Archive pour le Tag 'janvier'

Page 5 sur 9

Covid France : jusqu’à 250.000 cas par jour en janvier ( Olivier Véran)

Covid France : jusqu’à 250.000 cas par jour  en  janvier ( Olivier Véran)

 

 

D’après la plupart des expert,s il faut s’attendre en janvier à des nombres de contaminés jamais atteints jusque-là : jusqu’à plusieurs centaines de milliers par jour. Le ministre de la Santé Olivier Véran a lui-même reconnu qu’on pourrait enregistrer autour de 250 000 cas en janvier 2022. Olivier Véran souligne le que le variant Omicron « est beaucoup plus contagieux que les précédents, et notamment le variant Delta ». « Le nombre de malades contaminés double tous les deux jours, contre douze à quinze jours avec le variant Delta », a-t-il indiqué. Cette montée des contaminations « représente un risque majeur d’absentéisme », a noté le ministre. En fait il s’agit sans doute du principal risque de ce variant qui pourrait en partie paralysée un certain nombre d’activités y comprises essentielles du fait de la multiplication des arrêts maladie. « On voit déjà une hausse très forte et des arrêts de travail  » a déclaré le ministre de la santé

OMICRON: vers un chaos économique total en janvier ?

OMICRON: vers un chaos économique total en janvier ?

L’économie comme les autres activités pourraient bien être paralysées en janvier du fait de l’absentéisme conduisant ainsi à une certaine forme de chaos dans le pays. C’est ce que craint le conseil scientifique qui estime qu’ avec des « centaines de milliers de cas » par jour prévus en janvier, ce variant pourrait conduire à une « désorganisation de la société à partir » du début de l’année, a mis en garde Jean-François Delfraissy, le président de l’instance chargée de conseiller le gouvernement, lors d’une conférence de presse ce jeudi.

Des déclarations qui ont été assez mal accueillies par le gouvernement qui reproche au  conseil scientifique sa trop grande liberté de parole.

Le problème c’est qu’il y a en France une certaine confusion des responsabilités avec des politiques qui se prennent pour des experts de la santé a commencerpar le président de la république. Mais aussi des experts médicaux un peu trop bavards et qui tombent  dans le piège des sollicitations excessives des médias sur tous les sujets.

On aura observé que dans les conférences de presse du président de la république ou  du ministre de la santé la plus grande partie des exposés est réservée aux diagnostics scientifiques à comparer à la pauvreté des mesures politiques de protection.

À l’inverse certain spécialistes du secteur sanitaire propose parfois des mesures de politique générale dont ils ne mesurent pas toujours toujours les effets sociaux et économiques.

Pour résumer, on parle beaucoup, à tort et à travers et le commun des mortels a un peu de mal à se retrouver dans ce délire verbal qui mélange compétences scientifiques et orientations politiques.

Ce qui apparaît évident c’est que dans un contexte de forte circulation du virus, il y aura de très nombreuses contaminations et encore plus de personnes « cas contacts ». Même si « la majorité sera asymptomatique » grâce à la protection vaccinale et à la moins forte sévérité du variant observée pour l’heure, cette diffusion massive aura un impact sur le travail dans le pays à cause de la multiplication des arrêts et de l’absentéisme.

L’organisation des services publics et privés pourrait être bouleversée, alertent les scientifiques. Des problèmes se poseront notamment « sur les secteurs stratégiques de notre société comme la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications ou encore la santé », met en garde Olivier Guérin, médecin du CHU de Nice et membre du Conseil scientifique.

 

Covid- Scénario noir santé- 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

Covid- Scénario noir santé-  200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

On pourrait enregistrer des statistiques de contaminés de l’ordre de 200 000 par jour, a estimé vendredi sur CNews l’infectiologue Benjamin Davido. Un chiffre tellement impressionnant qu’on pourrait perdre le contrôle total de la pandémie avec en plus.  Ce risque d’absentéisme et de paralysie économique a déjà été évoqué par le conseil scientifique. Un pronostic qui n’a d’ailleurs guère été apprécié par le gouvernement qui reproche au président du conseil scientifique d’être trop bavard et sans doute trop pertinent.le risque d’une paralysie de la vie économique et sociale du fait en particulier de l’absentéisme.Pourtant la réalité des chiffres est, À Noël on a déjà franchi le record absolu de 100 000 contaminés, ainsi qui pourrait doubler début 2022 sans nouvelles mesures restrictives.

« Il va falloir qu’on réfléchisse à un plan de secours » pour l’hôpital, a  souligné Benjamin Davido.

« Si vous mettez en éviction (tous les cas positifs et les cas contacts) dans le système scolaire, la police, l’hôpital, (la société) va être à l’arrêt », a prévenu vendredi Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon sur BFMTV.

Le plus grand danger risque d’être économique avec une paralysie en tout cas un grand ralentissement des activités y comprises essentielles.  La liste est longue des secteurs risquant de subir les absences au travail liées aux « centaines de milliers » de cas par jour redoutés en début d’année, selon Olivier Guérin, membre du Conseil scientifique français, citant « la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications, et la santé ».

Le président de l’institution, Jean-François Delfraissy, a de son côté soulevé la « désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels ». Encore minoritaire dans l’Hexagone, le variant Omicron n’a pas causé d’isolements forcés massifs en raison de cas positifs ou de cas contacts. Mais quelques signaux d’alerte s’affichent et les projecteurs sont braqués sur la sixième vague en janvier.

MESURES ANTI-COVID:  » TROP TARD EN JANVIER  » (l’infectiologue Gilles Pialoux)

MESURES  ANTI-COVID:  » TROP TARD EN JANVIER  » (l’infectiologue Gilles Pialoux)

 

 

Jusque-là les pouvoirs publics ont tout fait pour limiter au maximum les restrictions à la mobilité jusqu’à Noël. Les experts scrutent avec attention l’évolution de la pandémie qui a dépassé le record absolu de 100 000 contaminés nouveaux en 24 heures  le jour de Noël. Sur la tendance les 200 000 cas pourraient être atteints en janvier. En clair, la situation pourrait alors être incontrôlable du faîte d’une part du blocage des hôpitaux par les malades en soins intensifs mais aussi en raison de l’absentéisme général bloquant les activités essentielles et des services publics. Une situation très grave que souligne l’infectiologue Gilles Pialoux, chef des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Tenon Paris.

« Le choix politique qui a été fait c’est de dire: on attend de voir et on prendra des mesures », alors que « le Conseil scientifique a réclamé des mesures dratiques », note-t-il ce jeudi sur BFMTV-RMC.

Dans son avis du 16 décembre, le Conseil Scientifique écrivait, parmi ses recommandations, qu’au « regard de l’accélération de l’épidémie, et des risques liés aux activités festives de fin d’années, des mesures de restriction significatives doivent pouvoir être prises par les autorités à l’occasion du réveillon (y compris le cas échéant sous la forme de limitation d’activités collectives ou de couvre-feux), avec la possibilité d’une déclinaison territoriale ».

Des mesures de restriction auraient dû être mises en place pour Gilles Pialoux, afin de « régler le problème de Delta avant de se payer Omicron en pleine face ». « Là on va avoir un effet double lame, double vague, qui va être très compliqué à gérer, même si Omicron est peut-être moins pathogène« . En ce sens, « sur les mesures coercitives, il faut être clair »: « en janvier ce sera trop tard ».

Covid: 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

Covid: 200 000 cas dès janvier et la paralysie économique ?

On pourrait enregistrer des statistiques de contaminer de l’ordre de 200 000 par jour, a estimé vendredi sur CNews l’infectiologue Benjamin Davido.Un chiffre tellement impressionnant qu’on pourrait perdre le contrôle total de la pandémie avec en plus Ce risque d’absentéisme et de paralysie économique a déjà été évoqué par le conseil scientifique. Un pronostic qui n’a d’ailleurs guère été apprécié par le gouvernement qui reproche au président du conseil scientifique d’être trop bavard et sans doute trop pertinent.le risque d’une paralysie de la vie économique et sociale du fait en particulier de l’absentéisme.

« Il va falloir qu’on réfléchisse à un plan de secours » pour l’hôpital, a  souligné Benjamin Davido.

« Si vous mettez en éviction (tous les cas positifs et les cas contacts) dans le système scolaire, la police, l’hôpital, (la société) va être à l’arrêt », a prévenu vendredi Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon sur BFMTV.

Le plus grand danger risque d’être économique avec une paralysie en tout cas un grand ralentissement des activités y comprises essentielles.  La liste est longue des secteurs risquant de subir les absences au travail liées aux « centaines de milliers » de cas par jour redoutés en début d’année, selon Olivier Guérin, membre du Conseil scientifique français, citant « la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications, et la santé ».

Le président de l’institution, Jean-François Delfraissy, a de son côté soulevé la « désorganisation possible d’un certain nombre de services essentiels ». Encore minoritaire dans l’Hexagone, le variant Omicron n’a pas causé d’isolements forcés massifs en raison de cas positifs ou de cas contacts. Mais quelques signaux d’alerte s’affichent et les projecteurs sont braqués sur la sixième vague en janvier.

Electricité: risque de crash début janvier

Electricité: risque de crash début janvier

 

Les conditions climatiques, l’environnement géopolitique et la crise sanitaire susceptible de créer une crise de production de l’électricité en France. Cela d’autant plus que les pouvoirs publics ont décidé de fermer Fessenheim alors que des réacteurs pour l’objet d’une vaste opération d’entretien. Bref, la Frans premier producteur exportateur d’électricité risque d’importer de l’électricité en particulier d’Allemagne où dominent les centrales à charbon ! Le risque le plus grave est sans doute celui qui résulterait d’un absentéisme provoqué par le virus et qui affecterait notamment la production d’électricité . Actuellement c’est précisément en raison de la pandémie que l’entretien de réacteurs n’a pu être assurée à temps.

 « Instantanément, il n’y a pas de sujet d’approvisionnement, la consommation électrique des entreprises va baisser à partir de Noël. Mais on redoute le 3 janvier, la reprise des usines et le redémarrage des ateliers. Le ressaut de consommation sera très significatif, poursuit Nicolas de Warren, , Président de l’Union des industries utilisatrices d’énergie:

. Si je me réfère à l’an dernier, c’est une marche d’escalier qui peut atteindre de l’ordre de 20 gigawatts. Ces derniers jours, la puissance appelée était d’environ 80 gigawatts, et sur ce montant, la France importait 12 à 13 gigawatts. 

OMICRON: un chaos économique total en janvier ?

OMICRON: un chaos économique total en janvier ?

L’économie comme les autres activités pourraient bien être paralysées en janvier du fait de l’absentéisme conduisant ainsi à une certaine forme de chaos dans le pays. C’est ce que craint le conseil scientifique qui estime qu’. avec des « centaines de milliers de cas » par jour prévu en janvier, ce variant pourrait conduire à une « désorganisation de la société à partir » du début de l’année, a mis en garde Jean-François Delfraissy, le président de l’instance chargée de conseiller le gouvernement, lors d’une conférence de presse ce jeudi.

Dans un contexte de forte circulation du virus, il y aura de très nombreuses contaminations et encore plus de personnes « cas contacts ». Même si « la majorité sera asymptomatique » grâce à la protection vaccinale et à la moins forte sévérité du variant observée pour l’heure, cette diffusion massive aura un impact sur le travail dans le pays à cause de la multiplication des arrêts et de l’absentéisme.

L’organisation des services publics et privés pourrait être bouleversée, alertent les scientifiques. Des problèmes se poseront notamment « sur les secteurs stratégiques de notre société comme la distribution alimentaire, la sécurité, l’énergie, les transports, les communications ou encore la santé », met en garde Olivier Guérin, médecin du CHU de Nice et membre du Conseil scientifique.

 

COVID- PASS VACCINAL D’ICI FIN JANVIER: beaucoup trop tard

COVID- PASS VACCINAL D’ICI FIN JANVIER: beaucoup trop tard

Une nouvelle fois le gouvernement se félicite d’une mesure qui va se révéler beaucoup trop tardive. En effet ,il est probable que les pouvoirs publics seront rapidement débordés par l’envol des statistiques du faite notamment de la prolifération du variant Omicron. Pour répondre à l’actuel crise sanitaire qui pour l’instant est surtout imputable aux variant Delta ,le gouvernement sort de sa poche un pass  vaccinal pour remplacer le pass sanitaire.

 

Tout cela pour ne pas fâcher l’opinion publique et éviter d’avoir à déclarer que la vaccination est obligatoire pour tous. Un manque de lucidité et de courage en même temps. En outre le gouvernement pense pouvoir faire adopter par le Parlement cette mesure d’ici fin janvier. Là encore, un calendrier beaucoup trop tardif. En effet en février on pourrait atteindre des chiffres de 100 000 contaminés voire davantage par jour sans parler évidemment des soins intensifs qui vont bloquer les hôpitaux.

 

Si par hypothèse le pass vaccinal était adopté fin janvier il n’entrerait en application qu’au mois de mars là où par exemple le Royaume-Uni s’attend à des poussées de contamination jusqu’à 200 000 par jour.

 

Au lieu de multiplier les interventions télévisées inutiles et les fausses mesures restrictives, le gouvernement ferait bien de prendre la dimension de l’ampleur de la catastrophe sanitaire et d’imposer enfin à tous des règles de protection impératives . Et notamment de déclarer la vaccination obligatoire.

Covid: Une cinquième vague début janvier est une sixième vague en février mars

Covid: Une cinquième vague début janvier est une sixième vague en février mars

La cinquième vague de la pandémie risque d’atteindre son sommet vers janvier mais le responsable est encore de façon ultra majoritaire le variant delta. Ensuite viendra l’efet du variant omicron encore davantage contaminant même s’il n’est pas plus dangereux. Au Royaume-Uni on prévoit déjà des contaminations quotidiennes de leur de 200 000 par jour. On voit mal comment la France pourrait être épargnée par le phénomène. D’ailleurs pour le variant delta, on constate aujourd’hui que les chiffres de contamination sont devenues à peu près identique en France, Royaume-Uni et en Allemagne : autour de 50 à 60 000 quotidiennement. Après la cinquième vague due au delta, il faudra compter sur une sixième vague imputable au variant et micron à partir de février mars. Bref l’année 2002 est très mal partis sur le plan sanitaire et sans doute aussi sur le plan économique car des mesures restrictives beaucoup plus dures qu’aujourd’hui devront s’imposer.

Omicron est « clairement hautement transmissible », avait ainsi déclaré mardi dernier à l’AFP, Anthony Fauci, conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire. Il pourrait devenir majoritaire en Europe « dans les tout prochains mois », avançaient également des projections publiées le 2 décembre par l’agence de l’Union européenne chargée des maladies. Sur la base de ces modèles mathématiques, « Omicron pourrait causer plus de la moitié des infections provoquées par le virus SARS-CoV-2 dans l’Union européenne d’ici les tout prochains mois ».

« Ce que l’on a vu en Afrique du Sud et ce que l’on voit actuellement au Royaume-Uni est assez inquiétant. On est sur un variant qui se propage beaucoup plus facilement que le variant Delta et qui touche des populations que l’on croyait immunisées jusqu’à présent », a expliqué ce lundi sur BFMTV l’épidémiologiste Pascal Crépey.

« On a un temps de doublement de l’épidémie de 2,5 jours, cela veut dire que tous les 2,5 jours on double le nombre d’infectés. Aujourd’hui le Royaume-Uni est autour de 3000 cas, à ce rythme là, dans une semaine ils sont à 20.000 et dans deux semaines à 160.000 cas », continue-t-il.

« Cela va extrêmement vite, c’est cela qui est très inquiétant », et avec le variant déjà présent sur le territoire français, « il n’y a pas de raisons d’imaginer qu’il ne se passe pas ce que l’on voit sur le territoire du Royaume-Uni« , sur notre sol.

Le chômage en baisse en janvier !

Le chômage en baisse en janvier !

 

Il est clair que les statistiques actuelles du ministère de l’emploi ne présentent aucun intérêt. En effet cela n’intègre pas les 2 millions de chômeurs partiels pas davantage que ce qui ont renoncés à chercher un emploi content tenu du blocage de certaines activités ou de leur ralentissement. Le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (sans activité) aurait donc enregistré une baisse de 0,9% en janvier, soit 34.600 inscrits en moins, pour s’établir à 3,79 millions, selon les chiffres de la Dares publiés jeudi. En incluant l’activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi en France (hors Mayotte) est quasi stable en janvier (+0,1%, soit +3.600) et s’établit à 6 millions, selon le service statistique du ministère du Travail.

Ces statistiques mensuelles sont publiées sans commentaire sur le site de la Dares qui a décidé de revenir à une analyse des évolutions trimestrielles, moins volatiles, comme avant la crise sanitaire mais dans la période complètement incohérente

Les derniers résultats trimestriels publiés fin janvier avaient même fait état au quatrième trimestre 2020 d’une diminution du nombre de chômeurs en catégorie A de 2,7% par rapport au trimestre précédent. Pour 2020, sous l’effet de la crise liée au Covid-19, la hausse du nombre de chômeurs a atteint 7,5%, avec 265.400 inscrits supplémentaires au 4e trimestre 2020 par rapport au 4e trimestre 2019.

Moral des patrons : très léger mieux en janvier

Moral des patrons : très léger mieux en janvier

L’indicateur synthétique qui reflète ce climat des affaires gagne 1 point par rapport à décembre à 92 points, mais reste encore très inférieur à sa moyenne de longue période qui est de 100, précise l’Institut national des statistiques. « Cette très légère hausse est le reflet d’évolutions différentes suivant les secteurs d’activité en lien avec l’incertitude quant à l’évolution de la situation sanitaire », souligne l’Insee.

Ainsi l’industrie et le commerce de gros connaissent une petite amélioration, tandis que le climat des affaires « fluctue à peine dans les services et le commerce de détail », davantage soumis à des restrictions. Le durcissement et l’élargissement du couvre-feu sur l’ensemble du territoire depuis une semaine devraient à nouveau plomber le moral des commerces.

Dans l’industrie, l’impact de la crise est nettement moins sévère que dans les services. Il reste que beaucoup de sites de production sont menacés et des milliers d’emplois risquent encore d’être détruits dans le sillage des faillites d’entreprises.  Le climat de l’emploi gagne lui aussi un point en janvier par rapport à décembre, à 85 points, quand il était à 105 points avant la crise.

Croissance France : la rechute en janvier

Croissance France : la rechute en janvier

 

La chute de l’activité a été importante en novembre notamment une baisse de l’ordre de 20 % de la consommation, au total pour le mois -11 % pour le.PIB  Un très léger redressement avait été constaté en décembre avec -7%, mais ce rattrapage connaîtra une pause en janvier, selon des données publiées mercredi par la Banque de France.

La  rechute devrait se confirmer en janvier d’après l’INSEE, avec une activité « quasi stable » dans l’industrie, le bâtiment et les services, selon les chefs d’entreprises interrogés entre le 21 décembre et le 7 janvier derniers.

La Banque de France table ainsi pour janvier sur une activité toujours en deçà de 7% de son niveau d’avant-crise, comme en décembre, du fait du maintien et même du renforcement des mesures de lutte contre l’épidémie de Covid-19.

La Banque de France table ainsi pour janvier sur une activité toujours en deçà de 7% de son niveau d’avant-crise, comme en décembre, du fait du maintien et même du renforcement des mesures de lutte contre l’épidémie de Covid-19.

Mais cette anticipation « doit être interprétée avec prudence car elle peut masquer un manque de visibilité, compte tenu de la forte incertitude sur l’évolution de l’épidémie », prévient la Banque de France.

 

L’évolution de l’activité dépendra in fine de l’adaptation des mesures prises par le gouvernement, alors que le conseil de défense qui se tient mercredi pourrait entériner de nouvelles restrictions, dont une extension du couvre-feu.

L’activité devrait ainsi encore rester 6% en dessous de son niveau d’avant-crise durant le premier trimestre, selon les dernières prévisions de la Banque de France publiées mi-décembre.

Elle tablait alors sur un rebond du PIB de 5% cette année, soit un peu moins que la prévision de 6% établie par le gouvernement. Notons que les institutions internationales prévoient à peine 4 % de croissance pour le PIB 2021.

Un nouveau confinement en janvier

Un nouveau confinement en janvier

Même s’il est de plus en plus mal vécu par la population, le confinement strict et précoce est la meilleure arme contre la propagation virale, défendent les médecins et autres membres de l’association PandémIA dans une tribune au « Monde ».

Nous alertions en novembre sur les risques de « stop and go », alternance de confinements et déconfinements contemporains de multiples vagues, comme celle s’amorçant sous nos yeux. Avons-nous encore échoué ? La pandémie a-t-elle toujours une vague d’avance ? L’ampleur de la deuxième vague nous a surpris, à cause de plusieurs facteurs : un relâchement, flagrant cet été, des mesures barrières, puis le refroidissement saisonnier propice à la propagation du virus, plus résistant au froid et à l’humidité, avec une probabilité plus grande de le trouver en milieu confiné.

La pandémie a changé de nature également. Les 25 000 mutants du Covid décrits jusqu’ici étaient sans conséquence évidente sur l’histoire de la maladie. Cependant, deux nouveaux mutants sont apparus (Royaume-Uni et Afrique du Sud), beaucoup plus contagieux, apparemment sans conséquences sur la virulence. Ces mutations facilitent l’entrée du virus dans les cellules et en augmentent les quantités produites dans la salive, principal vecteur de transmission. Modifient-elles également la résistance du virus dans l’environnement ? Sa capacité à échapper au système immunitaire ? L’émergence de ces variants pose aussi le problème de la sensibilité des tests PCR, de l’efficacité de nos stratégies pour les identifier et limiter leur diffusion, et surtout des potentielles conséquences sur l’efficacité des vaccins.

Surveillance des eaux usées

Alors que l’amélioration des techniques de réanimation (oxygénation moins invasive) et des traitements spécifiques (corticoïdes, anticoagulants) permettait de baisser la mortalité de 40 % à moins de 25 % chez les patients sévères, une surmortalité a été observée pendant la deuxième vague, soulevant de nombreuses questions. Serait-ce un effet « comptable », de nombreux décès de la première vague n’ayant pas été reconnus Covid, car non diagnostiqués, ou une conséquence de sa durée, plus longue ?

Notre incapacité à mieux gérer les déconfinements, en anticipant la recirculation du virus, est aussi en question. Notre groupe avait montré que la surveillance de la présence du virus en quantité croissante dans les eaux usées permettait d’annoncer la remontée de l’incidence de la maladie, et ses conséquences sur l’afflux hospitalier et les décès. Les travaux conduits dans le cadre du réseau Obépine avaient notamment alerté sur le retour du virus, dès le 20 juin, les indicateurs « individus-centrés » n’ayant perçu cette recirculation qu’un mois plus tard.

«Sécurité globale» : encore de nouvelles manifs les 16 et 30 janvier

«Sécurité globale» : encore de nouvelles manifs les  16 et 30 janvier

La coordination des organisations d’extrême-gauche appelle «à de nouvelles marches des libertés, samedi 16 janvier, partout en France, avant un grand rassemblement, samedi 30 janvier, à Paris», ajoute-t-elle. Elle a organisé plusieurs manifestations ces dernières semaines, dont une le 28 novembre qui a rassemblé selon elle 500.000 personnes (133.000 selon le ministère de l’Intérieur).

Elle exige toujours le retrait de l’article 24 de la proposition de loi «Sécurité globale», le plus controversé, qui pénalise la diffusion malveillante d’images des policiers. Mais aussi des articles 21 et 22 sur l’usage des caméras-piétons et des drones par les forces de l’ordre, et du «nouveau schéma national du maintien de l’ordre» (SNMO), qui limite la couverture médiatique des manifestations.

École – rentrée de janvier: repoussée ?

École – rentrée de janvier: repoussée ?

Le ministre de l’éducation n’envisage pas pour l’instant de repousser la rentrée scolaire. Cependant tout dépendra en fait de la progression du virus qui devient alarmante dans nombre de pays. Aujourd’hui même,  un conseil de défense sera réuni en France sans doute pour prendre des mesures encore plus restrictives à la veille des fêtes. Il y aura vraisemblablement encore d’autres conseils de défense qui en fonction des circonstances pourraient contredire le ministre de l’éducation. Pour Jean-Michel Blanquer, les inconvénients à ne pas retourner à l’école « sont largement supérieurs aux avantages, quand vous fermez tout », dit-il, assurant garder la même ligne. « L’école est fondamentale et nous ne devons pas la sacrifier », insiste-t-il. D’ailleurs, le ministre affirme qu’avoir tenu cette ligne a porté ses fruits. « Nous avons réussi à ramener tous les enfants à l’école en septembre, et à ce que ça se passe bien en septembre, octobre, novembre et décembre », se félicite le ministre.

 

1...34567...9



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol