Archive pour le Tag 'intérim'

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L’intérim en petite hausse

L’intérim en petite hausse

Alors que les chiffres du chômage sont attendus pour la fin de la journée, le recours à l’intérim a confirmé sa petite hausse de janvier (+1,2%) avec une évolution de +3,7% sur un an selon une information RTL. Un chiffre qui contraste avec la baisse continue de l’intérim depuis 2012. Les principaux secteurs qui profitent de cette hausse sont l’industrie (+7,6%), les transports et les services. A l’inverse, le BTP souffre toujours d’une baisse du recours à l’intérim. Dans le détail, ce sont les ouvriers non qualifiés qui composent le gros des troupes. Ils représentent 44,1% des effectifs intérimaires, en hausse de 16,8%. Les ouvriers qualifiés reculent quant à eux (-13,7%) mais sont toujours 30,6% du total des intérimaires. Les employés représentent 13,4% des intérimaires et les professions intermédiaires 11,9%. Signe que c’est bien l’industrie qui repart, les régions les plus favorablement touchées par la hausse du recours à l’intérim sont la Lorraine (+16,7%), la Haute-Normandie (+12,4%) et le Nord-Pas-de-Calais (+12%).

 

Croissance : intérim en baisse= conjoncture en dépression

Croissance : intérim en baisse= conjoncture en dépression

L’intérim est un indicateur avancé de la conjoncture or cet indicateur est très mauvais en octobre. Conséquence: la croissance et le chômage seront affectés pour cette fin d’année. L’intérim dans les transports est auusi dépressif or la transport est auusi un indicateur avancé de la conjoncture (on transporte l’économie produite et/ou échangée). Globalement  Les embauches en intérim ont en effet encore chuté en octobre : -2.9%, selon le baromètre Prism’Emploi (qui rassemble plus de 600 entreprises d’intérim) publié par France-Info. Depuis le début de l’année 5.000 emplois ont ainsi été perdus dans le travail temporaire.  La chute est vertigineuse : dans le bâtiment, le nombre d’intérimaires a chuté de plus de 20% le mois dernier. Un recul historique qui traduit les difficultés du secteur, en panne de chantiers. Le travail temporaire baisse aussi dans les transports. C’est bien plus léger : -0,5 % mais c’est un mauvais signe. C’est la 1ere baisse en 6 mois, or le transport de marchandise annonce souvent l’activité à venir dans d’autres secteurs. Ce sont les camions qui apportent des matériaux aux usines lorsqu’elles ont des commandes. Une chute de l’interim dans les transports ne présage donc rien de bon pour l’activité en France. Plus globalement, l’intérim est considéré comme un baromètre du marché de l’emploi : lorsque les entreprises vont mal, elles utilisent moins d’emplois temporaires, avant de se séparer éventuellement de leurs salariés. Cette baisse de l’intérim en octobre pourrait donc annoncer un nouveau recul du marché du travail. Même si certains secteurs résistent, le travail temporaire se maintient dans l’industrie  et progresse même, d’un peu moins de 2%, dans le commerce ou les services comme l’hôtellerie et la restauration.

 

Emploi : nouveau recul de l’intérim

Emploi : nouveau recul de l’intérim

L’intérim est considéré come un indicateur avancé de la conjoncture or cet indicateur recule en septembre. Un mauvais signe pour la croissance et l’emploi. Selon des informations livrées ce matin par Europe 1, les chiffres de l’intérim enregistrés pour le mois de septembre sont mauvais, notamment dans le secteur du bâtiment. Le nombre de contrats de travail temporaire a décroché de 2% au mois de septembre. Ces mauvais chiffres font suite à un fort recul enregistré entre janvier et mai 2014.   Le bâtiment, et plus particulièrement les travaux publics, traverse une zone de turbulences. L’emploi intérimaire a reculé de 20% dans ce secteur au mois de septembre, alors que ce mois est généralement propice pour le secteur du bâtiment en termes d’activités.  La raison invoquée par la Fédération des travaux publics d’Île-de-France pour justifier cette chute d’activité se trouve dans « l’effondrement des commandes ».  « C’est dû essentiellement à l’effondrement de la commande publique, des communes et des intercommunalités », selon Pierre Deniau de la Fédération des travaux publics d’Île-de-France. Il ajoute que le montant des appels d’offres était en chute « de l’ordre de 26% » à la fin du mois du septembre par rapport à septembre 2013. Les gros fournisseurs d’emploi, tel le commerce ou l’industrie, concèdent également une diminution de leur activité.  Europe 1 indique enfin que « la tendance ne s’arrangerait pas » pour le mois d’octobre.  Pour Pierre Deniau, l’intérim est le principal accélérateur de la reprise de l’emploi. « Dans un premier temps, les entreprises suppriment les emplois intérimaires avant de taper dans leurs emplois permanents », conclut, pessimiste, Pierre Deniau.

 

Emploi salarié : + 0.1% grâce à l’intérim

Emploi salarié : + 0.1% grâce à l’intérim

 

Finalement l’ ’emploi (pas le nombre de chômeurs qui augmente) demeure à peu près stable au second trimestre et grâce à l’intérim ; signe du manque de lisibilité de la conjoncture future et du manque de confiance général ; L’emploi salarié dans les secteurs marchands non agricoles a augmenté de 0,1% au deuxième trimestre en France, avec 8.300 postes créés, annonce mercredi l’Insee. Cette hausse fait suite à un recul de 0,1% au premier trimestre, période où 20.100 postes, un chiffre révisé, avaient été détruits. Le nombre de postes créés au deuxième trimestre avait été annoncé à 15.300 précédemment par l’Insee et celui des destructions d’emplois du premier trimestre à 21.700. Sur les douze mois à fin juin, les effectifs du secteur privé français ont diminué de 0,1%, le nombre de destructions nettes d’emplois atteignant 12.600. La légère hausse du deuxième trimestre tient à l’intérim, qui a gagné 14.000 postes et affiche une progression de 2,6% sur le trimestre et de 4,8% sur un an. Par secteurs, l’emploi salarié a reculé de 0,3% dans l’industrie entre avril et juin et de 0,6% dans la construction. Il a augmenté en revanche de 0,2% dans les services. L’Acoss (agence centrale des organismes de sécurité sociale) a quant à elle annoncé une hausse de 0,3% du salaire moyen par tête dans le secteur privé au deuxième trimestre et de 1,6% sur un an.  La masse salariale globale s’est accrue de 0,3% sur le trimestre après 0,8% au premier trimestre et de 1,6% sur un an.

 

L’intérim confirme la panne de croissance

L’intérim confirme la panne de croissance

 

Indicateur avancé de a conjoncture l’intérim indique que la croissance est bien en panne. France Info révèle aujourd’hui les chiffres de Prismemploi, un organisme qui regroupe différentes agences d’intérim. En avril, les effectifs intérimaires ont reculé de 1%, par rapport au même mois l’an dernier. Faisant écho aux mauvais chiffres du chômage de la semaine dernière, ces statistiques montrent que la situation ne s’améliore pas pour l’emploi. Il y a de moins en moins de missions d’intérim. La situation est particulièrement préoccupante dans le BTP: le nombre d’intérimaires a chuté en avril de 13 % dans ce secteur-clé de l’économie. Mais « si on a moins besoin d’intérimaires, c’est tout simplement parce qu’on a moins de chantiers », explique Patrick Liébus, qui préside la confédération des petites entreprises du bâtiment. Au mois d’avril, c’est d’ailleurs le BTP qui a fait chuter à lui tout seul les chiffres de l’intérim en France. Alors qu’en revanche, dans des secteurs comme le commerce, on a davantage recruté.

Croissance-emploi : recul de l’intérim

Croissance-emploi : recul de l’intérim

L’emploi intérimaire, considéré comme un indicateur avancé de la situation générale de l’emploi, a baissé de 2,8% en septembre, soit 16.900 emplois de moins qu’en août, et augmenté de 0,6% sur un an, a annoncé mardi Pôle emploi. Tous les grands secteurs ont vu leurs effectifs baisser en septembre : -1,5% pour l’industrie, -2,1% pour la construction et -4,9% pour le tertiaire. Dans l’industrie, seule la « fabrication d’équipements électriques, électroniques, informatiques-fabrication de machines » a vu ses effectifs augmenter (+1,3%), les autres secteurs reculant. Dans le tertiaire, tous les secteurs ont baissé. Sur un an, seule la catégorie des ouvriers qualifiés a vu ses effectifs augmenter (+2,7%), les autres connaissant une baisse (-0,4% pour les ouvriers non qualifiés, -0,8% pour les employés et -5,5% pour les cadres et professions intermédiaires). Entre fin septembre 2012 et fin septembre 2013, l’emploi intérimaire a augmenté dans toutes les tranches d’âge, excepté celles des moins de 20 ans (-3,6%) et des 20 à 24 ans (-1,7%). Toujours sur un an, les effectifs féminins ont baissé de 1,5%, tandis que les effectifs masculins ont augmenté de 1,1%. A fin septembre, le nombre d’intérimaires s’établissait à 578.300 en valeur corrigée des variations saisonnières. Le volume moyen journalier d’emplois intérimaires a été de 390.000, soit +1,4% en un mois et +6,3% sur un an.

 

Intérim :création d’un CDI ?

Intérim :création d’un CDI ?

 

Les partenaires sociaux discuteront ce vendredi de la création d’un contrat à durée indéterminée (CDI) dans l’intérim. Ce système existe déjà en Italie, en Allemagne, aux Pays-Bas ou encore en Suède. Une bonne idée ?  Nil, 36 ans, maçon à Lyon, est partagé. Il a longtemps travaillé en CDI avant d’opter pour l’intérim. «Ce qui me plaît, c’est la liberté. Pouvoir partir en vacances quand je le souhaite. Mais le CDI est toujours fondamental pour acheter ou louer un bien immobilier…». La question divise également les internautes de 20 Minutes. «Cela ressemble à une technique pour éviter que les intérimaires ne partent bosser dans la boîte d’intérim concurrente», estime Geko87. C’est aussi l’avis de Stéphane Lardy, du syndicat FO. Il s’interroge par ailleurs sur la rémunération de ces salariés, lorsqu’ils n’auront pas de mission. «Puisqu’ils seront en CDI, ils n’auront plus accès à l’assurance-chômage…», s’inquiète-t-il. «En matière de rémunération, tout est ouvert», répond François Roux, délégué général du Prisme, le patronat du secteur intérimaire. Et il assure : «Le principe étant que nous maintenions une rémunération pendant les périodes non travaillées.» Mais pas pour tous : ce CDI serait proposé aux «intérimaires dont les compétences sont les plus demandées par le marché». Autrement dit, ceux qui travaillent très fréquemment. Une bonne idée pour l’internaute Shurashnor : «Cela forcerait les agences à s’occuper ou à former ces salariés durant les intercontrats.» Gilles Desbordes, de la CFDT, est également confiant : «La majorité de ceux qui exercent en intérim le font dans l’attente d’un contrat durable et là, nous avons l’opportunité de créer des milliers d’emplois en CDI. Il faut arrêter avec cette tentation de voir le danger partout.» Les partenaires sociaux ont jusqu’à la fin juin pour s’entendre. S’ils n’y parviennent pas, les contrats d’intérim pourraient à leur tour être taxés, comme le seront les CDD.

 

Baisse de l’emploi partout surtout dans l’intérim

Baisse de l’emploi partout surtout dans l’intérim

L’intérim baisse de façon notable or c’est une variable d’ajustement à la demande et un indicateur de la conjoncture. L’emploi salarié en France dans les secteurs marchands non agricoles a diminué de 0,3% au troisième trimestre, avec 41.700 postes détruits mais  l’emploi intérimaire est  particulièrement touché, selon les chiffres définitifs publiés mardi par l’Insee. Au deuxième trimestre, ces secteurs avaient déjà détruit 16.100 emplois. Sur un an, les secteurs principalement marchands ont détruit 56.600 postes (-0,4%). Le recul du troisième trimestre tient pour une large part à une forte baisse (-5,7%, soit 31.300 postes en moins) de l’emploi intérimaire, qui a accentué le repli constaté au deuxième trimestre. En un an, l’intérim a perdu 74.400 postes. Hors intérim, 10.400 postes ont été détruits au troisième trimestre. Dans l’industrie, l’emploi diminue de 0,2% (-5.500 postes) au troisième trimestre, au même rythme que les trimestres précédents. Sur un an, l’industrie a perdu 24.600 postes (-0,7%). L’emploi dans la construction baisse de 2.700 postes (-0,2%), soit -7.600 postes sur un an (-0,5%). Pour la première fois depuis un an, le secteur tertiaire hors intérim recule au troisième trimestre, souligne l’Insee (-2.200 après 14.400 créations au deuxième trimestre). Au total, le repli de l’emploi dans le secteur tertiaire s’accentue (-33.500 postes) après -4.000 postes au deuxième trimestre. Ce secteur a perdu 24.500 postes sur un an (soit -0,2%).

 

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