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« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un gadget !

« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un gadget  !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un gadget !

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un gadget !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Politique-« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

« CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron invente encore un machin !

Face au  relatif vide politique actuel  qui risque de menacer la majorité absolue à l’Assemblée nationale, Macron sort soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé dans une interview accordée à la presse régionale, dont Le Parisien-Aujourd’hui en France, vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. Pas étonnant car jusqu’alors  Élisabeth Borne n’arrive pas à mordre sur l’opinion publique. Piree la notoriété de l’intéressée ne cesse de baisser avec seulement 27 % de soutien.

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigué par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à des cathédrales administratives et politiques.

Climat : Macron invente un conseil qui existe déjà ?

Climat : Macron invente un conseil qui existe déjà ?

Situation ubuesque, Macron va annoncer devant le Conseil national de la transition écologique (CNTE) un conseil pour le climat qui existe déjà ! L’actuel CNTE,  est « l’instance de dialogue en matière de transition écologique et de développement durable » et « vise à renforcer le dialogue social environnemental », peut-on lire notamment sur son site. Le Conseil national de la transition écologique est composé de 50 membres, issus de collèges différents : élus, syndicats, employeurs, associations et parlementaires. Ils se réunissent une fois tous les deux mois en séance plénière. Leur dernier avis (cinq en 2018, 35 depuis 2013), rendu le 13 novembre dernier, porte sur le projet de loi d’orientation des mobilités, présenté lundi par Elisabeth Borne en Conseil des ministres. Alors quelle différence? Le Haut conseil pour le climat sera placé sous l’autorité du Premier ministre « pour agir sur toutes les politiques publiques », leur élaboration et leur évaluation. Il « sera doté de moyens pour qu’il puisse rentrer en profondeur dans les politiques publiques », expliquait l’Elysée dans le JDD. Il sera en outre composé de 13 « experts de très haut niveau ».  Certains, parmi lesquels Greenpeace, l’avocat en droit de l’environnement Arnaud Gossement ou des élus de l’opposition, dénoncent déjà la création d’un énième comité, un « comité Théodule » : Il existe déjà un conseil national pour la transition écologique, un conseil environnemental, un ministère de l’écologie.Le climat n’a pas besoin d’un énième comité mais de mesures fortes pour mettre en place les solutions déjà connues

 

Climat : le Sénat invente un impôt de plus pour les collectivités

Climat : le Sénat invente un impôt de plus pour  les collectivités

 

 

 

Finalement le Sénat a encore trouvé la martingale. Créer un impôt supplémentaire pour soi-disant aider la transition écologique. Voilà quoi servent  nos parlementaire : s multiplier sans cesse les lois et les fiscalités. À chaque problème, un texte avec un impôt à la clé. Il faut vraiment que ces parlementaires soient alimentés par l’idéologie des oligarques et des fonctionnaires pour ne trouver comme solution que l’augmentation des prélèvements obligatoires pour lesquels la France détient déjà le record mondial entre parenthèses si l’on intègre le niveau de dépenses par rapport au PIB). L’impôt nouveau s’élèverait à 10 euros par habitant et serait conditionnée à la signature de contrats d’objectifs entre les collectivités bénéficiaires et l’État. Les financements concernés seraient majoritairement utilisés pour des investissements dans la rénovation des bâtiments publics et dans des aides financières versées aux ménages dans le cadre de la rénovation des logements. « Ces amendements sont sympathiques mais entraînent une perte de recettes de 300 millions d’euros pour l’État », a déclaré le rapporteur général Albéric de Montgolfier (LR) en donnant un avis défavorable. « Certains proposent un transfert aux intercommunalités, d’autres aux régions, d’autres encore aux deux… Il faudrait en discuter au sein de la Conférence nationale des territoires ». « Cette mesure a un coût que nous pouvons assumer si tant est que le sujet ait été concerté au sein de la Conférence nationale des territoires », a déclaré le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin, en donnant un « avis défavorable pour l’heure ». En revanche, pour Claude Raynal (PS), « le Parlement donnerait un signal en votant ces propositions ». Ben voyons pour les socialistes, hors  l’impôt point de  projets !

Le FN invente une « taxe antidélocalisation américaine qui n’existe pas

Le FN invente une   »taxe antidélocalisation américaine qui n’existe pas

Avec le FN plus c’est gros plus ça passe et le vice président  Philippot n’a pas hésité à proposer comme solution pour sauver Whirlpool de mettre en place une taxe comme celle des américains de 35 % sur tout produit réimporté d’une usine délocalisée. Un détail sente sans doute cette taxe n’existe pas aux États-Unis. Elle a certes été évoquée par Trump dans sa campagne électorale mais ne figure plus dans son programme fiscal. Invité de la matinale de France Inter ce jeudi 27 avril, Florian Philippot a déclaré  « Il n’est pas acceptable de voir des entreprises qui délocalisent comme le fait Whirlpool vers la Pologne après avoir bénéficié de beaucoup d’argent public pour ensuite revendre en France [...] Eh bien il faut mettre en place une taxe de 35% pour tout produit réimporté vers la France à partir d’une usine délocalisée. Une taxe dissuasive qui les fera réfléchir à deux fois avant de prendre ce type de décision [...] Quand il y a une concurrence déloyale, nous avons tout intérêt à nous protéger. La plupart des grands pays le font. Cette taxe de 35%, elle est mise en place aux Etats-Unis en ce qui concerne les délocalisations, elle a été efficace. Il faut que nous soyons volontaristes.«  Au micro de Radio Classique, le secrétaire général du Front national Nicolas Bay a également évoqué ce jeudi « cette taxe de 35% de droits de douane. Ce qu’a fait par exemple Donald Trump aux Etats-Unis avec les constructeurs automobiles. » Enfin dans un communiqué publié sur le site du FN, le parti explique que : « Marine Le Pen est la seule candidate à proposer une véritable protection pour notre tissu industriel. Elle seule mettra en place une taxe de 35 % sur les produits provenant d’usines délocalisées, afin de créer une véritable incitation à relocaliser et à produire en France ».

FN : Le Pen invente la « trêve judiciaire » pour éviter la justice

FN : Le Pen invente la « trêve judiciaire » pour éviter la justice

 

Ce n’est pas la première fois que Marine Le Pen  refuse d’être interrogée dans le cadre d’une enquête judiciaire mais cette fois elle invente un nouveau concept : « l’usage républicain de la trêve judiciaire ». Une sorte d’objet juridique nouveau et non identifié qui autoriserait les politiques à s’affranchir de la justice pendant des périodes électorales. Comme les périodes électorales sont nombreuses en France et il est possible d’user et d’abuser des procédures d’allongement du traitement des affaires, cela signifie que les politiques se situent au-dessus des lois qui, elles, s’appliquent  par contre aux citoyens moyens. Notons d’ailleurs que Marine Le Pen  traînes plusieurs casseroles depuis 2012 mais que les procédures ont permis jusque-là d’éviter mises en examen et condamnations. Observons qu’il serait possible de demander la levée de l’immunité parlementaire dont bénéficie largement Marine Le Pen du fait de son mandat européen. Mais la procédure est tellement longue que cela lui permet de gagner encore des mois voire des années avec les moyens de recours. Marine Le Pen était attendue mercredi matin par la police dans l’affaire des assistants parlementaires des eurodéputés FN, mais elle a refusé de s’y rendre. La candidate à la présidentielle était convoquée pour être entendue en audition libre à l’Office anticorruption de la police judiciaire (Oclciff) à Nanterre, le même jour que sa chef de cabinet Catherine Griset, qui a elle été placée en garde à vue avant d’être mise en examen pour recel d’abus de confiance.

« Il faut revenir à un usage républicain qui est celui d’une trêve (judiciaire). Que ces auditions aient lieu après les élections », a déclaré (sans rire) à l’AFP l’avocat de Marine Le Pen, Me Rodolphe Bosselut, s’étonnant d’une « subite précipitation » des investigations à deux mois de la présidentielle. « L’enquête n’est pas nouvelle, qu’est-ce qui empêchait d’ouvrir une information judiciaire après la remise du rapport de l’Olaf (l’organisme antifraude de l’Union européenne) cet été et d’entendre les protagonistes à l’automne? Il y avait toute latitude pour le faire avant », a-t-il argumenté. Pour résumer la ligne de défense de Marine Le Pen : avant c’est trop tôt, après c’est trop tard. « Comme pendant les régionales, je ne répondrai pas pendant la campagne électorale. Cette période ne permettant ni la neutralité ni la sérénité nécessaire au fonctionnement correct de la justice », a expliqué Marine Le Pen à l’AFP, vendredi. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a estimé que « lorsqu’on prétend aux plus hautes responsabilités, on ne peut se placer au-dessus des lois de la République. » Selon lui, « aucun responsable politique ne peut refuser, s’il est républicain, de déferrer aux convocations de la justice. Le respect de l’autorité de l’Etat et des institutions commence par cela. »  Il est possible pour la justice, et même en l’absence de toute audition, de mettre en examen par lettre un individu, l’immunité parlementaire suspendrait une telle procédure.

La justice pourrait être tentée de demander la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Mais compte tenu du formalisme attaché à cette procédure, il n’est pas certain que le Parlement de Strasbourg se prononce avant les résultats de l’élection présidentielle et des législatives. Or, Marine Le Pen l’a promis, via son avocat, elle est prête à se rendre aux convocations de la justice après ces échéances politiques. D’ici là, elle aura peut-être été élue. Et parée d’une nouvelle immunité. Peut-être pas celle de président de la république mais celle de parlementaire française après les législatives qui succéderont aux présidentielles.

 

Trump invente un attentat en Suède ?

Trump invente un attentat en Suède ?

 

Pour les besoins de sa philosophie raciste Trump  a inventé un faux attentat en Suède. « Regardez ce qu’il se passe en Allemagne, regardez ce qu’il s’est passé la nuit dernière en Suède… La Suède… qui pourrait le croire », a-t-il ainsi lancé à ses partisans.   Plusieurs journalistes américains ont toutefois relevé une coïncidence : la veille, soit le vendredi soir évoqué par Donald Trump dans ses propos, la chaîne conservatrice Fox News a diffusé un reportage faisant état de violences commises par des réfugiés en Suède. Le président américain y ferait donc allusion, dans une expression – volontairement ou non – alambiquée. Chez Donald Trump, ce qui compte, c’est avant tout de paraître ultra convaincu par… soi-même. C’était la méthode utilisée par le milliardaire durant sa campagne, celle à laquelle il a aussi recours depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Preuve en est, le ton utilisé à Melbourne samedi soir : offensif, combatif, parfois même agressif. Oubliée la semaine un peu chaotique pour son administration, marquée par la démission de son conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn, la révélation des liens entre l’équipe de campagne du milliardaire et le Kremlin, des déclarations contradictoires sur la situation au Proche-Orient et une conférence de presse surréaliste, lors de laquelle ses propos ont été contredits en direct par des journalistes. Mais pour Donald Trump, tout ça ne relève que d’un vaste complot visant à le déstabiliser. Vaste complot dont font évidemment partie les médias, sa cible préférée depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Le républicain n’a d’ailleurs pas hésité à se réclamer de ses illustres prédécesseurs, Thomas Jefferson et Abraham Lincoln, des présidents qui se sont, comme lui, « battus contre les médias ». La foule en redemande. Alors Donald Trump continue. Selon lui, la presse « est devenue une grande partie du problème, une partie d’un système corrompu ». Avant son meeting, il avait déjà écrit sur Twitter : « Les MEDIAS MENSONGERS ne sont pas mes ennemis, ce sont les ennemis des Américains », utilisant une énième fois cette expression devenue une sorte de mantra : « Fake news media ».

Perpétuité réelle : NKM invente l’eau chaude

Perpétuité réelle : NKM invente l’eau chaude

En recherche de singularité en vue des primaires de la droite, NKM invente la perpétuité qui est déjà prévue. . Le député de l’Yonne Guillaume Larrivé, auteur de l’amendement sur la réforme de la procédure pénale, s’est ainsi étranglé sur Twitter: «Certains proposent la perpétuité incompressible pour les criminels terroristes. Oui. Je l’ai déjà fait voter».

Ce jeudi, le porte-parole du gouvernement a donc rappelé que «dans le débat sur la procédure pénale, un amendement des Républicains, qui visait à porter à trente ans les peines de sûreté existant déjà dans la loi de 2011 (…) a donné lieu à un débat à l’Assemblée nationale et à un avis favorable du gouvernement». Dans le droit actuel, la perpétuité réelle existe déjà: le code pénal prévoit, dans des cas très précis, soit d’étendre la période de sûreté qui accompagne la peine – c’est-à-dire le laps de temps pendant lequel aucun aménagement de peine n’est possible – à 30 ans au lieu de 22, soit d’annuler la possibilité d’un aménagement de peine. L’amendement des Républicains (article 4 ter), adopté par l’Assemblée le 8 mars et qui sera examiné par le Sénat à partir du 24 mars, vise à étendre cette perpétuité dite «incompressible» aux auteurs d’actes terroristes. Comme Stéphane Le Foll l’a rappelé, la perpétuité doit cependant laisser au condamné un espoir – plus théorique que réel – de libération, pour être conforme à la décision de la cour européenne des droits de l’Homme, qui considère une condamnation à perpétuité «définitive» comme «un traitement inhumain»: «Je rappelle que le gouvernement français, dans le même temps, respectera les règles européennes dans ce domaine, c’est-à-dire qu’il y a toujours possibilité de faire en sorte qu’on ne finisse pas de manière automatique sa vie en prison. C’est une règle européenne. (…) Au bout de trente ans, cette possibilité pourrait être ouverte mais elle ne sera effective que si le juge considère qu’il n’y a pas de danger pour la société», a expliqué le ministre.

PIB : Avec 1.5%, Sapin :invente l’inversion de la courbe de la croissance

PIB : Avec 1.5%,  Sapin :invente l’inversion de la courbe de la croissance

 

 

Sapin avait déjà inventé l’inversion de la courbe du chômage quant il était ministre du travail, il invente désormais l’inversion de la courbe de la croissance, ce sera sans doute avec le même succès. ! Sapin est euphorique depuis l’annonce d’une  progression de 0.6% du PIB au premier trimestre mais il oublie que le second sera différent puisque la Banque de France prévoit seulement 0.3%. Il oublie que la croissance mondiale est en train de se  tasser( en Chine et même aux Etats-Unis). Peu importe, Sapin est euphorique comme pour l’emploi. Avec des arguments d’uen banalité effarante. « Oui mais  avec des investissements » « et si on atteint les 1.5% on va aussi inverser la courbe du chômage ». Une évidence !  Le ministre des Finances a ainsi jugé mercredi « parfaitement possible » que la France atteigne une croissance de 1,5% à la fin de l’année 2015, au lieu des 1% prévus.   »Ce qui compte, c’est qu’à la fin de cette année, pour reprendre un chiffre cité à juste titre par le Premier ministre, nous soyons sur un rythme de croissance de l’ordre de 1,5%. (…) A la fin de l’année, il faut que la France fonctionne aux alentours de 1,5%. Je crois que c’est parfaitement possible », a-t-il déclaré lors de l’émission « Questions d’Info » LCP-France Info-Le Monde-AFP.   »C’est à ce moment-là que les créations d’emploi sont suffisamment nombreuses non seulement pour compenser les destructions, mais aussi pour accueillir les jeunes qui arrivent sur le marché du travail ». Mais « il y a une condition fondamentale (…), c’est l’investissement », a-t-il poursuivi. « Ce qui compte, c’est que dans les entreprises, on achète des machines, on construise des ateliers nouveaux, on lance de nouveaux produits. Et derrière cela, il y a des postes de travail, des créations d’emploi, un recul du chômage »  Le chômage baissera-t-il donc à la fin de 2015? « Avec 1,5% de croissance portée par une consommation des ménages relativement importante, mais aussi et surtout par une confirmation d’un investissement plus important des entreprises, c’est une économie qui se porte bien, qui se porte mieux, qui apporte aux Français la seule chose qu’ils demandent véritablement aujourd’hui: des emplois pour ceux qui n’en ont pas ».  Le ministre a cependant précisé qu’il n’y avait à ses yeux « aucune raison de réviser officiellement » l’hypothèse de croissance de 1% sur laquelle est bâti le budget. Comprenne qui pourra !

 




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