Archive pour le Tag 'janvier'

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Covid France 27 janvier 2023 : +5.287 nouveaux cas confirmés en 24h

Covid France 27 janvier 2023 :

On Enregistre jeudi 26 janvier 2023 : +5.287 nouveaux cas confirmés en 24h soit au total 314.605 cas confirmés et 164.036 morts au total, +50 morts supplémentaires soit 164.036 morts au total

Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 134.457 (+50 en . Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.579 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 134.457 (+50 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,60 le taux d’incidence à 45,41 et la tension hospitalière à 18,5 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 16.479 (-438) personnes hospitalisées et 936 (-21) malades en réanimation.


Bilan des régions

Ile-de-France : 4.426 (-173) hospitalisées, 267 (-6) en réanimation et +8 décès en 24h
Grand Est : 1.359 (-44) hospitalisés, 76 (-5) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 1.614 (-46) hospitalisés, 80 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 1.738 (-13) hospitalisés, 101 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.506 (-48) hospitalisé, 79 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
Bretagne: 482 (-14) hospitalisés, 28 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
Normandie : 829 (-7) hospitalisés, 22 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.290 (-40) hospitalisés, 96 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
Pays de la Loire : 192 (-6) hospitalisés, 18 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 1.372 (-21) hospitalisés, , 83 (0) en réanimation et +6 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 625 (-22) hospitalisés, 31 (-3) en réanimation et +2 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 756 (-1) hospitalisés, 44 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h

Retraites: Nouvelle mobilisation le 31 janvier

Retraites: Nouvelle mobilisation le 31 janvier

Comme prévu tous les syndicats se sont réunis le soir même de l’énorme manifestation du 19 janvier. Ils ont d’abord fait le constat du succès exceptionnel de cette manifestation qui aurait réuni 2 millions de personnes d’après les syndicats (1,2 millions d’après le ministère de l’intérieur). De toute manière, une mobilisation considérable non seulement à Paris mais également en province y compris dans les petites villes.

Du coup, les syndicats ont immédiatement décidé d’une nouvelle journée. On semble donc s’engager dans un processus d’affrontement qui va s’installer dans la durée avec le risque de porter gravement atteinte à l’économie dans les perspectives sont déjà très fragiles pour 2023.

L’entêtement de Macon pourrait conduire le pays vers la récession avec des pertes considérables de croissance et une nouvelle dégradation de la confiance des acteurs économiques. Si le mouvement devait durer jusqu’à l’été, les pertes financières liées à la diminution de l’activité générale se chiffreraient alors en dizaines de milliards. Des chiffres encore bien supérieurs aux économies hypothétiques attendues de la réforme des retraites.

La prochaine journée de mobilisation contre la réforme des retraites aura lieu le mardi 31 janvier, a appris franceinfo de sources syndicales, jeudi 19 janvier. La CGT voulait que ce soit le 26 janvier, mais c’est finalement la CFDT qui a obtenu gain de cause. Cette date a été choisie lors de la réunion entre les huit principaux syndicats français réunis en intersyndicale, pour laisser le temps aux organisations syndicales de déposer de nouveaux préavis de grève et de pouvoir remobiliser sur le terrain, après cette première journée qui a été plutôt réussie.

Plusieurs organisations appellent également à des manifestations locales lundi 23 janvier, lors de la présentation en Conseil des ministres du projet de réforme des retraites, avec des concerts de casseroles, des rassemblements devant les préfectures, devant les locaux de députés, voire des marches aux flambeaux comme on en a vu cette semaine à Marseille

Plus de 200 manifestations ont eu lieu à Paris et en régions et plus d’un million de personnes (1,12 million) ont défilé jeudi en France, dont 80 000 à Paris, contre le projet de réforme des retraites du gouvernement, selon un décompte diffusé par le ministère de l’Intérieur. Selon la CGT, cette première journée d’action a réuni deux millions de personnes. Ils manifestaient à l’appel de la CFDT, la CGT, FO, la CFE-CGC, la CFTC, l’Unsa, la FSU et Solidaires, contre une réforme des retraites jugée « injuste et brutale » par les syndicats.

Les Français soutiennent la manifestation du 19 janvier

Les Français soutiennent la manifestation du 19 janvier

 Selon le dernier sondage Odoxa Backbone consulting réalisé pour Le Figaro,une majorité des Français soutiennent l’action du 19 janvier. 

 

Dans le détail, c’est le report de l’âge légal qui cristallise les crispations, avec une opposition de 62% des Français. Là encore, les plus réfractaires sont du côté des actifs et plus particulièrement des ouvriers. «Mais le recul de l’âge étant accompagné de différentes mesures d’ordre social, l’opposition tend à s’atténuer», souligne la directrice générale d’Odoxa, Céline Bracq. Ainsi depuis juin 2022, celle-ci a réduit de cinq points.

Certains pans de la réforme font aussi davantage consensus. L’augmentation du minimum retraite à 1200€ et la prise en compte des personnes ayant eu des «carrières longues» reçoit par exemple l’approbation de 83% des sondés. Cela plaît notamment aux retraités (91%), dont la pension devrait pour certains être revalorisée, mais aussi aux sympathisants de tous bords.

 

Ces quelques points accordés au gouvernement n’empêchent pas les Français de soutenir, pour une majorité d’entre eux (65%), le premier mouvement annoncé pour le 19 janvier. «Pour le moment, le soutien populaire est fort mais beaucoup moins qu’au début des ‘gilets jaunes’ et un peu moins que pour la précédente réforme qui avait finalement avorté en décembre 2019», souligne Céline Bracq.

Grève 19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

Grève 19 janvier retraites : 60% contre la réforme et pour la mobilisation

 

 

Selon un très récent sondage Elabe pour BFM, l’opinion condamne très largement la réforme et soutient la mobilsation à hauteur de 60%. 

 

Sans conteste ,le gouvernement englué dans son approche technocratique parcellaire On se demande combien de français ont pu suivre jusqu’au bout le l’inter minable défilé des ministres à la télé qui tentaient de défendre le projet. C’est incompréhensible pour la plupart des téléspectateurs et nombre de questions demeurent dans le flou; parfois d’ailleurs volontairement pour cacher les différences entre public et privé, entre moins qualifiés et les autres, entre actifs et retraités actuels.

 

Une réforme évidemment bien loin de la réforme universelle à points qui remettait tout à plat avec un régime unique .

Au lieu de cela on a multiplié les exceptions ainsi un chauffeur RATP pourra partir à 58 ans quand un autre chauffeur de bus en province partira à 64 ans.

 

Fa fameuse réforme systémique est enterrée pour une classique réforme paramétriques qu’on devar revoir d’ici 5 à 10 ans. Et de toute façon, on ne pourra pas faire l’économie d’une réforme systémique un jour.

Cette reforme est dune injustice criante elle fait peser sur les moins favorisés actifs le poids des économies.

19 janvier: grèves aussi sur les salaires

19 janvier: grèves aussi sur les salaires

La grève du 19 janvier pourrait changer de thème et se transformer en mobilisation aussi sur les salaires. Certes, l’inquiétude générale  repose sur les conséquences de la réforme des retraites mais le climat social se nourrit surtout de la question de la perte du pouvoir d’achat.

Officiellement une perte de pouvoir d’achat de plus de 3% en moyenne pour lannée 2022. mais il faudra compter au moins autant en 2023; une nouvelle dérive des prix qui va se cumuler avce celle de 2022.Une ponction immédiate et rend le problème du pouvoir d’acahat encore plus brulant que celle de la réforme des retraites.

 

D’ici le 19 février, pendant et après, on pourrait voir la question salariale prendre  le pas sur l’enjeu des retraites

Dès ce vendredi, la CGT appelle à la grève à la RATP sur tous les réseaux de transport parisiens – métro, bus, tramway. Et beucoup de patrons constatent la mécontentement sur ce point.

Un signe, parmi d’autres, que dans l’entreprise publique comme dans de nombreuses sociétés privées, la pression des revendications salariales monte sur les dirigeants. Non sans une certaine tension comme en témoigne ce responsable d’une entreprise aéronautique qui préfère rester anonyme: «Nous avons avancé les négociations sur les NAO mais ne souhaitons pas parler à la presse car la situation est tendue et nous avons identifié des risques de mouvements sociaux…

 

Grèves: jeudi noir le 19 janvier

Grèves: jeudi noir le 19  janvier

 

Cette première journée, jeudi 19 janvier,  sera sans doute un jeudi noir. Cette journée doit « donne(r) le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée », affirment dans un communiqué commun les huit syndicats, dont les secrétaires généraux et présidents se sont réunis à la Bourse du travail, ce mardi soir. « Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue », ont-ils à nouveau dénoncé. « Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale », écrivent-ils.

Lors de sa conférence de presse, la Première ministre a notamment annoncé le relèvement de l’âge de départ à la retraite à 64 ans contre 62 actuellement. Plus précisément, l’âge légal à partir duquel il sera possible de partir à la retraite sera progressivement relevé à compter du 1er septembre 2023, à raison de trois mois par année de naissance. Il sera ainsi fixé à 63 ans et 3 mois en 2027 à la fin du quinquennat, puis atteindra la cible de 64 ans en 2030. Une mesure qui a satisfait les Républicains (LR).

 

 

Or, les syndicats avaient prévenu de longue date qu’ils s’opposeraient à tout recul de l’âge de départ, à 64 ou 65 ans. « La mesure d’âge est la plus dure de ces 30 dernières années », avait déjà dénoncé Laurent Berger de la CFDT, résolu à la contester « même avec des mesures positives sur les carrières longues ou la pénibilité ». Opposition et syndicats estiment, en effet, que le relèvement de l’âge légal affectera surtout les plus modestes, qui ont commencé à travailler tôt et ont déjà leurs trimestres à 62 ans. « Si Emmanuel Macron veut en faire sa mère des réformes (…), pour nous ce sera la mère des batailles », a d’ores et déjà prévenu le patron de Force ouvrière, Frédéric Souillot.

 

la fausse fin des régimes spéciaux

Pour casser la mobilisation, le gouvernement appliquera la clause du gnand père pour les régimes spéciux ( c’est à dire application seulement pour les nouveaux entrants). . De manière générale, « les nouveaux embauchés à la RATP, dans la branche industrie électrique et gazière (EDF, etc), à la Banque de France, les clercs de notaires et les membres du CESE (Conseil économique, social et environnemental) seront affiliés au système général pour la retraite »avec effet total dans40 ou 50 ans !

 

Réforme des retraites : de très fortes mobilisations en janvier

Réforme des retraites : de très fortes mobilisations en janvier


Contrairement aux habitudes, les syndicats ont pris le temps de la réflexion sur la stratégie à conduire pour contrer la réforme des retraites du gouvernement. Ils ont sans doute aussi tenu compte de leurs différentes appréciations concernant la nécessité d’une réforme et ses modalités. Pour l’instant, l’objectif est de construire une solide unité pour préparer de grandes grèves générales sans doute en janvier.

Des grèves qui seront largement soutenues par les syndicats des salariés des régimes spéciaux mais aussi par tous les salariés.

En effet pour diviser, le pouvoir a prévu d’appliquer la clause du grand-père aux régimes spéciaux ; en clair n’appliquer la réforme des retraites qu’aux nouveaux entrants alors que la réforme s’appliquera dès maintenant dans le privé pour les salariés nés à partir de 1961.

Une inégalité qui pourrait bien renforcer la mobilisation du privé d’autant que les fonctionnaires pourront être complètement exemptés. Bref on est loin de la réforme universelle et égalitaire.

Dans un communiqué commun, publié ce mardi, ils mettent en garde l’exécutif : « Les organisations sont comme la très grande majorité de la population, fermement opposées à tout recul de l’âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation ». Et de menacer : « Si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet, il y aurait des mobilisations et grèves unitaires en janvier ». Ou encore « le gouvernement en s’entêtant, porterait l’entière responsabilité d’un conflit social majeur ».

Le climat général pourrait effectivement se détériorer car la conjoncture sociale est relativement inflammable notamment avec l’inflation qui tue le pouvoir d’achat. L’inflation sur les produits alimentaires, ainsi que sur les coûts de l’énergie ne cesse de grimper. Et ce n’est pas terminé : en janvier prochain, le gouvernement va réduire son soutien aux ménages, en supprimant par exemple la ristourne à la pompe, ou encore en limitant les effets du bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité.

Jusqu’alors les revendications portaient sur les salaires et les conditions de travail, mais la retraite, thème fédérateur par excellence, pourrait être l’étincelle qui met le feu aux poudres.
Surtout que le projet du gouvernement est ambitieux. La semaine dernière, Elisabeth Borne a fait savoir, dans un entretien au Parisien -Aujourd’hui en France, qu’elle souhaitait reculer l’âge de départ de 62 ans à 65 ans… Et ce pour dès la génération née en 1961. Sans compter que l’exécutif veut aller vite, et voir entrer en vigueur sa réforme dès l’été 2023. Il vise la présentation de son projet mi-décembre, pour un envoi au conseil d’Etat en fin d’année, une inscription en conseil des ministres en janvier, et une discussion parlementaire en début d’année.prix de l’énergie à 10 %, Comité d’entreprises etc… )

Il n’empêche, malgré le risque d’embrasement social que comporte ce projet de réforme, et le contexte dans lequel il va être présenté, le gouvernement se montre déterminé.
Selon plusieurs ministres : « il n’y a jamais de bons moments pour faire ce type de réformes ». Il en va, selon eux, de la réussite du quinquennat. « Emmanuel Macron doit transformer radicalement la société. Or, pour le pouvoir la réforme des retraites est la mère des réformes, c’est sans doute ce qui pourra seulement rester de la gestion de Macron mais cette réforme pourrait aussi être son tombeau.

Réforme des retraites : vers des grandes grèves générales en janvier

Réforme des retraites : vers une grande grève générale en janvier


Contrairement aux habitudes, les syndicats ont pris le temps de la réflexion sur la stratégie à conduire pour contrer la réforme des retraites du gouvernement. Ils ont sans doute aussi tenu compte de leurs différentes appréciations concernant la nécessité d’une réforme et ses modalités. Pour l’instant, l’objectif est de construire une solide unité pour préparer de grandes grèves générales sans doute en janvier.

Des grèves qui seront largement soutenues par les syndicats des salariés des régimes spéciaux mais aussi par tous les salariés.

En effet pour diviser, le pouvoir a prévu d’appliquer la clause du grand-père aux régimes spéciaux ; en clair n’appliquer la réforme des retraites qu’aux nouveaux entrants alors que la réforme s’appliquera dès maintenant dans le privé pour les salariés nés à partir de 1961.

Une inégalité qui pourrait bien renforcer la mobilisation du privé d’autant que les fonctionnaires pourront être complètement exemptés. Bref on est loin de la réforme universelle et égalitaire.

Dans un communiqué commun, publié ce mardi, ils mettent en garde l’exécutif : « Les organisations sont comme la très grande majorité de la population, fermement opposées à tout recul de l’âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation ». Et de menacer : « Si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet, il y aurait des mobilisations et grèves unitaires en janvier ». Ou encore « le gouvernement en s’entêtant, porterait l’entière responsabilité d’un conflit social majeur ».

Le climat général pourrait effectivement se détériorer car la conjoncture sociale est relativement inflammable notamment avec l’inflation qui tue le pouvoir d’achat. L’inflation sur les produits alimentaires, ainsi que sur les coûts de l’énergie ne cesse de grimper. Et ce n’est pas terminé : en janvier prochain, le gouvernement va réduire son soutien aux ménages, en supprimant par exemple la ristourne à la pompe, ou encore en limitant les effets du bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité.

Jusqu’alors les revendications portaient sur les salaires et les conditions de travail, mais la retraite, thème fédérateur par excellence, pourrait être l’étincelle qui met le feu aux poudres.
Surtout que le projet du gouvernement est ambitieux. La semaine dernière, Elisabeth Borne a fait savoir, dans un entretien au Parisien -Aujourd’hui en France, qu’elle souhaitait reculer l’âge de départ de 62 ans à 65 ans… Et ce pour dès la génération née en 1961. Sans compter que l’exécutif veut aller vite, et voir entrer en vigueur sa réforme dès l’été 2023. Il vise la présentation de son projet mi-décembre, pour un envoi au conseil d’Etat en fin d’année, une inscription en conseil des ministres en janvier, et une discussion parlementaire en début d’année.prix de l’énergie à 10 %, Comité d’entreprises etc… )

Il n’empêche, malgré le risque d’embrasement social que comporte ce projet de réforme, et le contexte dans lequel il va être présenté, le gouvernement se montre déterminé.
Selon plusieurs ministres : « il n’y a jamais de bons moments pour faire ce type de réformes ». Il en va, selon eux, de la réussite du quinquennat. « Emmanuel Macron doit transformer radicalement la société. Or, pour le pouvoir la réforme des retraites est la mère des réformes, c’est sans doute ce qui pourra seulement rester de la gestion de Macron mais cette réforme pourrait aussi être son tombeau.

Réforme des retraites : Mobilisation des syndicats en janvier

Réforme des retraites :Mobilisation des syndicats en janvier

Pour ne pas disperser inutilement leurs forces les syndicats réunis lundi ont décidé unanimement qu’ils détermineraient les dates de mobilisation en janvier.

Ce n’est en effet qu’en janvier que le gouvernement devrait faire connaître son projet définitif. L’immédiat, il se borne à lancer des banderilles afin de tester certaines propositions sur l’opinion.

Les organisations syndicales CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, Solidaires et FSU ont réaffirmé leur opposition à « tout recul de l’âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation », dans un communiqué.

Le gouvernement envisage un report de l’âge légal de départ en retraite à 65 ans. « Il n’y a pas de négociation [possible]. Cette semaine on va leur présenter une proposition alternative. Si vous allez vraiment sur une incitation sur l’emploi des seniors, le déficit qui est aujourd’hui contenu dans le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) vous le comblez », assure le secrétaire général de la CFDT.

La CFDT évoque une mobilisation possible à partir de janvier sur la réforme des retraites. Certains redoutent des grèves pour Noël, à la SNCF notamment. « Le texte arrivera début janvier sur la table. On ne va pas tomber dans le piège de demander aux travailleurs de se mobiliser d’ici la fin de l’année », estime Laurent Berger.

« La jeunesse, déjà fortement touchée par la précarité, serait fortement impactée par ce projet », souligne e communiqué commun des syndicats également signé par cinq mouvements étudiants (Unef, Fage) et lycéens (VL, Fidl, MNL).

La réforme devrait être présentée autour du 15 décembre. La Première ministre Elisabeth Borne a redit la semaine dernière son intention de repousser l’âge de départ, au motif d’assurer l’équilibre du système.

Retraites : la réforme reportée en janvier… Peut-être !

Retraites : la réforme reportée en janvier… Peut-être !

 

Il est clair que Macron  hésite depuis un bon moment entre autoritarisme et laxisme vis à vis de la réforme des retraites. Une hésitation nourrie par les interrogations mêmes dans la majorité dont certains souhaiteraient davantage de concertation surtout face à l’opposition unanime des syndicats.
Du coup une troisième voie pourrait être envisagée avec une loi rectificative financement de la sécurité sociale seulement début de l’année 2023.

Le problème est de savoir si le contexte socio-politique sera plus favorable début 2023 . Rien n’est sûr car on aura alors la confirmation de la nette dégradation de la croissance, du pouvoir d’achat de la consommation et même de l’emploi

 Une difficulté technique se pose aussi: il est difficilement possible d’intégrer la suppression des régimes spéciaux dans un texte budgétaire. Or sans modification des régimes spéciaux, la réforme perd beaucoup de sa légitimité. Rappelons-nous qu’au départ il s’agissait de mettre en place un régime universel !

Compte tenu de toutes les contradictions y compris au sein même de la majorité on pourra donc se rabattre sur une troisième voie début 2023 avec un objectif limité seulement au report de l’âge vers 64 ans. Finalement une réforme assez ratatinée quand on sait que l’âge moyen réel  de départ à la retraite est actuellement de 63 ans et demi. Finalement,  si le climat social se montre assez délétère début 2023 on pourrait même s’orienter vers une quatrième voie à savoir l’abandon pur et simple de la réforme !

 

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Réforme des retraites : reportée en janvier… Peut-être !

Réforme des retraites : reportée en janvier… Peut-être !

 

Il est clair que Macron  hésite depuis un bon moment entre autoritarisme et laxisme vis à vis de la réforme des retraites. Une hésitation nourrie par les interrogations mêmes dans la majorité dont certains souhaiteraient davantage de concertation surtout face à l’opposition unanime des syndicats.
Du coup une troisième voie pourrait être envisagée avec une loi rectificative financement de la sécurité sociale seulement début de l’année 2023.

Le problème est de savoir si le contexte socio-politique sera plus favorable début 2023 . Rien n’est sûr car on aura alors la confirmation de la nette dégradation de la croissance, du pouvoir d’achat de la consommation et même de l’emploi

 

Une difficulté technique se pose aussi: il est difficilement possible d’intégrer la suppression des régimes spéciaux dans un texte budgétaire. Or sans modification des régimes spéciaux, la réforme perd beaucoup de sa légitimité. Rappelons-nous qu’au départ il s’agissait de mettre en place un régime universel !

Compte tenu de toutes les contradictions y compris au sein même de la majorité on pourra donc se rabattre sur une troisième voie début 2023 avec un objectif limité seulement au report de l’âge vers 64 ans. Finalement une réforme assez ratatinée quand on sait que l’âge moyen réel  de départ à la retraite est actuellement de 63 ans et demi. Finalement,  si le climat social se montre assez délétère début 2023 on pourrait même s’orienter vers une quatrième voie à savoir l’abandon pur et simple de la réforme !

 

Réforme des retraites dès janvier (Macron) : du pipeau

 

 

Une nouvelle fois Macr on aurait bien dû se taire à propos du calendrier de la réforme des retraites dont il pense qu’elle sera en application des janvier 2023. Notons qu’il n’a pas été capable de la mettre en œuvre en cinq ans et qu’il lui faudra sans doute davantage que quelques mois pour la réaliser. Cela d’autant plus qu’il lui faudra cette fois organiser  une concertation autrement plus réelle et plus profonde. Sans parler des résistances corporatistes qu’il va rencontrer sur le terrain et qui pourrait même donner le signal du troisième tour social en France. Les difficultés seront d’autant plus grandes que pour faire passer sa réforme qu’ il lui faudra aussi attaquer les régimes spéciaux

C’est la mesure la plus clivante de son programme. Depuis qu’il s’est lancé dans la course à sa succession début mars, Emmanuel Macron n’a cessé de le marteler. Réélu, il engagera la réforme qu’il n’a pas pu mettre en œuvre dans le quinquennat qui s’achève : celle des retraites, frappée de plein fouet par la crise sanitaire en mars 2020. Invité du 20h de France 2 jeudi soir, le président-candidat a pour la première fois donné un début de calendrier. «L’idée, c’est quand même que cela (les négociations, LDLR) puisse durer quelques mois et donc qu’on puisse essayer de viser janvier prochain», annonce le sortant, qui a rappelé son souhait de repousser progressivement l’âge légal de départ à 65 ans et de rehausser le minimum retraite à 1100 euros.

Emmanuel Macron vise à reporter ce seuil à 64 ans d’ici 2028 et à 65 ans d’ici 2031. Et donc «de décaler de quatre mois par an l’âge légal» pour «financer notre modèle social.»

Covid France 30 janvier 2022 :Encore 353 503 cas en 24 heures

Covid France 30 janvier 2022 :Encore 353 503 cas en  24 heures

Le bilan de l’épidémie de Covid-19 en France ce samedi 29 janvier selon les chiffres de Santé Publique France.

Encore 332.398 nouveaux cas confirmés de Covid ce samedi (contre 353.503 la veille) soit près de 15% de moins que vendredi dernier (389.320). Il s’agit du quatrième jour consécutif de baisse.

178 décès supplémentaires ont été enregistrés ces dernières 24 heures, ce qui porte le bilan à 130.456 morts du Covid à l’hôpital en France depuis le début de la pandémie.

Economie, politique, société: les plus lus- (29 Janvier 2021- 8 heures)

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