Archive pour le Tag 'invités'

Les syndicats invités à Matignon : Aux syndicats d’imposer le calendrier et la méthode

Les syndicats invités à Matignon : Aux syndicats d’imposer le calendrier et la méthode

À juste titre, la CFTC, qui se rendra aussi à Matignon à l’invitation de la première ministre comme la CFDT et la CGT rappelle que c’est au syndicat a imposer la méthode. Dans ce cadre la question du pouvoir d’achat doit devenir prioritaire. Ce qu’avait déjà indiqué Laurent Berger de la CFDT. Il s’agit d’un aspect essentiel. En effet jusque-là, le gouvernement n’a jamais accepté le concept de négociation lui préférant la simple concertation. Pour résumer, le gouvernement réunit les syndicats, présente ses orientations ,écoute plus ou moins les remarques et surtout n’en tient pratiquement pas compte. Il s’agit aujourd’hui de co construire la négociation sociale d’où l’importance fondamentale de la méthode. « Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques et notre méthode », prévient la CFTC

« Je ne vois pas comment on ne peut pas y aller, mais en imposant nos thématiques » et « notre méthode », a affirmé samedi 6 mai sur franceinfo Cyril Chabanier, président de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) alors que la Première ministre Elisabeth Borne a invité les syndicats à des entretiens individuels à Matignon les 16 et 17 mai. La CFDT et la CFTC ont accepté l’invitation. La CGT a également dit oui samedi matin.

La CFTC se rendra à Matignon avec circonspection : « Si on voit que c’est juste une opération de communication pour faire de l’apaisement mais qu’il n’y a rien derrière », alors « les concertations ne dureront pas très longtemps », a-t-il prévenu.

Cyril Chabanier souhaite évoquer « le pouvoir d’achat » et « le partage de la valeur » avec la Première ministre. Il demandera également que « les aides aux entreprises soient conditionnées à l’entame de négociations salariales dans les entreprises ». Et il prévient, les syndicats seront « extrêmement exigeants ».

« Ces trois mois et demi de conflit social [sur les retraites] nous ont extrêmement marqués, avec une attitude et une méthode qui nous a choqués. Ce n’est pas évident de retourner discuter. »

États-Unis: 116 pays invités à ` Ne pas voyager  »

États-Unis:  116 pays invités à ` Ne pas voyager  »

les États-Unis ont  répertorié 34 pays sur environ 200 comme «Ne voyagez pas». Le département d’État répertorie désormais 150 pays au niveau quatre. En fait la plupart des pays comprenant des voyageurs potentiels vers les États-Unis. Parmi ces pays la France, la Grande-Bretagne ou encore l’Allemagne.  Le département d’État a déclaré lundi que cette décision n’impliquait pas une réévaluation de la situation sanitaire actuelle dans certains pays, mais plutôt «reflétait un ajustement du système de conseil aux voyageurs du département d’État pour qu’il s’appuie davantage sur l’épidémiologie existante (des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis). évaluations. »

Les recommandations ne sont pas obligatoires et n’empêchent pas les Américains de voyager.

Les autres pays de la liste «Ne pas voyager» comprennent la Finlande, l’Égypte, la Belgique, la Turquie, l’Italie, la Suède, la Suisse et l’Espagne. Certains pays comme la Chine et le Japon restent au niveau 3: reconsidérer les voyages. »

La plupart des Américains avaient déjà été empêchés de voyager dans une grande partie de l’Europe en raison des restrictions du COVID-19. Washington a interdit presque tous les citoyens non américains qui se sont récemment rendus dans la plupart des pays d’Europe, de Chine, du Brésil, d’Iran et d’Afrique du Sud.

Mardi, les États-Unis ont prolongé de 30 jours les restrictions en vigueur pour 13 mois qui interdisent les voyages non essentiels à leurs frontières canadienne

De Rugy : les repas étaient professionnels…. Mais pas les invités !

  • De Rugy : les repas étaient professionnels…. Mais pas les invités !

 

La sémantique a son importance dans les rapports complaisants de l’administration proche du pouvoir. Ainsi c’est le secrétaire général de l’assemblée nationale par ailleurs ancien subordonné de de Rugy qui a enquêté sur les fameux repas fastueux. En fait, le rapport retient seulement trois dîners privés sur une dizaine. Mais Mediapart soutient que les repas privés étaient beaucoup plus nombreux et que la plupart des invités étaient  ceux de l’épouse du ministre. Bref, on pourrait considérer qu’il s’agit effectivement de repas professionnels puissent qu’ils s’effectuent dans le cadre de fonctions électives mais les invités, eux, ne sont guère professionnels . Le résultat du contrôle ordonné par le président de l’Assemblée nationale doit être rendu public mardi. Mais déjà des premiers éléments vont dans le sens de l’ex-ministre François de Rugy. Selon France Info, qui cite une source proche de l’enquête, les dîners organisés à l’hôtel de Lassay étaient bien « des dîners professionnels ». …..sauf seulemenet 3. Observons que cette enquête a été diligentée par le président actuel de l’assemblée nationale. Lequel a dû aussi quitter à la son poste de ministre car impliqué dans une affaire où sa compagne a réaliér un petit bénéfice de l’ordre  de 800 000 € à propos d’un bâtiment loué par les mutuelles de Bretagne présidées précisément par Richard Ferrand. Dans un premier temp,s le tribunal de Brest avait prononcé l’absolution pour cette affaire considérant que la date était trop tardive pour enquêter. Depuis, une nouvelle plainte a été déposé par anticorps et comme on dit souvent pour enterrer ses histoires l’enquête a été dépaysée. Depuis ce transfert géographique aucune nouvelle ! Richard Ferrand est donc bien placé pour être en fait le garant d’une enquête sur les frasques de de Rugy. Un de Rugy qui ne cesse de s’enfoncer dans ses contradictions. En effet

 

Depuis le début de l’affaire, le désormais ex-ministre de l’Ecologie nie avoir commis une faute, mettant en avant « un travail de représentation » requis par ses fonctions. Il s’était aussi engagé, le cas échéant, à « rembourser chaque euro contesté ». « Pour moi, ce n’est pas privé parce qu’en fait, c’est du relationnel », avait pour sa part déclaré à Mediapart son épouse, Séverine de Rugy : « Certes, ça appartient à un cercle amical mais on n’est pas là pour se taper la cloche. » Des dîners «professionnels» dont Mme Rugy a confirmé dans un entretien enregistré le caractère «amical» des invités, que François de Rugy qualifie d’«informels» et dont plusieurs convives (ex: Aphatie) ont réfuté l’aspect professionnel…

Les salariés de Fessenheim invités à travailler en Allemagne.

Les salariés de Fessenheim invités à travailler en Allemagne.

 

Il ne manque pas de culot Sébastien Lecornu  le jeune secrétaire d’État auprès de Nicolas Hulot chargé de préparer la reconversion du site nucléaire de Fessenheim. La question du reclassement les salariés d’EDF, environ 850 mais aussi pour les 1000 salariés à temps complet ou partiel du secteur privé qui travaillent  pour la centrale. Concernant le personnel : c’est à EDF de gérer la question. Quant aux salariés privés il les invite à travailler en Allemagne qui souffre d’un manque de personnel formé. Encore heureux qu’il ait  précisé dès le départ qu’il n’annoncerait pas de recette miracle ! « L’on va enfin enclencher la procédure de concertation et de réflexion sur la reconversion du site de Fessenheim », a déclaré Sébastien Lecornu, secrétaire d’Etat auprès de Nicolas Hulot, Dans cette perspective, il a rencontré élus locaux, départementaux et régionaux, salariés et direction de la centrale, mais aussi des acteurs économiques, notamment des voisins suisse et allemand, et installer un comité de pilotage. Des compensations financières sont bel et bien envisagées, mais « je ne viens pas pour faire un chèque et m’en aller », a précisé Sébastien Lecornu, insistant sur la nécessité pour le territoire d’élaborer un projet d’avenir. Lui-même a évoqué différentes pistes de reconversion, notamment dans les énergies renouvelables ou la création d’une filière de démantèlement nucléaire. Mais rien de tout cela ne pourra voir le jour avant… 2038. Car le démantèlement de Fessenheim ne pourra pas débuter avant un délai de post-exploitation de cinq ans. C’est le temps nécessaire pour évacuer le combustible nucléaire, démonter les matériels et traiter les futures aires de stockage des déchets. Le décret de démantèlement est attendu fin 2023, après enquête publique, et EDF estime à 15 ans la durée des travaux.

Sécurité : les maires européens invités à Nice

Sécurité : les maires européens invités à Nice

 

 

 

 

Il faut se féliciter de l’initiative de Christian Estrosi, maire de Nice qui invite les maires des grandes villes européennes à réfléchir sur les meilleurs moyens d’assurer la sécurité. On le sait ce terrorisme n’a pas de frontières, il affecte toutes les régions du monde et la réponse ne peut être contenue uniquement dans les limites d’un État. La dimension internationale du djihadisme implique aussi une réplique internationale à la hauteur de l’enjeu. Lors des derniers attentats, on a bien vu les connexions par exemple qui existent entre les actes criminels perpétrés en France, en Allemagne en Belgique et en Espagne. On pourrait ajouter il serait utile d’associer aussi les autorités de plusieurs pays arabes qui fournissent de forts contingents aux réseaux criminels. Le maire Les Républicains de Nice, Christian Estrosi, invite donc  ses homologues de grandes cités européennes à venir dans sa ville en septembre discuter avec le commissaire européen à la Sécurité, Julian King, de la lutte contre le terrorisme. Nice a été le 14 juillet 2016 la première ville européenne visée par un attentat meurtrier au camion ou à la voiture bélier, comme celui qui a fait au moins 13 morts jeudi à Barcelone. Christian Estrosi a déclaré à des journalistes qu’il inviterait « un grand nombre » de maires européens à Nice les 28 et 29 septembre pour parler avec Julian King de l’évolution des législations nationales et européennes en matière de sécurité. « Beaucoup m’ont déjà fait savoir qu’ils seraient présents », a déclaré l’ancien ministre, pour qui les règles européennes ne doivent pas être un frein aux mesures que les maires peuvent vouloir prendre pour sécuriser leur ville. « Ce sont les maires désormais, on le voit à Berlin, Londres, Paris, Nice, Barcelone, Stockholm, qui sont les premiers confrontés à cette violence (…) mais qui pourtant ne sont pas ceux qui participent aux grandes réformes nationales et européennes », a-t-il expliqué. « Et puis nous avons besoin de moyens. »

Chercheurs et sociétés opposés à Trump invités en France par Macron

 

Chercheurs et sociétés opposés  à Trump invités en France par Macron

 

 

L’ancien ministre de l’Economie Emmanuel Macron a invité les entreprises innovantes et les chercheurs américains en butte à l’administration de Donald Trump à venir en France s’il est élu à la présidence de la République en mai. Lors d’une réunion publique qui a rassemblé près de 15.000 personnes à Lyon, il a promis à la fois protection pour les individus et liberté pour la création et l’innovation. « C’est ce que nous ferons », a-t-il déclaré dans un Palais des sports surchauffé. « A ce titre, je veux ce soir lancer un appel solennel à tous les chercheurs, à tous les universitaires, à toutes les entreprises qui, aux Etats-Unis, se battent contre l’obscurantisme. » « Que toutes celles et tous ceux qui font aujourd’hui l’innovation, l’excellence aux Etats-Unis nous entendent et nous voient », a-t-il ajouté. « Vous avez aujourd’hui, et vous l’aurez à partir du mois de mai prochain, une terre patrie, ce sera la France. » Il s’est adressé plus particulièrement aux entreprises, chercheurs et universitaires américains qui luttent contre le réchauffement climatique et la pollution, travaillent sur les énergies renouvelables ou les perturbateurs endocriniens.

Bac 2013 : des profs invités à surnoter

Bac 2013 : des profs invités à surnoter

Surnoter au bac , pourquoi pas, il y a déjà 85% de réussite on pourra donc viser les 100% ! La question est posée. Selon Le Figaro, les correcteurs de l’épreuve orale du bac français de l’académie d’Orléans-Tours ont reçu cette année une consigne qui va en ce sens : ils devront noter leurs 2.500 élèves non pas sur 20, mais sur 24. Un moyen d’adapter la notation aux élèves, mais aussi de gonfler les notes de l’académie, légèrement en-dessous de la moyenne nationale ces dernières années : en 2012, le taux de réussite de l’examen y était de 83,3 %, plus d’un point en dessous de la moyenne nationale. Un score qui classe l’académie à la 22e place sur 26.  Cette consigne fait hurler certains enseignants, qui craignent que les élèves ne soient plus égaux face au bac si chaque recteur se met à proposer son propre barème de correction. C’est notamment le cas du syndicat Sud qui dénonce dans Le Figaro le franchissement d’une « limite idéologique inacceptable ». Le risque, c’est également celui d’une course aux résultats, qui verrait les académies se mettre à noter de plus en plus généreusement les élèves, jusqu’à faire perdre tout sens à l’examen. Pourtant, tous les profs ne sont pas de cet avis. Le délégué national du syndicat des enseignants UNSA, interrogé par Europe 1, n’y voit pas de problème : « L’intérêt, c’est de donner de la souplesse à la notation pour permettre aux élèves de montrer tout ce qu’ils savent faire. Un gamin qui aurait un excellent niveau en réflexion et analyse mais qui ne serait pas très bon en expression orale, peut-être qu’on peut lui donner un coup de pouce en attribuant plus de points à l’analyse », explique-t-il. « Les élèves ont bossé pendant un an, ils vont jouer leur année sur 20 minutes, ce n’est pas un scandale de leur permettre de mettre en avant ce qu’ils savent faire. »




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