Archive pour le Tag ': « je t’aime.'

Coopération franco-allemande: je t’aime, moi non plus !

Coopération franco-allemande: je t’aime, moi non plus !

La coopération dans le domaine de la défense notamment apparaît en effet très chaotique. En cause, le faite que la France entend conserver son autonomie stratégique et que l’Allemagne est très protectrices pour les juteuses exportations de matériel militaire. Bref, des positions politiques souvent opposées et qui se nourrissent d’intérêts stratégiques et économiques ( l’Allemagne voudrait bien bénéficier seule travail de recherche en commun sur le matériel militaire ).

L’Allemagne fait toujours autant de réserves concernant le programme du futur avion de combat SCAF est encore récemment commandé des allures américains. Pourtant l’avoir semblé dégageait après l’accord entre Dassault Aviation et Airbus.

Même réticence pour le char du futur*, le deuxième grand programme en coopération entre les deux pays, Berlin patauge depuis de longs mois dans un imbroglio industriel allemand et le le français Nexter. Tout semble encore possible malgré les difficultés de ce programme….. mais rien n’est certain.

Reste enfin le drone MALE, seul programme véritablement lancé et qui avait été décidé parmi d’autres lors du conseil ministériel franco-allemand de juillet 2017. Mais il ne convainc pas vraiment, notamment en France, en raison de ses spécifications.

Progressivement Berlin a détricoté cette coopération en abandonnant sans aucun état d’âme plusieurs programmes communs lancés : missile tactique air-sol (2018), système de patrouille maritime (2021), modernisation de l’hélicoptère Tigre (2022). « Les Allemands ont fait l’annonce il y a quelque temps de l’achat de Boeing P-8 américains pour assurer la fonction de patrouille maritime », constate-t-on à l’Élysée.
Mêmes incertitudes concernant le bouclier antimissile allemand (European Skyshield Initiative), dont l’idée a été lancée fin août 2022 par le chancelier Scholz à Prague, a tendu à la fin de l’été les relations entre la France et l’Allemagne. Il semblerait qu’actuellement, le point de vue de la France commence à être enfin entendu à Berlin. « C’est un sujet qui est très sensible et très stratégique », reconnaît-on à l’Élysée.

Mais au-delà de ce volet stratégique, la France ne fait pas mystère que l’Europe doit privilégier « son autonomie stratégique, donc son autonomie aussi dans ses achats d’équipements, avec un souhait de préférence européenne ». De son côté, l’Allemagne préférait se satisfaire du bouclier de défense américain.

France-Corse : je t’aime moi non plus !

France-Corse : je t’aime moi non plus !

 

 

Il y a évidemment quelque chose d’ambigu dans les relations entre la France et la Corse, des régions et des populations tellement proches mais qui paraissent aussi tellement éloignées au point que certains envisagent jusqu’à l’indépendance de l’île.

 

La Corse est admirée pour sa beauté en même temps que pour la douceur de vivre de ses  habitants. Elle est cependant détestée du fait de l’extrémisme d’indépendantistes irresponsables et de mafieux.

 

Le dossier corse pourrit les relations depuis des dizaines et des dizaines d’années au point que les Français de l’Hexagone ont montré dans différents sondages qu’ils seraient prêts a accordé l’indépendance à cette île toujours en état de révolution infantile.

 

S’il y a effectivement un mouvement de revendication d’indépendance en Corse, il reste cependant très minoritaire dans la population. Et plusieurs sondages ont démontré qu’en cas de référendum par exemple une majorité de Corses seraient contre ce concept d’indépendance ( à distinguer de l’autonomie qui, elle ,d’ailleurs pourrait s’appliquer à d’autres régions d’outre-mer voir même à toutes les régions françaises comme en Allemagne).

 

C’est le paradoxe, une minorité agissante qui instrumentalise la mauvaise humeur des Corses pour donner une légitimité à la revendication d’indépendance mais des Corses qui globalement n’en veulent pas car économiquement et même culturellement attachés à la France. Et inversement le ras-le-bol des Français vis-à-vis d’un territoire aux représentants versatiles, démagogiques et souvent irresponsables.

Dupont-Aignan-Le Pen : « je t’aime,moi non plus !»

Dupont-Aignan-Le Pen : « je t’aime,moi non plus !»

Pour résumer Dupont Aignan plaide pour le rassemblement à droite mais aux Européennes, il veut se rassembler tout seul ! Et d’avancer la sempiternelle question du programme avant le chois des leaders et les arguments populistes les plus éculés : “Aujourd’hui, c’est ‘non’ à la cuisine politicienne”, a dit sur France 3 le député de l’Essonne, plaidant pour l’élaboration d’un projet et des discussions plus larges, au delà du “seul tête-à-tête” avec la finaliste de l’élection présidentielle de 2017, qu’il avait soutenue au second tour. Autrement dit Dupont Aignan veut bien l’union avec Marine Le Pen mais craint d’être étouffé si cette dernière le prend dans ses bras. Pour preuve,  Marine Le Pen a adressé jeudi une lettre ouverte à Nicolas Dupont-Aignan proposant de faire liste commune avec Debout la France et de rédiger à quatre mains une charte de transformation de l’Union européenne. Toujours aussi faux cul Dupont Aignan répond: “Sa proposition n’est pas du tout, même si ça part peut-être d’une bonne intention, à la hauteur de l’enjeu historique qui est devant nous. Il a dit son intention d’envoyer “à la fin de l’été” un projet “à tous les responsables politiques qui “disent combattre M. Macron et l’abandon de la France”, dont la présidente du Rassemblement national et le président du parti Les Républicains, Laurent Wauquiez. “A ce moment-là, j’espère qu’elle aura clarifié sa position, sur l’euro notamment. J’espère que M. Wauquiez aura clarifié sa position et je leur dirai ‘unissons-nous tous ensemble, et beaucoup plus large que des petites cuisines’”, a déclaré Nicolas Dupont-Aignan. La réalité c’est qu’’il n’y aura pas d’alliance entre LR, debout la France et Marine Le Pen (RN). Chacun est bien décidé à capitaliser les mécontentements des français aux européennes ; Une élection traditionnellement à l’abstention record, sans véritable enjeu intérieur et qui permet de voter sans état d’âme pour l’opposition.  Dans un sondage Elabe pour BFM TV publié mercredi, le Front national est crédité de 19,5% des intentions de vote pour les européennes, Debout la France de 5,5% mais Dupont Aignan vise les 10%.  La République en marche est en tête, avec 24% des intentions de vote.




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