Archive pour le Tag 'Ivoire'

Ivoire : vente interdite en Chine

Ivoire : vente interdite en Chine

La Chine, premier importateur mondial de défenses d’éléphants, va interdire totalement les ventes d’ivoire à partir de dimanche, une mesure applaudie par les organisations de protection de la nature et des espèces vulnérables. Jusqu’ici, Pékin autorisait le commerce d’objets en ivoire acquis avant l’adoption en 1975 de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), à condition qu’ils s’accompagnent des certificats adéquats. La Chine, premier importateur mondial de défenses d’éléphants, va interdire totalement les ventes d’ivoire à partir de dimanche, une mesure applaudie par les organisations de protection de la nature et des espèces vulnérables. Le braconnage est un facteur majeur du déclin rapide du nombre d’éléphants d’Afrique, dont 30.000 individus sont abattus chaque année, selon les ONG. D’après le WWF, il restait fin 2016 autour de 415.000 éléphants sur le continent africain, contre trois à cinq millions au début du XXe siècle. L’éléphant est classé désormais parmi les espèces vulnérables.

Fusillades en Côte d’Ivoire, dont Abidjan

Fusillades en Côte d’Ivoire, dont Abidjan

Une révolte de militaires de base qui s’estiment mal payés. Evidemment un événement qui va ternir l’image d’’unn pays que Ouattara tente de redresser depuis le départ de Gbagbo. Un événement qui rappelle quand même le  coup d’État de 1999 quand une mutinerie pour les mêmes raisons avait renversé  Henri Konan. Depuis  la situation a connu de nombreux soubresauts avant de retrouver le calme aussi le développement mais toujours sur fond de débat autour de l’ivoirité. Dernier événement en date la modification de la constitution relative à cette question.  Des fusillades ont donc été signalées dans plusieurs villes de Côte d’Ivoire samedi, y compris dans une caserne d’Abidjan, la capitale économique du pays, alors que des militaires se sont mutinés pour demander une revalorisation de leur solde ainsi que le paiement de primes. Des soldats se sont emparés vendredi de Bouaké, la deuxième ville de Côte d’Ivoire, et la contestation s’est propagée à au moins quatre autres localités tandis que le gouvernement tente de jouer la carte de l’apaisement. Le ministre de la Défense, Alain-Richard Donwahi, s’est rendu samedi à Bouaké pour rencontrer les chefs des mutins, qu’il a une nouvelle fois promis d’écouter pour « trouver une solution ». Dans le même temps, les forces loyalistes se sont déployées à Abidjan. Un journaliste de Reuters a notamment vu soldats de la Garde présidentielle prendre position sur deux des trois ponts qui enjambent le lagon séparant le nord et le sud de la ville. Des coups de feu nourris ont été entendus dans la nuit à Khorogo dans le nord et à Bouaké samedi matin. Des fusillades ont également été signalées à Man dans l’ouest, à Touleupleu et à Abidjan où sont situés les administrations et le parlement. Un journaliste de Reuters qui s’est rendu à Bouaké et a pu rencontrer certains mutins a précisé que la plupart étaient des soldats du rang ainsi que des combattants démobilisés. La majorité semblait être d’anciens membres des Forces nouvelles, mouvement qui avait mené une rébellion et fait de Bouaké sa capitale de fait de 2002 jusqu’à la fin de la guerre civile en 2011. Le président Alassane Ouattara a tenu une réunion de crise vendredi soir avec le ministre de la Défense et les responsables des forces armées. Dans un communiqué lu à la télévision nationale, le ministre de la Défense a appelé les soldats « à garder leur calme et à rentrer dans les casernes en vue de permettre la recherche de solutions durables ». « Nous allons discuter avec nos hommes, recueillir leurs préoccupations et trouver des solutions à cette situation », a-t-il ajouté à l’issue de la réunion d’urgence. Il a estimé que la révolte était « compréhensible mais déplorable. Déplorable pour l’image de notre pays et pour le travail qui a été fait par le Président de la République depuis la sortie de crise ».

(Avec Reuters)

Ebola : après le Mali, la Côte d’Ivoire

Ebola : après le Mali, la Côte d’Ivoire

 

On voit mal commente la Côte d’Ivoire pourrait être épargnée dans le mesure où c’est le pays où réside le plus grand nombre de migrants venus de toute l’Afrique de l’ouest. Pour l’instant l’OMS signale 10 000 cas en Afrique, une estimation tout à faiat approximative dans la mesure où on ne sait même pas estimer le nombre de victime du paludisme (autour de 700  000 décès par an) et dont certains symptômes sont comparables. Chaque pays tend auusi à minimiser le nombre de victime d’Ebola pour ne pas freiner la mobilité et le business sans parler de l’image du pays.  . Désormais, c’est dans deux nouveaux pays que le virus Ebola menace. Jeudi, le Mali a enregistré son premier cas. La Côte d’Ivoire, de son côté, est à la recherche d’un aide-soignant guinéen potentiellement infecté. . Au Mali, une fillette de deux ans a été testée positive au virus. « Un cas suspect – une fillette de deux ans venue de Kissidougou, en République de Guinée – s’est présenté » dans un hôpital de Kayes où des analyses ont été effectuées mercredi, a indiqué le ministère malien de la Santé. « Par ce résultat d’analyse en laboratoire, le Mali connaît à ce jour son premier cas importé de maladie à virus Ebola », continue le ministère. L’état de santé de la fillette s’améliore néanmoins, a précisé Bamako. « Les personnes qui ont eu un contact avec elle à Kayes ont été immédiatement identifiées et prises en charge selon les normes requises en la matière », donc placées en quarantaine, peut-on lire dans le communiqué. On ne sait pour l’instant pas si l’enfant malade est malienne ou guinéenne. Elle est « venue de la Guinée-Conakry. Elle était en compagnie de sa grand-mère » et son itinéraire « est connu de nos services », a simplement dévoilé le porte-parole du ministère de la Santé. Dans le pays voisin, la Cote d’Ivoire, on recherche un aide-soignant potentiellement infecté. Les autorités sanitaires ivoiriennes ont indiqué que l’homme serait entré clandestinement dans le pays. L’homme, qui réside dans l’un des principaux foyers de l’épidémie en Guinée, a « pris peur » après avoir appris qu’une « personne venue le voir dans son cabinet pour des soins était décédée », selon Daouda Coulibaly, le chef du service de surveillance épidémiologique de l’Institut national d’hygiène publique de Côte d’Ivoire. Un « dispositif » a été mis en place « pour qu’il puisse être retrouvé ». Les autorités sanitaires ont tenu à rassurer la population : l’homme n’est « pour l’instant (…) pas contagieux, mais il serait bon pour elle qu’elle soit mise en contact avec les services de santé ».

 




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