Archive pour le Tag 'Jean-Marie Le Pen'

Europe: 300.000 euros de frais divers facturés par Jean-Marie Le Pen

Europe:  300.000 euros de frais divers facturés par Jean-Marie Le Pen

Autant l’affaire des assistants parlementaires européens peut se discuter puisqu’il n’y a aucun détournement de fonds pour enrichissement personnel autant la facture de Jean-Marie Le Pen paraît un peu salée ! Le Parlement européen réclame en effet plus de 300.000 euros à Jean-Marie Le Pen pour avoir indûment facturé à l’institution des frais de mandat d’eurodéputé, a appris lundi l’AFP de sources proches du dossier. 

En cause : l’utilisation de frais de mandats au titre de la «ligne budgétaire 400» du Parlement européen, destinés à couvrir «les dépenses administratives et de fonctionnement des groupes politiques et du secrétariat des députés non-inscrits» et celles «liées aux activités politiques et d’information dans le cadre des activités politiques de l’Union européenne». Mais «ces crédits ne peuvent être utilisés pour financer toute forme de campagne électorale européenne, nationale, régionale ou locale» ou «être utilisés pour l’achat de biens immeubles ou de véhicules», précise le règlement de l’institution. Or, entre 2009 et 2018, Jean-Marie Le Pen a été indûment remboursé, dans le cadre de cette «ligne budgétaire 400», de dépenses de bulletins d’informations, stylos, cartes de visite, cravates, parapluie, balances de cuisine, horloges de bureau, bracelets connectés, lunettes de réalité virtuelle ou encore de 129 bouteilles de vin, selon un rapport de l’Office européen de lutte antifraude (Olaf).

 

FN- Jean-Marie Le Pen : un pouvoir de nuisance certain

FN- Jean-Marie Le Pen : un pouvoir de nuisance certain

Jean-Marie Le Pen reconnaît lui-même que son avenir politique et derrière lui. Pour autant il possède un pouvoir de nuisance suffisant pour jeter un trouble électoral qui va nuire au front national. La plupart des élections se jouent  en effet à quelques pour cent,  or Jean-Marie Le Pen ne restera sans doute pas inactif pour notamment empêcher sa fille Marine Le Pen de se qualifier  au second tour des présidentielles. Pour cela il va multiplier les critiques à l’égard des contradictions de la direction actuelle du front national. Il pourrait même aller jusqu’à favoriser la candidature d’un de ses proches en 2017. Même si cette candidature ne recueille que 3 % elle risque d’être suffisante pour disqualifier Marine Le Pen au second tour. Jean-Marie Le Pen n’est sans doute pas en capacité de créer maintenant une force politique pour rivaliser avec le front national mais son pouvoir de nuisance et suffisant pour le déstabiliser. Après plusieurs semaines de bataille judiciaire, le bureau exécutif  du Front national a tranché : Jean-Marie Le Pen a été exclu du parti, jeudi 20 août. Alors que Marine Le Pen estime que cette exclusion était une « issue » logique pour quelqu’un qui a « multiplié les fautes », son père qualifie le bureau exécutif d’une « opération » qui était une « mascarade », un « guet-apens » et un « simulacre ».  Marine Le Pen commandait le peloton d’exécution de loin au téléphone mais ne voulait pas en faire partie parce que ça fait vilain. Selon lui, Marine Le Pen « ne voulait pas faire partie du peloton d’exécution. Elle le commandait de loin au téléphone mais ne voulait pas en faire partie parce que ça fait vilain ». Jean-Marie Le Pen ajoute que « c’est sale de tuer son papa. Alors elle ne l’a pas fait directement mais elle l’a fait tuer par d’autres, des personnes qui ont joué la comédie. C’est Marine Le Pen qui a pris cette décision elle-même« . Mais le fondateur du Front national tente de relativiser en expliquant que « quand on est victime d’un assassinat et que cet assassinat est perpétré et ordonné par sa fille, il est évident que on ne se réjouit pas. Mais on prend les choses avec philosophie. On sait que tôt ou tard, la justice agira ». Jean-Marie Le Pen ne baisse pas les bras : « J’ai fait condamner trois fois sur trois le Front national. Il y en aura une quatrième. En ce qui concerne les élections régionales à venir, l’ancien président d’honneur du parti estime que « l’exclusion va avoir des conséquences catastrophiques (…) Pour l’instant, je suis au stade de la réflexion. Ce sont des choses qui arrivent. Ca pourrait être considéré comme dramatique par d’autres, mais j’en ai vu d’autres« .

 

Jean-Marie Le Pen : l’apartheid, « une promotion des deux communautés »

Jean-Marie Le Pen : l’apartheid, « une promotion des deux communautés »

Le pire ennemi de Marine Lepen c’est à coup sûr son père ; alors qu’elle ne cesse de dédiaboliser son parti, Jean Marie Lepen, lui multiplie, les déclarations provoquantes pour bien marquer son attachement aux idées les plus réactionnaires. Hormis une muselière on voit mal ce qui pourrait empêcher  Jean marie Lepen de mettre des bâtons dans les roues de sa fille. Par parenthèse Valls aurait mieux fa           d’éviter l’approximation sémantique en parlant d’apartheid dans les banlieues.  Le président d’honneur du Front national Jean-Marie Le Pen a estimé ce samedi 24 janvier que l’apartheid était « au départ une volonté de promotion des deux communautés » blanche et noire en Afrique du Sud. Interrogé sur les propos de Manuel Valls sur l’existence d’un apartheid  »territorial, social, ethnique » en France, Jean-Marie Le Pen a estimé dans son journal de bord vidéo qu‘il était fait au Premier ministre « une querelle sémantique qui ne me paraît pas très saine. » L’apartheid est compris comme une abomination de la désolation par un certain nombre d’imbéciles. « J’ai compris ce qu’il a voulu dire », a assuré le cofondateur du FN, « que des communautés se constituaient de façon séparée, et qui étaient un apartheid de fait ». Et de poursuivre : « L’apartheid est compris comme une abomination de la désolation par un certain nombre d’imbéciles, y compris de droite, n’est-ce pas, alors que c’était une politique de développement séparé. » Pour l’eurodéputé, « on peut la contester, elle a été contestée, et d’ailleurs elle a été renversée, si j’ose dire, mais c’était au départ une volonté de promotion des deux communautés« , avant de défendre :  »On peut juger cela plus ou moins sévèrement mais on ne peut pas trahir la pensée de ceux qui l’avaient élaborée ».En 1990, Jean-Marie Le Pen, alors président du FN, avait déclaré à propos de la libération de Nelson Mandela : « Cela ne m’a ni ému, ni ravi. J’ai toujours une espèce de méfiance envers les terroristes, quel que soit le niveau auquel il se situe ».




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