la privatisation de la Française des jeux (FDJ) est au moins aussi scandaleuse que celle des autoroutes  car c’est une activité qui rapporte énormément à l’Etat. Et qu’on s’apprête à vendre au privé.  Bercy est prêt à introduire en Bourse la Française des Jeux. Cette privatisation rapporterait au moins 1 milliard d’euros à l’État. La Française des Jeux redistribue entre 50% et 70% des gains aux joueurs en fonction de jeux (le loto et l’euro-millions ne redistribuent que 50% des mises, alors que le loto-foot 70%), les sommes restantes sont les « bénéfices » de l’entreprise. Toutefois l’Etat se sert allègrement sous forme de taxes, impôts, tva et autres « droit de timbre », ce qui lui permet de prendre 75% de ces sommes restantes dans la caisse de la FDJ. Il y a également des actionnaires privés qui touchent un pourcentage sur les jeux, mais aussi un dividende annuel (qui peut s’élever à plusieurs dizaines de millions d’euros). L’an dernier le C.A de la FDJ : 9,5 milliards d’euros. Revenus de l’état: près de 3 milliards d’euros.

Ce pactole va dans le budget général et ne peut être affecté à aucune dépense spécifique (selon la législation). Seuls 250 millions d’euros sont affectés au développement du sport.  L’État vise avant tout une transaction financière de grande ampleur. Il table sur une valorisation de la FDJ supérieure à 3 milliards d’euros dont il souhaite récupérer entre 1 et 1,5 milliard d’euros. Ces montants sont des ordres de grandeur mais ils illustrent bien les ambitions de l’État, qui détient 72% de la FDJ. La fiscalité et le cadre réglementaire devront être fixés à long terme pour rassurer les investisseurs et maximiser la valeur de l’entreprise. Le scénario central étudié par l’administration de Bercy vise donc une véritable privatisation qui verrait l’État descendre sous la barre symbolique de 50% du capital. Selon les valorisations retenues, il pourrait conserver entre 25% et 35% de l’entreprise. À ses côtés, les associations d’anciens combattants (Gueules cassées, Maginot) garderaient leur participation de 20% ou pourraient l’augmenter légèrement.

 

 Toutefois, le gouvernement se heurte à une réglementation européenne contraignante. S’il descend sous le seuil symbolique de 50% du capital, l’État français devra justifier auprès de Bruxelles qu’il garde la main sur la gouvernance de la FDJ. Sinon, le monopole de la loterie saute et devra être ouvert à des concurrents étrangers avec des risques de mainmise d’opérateurs étrangers sur ce lucratif business y compris de la mafia ! Or ce risque ne peut être écarté surtout avec Internet. D’ailleurs on peut s’interroger sur les cris  de victoire du commissariat aux participations de l’État qui déclare un peu précipitamment que l’intérêt des investisseurs institutionnels est considérable. Rien n’est sûr dans ce domaine compte tenu des questions structurelles relatives à l’évolution des paris en général.

 En outre cette privatisation intervient dans un contexte chahuté pour les cotations en Europe face à des investisseurs rendus fébriles par les craintes d’un ralentissement mondial, l’imminence du Brexit et la bataille commerciale entre la Chine et les Etats-Unis. Le fabricant italien de yachts Ferretti est le quatrième groupe à avoir renoncé à ses ambitions en bourse ce mois-ci, faute d’avoir obtenu le prix qu’il souhaitait. Au total, 79 IPO en Europe ont permis de lever 18,7 milliards de dollars (16,8 milliards d’euros) depuis le début de l’année, selon des chiffres de Refinitiv, à comparer à 39,4 milliards pour 146 opérations sur la même période en 2018. la principale interrogation est celle du développement de la concurrence des sociétés de paris internationales comme BetClicUnieBwin et autres, paris sportifs ou non.

Jeux Olympiques : Macron soutient le sponsoring de Total !

Jeux Olympiques : Macron soutient le sponsoring de Total !

 

 

On se demande bien de quoi se mêle Macron en soutenant le sponsoring de Total pour les jeux olympiques. La réponse est simple : il se mêle de tout. Les JO de 2024 sont de la responsabilité de la ville de Paris et la maire Anne Hidalgo-, qui veut des JO écologiquement exemplaires a refusé le soutien financier de Total pour des motifs écologiques. On peut évidemment discuter du lien fait entre la préoccupation environnementale et la perspective des jeux olympiques car le rapport n’est pas évident. Mais on peut s’interroger autant sur le fait que Macron mette  son nez dans cette affaire avec d’ailleurs une argumentation aussi spécieuse que celle d’Anne Hidalgo concernant le supposé lien entre les JO et l’écologie. La préoccupation de Macron est peut-être moins écologique que politique car Total fait partie de ces grandes entreprises qui ont soutenu sa candidature. En outre, Macron en profite pour régler son compte à Anne Hidalgo dans la perspective des municipales. Une Anne Hidalgo, surtout victime de son intégrisme et en grande difficulté. En tout état de cause,  ce n’est pas au président de la république d’intervenir pour savoir quelle marque pourrait figurer sur les maillots des sportifs. Pourtant Macron ne s’en prive pas : “Ce n’est pas une bonne idée”, a dit le chef de l’Etat interrogé par France Info sur ce renoncement, tout en renvoyant dos à dos le groupe pétrolier et la maire de Paris. “Qu’il y ait des entreprises qui polluent, c’est le cas. Mais enfin, je ne vais pas expliquer à tous les salariés de Total en France qu’ils ont un travail qui n’est pas digne”, a-t-il poursuivi. S’il a lui aussi dit que ces jeux devaient être exemplaires sur le plan environnemental, Emmanuel Macron a fait également valoir qu’il était plus facile d’écarter des sponsors “en donnant des leçons de morale” que de trouver de l’argent.“Et si Total peut mettre de l’argent pour financer, aider à financer des jeux verts, si Total peut mettre de l’argent pour aider à financer la transition, c’est une bonne chose”, a-t-il ajouté. “Donc maintenant on doit mobiliser collectivement tous les financeurs français (…) Ils sont tous les bienvenus.” “Mais pas avec leur cahier des charges, avec le nôtre”, a cependant averti le chef de l’Etat. Une précaution oratoire qui ne mange pas de pain pour se mettre à l’abri des contradictions, en tout cas faire semblant

La taxe d’habitation : jeux de chaises fiscales

La taxe d’habitation : jeux de chaises fiscales

Pour simplifier les communes vont toucher la taxe foncière des départements à la place de la taxe d’habitation qui, elle, est supprimée. En compensation, les départements recevraient une partie de TVA.  Revers de la médaille, on va en profiter pour augmenter de manière substantielle la taxe foncière au motif que les valeurs foncières n’ont pas été revues depuis 1970 ! Fixées il y a près de cinquante ans, ces valeurs sont supposées correspondre au loyer théorique annuel que pourrait percevoir le propriétaire mais elles “créent des injustices” parce qu’elles “n’ont pas été revues depuis les années 1970”, souligne Gérald Darmanin.“Nous pourrions imaginer que le prochain projet de loi de Finances autorise Bercy à travailler sur ce point en 2021 en collectant les données locatives des habitants et qu’à partir de 2022, la réforme puisse être mise en place, sur une durée de cinq à dix ans». Pour faire avaler La pilule de l’augmentions significative de la taxe foncière !

Française des Jeux : vendue à la mafia ?

Française des Jeux : vendue à la mafia ?

Les honorables fonctionnaires de  l‘Agence des participations de l‘Etat (APE) s’apprêtent  à suivre les conseils de BNP Paribas, du  cabinet d’avocats Weil, Gotshal & Manges LLP, mandatés pour travailler sur l’ouverture du capital de la Française des Jeux. Nul doute que les candidats seront nombreux et il ne sera pas difficile de trouver des acheteurs à hauteur de 800 millions d’euros représentant pour l’instant 30 % du capital de la Française des jeux. En effet il n’y a pas d’activité plus rentable que la loterie dont le taux de retour aux parieurs avoisine les 50 %. Les autres 50 % vont dans la poche de l’État et de la société (moins le soutien à certaines activités notamment sportives). La Française des jeux (14 milliards de chiffres d’affaires quatrième loterie du monde) intéresse depuis longtemps la mafia non seulement en raison de son taux de rentabilité mais aussi de la possibilité qu’il y aurait, comme dans certains casinos, de recycler l’argent sale. Sans parler des manipulations possibles lors des tirages. Heureusement la vente de la Française des jeux est assez compliquée. Le dossier FDJ est particulièrement compliqué car il implique une myriade d‘acteurs: les actionnaires historiques (Union des blessés de la face et de la tête, fédération Maginot, actionnaires à 13,4%), les partenaires européens sur l‘Euro Millions, le réseau de distribution des buralistes (également actionnaires) et leur ministère de tutelle, l‘Intérieur, ou celui des relais presse qui dépendent eux du ministère de la Culture. Sans oublier le ministère de l‘Action et des Comptes publics – l‘Etat encaisse 22% de toutes les mises ainsi que de substantiels dividendes – le ministère des Sports, FDJ étant la première source de financement des activités sportives en France, ou encore les 2.100 salariés du groupe qui redoutent les implications de la privatisation partielle d‘une société qui pèse plus de la moitié des jeux d‘argent en France.

 

 

La Russie interdite des Jeux olympiques d’hiver 2018

La Russie interdite  des Jeux olympiques d’hiver 2018

On ne peut nier  que nombre de disciplines sportives sont gangrenées par le dopage et cela en raison notamment des sommes folles qui sont en jeu. Si on ajoute à cela les préoccupations nationalistes on aura compris que nombre d’épreuves sont faussées. Cependant les ex pays de l’Est et la Russie en particulier avaient en quelque sorte institutionnalisé le dopage. Du coup  Le Comité olympique russe a été banni des Jeux olympiques d‘hiver 2018 qui seront organisés en février prochain à Pyeongchang, en Corée du Sud, a annoncé mardi le Comité international olympique (CIO).  L’enquête de l’AMA, avait notamment qu’un laboratoire de Moscou a couvert le dopage des athlètes russes, en échangeant les échantillons d’urine des athlètes dopés contre des échantillons sains.  L’avocat canadien qui a dirigé le rapport, Richard McLaren, assure que le ministre russe des Sports a supervisé cette manipulation. Selon lui, le personnel du laboratoire était obligé de participer à ce système de dopage d’Etat. L’enquête de la commission fait suite aux accusations de l’ancien directeur du laboratoire antidopage de Moscou, Grigori Rodchenkov, qui avait révélé au New York Times que des dizaines d’athlètes russes avaient utilisé des produits dopants et faussé les résultats de leurs contrôles, avec le soutien des autorités sportives. Le CIO reproche donc  à Moscou son implication dans un vaste scandale de dopage. Certains sportifs russes seront toutefois autorisés à concourir sous la bannière olympique et pourront se présenter comme “athlètes olympiques de Russie”, a toutefois annoncé le CIO. Dans la foulée de ces annonces, le consortium de la télévision officielle russe VGTRK a fait savoir que les jeux de Pyeongchang ne seraient pas retransmis, rapporte l‘agence de presse Interfax.

Jeux olympiques et mondiaux gangrénés par la corruption

Jeux olympiques et mondiaux gangrénés  par  la corruption

 

 

La justice notamment en France mais aussi aux États-Unis commencent à s’intéresser de près aux conditions d’attribution aussi bien des JO qu’aux mondiaux. Des conditions d’attribution fortement influencées par un système généralisé de corruption. En clair,  pour arracher une désignation les villes, on a arrosé certains membres du comité olympique et où des fédérations internationales. Des pratiques qui ne grandissent pas le sport surtout quand elles s’ajoutent  aux affaires de dopage qui gangrènent  nombre de disciplines du ski de fond à la natation en passant bien évidemment et peut-être surtout par l’athlétisme. En France,  l’enquête préliminaire du Parquet national financier sur les conditions d’attribution des Mondiaux d’athlétisme de 2021 à la ville américaine d’Eugene vise de nombreux autres Mondiaux d’athlétisme et remonte jusqu’aux finales de Stuttgart en 2006-2008, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier. Les enquêteurs s’intéressent ainsi de près aux conditions d’attribution de ces Mondiaux à Doha (Qatar) en 2019, Londres en 2017, Pékin en 2015, Moscou en 2013 et les finales mondiales de l’athlétisme en 2006-2007-2008 en Allemagne, a-t-on précisé. « L’enquête remonte jusqu’à Stuttgart », a dit la source. La justice française a ouvert plusieurs enquêtes sur des soupçons de corruption en marge de l’attribution d’événements sportifs internationaux. L’attribution des Jeux olympiques à Rio en 2016 et à Tokyo en 2020 est aussi entachée de soupçons de fraude. Les enquêteurs soupçonnent six membres actuels ou passés du Comité olympique international, parmi lesquels le Namibien Frankie Fredericks et le Sénégalais Lamine Diack, ex-président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), d’avoir touché des pots-de-vin en échange de votes pour l’attribution d’événements sportifs, indique la source. Dans un communiqué diffusé mardi, après que Le Monde eut révélé que les enquêteurs s’intéressaient à lui, Frankie Fredericks disait n’avoir « jamais été impliqué dans une quelconque manipulation ou dans un quelconque comportement illégal ». Il a démissionné de la commission d’évaluation des Jeux olympiques d’été 2024. Quatre enquêtes sont aujourd’hui ouvertes en France sur ce sujet : deux enquêtes préliminaires, sur les mondiaux d’athlétisme d’une part et sur les JO de Rio d’autre part, et deux informations judiciaires, sur les JO de Tokyo pour l’une, et sur des soupçons de corruption pour passer sous silence des résultats de tests antidopage positifs d’athlètes russes pour l’autre. C’est cette dernière affaire qui est à l’origine de toutes les autres. Dans celle-ci, Lamine Diack est soupçonné d’avoir reçu en 2011 1,5 million d’euros de pots-de-vin pour taire les résultats positifs d’athlètes russes dopés. Il a été mis en examen pour corruption passive et blanchiment aggravé. Deux autres personnes ont été mises en examen dans cette affaire : son conseiller juridique Habib Cissé et Gabriel Dollé, ex-administrateur anti-dopage de la Fédération internationale d’athlétisme, soupçonné d’avoir touché 190.000 euros. Papa Massata Diack, fils de Lamine Diack, est quant à lui visé par un mandat d’arrêt international. Lui et ses sociétés sont au coeur de toutes les enquêtes françaises. En mai 2016, la justice française a adressé une commission rogatoire internationale aux autorités judiciaires sénégalaises, visant notamment la mise en examen de Papa Massata Diack. Mais la justice sénégalaise a fait savoir en juillet 2016 qu’elle ne l’exécuterait pas, dit la source proche du dossier. Le Monde a révélé la semaine dernière qu’une société liée à un richissime homme d’affaires brésilien avait versé, le 29 septembre 2009, trois jours avant l’élection de Rio comme ville hôte des JO de 2016, 1,5 million de dollars à Papa Massata Diack, fils de Lamine Diack, alors président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) et membre du Comité international olympique (CIO). L’une des sociétés de Papa Massata Diack est aussi au coeur de l’enquête sur Tokyo. Les enquêteurs la soupçonnent d’avoir reçu 1,7 million d’euros par le comité de candidature de Tokyo 2020.

Rio : Encore les Jeux olympiques du dopage ?

Rio : Encore les Jeux olympiques du dopage ?

  •  

Le dopage dans le sport de haut niveau n’est pas une découverte mais malheureusement une pratique récurrente dans nombre de disciplines. De ce point de vu, e on peut s’interroger sur le manque de courage du comité olympique qui a refusé de suspendre la Russie dont le dopage d’État a été démontré par l’agence mondiale  anti dopages. Certains objecteront que les contrôles n’ont jamais été aussi nombreux cependant la sophistication des moyens de dopage évoluent encore plus vite que les contrôles. Du coup de nombreux épreuves sportives sont clairement faussés même si effectivement elles ne peuvent expliquer les piètres résultats de la France ; résultat sans doute aussi  à imputer à une politique sportive insuffisante. En tout cas à l’occasion des jeux de Rio Camille Lacour le nageur a mit les pieds dans le plat.  Ecœuré, il a, avant de tourner le dos, jeté un gros pavé dans la piscine en assurant sur RMC : « Sun Yang (le Chinois, titré sur le 200 m nage libre, médaillé d’argent sur 400 m nage libre ; double champion olympique à Londres sur 400 m et 1500 m nage libre, puis contrôlé positif en 2014), il pisse violet… Je suis très triste de voir mon sport évoluer de cette façon. J’ai l’impression de voir l’athlétisme avec deux-trois dopés dans chaque finale. J’espère que la FINA va vite réagir et arrêter ce massacre, parce que ça devient triste. Ils n’ont rien à faire dans un sport. Ils ont qu’à faire une «Fédé» de chargés et s’amuser entre eux. Ça me dégoûte de voir des gens qui ont triché sur les podiums… » Et d’ajouter : «Ça me déplaît d’être battu par un Chinois (Xu Jiayu). Il y a pas mal de sentiments. En même temps, je vois le podium du 200m libre, ça me donne envie de vomir. Je préfère retenir cette foule qui a crié quand on est rentré, ce bassin olympique qui est génial. Et oublier un peu ce sport business qui est un peu à gerber.». Pour se défausser de ses responsabilités en matière de dopage  le patron du comité international olympique Thomas Bach a appelé à une « révision totale du système de lutte antidopage ». Une manière de repousser à plus tard la mise à l’écart de la Russie suite au rapport de l’agence mondiale antidopage évoquant un dopage d’Etat.  Pour n’avoir pas à trancher sur cette question le sulfureux comité international olympique avait déjà renvoyé la responsabilité d’exclusion sur les fédérations internationales. Pour justifier encore davantage son laxisme le comité international olympique évoque la nécessité d’un système de lutte antidopage plus transparent, un euphémisme ! «  Les événements récents montrent que nous avons besoin d’une révision totale du système de lutte antidopage, a déclaré M. Bach, à l’ouverture de la 129e session du CIO qui réunit la centaine de membres de l’instance. Cela implique des responsabilités clairement établies, plus de transparence, plus d’indépendance et une meilleur harmonisation au niveau mondial», a ajouté le patron du mouvement olympique. Un mouvement olympique qui porte des responsabilités pour avoir fermé pendant longtemps les yeux sur les pratiques du dopage et par ailleurs impliqué dans les manœuvres délictueuses pour attribuer les jeux.

(Avec AFP)

La Russie exclue des jeux olympiques pour dopage

La Russie exclue des jeux olympiques pour dopage

 

Il est évident que nombre de disciplines sportives sont gangrenées par le dopage et cela en raison notamment des sommes folles qui sont en jeu. Si on ajoute à cela les préoccupations nationalistes on aura compris que nombre d’épreuves sont faussées. Cependant les ex pays de l’Est et la Russie en particulier avaient en quelque sorte institutionnalisé le dopage. L’affaire ne date pas d’hier mais le comité international olympique s’est enfin réveillé et menace même d’exclure tous les sportifs russes des JO de Rio. A moins de trois semaines des Jeux de Rio, le Comité international olympique (CIO) a donc promis lundi « les sanctions les plus dures » après la publication d’un rapport selon lequel Moscou a dissimulé les tests antidopage de sportifs russes dans de multiples disciplines avant les Jeux olympiques d’hiver de Sotchi en 2014. Le CIO n’a pas précisé quelle réponse il apporterait aux multiples appels à bannir la totalité des sportifs russes des JO en étendant les mesures qui frappent déjà les équipes d’athlétisme et d’haltérophilie. Mais son président, Thomas Bach, a déclaré que l’enquête indépendante menée par l’Agence mondiale antidopage (AMA) avait révélé « une atteinte choquante et sans précédent à l’intégrité du sport et des Jeux olympiques ». « Le CIO n’hésitera pas à prendre les sanctions les plus dures contre tout individu ou organisation impliqués », a-t-il déclaré dans un communiqué, précisant que la direction du CIO adopterait ses premières décisions mardi. L’AMA a quant à elle explicitement appelé le CIO à envisager de bannir tous les sportifs russes des JO de Rio. L’enquête de l’AMA, dévoilée lors d’une conférence de presse à Toronto, affirme qu’un laboratoire de Moscou a couvert le dopage des athlètes russes, en échangeant les échantillons d’urine des athlètes dopés contre des échantillons sains.  L’avocat canadien qui a dirigé le rapport, Richard McLaren, assure que le ministre russe des Sports a supervisé cette manipulation. Selon lui, le personnel du laboratoire était obligé de participer à ce système de dopage d’Etat. L’enquête de la commission fait suite aux accusations de l’ancien directeur du laboratoire antidopage de Moscou, Grigori Rodchenkov, qui avait révélé il y a deux mois au New York Times que des dizaines d’athlètes russes, dont quinze médaillés, avaient utilisé des produits dopants et faussé les résultats de leurs contrôles, avec le soutien des autorités sportives.(Avec Reuters)

Dopage : la Russie suspendue des jeux olympiques ?

Dopage : la Russie suspendue des jeux olympiques ?

A  la suite du rapport de l’Agence mondiale antidopage qui met en cause directement la fédération russe, les athlètes de ce pays pourraient être suspendus de toutes compétitions internationales. L’agence dénonce aussi une corruption généralisée au sein de la Fédération internationale d’athlétisme mais aussi un chantage globalisé contre des athlètes dopés. L’organisation de l’IAAF est même comparée à la mafia. Pour Stéphane Caristan, ancien athlète, responsable de l’unité d’évaluation à l’Insep, ce constat n’a rien d’étonnant. « La Russie, aux Jeux olympiques et aux championnats du monde, termine toujours première ou deuxième nation en athlétisme. L’année dernière, on révèle des affaires avec la fédération russe et tout à coup aux championnats du monde, elle ne termine que neuvième avec seulement deux médailles d’or. » a estimé Stéphane Caristan sur France Info.  « Les Russes faisaient des performances extraordinaires et on ne savait pas comment. Maintenant on a une explication. C’est par la corruption qu’ils sont passés au travers des mailles. » La France n’est a priori pas concernée par les récentes révélations sur le dopage, mais elle n’est pas blanche pour autant. « L’année dernière on prend 23 médailles aux championnats d’Europe, et sur les deux victoires argent et bronze, il y a une athlète qui est dopée. On fait partie du lot, à un niveau moindre mais cela existe.« 

Dopage : la Russie suspendue des jeux olympiques ?

Dopage : la Russie suspendue des jeux olympiques ?

A  la suite du rapport de l’Agence mondiale antidopage qui met en cause directement la fédération russe, les athlètes de ce pays pourraient être suspendus de toutes compétitions internationales. L’agence dénonce aussi une corruption généralisée au sein de la Fédération internationale d’athlétisme mais aussi un chantage globalisé contre des athlètes dopés. L’organisation de l’IAAF est même comparée à la mafia. Pour Stéphane Caristan, ancien athlète, responsable de l’unité d’évaluation à l’Insep, ce constat n’a rien d’étonnant. « La Russie, aux Jeux olympiques et aux championnats du monde, termine toujours première ou deuxième nation en athlétisme. L’année dernière, on révèle des affaires avec la fédération russe et tout à coup aux championnats du monde, elle ne termine que neuvième avec seulement deux médailles d’or. » a estimé Stéphane Caristan sur France Info.  « Les Russes faisaient des performances extraordinaires et on ne savait pas comment. Maintenant on a une explication. C’est par la corruption qu’ils sont passés au travers des mailles. » La France n’est a priori pas concernée par les récentes révélations sur le dopage, mais elle n’est pas blanche pour autant. « L’année dernière on prend 23 médailles aux championnats d’Europe, et sur les deux victoires argent et bronze, il y a une athlète qui est dopée. On fait partie du lot, à un niveau moindre mais cela existe.« 

Jeux olympiques : ça ne coûtera rien ( Denis Masseglia) !!

Jeux olympiques : ça ne coûtera rien ( Denis Masseglia) !!

 

 

Si on écoute Denis Mssiglia (présideet du comité olympique français), les jeux olypiques ne coûteront rien au contribuable. Tout  serait  déjà prévu dans les plans de développement de la région parisienne notamment en matière d’infrastructures. En faiat c’est le même raisonnement qui a été tenu par les villes qui ont déjà organisé ces jeux. Des jeux qui se sont révélés des gouffres financiers  notamment à Athènes.. A Londres, la facture a ainsi été multipliée par deux 10,9 milliards d’euros contre 4,8 milliards annoncés initialement. En 2004, le budget initialement présenté a été largement dépassé à Athènes : 11,1 milliards d’euros contre 5,3 prévus (et 2 à 3% de la dette extérieure du pays a augmenté en raison du coût des Jeux). Mais la médaille d’or en matière d’explosion de budget revient à Pékin en 2008 : 2,6 milliards d’euros initialement prévus, et …32 milliards d’euros dépensés ! Bien entendu des jeux olympiques en France ( pourquoi au fait seulement à Paris ? ), c’est enthousiasmant pour les sportifs, ceux qui aiment le sport , ceux surtout qui le pratiquent. Indéniablement un événement marquant ; reste à savoir si c’est bien la priorité en l’état de notre économie et de nos trous financiers ( ne pas oublier qu’on emprunte pour rembourser nos dettes pour l’ASSEDIC, pour les retraites, pour nos collectivités locales dont certaines seront en faillite dès 2016 etc. Au total une  dette de 30 000 euros environ par habitant ;  comme la Grèce impossible à rembourser !  Dans un contexte socio-économique qui fait débat, certains estiment donc que toute l’organisation aura un coût qui à terme ne sera pas bénéfique pour le pays.  Face à ces critiques, qu’il dit comprendre, Denis Masseglia a voulu expliquer exactement la nature des coûts de l’organisation, divisés en trois étapes. « Le budget des Jeux, c’est trois postes. Le premier, c’est celui de l’organisation même des Jeux qui vaut environ 3,5 milliards et le CIO donne pour cela pratiquement 2 milliards de dollars. Il n’y a pas énormément d’infrastructures sportives à construire, on est pratiquement à 500 millions et puis il y a le village (…) Après il s’agit de savoir si on le considère dans l’héritage sportif ou l’héritage sociétal. Je crois qu’on peut quand même considérer qu’il fait partie d’un besoin aussi bien en logements qu’en universités ou qu’en autres dispositifs », a-t-il ainsi estimé avant de mettre en perspective la troisième étape du processus.   Pour le président du CNOSF, le plan prévu à l’horizon 2024 pour Paris et sa région serait en tout point bénéfique en termes d’infrastructures. « Le dernier point, qui a coûté beaucoup dans d’autres candidatures, c’est celui qui est relatif aux infrastructures et là, il se trouve qu’il y a un plan à l’horizon 2024 pour Paris et l’Île-de-France qui fait que l’on peut tout caler en fonction de ce qui est prévu et ça ne coûtera pas un euro de plus aux contribuables. On est avec une candidature extrêmement raisonnable en terme de coûts et qui peut même rapporter plus que ce qu’elle va coûter ». Alors que le CIO le préconise dans un rapport à l’adresse de tous les prétendants, Denis Masseglia rappelle que la mise en place des Jeux Olympiques, avec tout ce que cela comporte en installations sportives ou urbaine, ne sera pas éphémère et servira l’intérêt général. « L’héritage pour nous va être au cœur du projet olympique », conclut-il ainsi. Un joli discours , celui tenu par tous les responsables politiques quand ils décident un investissement…sans certitude quant au retour financier !

 

123



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol