Archive pour le Tag 'internationale'

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Une remise en cause de la dérégulation internationale (Hubert Védrine)

Une remise en cause de la dérégulation internationale (Hubert Védrine)

 

Dans une  interview au Figaro , Hubert Védrine critique la  mondialisation qui a été essentiellement, jusqu’ici «une déréglementation financière et une localisation des productions industrielles là où les coûts salariaux étaient les plus faibles». Le virus confirme cruellement que nombre de pays dont la France se sont débarrassés de leur industrie en délocalisant dans les pays en développement et au passage en vidant de leur substance économique une grande partie du territoire. L’idée générale était que les pays développés se contenteraient de commercialiser à bon compte des produits fabriqués à bas prix dans les pays pauvres. Le problème c’est qu’arrivés un certain stade, ces pays parvenus  à un certain niveau de développement  se sont mis à concurrencer sérieusement les anciens pays développés. Ainsi la Chine mais aussi d’autres qui inondent les pays occidentaux de leurs produits manufacturés et autres comme par exemple les produits pharmaceutiques dans 50 à 70 % viennent  de Chine et plus généralement d’Asie.

Coup de pays occidentaux, les États-Unis compris, se sent délestés de leurs productions stratégiques de façon très naïve. Sans doute ne sera-t-il pas possible de revenir à l’époque où chacun faisait son pain et dont  les territoires vivaient  en quasi autonomie. Pour autant,  la dimension internationale des processus de production a pris des dimensions particulièrement dangereuses par ailleurs coûteuses sur le plan environnemental avec un gâchis considérable du transport et de la logistique. Le deuxième enseignement de la crise sanitaire c’est que le monde ne dispose pas des outils de gestion mondiale faire face aux grandes questions y compris aux catastrophes. Chaque zone, chaque pays bricole dans son coin des plans d’urgence plus ou moins contradictoire avec ceux du voisin.

  • Cette crise globale, sans précédent depuis les guerres, révèle ou confirme qu’il n’existe pas encore de réelle communauté internationale ou qu’elle n’est pas préparée à faire face à une pandémie mondiale déclare encore Hubert Védrine. L’ONU par exemple reste encore relativement un machin qui  intervient parfois plus ou moins mollement dans les conflits ou dans les famines et qui se paralyse le plus souvent. Le G20 discute mais l’impose jamais rien. Quant à l’Europe, elle n’a guère encore donné la preuve de son efficacité hormis sur la question des échanges de biens et encore. L’Europe demeure un espace limité au marché comme le souhaitaient les anglo-saxons. Sans doute le Coronavirus ne modifiera pas totalement ces problématiques mais il  entraînera vraisemblablement des changements sur le plan économique  avec des transformations des modes de production et de consommation mais aussi sur le plan politique.

Coronavirus: une urgence internationale bien lente et bien tardive de l’OMS

Coronavirus:  une urgence internationale bien lente et bien tardive de l’OMS

 

L’OMS a évidemment tardé à déclarer une urgence internationale en raison des pressions économiques notamment de la Chine mais aussi des États-Unis dont les économies sont très imbriquées. De plus cette déclaration  n’est pas forcément très contraignant , il incite  surtout à la coopération entre les Etats pour lutter contre l’épidémie. Pour  l’OMS il  ne s’agit pas d’interdire ou de contraindre  les échanges de biens et de personnes. Alors que c’est sans doute la seule mesure très efficace qui pourrait permettre de confiner la maladie où elle se développe essentiellement et de manière incontrôlable à savoir la Chine. Le problème évidemment c’est que l’économie mondiale connaît déjà une croissance très faiblarde et celle de la Chine en particulier qui doit  en plus affronter à une énorme crise de financement. Pour le dire plus clairement, l’OMS comme d’autres organisations internationales subit les pressions du monde du business. Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a donc  annoncé cette décision à l’issue d’une réunion à Genève du comité d’urgence de l’organisation.

Avec désormais plus de 8.100 personnes contaminées et 170 morts, l’épidémie de coronavirus née à Wuhan ne faiblit pas et se répand hors de Chine. Des cas de transmission entre humains sont même apparus en dehors de Chine, y compris aux Etats-Unis. Tedros a déclaré au cours d’une conférence de presse qu’une épidémie sans précédent s’était développée ces dernières semaines et qu’elle avait suscité une réaction elle aussi sans précédent. “Laissez moi le dire clairement, cette déclaration n’est pas un vote de défiance envers la Chine”, a-t-il dit.

“Notre principale inquiétude est la possibilité que le virus se répande dans des pays disposant de systèmes de santé plus faibles”, a poursuivi le directeur général de l’OMS.

Témoin de la mollesse de l’OMS cette précision à propos de la mobilité : La déclaration d’urgence internationale s’accompagne de recommandations à tous les pays destinées à empêcher ou limiter la propagation transfrontalière d’une maladie, tout en évitant les perturbations inutiles pour les déplacements et les échanges commerciaux.

Traduction:  ne pas trop perturber le monde des affaires !

 

OMS-coronavirus: une urgence internationale bien lente et bien tardive

OMS-coronavirus:  une urgence internationale bien lente et bien tardive

 

L’OMS a évidemment tardé à déclarer une urgence internationale en raison des pressions économiques notamment de la Chine mais aussi des États-Unis dont les économies sont très imbriquées. De plus cette déclaration  n’est pas forcément très contraignant , il incite  surtout à la coopération entre les Etats pour lutter contre l’épidémie. Pour  l’OMS il  ne s’agit pas d’interdire ou de contraindre  les échanges de biens et de personnes. Alors que c’est sans doute la seule mesure très efficace qui pourrait permettre de confiner la maladie où elle se développe essentiellement et de manière incontrôlable à savoir la Chine. Le problème évidemment c’est que l’économie mondiale connaît déjà une croissance très faiblarde et celle de la Chine en particulier qui doit  en plus affronter à une énorme crise de financement. Pour le dire plus clairement, l’OMS comme d’autres organisations internationales subit les pressions du monde du business. Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a donc  annoncé cette décision à l’issue d’une réunion à Genève du comité d’urgence de l’organisation.

Avec désormais plus de 8.100 personnes contaminées et 170 morts, l’épidémie de coronavirus née à Wuhan ne faiblit pas et se répand hors de Chine. Des cas de transmission entre humains sont même apparus en dehors de Chine, y compris aux Etats-Unis. Tedros a déclaré au cours d’une conférence de presse qu’une épidémie sans précédent s’était développée ces dernières semaines et qu’elle avait suscité une réaction elle aussi sans précédent. “Laissez moi le dire clairement, cette déclaration n’est pas un vote de défiance envers la Chine”, a-t-il dit.

“Notre principale inquiétude est la possibilité que le virus se répande dans des pays disposant de systèmes de santé plus faibles”, a poursuivi le directeur général de l’OMS.

Témoin de la mollesse de l’OMS cette précision à propos de la mobilité : La déclaration d’urgence internationale s’accompagne de recommandations à tous les pays destinées à empêcher ou limiter la propagation transfrontalière d’une maladie, tout en évitant les perturbations inutiles pour les déplacements et les échanges commerciaux.

Traduction:  ne pas trop perturber le monde des affaires !

Une force internationale contre les incendies ?

Une force internationale contre les incendies ?

 

D’une certaine façon, c’est peut-être ce que propose Macron quand il parle  de la place d’une organisation commune pour lutter contre les grandes catastrophes que constituent les incendies. Notons par parenthèses qu’il y a longtemps qu’on aurait dû réfléchir à la mise en place d’une organisation internationale pour intervenir lors d’autres catastrophes comme les tremblements de terre, les inondations et les cyclones par exemple. Il est clair qu’il est difficile pour un seul État de disposer des moyens suffisants pour lutter contre les d grands incendies. En Amazonie,  le président Bolsonaro, après une période d’immobilisme, vient  de décider de mobiliser l’armée. La question est de savoir si ce n’est pas trop tard et si c’est à la hauteur des les enjeux

 

Des discussions sont en cours entre conseillers diplomatiques pour que des « initiatives concrètes » soient prises lors du sommet du G7, qui s’ouvre samedi à Biarritz, face aux feux qui ravagent l’Amazonie, a déclaré vendredi une source diplomatique française. /Photo prise le 22 août 2019/REUTERS

Le président français a engagé un bras de fer avec le président brésilien Jair Bolsonaro, qui passe par le refus de la France d’approuver le traité de libre-échange passé entre l’Union européenne et les pays du Mercosur dont le Brésil fait partie. Dans un entretien diffusé sur le site d’informations Konbini, le chef de l’Etat rappelle que la Guyane française jouxte la forêt amazonienne.

“Le président brésilien l’oublie : la France est en Amazonie. La plus grande frontière extérieure de la France c’est entre la Guyane et le Brésil, donc nous sommes là-bas”, a-t-il dit. Au G7, “on va essayer d’une part de mobiliser tout le monde pour lever des financements, pour reboiser le plus vite possible”, a expliqué le président lors de cet entretien accordé dans les jardins de l’Elysée.

Emmanuel Macron évoque aussi l’importance de “développer des mécanismes de prévention des incendies beaucoup plus puissants”. Il veut enfin “trouver la bonne gouvernance de l’Amazonie” en associant les organisations non gouvernementales, les peuples autochtones, beaucoup plus qu’on ne le fait”.

“Il faut stopper un processus de déforestation industrialisé un peu partout, on a véritablement un écocide qui est en train de se développer à travers l’Amazonie et pas simplement au Brésil”, a-t-il ajouté.

Plus tôt dans la journée, une source diplomatique française avait fait savoir que les conseillers diplomatiques du G7 (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) oeuvraient en faveur d’”initiatives concrètes pour l’Amazonie dans le cadre du G7”.

 

L’Agence spatiale brésilienne (INPE) dit avoir répertorié 72.843 incendies dans la forêt amazonienne depuis le début de l’année, soit une hausse de 83% par rapport à la même période l’an dernier et un record depuis qu’elle a commencé à recueillir de telles données en 2013.

La déforestation au Brésil a bondi de 67% sur un an au cours des sept premiers mois de l’année, a par ailleurs indiqué l’INPE, dont le travail est attaqué par le gouvernement de Jair Bolsonaro.

Facebook, Instagram et Whatsapp en panne : catastrophe internationale !

Facebook, Instagram et Whatsapp en panne : catastrophe internationale !

 

Plusieurs réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp, ont été inaccessible dimanche rapporte dimanche 14 avril downdetector.com, un site spécialisé dans le suivi des incidents rencontrés sur internet. Une véritable catastrophe internationale évidemment car nombreux d’utilisateurs ont été privés de publication de leurs photos en compagnie de leur chien. Des photos pourtant tellement attendues par tous leurs amis tellement impatients de témoigner  leur enthousiasme en diffusant le célèbre «  j’aime «. On objectera  à juste titre qu’une partie certes très minime de ces réseaux sociaux sert d’autres objets que l’auto contemplation mais ces utilisations sont marginales. Pour l’essentiel, ces réseaux sociaux diffusent des informations et autres images sans aucun intérêt à un réseau virtuel d’amis dont la plupart ne se connaissent pas. Bref c’est la nouvelle convivialité virtuelle qui échange des banalités semble à des fins existentielles. Mais des infos revendus à des fins commerciales  Amazon et autres.  Au « cogito ergo sum » s’est substitué » je surfe donc je suis ». De ce point de vue, là technologie a fait bien davantage de progrès que le contenu et les milliards de tuyaux qui permettent la communication ne transportent en fait surtout  l’insignifiance.

 

Menaces sur la croissance internationale

Menaces sur la croissance internationale

La chute brutale de l’emploi aux Etats-Unis (20 000 au lieu de 180 000) en février ravive les craintes dune dépression économique.  Il se pourrait bien que les institutions de prévision passent leur temps cette année à opérer régulièrement des révisions à la baisse des perspectives de croissance de l’activité internationale. En cause, d’abord des problèmes méthodologiques. D’une façon générale les institutions ont la fâcheuse habitude de prolonger les tendances. Souvenons-nous que les premières prévisions pour 2018 envisageaient une croissance proche de celle de 2017. Or cette croissance s’est très nettement affaiblie en particulier dans la dernière période de l’année. Pour autant, cela n’a pas empêché ces institutions de nourrir l’espoir que 2019 afficheraient une activité certes un peu moindre que 2018 mais encore soutenue. Des pronostics qui risquent d’être contredits par les faits quand on constate par exemple des reculs de l’industrie et des échanges internationaux de la Chine, aussi de nets tassements de la croissance dans des pays comme  l’Allemagne ou les États-Unis. L’OCDE revoit donc aussi ses prévisions et n’anticipe plus que 3,3% de croissance en moyenne dans le monde cette année puis 3,4% l’an prochain – après 3,6% en 2018 -, soit respectivement 0,2 et 0,1 point de moins par rapport à ses précédentes projections de novembre. Le Fonds monétaire international (FMI) avait révisé dès fin janvier dans des proportions similaires ses propres prévisions de croissance à 3,5% pour 2019 et 3,6% pour 2020.Les premières données officielles publiées depuis par les Etats ont montré que le ralentissement du deuxième semestre 2018 a été globalement plus prononcé qu’attendu – autour de 3% par an sur une base trimestrielle, soit le rythme le plus faible depuis la mi-2016, souligne l’OCDE -, avec pour conséquence moins d’élan pour basculer sur 2019.Les indicateurs avancés ne laissent présager aucune amélioration sur ce point à court terme, les différentes enquêtes montrant que les commandes à l’export restent faibles en Chine et poursuivent leur baisse en Europe et dans de nombreuses économies asiatiques, relève l’OCDE. Mais même en l’absence d’aggravation des tensions commerciales, ses économistes estiment que le ralentissement en cours dans des pays comme l’Allemagne, la Chine, le Royaume Uni et l’Italie impacte la croissance de leurs partenaires commerciaux en Europe et en Asie au vu de leur importance comme pays exportateurs ou dans les chaînes d’approvisionnement régionales. En conséquence, la plus forte révision à la baisse des attentes de l’OCDE concerne la zone euro, où les économistes de l’organisation n’attendent plus que 1,0% de croissance cette année (-0,8 point par rapport à novembre) et 1,2% l’an prochain (-0,4 point).Par comparaison, les dernières estimations de la Commission européenne, en février, portaient sur 1,3% en 2019 et 1,6% en 2020.Les changements les plus conséquents concernent l’Allemagne, où l’OCDE anticipe une hausse du PIB limitée à 0,7% cette année puis 1,1% l’an prochain, soit des baisses de 0,9 et 0,3 point par rapport à ce qui était attendu l’automne dernier, et plus encore l’Italie, où l’OCDE entrevoit même une récession (-0,2%) en 2019 avant un rebond modéré (+0,5%) en 2020.L’OCDE y voit la conséquence du poids important des exportations dans leur PIB en comparaison d’un pays comme la France, pour lequel l’ampleur des révisions est moindre : 1,3% en 2019 (-0,3 point) comme en 2020 (-0,2). Pour la Grande-Bretagne, les effets du ralentissement en zone euro se conjuguent aux incertitudes liées au Brexit, amenant l’OCDE à ne plus tabler que sur une croissance inférieure à 1,0% cette année (+0,8%, -0,6 point) comme la prochaine (+0,9%, -0,2 point).

Croissance internationale: Confirmation de la baisse (OCDE)

Croissance internationale:  Confirmation de la baisse (OCDE)

Il se pourrait bien que les institutions de prévision passent leur temps cette année à opérer régulièrement des révisions à la baisse des perspectives de croissance de l’activité internationale. En cause d’abord des problèmes méthodologiques. D’une façon générale les institutions ont la fâcheuse habitude de prolonger les tendances. Souvenons-nous que les premières prévisions pour 2018 envisageaient une croissance proche de celle de 2017. Or cette croissance s’est très nettement affaiblie en particulier dans la dernière période de l’année. Pour autant cela n’a pas empêché ces institutions de nourrir l’espoir que 2019 afficheraient une activité certes un peu moindre que 2018 mais encore soutenue. Des pronostics qui risquent d’être contredits par les faits quand on constate par exemple des reculs de l’industrie et des échanges internationaux de la Chine, aussi de nets tassements de la croissance dans des pays comme  l’Allemagne ou les États-Unis. L’OCDE revoit donc aussi ses prévisions et n’anticipe plus que 3,3% de croissance en moyenne dans le monde cette année puis 3,4% l’an prochain – après 3,6% en 2018 -, soit respectivement 0,2 et 0,1 point de moins par rapport à ses précédentes projections de novembre. Le Fonds monétaire international (FMI) avait révisé dès fin janvier dans des proportions similaires ses propres prévisions de croissance à 3,5% pour 2019 et 3,6% pour 2020.Les premières données officielles publiées depuis par les Etats ont montré que le ralentissement du deuxième semestre 2018 a été globalement plus prononcé qu’attendu – autour de 3% par an sur une base trimestrielle, soit le rythme le plus faible depuis la mi-2016, souligne l’OCDE -, avec pour conséquence moins d’élan pour basculer sur 2019.Les indicateurs avancés ne laissent présager aucune amélioration sur ce point à court terme, les différentes enquêtes montrant que les commandes à l’export restent faibles en Chine et poursuivent leur baisse en Europe et dans de nombreuses économies asiatiques, relève l’OCDE. Mais même en l’absence d’aggravation des tensions commerciales, ses économistes estiment que le ralentissement en cours dans des pays comme l’Allemagne, la Chine, le Royaume Uni et l’Italie impacte la croissance de leurs partenaires commerciaux en Europe et en Asie au vu de leur importance comme pays exportateurs ou dans les chaînes d’approvisionnement régionales. En conséquence, la plus forte révision à la baisse des attentes de l’OCDE concerne la zone euro, où les économistes de l’organisation n’attendent plus que 1,0% de croissance cette année (-0,8 point par rapport à novembre) et 1,2% l’an prochain (-0,4 point).

Vague internationale du populisme : alternance des illusions et des désillusions

Vague internationale du populisme : alternance des illusions et des désillusions

 

 

 

La vague du populisme prend des dimensions mondiales ; plusieurs facteurs explicatifs peuvent permettre de comprendre ce phénomène mais pour résumer on pourrait considérer qu’il s’agit d’une forme d’alternance des illusions mais aussi des désillusions. Alternance des illusions car le programme des dégagistes est aussi illusoire que celui des partis classiques. Des partis classiques qui ont sous-estimé les excès et de la mondialisation et de l’ultra libéralisme. Globalement sans doute des progrès économiques mais avec un accroissement des inégalités, des conditions de concurrence faussée, des pertes de qualification, la stagnation voire le recul du pouvoir d’achat et la progression du chômage dans certains pays. Aussi une perte de d’identité et de repères sociétaux. Une autre illusion, celle des nationalistes vient prendre la place de l’internationalisme béat ;  pas sûr cependant que la majorité des dégagistes croient beaucoup dans les promesses des nouveaux arrivants. En général, les électeurs votent davantage pour sanctionner le pouvoir en place que pour la crédibilité du programme des populistes. Lesquels seront à leur tour sanctionner en raison des illusions déçues (sauf dans les pays où l’extrême droite installera des formes de dictatures). Cette vague mondiale du populisme concerne les pays développés comme les pays en développement. En cause aussi, une certaine caste politique qui a transformé la fonction en métier avec des technocrates ignorant des réalités économiques sociales et sociétales. Personne ne peut dire sur quoi peut déboucher cette vague nationaliste mais l’histoire nous enseigne qu’elle peut générer des conflits économiques voire des conflits armés. La faute bien sur à la démagogie des populistes mais aussi aux dénis de réalité de cette oligarchie coupée du monde réel-  Si l’on ajoute à cela la vague technologique qui bouleverse les modes de production, de consommation, voir les repères culturels alors  il ne faut pas s’étonner que les électeurs recherchent une réassurance identitaire dans le repli général.

Une baisse de la croissance internationale de 0.5 à 1%.

Une  baisse de la croissance internationale de 0.5 à 1%.

A juste titre,  Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde samedi contre les risques que la  guerre commerciale fait peser sur la croissance économique mondiale. Christine Lagarde, directrice générale du Fonds, a présenté aux ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales du G20 un rapport selon lequel les tensions commerciales pourraient faire baisser le PIB mondial de 0,5% Un chiffre cependant aléatoire d’une  part parce qu’il bien difficile de mesurer les effets d’un relèvement général des taxes douanières internationales , d’autre part parce que le Fmi ne veut pas installer trop d’incertitudes qui viendraient peser sur le moral des acteurs économiques. Or aujourd’hui dans les économies développées l’économie est internationalisées à hauteur d’environ 50% (imports plus export par rapport à la valeur de la production nationale) ; Le risque est donc de perdre beaucoup plus que les 0.5% évoqués par le FMI.

Dans une note rédigée à l’attention des ministres des Finances, le FMI estime en effet  que la croissance mondiale devrait atteindre 3,9% en 2018 et 2019.En réalité on pourraiat être plus proche de ù et la croissance mondiale pourraiat être limitée à 3% au lieu de 4%. Steven Mnuchin a quant à lui affirmé devant la presse qu’il n’y avait pour l’instant pas d’effet macro-économique sur l’économie mondiale. Les conséquences micro-économiques de ce bras de fer commercial ne devraient pas empêcher les Etats-Unis de connaître une croissance de 3% cette année, a-t-il ajouté. Lors de leur dernière réunion, fin mars, les ministres des Finances du G20 s’étaient contentés de promettre de “poursuivre le dialogue”, faute d’accord sur la politique commerciale. Selon le brésilien Eduardo Guardia, ils ont cette fois reconnu que les risques pesant sur l’économie mondiale s’étaient accrus depuis leur dernière entrevue. Le communiqué final, a-t-il poursuivi, reflétera la nécessité, en particulier pour les marchés émergents qui ont été perturbés par la faiblesse des devises, d’entreprendre des réformes pour faire face à la volatilité. “Je ne m’attends pas à ce que des progrès tangibles soient accomplis lors de cette réunion”, a quant à lui déclaré le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz, dans l’avion qui le conduisait à Buenos Aires.

Croissance internationale : très légère amélioration (FMI)

Croissance internationale : très légère amélioration (FMI)

 

 

3,5 % pour la croissance mondiale en 2017, c’est pas le Pérou mais cette fois un peu mieux que les dernières prévisions du fonds monétaire international qui prévoit toutefois un tassement aux États-Unis (autour de 2 %) ;  légère amélioration aussi pour la zone euro notamment pour l’Allemagne et la France. Toujours soutenue par les exportations (la balance commerciale allemande devrait encore dégager un équilibre positif de l’ordre de 300 milliards en 2017 pour 50 milliards de déficits pour la France), l’Allemagne devrait connaître une légère augmentation de la croissance à 1.8% par rapport aux prévisions initiales de 1.6%d’après le FMI. Pour la France la Banque de France compte sur elle sur1, 6 %. La croissance de l’économie s’affermit donc un peu au niveau mondial mais va ralentir aux Etats-Unis cette année et en 2018 par rapport aux précédentes prévisions, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) ce dimanche. Dans une actualisation de ses chiffres publiés en avril, le FMI prévoit également que la croissance devrait être un peu plus forte que prévu au sein de la zone euro grâce à de meilleures performances de l’Espagne, de l’Italie et, dans une moindre mesure, de la France et de l’Allemagne. « La reprise de la croissance mondiale annoncée (en avril) suit son cours comme prévu : la production mondiale devrait enregistrer une croissance de 3,5% en 2017 puis de 3,6% en 2018. Ces projections inchangées masquent toutefois des différences entre pays. Aux Etats-Unis, la croissance devrait être inférieure aux prévisions d’avril, en partant essentiellement de l’hypothèse que la politique budgétaire sera moins expansionniste que prévu », explique l’institution économique internationale. En conséquence, les chiffres pour les Etats-Unis ont été révisés à 2,1% cette année et en 2018 contre respectivement 2,3% et 2,5% envisagés au printemps, bien en-deçà des 3% visés par le gouvernement de Donald Trump. En Grande-Bretagne, la croissance devrait également ralentir à 1,7% (-0,3 point par rapport à avril) cette année, « en raison d’une activité plus faible que prévu au premier trimestre », même si elle devrait se maintenir à 1,5% l’an prochain. « En revanche, les prévisions pour 2017 ont été révisées à la hausse dans beaucoup de pays de la zone euro, dont l’Allemagne, l’Espagne, la France et l’Italie, où la croissance au premier trimestre 2017 a généralement dépassé les attentes » grâce à une demande intérieure « plus vigoureuse que prévu », souligne le FMI. Quant à la Chine, les prévisions ont été très légèrement relevées à 6,7% (+0,1) cette année et 6,4% (+0,2) en 2018 « en raison d’un niveau d’activité plus solide que prévu au premier trimestre, fruit de l’assouplissement précédemment consenti et des réformes liées à l’offre ».

L’Alliance bolivarienne : la référence internationale de Mélenchon

L’Alliance bolivarienne : la référence  internationale de Mélenchon

 

 

 

Retour aux années 50 avec les références communistes (ou ce qui en reste) :   de Mélenchon : l’alliance bolivarienne qui ne regroupe plus que quelques pays en ruine économique et sociale est en situation de quasi dictature. Des modèles qui ont totalement échoué tant sur le plan économique que social ou démocratique. Ce qui n’empêche pas Mélenchon d’en faire  des références avec à l’appui des citations de Robespierre, Lénine ou Trotsky. Normal chez cet ancien triskiste, toujours communiste,  et qui propose un modèle étatiste et finalement dictatorial.  Jean-Luc Mélenchon n’a jamais caché son admiration pour « El Comandante », ni son tropisme sud-américain, hérité de ses premières années d’élu à Massy à la fin des années 1970, une commune qui recevait alors de nombreux réfugiés chiliens. De ses passions bolivariennes, Jean-Luc Mélenchon, hispanophone, avait d’ailleurs tiré son concept de « révolution citoyenne », le leitmotiv de sa campagne de 2012, piqué au président équatorien Rafael Correa.  S’il est élu président, le candidat de gauche veut rejoindre cette union créée par le Venezuela en 2004. Liée à l’Iran, la Syrie et la Russie, elle ne représente plus grand-chose aujourd’hui. L’Alliance bolivarienne ne vous évoque pas grand-chose ? Cela semble aussi être le cas de Clémentine Autain. Porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, elle a été prise en flagrant délit d’ignorance du programme de son leader sur le plateau de France Info où elle était invitée jeudi matin. En particulier de ses points 15 et 62. Le candidat de la France insoumise, poussé par des sondages favorables, y annonce vouloir rejoindre l’Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (Alba), alors qu’il entend voir la France quitter l’Otan s’il accède à l’Elysée. Cette union interétatique qui avait déjà valu un accrochage entre un autre porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, et le journaliste Patrick Cohen lundi dans «C à vous», est assez peu connue, mais n’est pas très jeune. Fondée en 2004 par le Venezuela, dirigé alors par Hugo Chavez, et le Cuba de Fidel Castro, elle tire son nom de Simon Bolivar, homme à l’origine de l’émancipation de l’Amérique du Sud de l’influence espagnole, régulièrement évoqué par le candidat de gauche. Toujours sur le plan du symbole, son acronyme signifie «aube» en espagnol. Dans les faits, on trouve aujourd’hui une organisation moribonde, constituée de onze Etats membres.  «Elle est fondamentalement liée au Venezuela et a connu son zénith de 2008 à 2010, lorsque le prix du pétrole était au plus haut, explique Jean-Jacques Kourliandsky, spécialiste de l’Amérique latine à l’Iris. Aujourd’hui, ça n’est plus le cas, le pays a des difficultés économiques et l’Alba ne fonctionne plus vraiment, hormis par les communiqués. Elle sert de tribune à ses états membres.» Outre le Venezuela et Cuba, on trouve parmi les onze états membres l’Equateur, la Bolivie et plusieurs îles des Caraïbes. Mais si on regarde dans la liste des pays observateurs, on trouve l’Iran, la Syrie, alors que la Russie avait été invitée à son congrès de 2009. «

 

Evasion fiscale : nouvelle enquête internationale

Evasion fiscale : nouvelle enquête internationale
Une nouvelle affaire à dimension internationale d’évasion fiscale avec encore au centre le Crédit Suisse. Des dizaines de milliers de personnes soupçonnées d’évasion fiscale. Le service néerlandais de renseignement et d’enquête judiciaire dans les domaines économique, fiscal et douanier (Fiod) a précisé que des perquisitions simultanées avaient commencé dès jeudi aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en France et en Australie. Les autorités néerlandaises « enquêtent sur des dizaines de personnes soupçonnées de fraude fiscale et de blanchiment d’argent », a expliqué le parquet néerlandais, ajoutant que les suspects ont déposé de l’argent dans une banque suisse sans en informer les autorités. En France, le Parquet national financier (PNF) a fait savoir que des perquisitions et des auditions avaient été menées jeudi et vendredi sur l’ensemble du territoire dans le cadre d’une enquête internationale pour évasion fiscale. Le fisc britannique a également annoncé l’ouverture d’une enquête au pénal sur des soupçons de fraude fiscale et de blanchiment d’argent par « un établissement financier mondial ». Cette enquête va se concentrer dans un premier temps sur les cadres supérieurs ainsi que sur un nombre indéterminé de clients, a-t-il ajouté. Ni les autorités néerlandaises, ni les autorités britanniques n’ont dévoilé le nom de la banque concernée. Mais Crédit Suisse, la deuxième banque helvétique, a annoncé que les autorités locales s’étaient rendues dans ses bureaux de Londres, Paris et Amsterdam pour des questions fiscales concernant sa clientèle. Elle a dit collaborer avec les autorités, « continuant de poursuivre une stratégie de conformité fiscale absolue de ses clients ». La banque a dit ultérieurement qu’elle avait lancé une enquête interne. « L’enquête sera conduite par le déontologue, elle ne sera pas conduite par l’opérationnel », a dit Iqbal Khan, responsable des activités de banque privée de Crédit Suisse en dehors de la Suisse et de l’Asie Pacifique, à Reuters. »Si des personnes, quelles qu’elles soient, sont impliquées ou ont enfreint ces procédures, ces règles ou ces politiques qui sont en place, alors nous identifierons cela très rapidement. » Le Fiod a saisi des dossiers administratifs ainsi que les contenus de comptes bancaires, des biens immobiliers, des bijoux, une voiture de luxe, des tableaux de maître et un lingot d’or dans des maisons situées à La Haye, Hoofddorp, Zwolle et Venlo aux Pays-Bas. Les personnes arrêtées, une à La Haye et une autre à Hoofddorp, n’ont pas été identifiées. Le bureau suisse du procureur général a dit être « déconcerté » par la manière dont les autorités néerlandaises ont traité la question et a annoncé son intention de réclamer des explications. Wietske Vissers, la porte-parole du Fiod, n’a pas souhaité répondre aux questions concernant les enquêtes dans les autres pays et a renvoyé pour plus d’informations vers les polices nationales concernées et vers Eurojust, l’agence de l’Union européenne qui coordonne les poursuites transfrontalières. Eurojust a fait savoir qu’il avait participé à la coordination d’investigations qui ont débuté en 2016 et qu’il avait tenu trois réunions avec les autorités néerlandaises, britanniques, françaises, allemandes et australiennes.

Avion russe abattu par la Turquie : un mauvais coup porté à l’alliance internationale contre l’EI

Avion russe abattu par la Turquie : un mauvais coup porté à l’alliance internationale contre l’EI

 

 

Cet événement met en lumière les contradictions de l’alliance unique internationale que souhaite Hollande pour combattre l’État islamique. Il faut bien reconnaître que la Turquie comme la Russie  joue avec le feu. La Russie en effet n’est pas très claire quant à ses objectif, certes elle combat maintenant l’État islamique mais aussi les rebelles syriens opposés à Bachar El-Assad. La présence de cet avion russe près de la frontière turque en témoigne. De son côté la Turquie tout en affirmant sa volonté de combattre aussi l’État islamique n’a pas complètement coupé les ponts avec certaines composantes de cette organisation. Pour preuve elle fait preuve elle témoigne d’un très grand laxisme en autorisant la circulation des biens et des personnes en provenance ou vers l’État islamique. Elle facilite le commerce de l’État islamique notamment l’exportation de son pétrole. Hollande aura bien du mal à constituer cette alliance globale avec ce dernier incident. D’autant plus que les États-Unis sont toujours aussi réticents à coopérer avec la Russie et Bachar El-Assad. L’armée de l’air turque a donc abattu mardi un chasseur-bombardier russe à proximité de la frontière syrienne après lui avoir adressé, affirme Ankara, une série d’avertissements pour violation de l’espace aérien. Moscou conteste cette version et assure que cet incident aura de « graves conséquences ». C’est le premier événement de ce type depuis le 30 septembre, date à laquelle l’aviation russe est intervenue en Syrie, où la coalition formée par les Etats-Unis pour combattre les djihadistes de l’Etat islamique opère depuis l’été 2014.Jamais depuis les années 1950 les forces armées d’un pays de l’Otan, dont la Turquie occupe le flanc sud-est, n’avaient abattu un avion russe ou soviétique. « Nous ne tolérerons jamais des crimes comme celui qui a été commis aujourd’hui », a réagi le président russe Vladimir Poutine. Son homologue turc Tayyip Recep Erdogan, appuyé par ses alliés de l’Otan, a réaffirmé pour sa part « le droit de la Turquie à défendre ses frontières ». Cet incident devrait peser sur les initiatives en cours pour tenter d’édifier un front uni face à la menace posée par l’Etat islamique (EI). A Washington, Barack Obama et François Hollande ont mis en garde contre un risque de surenchère. « Toute escalade (…) serait extrêmement dommageable par rapport à la seule cause qui convienne, qui est de lutter contre le terrorisme et contre Daech », a dit le président français, qui se rendra jeudi à Moscou.

Athlétisme : La Russie suspendue par la fédération internationale

Athlétisme : La Russie suspendue par la fédération internationale 

« Une culture de la tricherie profondément enracinée » dans l’athlétisme russe et qui justifie la suspension ;  La Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) a donc décidé vendredi soir de suspendre de compétitions la fédération russe et tous ses athlètes, à la suite d’accusations de dopage généralisé.  L’Agence mondiale antidopage (Ama) a recommandé lundi dernier la suspension de la Fédération russe d’athlétisme qu’elle accuse d’avoir contourné les règles en matière de dopage, des accusations rejetées par la Russie. Au terme de plusieurs mois d’enquête, une commission indépendante de l’Ama a identifié ce qu’elle a présenté comme des défaillances systémiques au sein de l’IAAF et de la Fédération russe qui ont « empêché ou réduit la portée d’un programme antidopage efficace ».

Sport-fric- magouille : l’ancien président de la fédération internationale d’athlétisme inculpé

Sport-fric- magouille : l’ancien président de la fédération internationale d’athlétisme  inculpé

 

Une urgence : dissoudre la Fifa et les autres organisations  sportives internationales  où fric et magouille régulent les décisions. Après la FIFA, c’est à la fédération d’athlétisme d’être mise en, cause. L’ex-patron de la fédération internationale (IAAF), Lamine Diack, a été mis en examen pour corruption par deux juges françaises. Agé de 82 ans, le Sénégalais Lamine Diack, qui a laissé son poste cet été au Britannique Sebastian Coe, a été mis en examen pour corruption passive et blanchiment aggravé, a indiqué mercredi une source judiciaire qui confirmait une information d’iTélé. Placé sous contrôle judiciaire, il a été laissé libre. Son conseiller juridique, l’avocat Habib Cissé, 44 ans, a également été mis en examen par deux juges financiers parisiens, uniquement pour corruption passive, a précisé la source. Ni Lamine Diack ni Habib Cissé n’avaient réagi mercredi à la mi-journée. Un médecin, Gabriel Dollé, qui était en charge de la lutte antidopage à la fédération jusque fin 2014, était mercredi en garde à vue à Nice. Mais cette enquête judiciaire française, lancée cet été, ne fait que débuter et d’autres auditions devraient avoir lieu. Elle a commencé en août quand le parquet national financier a reçu un signalement de l’Agence mondiale antidopage (AMA). Curieusement peu de responsables politiques français ou  étrangers réclament la dissolution des ces fédérations   qui brassent  des millions, autorisent toutes les corruptions et justifient  l’opacité de leur  gestion par leur  statut d’association (équivalent du statut d’association de la loi 1901 en France.). La plupart ont en effet un statut aussi sulfureux que celui de la FIFA ou du CIO avec en plus presque toujours un siège en Suisse quelquefois à Monaco ( Atlétisme) pour des raisons de laxisme fiscal et d’absence de contrôle. Du coup,  c’est toute l’organisation sportive qui est en cause car elle est soumise à toutes les pressions à toutes les corruptions (voir encore l’implication du président de l’union internationale cycliste dans le scandale de dopage d’Armstrong). Le sport a grand besoin d’assainir son organisation et pour cela de se doter de base juridique officielle, contrôlable et démocratique.

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