Archive pour le Tag 'janvier'

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UberPOP : interdit par le gouvernement au 1er janvier

UberPOP : interdit par le gouvernement  au 1er janvier

le porte-parole du ministère de l’Intérieur a annoncé que cette offre payante de transport entre particuliers du groupe américain sera interdite en France dès le 1er janvier, avec l’entrée en vigueur de la loi Thévenoud sur la régulation de la concurrence avec les taxis. « La loi qui a été votée et portée par le gouvernement de réglementation de la profession de taxi, des VTC (voitures de tourisme avec chauffeur), qui entrera en vigueur le 1er janvier prochain, est encore plus contraignante pour ce genre de sociétés », a notamment déclaré lundi matin Pierre-Henry Brandet sur iTélé. La mise en relation de particuliers du type UberPOP sera alors passible de deux ans de prison et de 300.000 euros d’amende, a-t-il précisé. « Non seulement c’est illégal de se prêter à ce service mais en plus pour le consommateur il y a un véritable danger », a poursuivi le porte-parole, soulignant que les conducteurs n’avaient pas d’assurance adéquate.

Croissance : Baisse de 0,3% de l’intérim en janvier

Croissance : Baisse de 0,3% de l’intérim en janvier

L’emploi intérimaire, considéré comme un indicateur avancé la croissance et de l’emploi, a reculé de 0,3% en janvier en France par rapport à décembre, selon les chiffres publiés mardi par Pôle emploi. Le nombre d’intérimaires s’établissait à 608.000 fin janvier, en valeur corrigée des variations saisonnières, soit une baisse de 2.100 par rapport à fin décembre. En un an, le nombre d’intérimaire a augmenté de 43.500 (+7,7%). En janvier, les effectifs intérimaires dans l’industrie ont augmenté de 3,8%, tandis qu’ils ont baissé dans la construction (-3,6%) et les services (-3,6%). Sur un an, toutes les catégories socioprofessionnelles voient leurs effectifs augmenter : de 8,3% pour les cadres et professions intermédiaires, 7,9% pour les ouvriers non qualifiés, 7,4% pour les employés et 7,3% pour les ouvriers qualifiés.

 

Déficit budget ; stable en janvier grâce à l’augmentation de l’impôt sur le revenu

Déficit budget ; stable en janvier grâce à l’augmentation de  l’impôt sur le revenu

 

 

Le déficit du budget de l’Etat français s’est légèrement contracté à 12,7 milliards d’euros en janvier, contre 12,8 milliards pour le même mois de 2013, selon les données publiées vendredi par le ministère du Budget. Dans un communiqué, le ministère indique que ce montant inclut 1,3 milliard d’euros de décaissement au titre du nouveau programme « d’investissement d’avenir ». Au 31 janvier, les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 32,6 milliards d’euros, contre 32,1 milliards un an plus tôt. Elles sont donc en retrait de 0,8 milliard hors investissement d’avenir.  Les recettes s’élèvent dans le même temps à 23,2 milliards, contre 21,9 milliards en janvier 2013. Les seules recettes fiscales nettes augmentent de 5,4% grâce à un bond de 18% des rentrées d’impôt sur le revenu alors que celles d’impôt sur les sociétés ont reculé de 18,9%. Les recettes de TVA, dont les taux ont augmenté au 1er janvier, progressent de 2,9% à 14,8 milliards. Le ministère du Budget souligne que l’évolution positive des recettes est « encore peu significative en ce tout début de gestion » alors que celle des dépenses est conforme, selon lui, aux prévisions de la loi de finances. Celle-ci prévoit un déficit de 82,6 milliards d’euros, y compris 11 milliards au titre des investissements d’avenir, contre 74,9 milliards en 2013.

 

Chômage: toujours pas d’inversion en janvier, nouvel échec de Hollande

Chômage: toujours pas d’inversion en janvier, nouvel échec de Hollande

<:article>Encore un résultat décevant du chômage qui confirme l’échec total de l’inversion du chômage promis par Hollande pour fin 2013. La courbe du chômage ne s’est encore pas inversée au premier mois de 2014, selon les chiffres publiés ce mercredi 26 janvier par le ministère du Travail. 8.900 nouveaux chômeurs sans aucune activité (catégorie A) se sont inscrits à Pôle emploi en janvier, ce qui porte leur nombre à 3.316.200 personnes. Toutes catégories confondues, il y a désormais 5.597.700 demandeurs d’emploi en France. Leur nombre a crû de 0,3% par rapport au mois précédent, et de 4,4% par rapport à la même période en 2013. Une hausse que le ministère du Travail impute principalement à l’augmentation du nombre de seniors sans emploi. Les demandeurs d’emploi de plus de 50 ans en catégories A, B et C ont été 1,1% de plus en janvier qu’en décembre, un effectif en progression de 11,4% sur un an.  En revanche, la catégorie des jeunes reste stable en janvier, sur une tendance à la baisse qui atteint 3,5% depuis avril pour les moins de 25 ans. Les chiffres de décembre avaient déjà sévèrement acté l’échec de François Hollande, qui avait fait de la baisse du chômage à la fin de l’année 2013 son engagement phare : non seulement le nombre de demandeurs d’emploi sans activité avait augmenté (+10.200 demandeurs en métropole), mais il avait en plus atteint un record absolu (3,3 millions).  L’année dernière, 177.800 chômeurs sans activité supplémentaires ont poussé la porte de Pôle emploi, parmi eux surtout des seniors.  En attendant que « la croissance prenne le relais mi-2014″, notamment grâce à ce pacte censé réveiller la confiance des entrepreneurs, Michel Sapin a déjà prévenu qu’il continuerait à utiliser sa « boîte à outils » : 340.000 emplois aidés classiques, 50.000 emplois d’avenir supplémentaires, 100.000 formations d’urgence pour les chômeurs et une « accélération » du contrat de génération, dont le dispositif vient d’être modifié.  Selon l’Insee, la croissance a aussi été un peu plus forte que prévu en 2013 (+0,3%). Mais « il faut aller plus loin pour (…) faire reculer le chômage », « si on veut créer plus d’emplois, il faut une croissance plus forte que 1% », reconnaît le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici.  La prévision actuelle du gouvernement pour 2014 est de 0,9%, celles des organismes internationaux vont de 0,8% à 1,1%. Or, les économistes estiment généralement que 1,5% est nécessaire pour faire refluer le chômage.   »Il n’y aura pas de reprise flamboyante cette année, on pourrait donc avoir une stabilisation du chômage, mais pas de baisse. Cela n’empêchera pas qu’on puisse ponctuellement avoir des chiffres mensuels positifs », selon Marion Cochard, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE).  Aucun organisme ne prédit d’embellie en 2014. La commission européenne, qui estime que le chômage devrait commencer à décroître légèrement cette année dans la zone euro, a ainsi indiqué mercredi qu’elle s’attendait pour la France à une stagnation à 11% en 2014 et 2015.  Selon l’Unédic (assurance chômage), 63.200 demandeurs d’emploi sans activité supplémentaires devraient encore venir grossir les rangs des inscrits à Pôle emploi.

 

Hausse de TVA au premier janvier

Hausse de TVA au premier janvier

La  hausse de TVA c’est évidemment un coup de massue sur les consommateurs déjà affectés par nombre de fiscalités. Dans certains secteurs où les marges sont réduites ces hausses seront catastrophiques car il faudra arbitrer entre compétitivité et marge. Le bâtiment, les services notamment la restauration ou encore les transports subiront de plein fouet ces hausses.

Bond du taux intermédiaire : de 7 à 10%

Ces 3 points supplémentaires vont être répercutés intégralement sur le prix des billets dans les transports et sur les factures liées à des travaux à domicile. Concernée aussi, la note de restaurant ou d’hôtel va sans doute augmenter ainsi que le ticket à la fête foraine. Sans oublier l’entrée dans un musée ou un zoo et les médicaments non remboursables.

Hausse modérée du taux normal : de 19,6 à 20%

La hausse s’appliquera à la grande majorité des produits et services. Cette petite augmentation de 0,4 point ne sera pas forcément répercutée intégralement et immédiatement par les commerçants, surtout dans les secteurs fortement exposés à la concurrence.

Stabilité du taux réduit : 5,5%

Le taux réduit ne change pas. Il concerne principalement les produits alimentaires, à quelques exceptions près comme le chocolat au lait, les boissons alcoolisées ou le caviar.

De rares baisses

Les baisses sont très ciblées. Si les travaux que vous engagez chez vous visent à renforcer l’isolation thermique, la TVA non seulement ne passera pas à 10% mais elle baissera à 5,5%.

Idem pour les tickets de cinéma, les préservatifs ou encore les engrais naturels, qui désormais bénéficieront du taux réduit à 5,5%. Les gérants de salles de cinéma ont déjà annoncé qu’il proposerait des places à 4 euros aux moins de 14 ans.

Smic: 1,1% de hausse prévue en janvier, c’est trop !

Smic: 1,1% de hausse prévue en janvier, c’est trop !

 

 

Les « experts »  estiment   comme le gouvernement que la hausse de 1.1% du SMIC au premier janvier est plus que largement suffisante. L’inflation officielle sera en effet de l’ordre de 0.7% en 2013. Conclusion de Sapin ; « c’est une augmentation du pouvoir d’achat ! » Une précision toutefois l’indice des prix calculé par l’INSEE est obsolète pour mesurer l’inflation des petits revenus pratiquement entièrement destinés aux dépenses contraintes qui augmentent  le plus. Cet indice moyen ne tient pas compte de la structure des consommations et de leur évolution (et pas du tout des impôts). Si une  question se pose c’est sur le principe même d’un salaire minimum décidé par l’Etat qui effectivement décide mais ne subît pas les conséquences de ses décisions. De ce point de vue des négociations par branche sur un salaire minimum serait sans doute plus adaptées (des négociations qui existent mais dont la grille salariale est écrasée par ce SMIC). Economiquement ce SMIC peut donc être contesté mais socialement, il  parait un peut inconvenant d’estimer qu’il y a une augmentation quand certains grands patrons (à ne pas confondre avec nombre de patrons de PME) eux se gavent.  Le gouvernement, qui a annoncé vendredi que le salaire minimum augmenterait donc automatiquement de 1,1% au 1er janvier, a fait valoir que cette hausse légale constituait en soi un « gain de pouvoir d’achat », accréditant l’idée qu’il n’y aurait pas de coup de pouce supplémentaire.  Le salaire minimum est revalorisé automatiquement chaque 1er janvier en fonction notamment de l’évolution des prix.  Compte tenu des règles de calcul « modernisées » mises en place cette année, il sera ainsi majoré de 1,1% au début janvier, a confirmé le ministre de l’Emploi Michel Sapin à l’AFP. Soit une augmentation de dix centimes du Smic horaire brut, qui passera ainsi de 9,43 à 9,53 euros.  Quelque 3 millions de personnes -13% des salariés- touchaient le salaire minimum en janvier 2013, soit un demi-million de plus qu’en 2012, selon les chiffres officiels.  Le gouvernement peut, s’il le veut, donner un coup de pouce supplémentaire pour prendre en compte « l’aspiration légitime des salariés à une redistribution des fruits de la croissance lorsque celle-ci est au rendez-vous », comme il l’avait expliqué lui-même il y a quelques mois.  Il doit annoncer sa décision lundi après-midi lors de la réunion de la Commission nationale de la négociation collective (CNNC). Mais M. Sapin a paru vendredi préparer les esprits au fait que le gouvernement n’était pas prêt à aller plus loin.  Avec une « inflation de 0,6% », « il y a un gain de pouvoir d’achat » par « la seule application des nouvelles règles de calcul », a ainsi souligné le ministre.  Le gouvernement a en outre sur sa table le rapport annuel du groupe d’experts sur le Smic, chargé depuis 2008 d’ »éclairer » l’exécutif avant chaque revalorisation.  Or, ces experts ont préconisé de s’en tenir à la hausse légale. Ils ont pointé notamment le risque qu’une hausse du Smic ne « se traduise in fine par une baisse de l’emploi et de la compétitivité des entreprises », dans un contexte de maigre croissance et de fort chômage. Ils ont aussi fait remarquer que le Smic en France était « aujourd’hui très nettement au-dessus des niveaux constatés dans les autres pays de l’OCDE ».  Le 1er janvier dernier, le gouvernement avait choisi de se limiter à la hausse légale (+0,3%) pour 2013.  Depuis 2007, il n’y a eu qu’un seul coup de pouce au Smic, celui décidé le 1er juillet 2012 (+0,6%) par François Hollande, nouvellement élu. Le Smic avait été au total augmenté de 2%.

Chômage : record en janvier en zone euro

Chômage : record en janvier en zone euro

 

Eurostat a annoncé que le taux de chômage des Dix-Sept avait inscrit un nouveau record en janvier, à 11,9% de la population active. Le taux de chômage du mois de décembre a été revu en hausse à 11,8% contre 11,7% en première estimation. Au mois de janvier, 201.000 personnes supplémentaires se sont retrouvés sans emploi dans la zone euro, a précisé Eurostat. La dégradation de la situation économique devrait être au centre des discussions du Conseil des gouverneurs de la BCE lors de sa réunion jeudi prochain. Et si seule une minorité d’économistes s’attendent à une baisse du taux de refinancement, le principal instrument de politique monétaire de l’institution de Francfort, sous son niveau actuel de 0,75%, il est clair pour la plupart d’entre eux que le risque inflationniste a disparu des écrans radars. « L’inflation n’est tout simplement pas un sujet de préoccupation, ce n’est pas une raison pour laquelle les décideurs devraient hésiter à baisser les taux d’intérêt », juge Sarah Hewin, responsable de la recherche européenne chez Standard Chartered. « Ils pourraient passer à l’action dès la semaine prochaine mais il y a un facteur qui plaide pour que la BCE reste l’arme au pied, c’est le fait que nous soyons entrés dans une période d’instabilité politique en Italie et qu’il faille résoudre la question de la dette chypriote. »

Production manufacturière janvier: chute au niveau de 2009

Production manufacturière janvier: chute au niveau de 2009

 

Confirmation de l’écroulement de la croissance avec la production manufacturière en janvier. L’activité s’est contractée en janvier dans le secteur manufacturier français à son rythme le plus rapide depuis quatre mois, les nouvelles commandes tombant à leur niveau le plus bas depuis 2009, selon les résultats définitifs de l’enquête PMI Markit/CDAF publiés vendredi. L’indice PMI sectoriel définitif a baissé à 42,9, un chiffre identique à celui publié en première estimation, après 44,6 en décembre, restant sous le seuil de 50 qui sépare croissance et contraction de l’activité. Les nouvelles commandes poursuivent leur contraction et atteignent leur plus bas niveau depuis mars 2009. Les commandes à l’export ont moins chuté, suggérant que la faiblesse de la demande intérieure est la première responsable de la chute des commandes. « Le fait que les nouvelles commandes aient chuté à leur rythme le plus rapide depuis près de quatre ans est un développement particulièrement inquiétant et suggère que d’autres chutes importantes de la production sont probables », a déclaré Jack Kennedy, économiste chez Markit. « La confiance semble s’être évaporée face à un environnement économique de plus en plus incertain », a-t-il ajouté.

 

 

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Immatriculations autos janvier : – 15%

Immatriculations autos  janvier : – 15%

La dégringolade continue pour les voitures pour ce premier mois de 2013. Les ventes de voitures neuves en France ont poursuivi en début d’année leur dégringolade de 2012, avec un plongeon de 15% en janvier à 124.952 véhicules écoulés, selon les chiffres communiqués vendredi par le Comité des constructeurs français de la ‘automobiles (CCFA). Les constructeurs français continuent de souffrir. Par rapport à janvier 2011, les ventes de PSA Peugeot Citroën ont chuté de 16,7%. Renault (incluant la marque à bas coûts Dacia) a limité les dégâts, mais affiche tout de même une baisse de 7,4%, selon le CCFA.

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