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Commerce international – Les équipements télécoms chinois interdits désormais aux États-Unis

Commerce- Les équipements télécoms chinois interdits désormais aux États-Unis

Le régulateur américain des télécoms (FCC) a annoncé vendredi l’interdiction des équipements et services télécoms fournis par près d’une demi-douzaine d’entreprises chinoises, parmi lesquelles les équipementiers Huawei et ZTE.

L’interdiction vise des entreprises considérées comme posant une menace à la sécurité nationale des Etats-Unis et concerne la vente de tout nouveau produit sur le sol américain, en ne permettant plus l’obtention d’autorisation de mise sur le marché.

Il concerne Huawei et ZTE, déjà soumises par le passé à des règles équivalentes, ainsi que Dahua et Hikvision, qui fournissent des équipements de vidéosurveillance, et Hytera, spécialisée dans les équipements radio. Les produits déjà autorisés par la FCC continueront cependant de l’être pour l’instant.

« Ces nouvelles règles représentent une part importante des actions mises en place afin de protéger le peuple américain contre des menaces à la sécurité nationale impliquant des équipements télécoms », a déclaré la présidente de la FCC, Jessica Rosenworcel, citée dans un communiqué.

Le régulateur réfléchit par ailleurs à réétudier les autorisations déjà accordées ainsi que les procédures de révision des interdictions annoncées.
Dans la lignée de celle de son prédécesseur Donald Trump, l’administration Biden a adopté une ligne ferme face aux équipementiers chinois de télécommunications, soupçonnés d’espionnage au profit de Pékin.

Les équipements télécoms chinois interdits désormais aux États-Unis

Les équipements télécoms chinois interdits désormais aux États-Unis

Le régulateur américain des télécoms (FCC) a annoncé vendredi l’interdiction des équipements et services télécoms fournis par près d’une demi-douzaine d’entreprises chinoises, parmi lesquelles les équipementiers Huawei et ZTE.

L’interdiction vise des entreprises considérées comme posant une menace à la sécurité nationale des Etats-Unis et concerne la vente de tout nouveau produit sur le sol américain, en ne permettant plus l’obtention d’autorisation de mise sur le marché.

Il concerne Huawei et ZTE, déjà soumises par le passé à des règles équivalentes, ainsi que Dahua et Hikvision, qui fournissent des équipements de vidéosurveillance, et Hytera, spécialisée dans les équipements radio. Les produits déjà autorisés par la FCC continueront cependant de l’être pour l’instant.

« Ces nouvelles règles représentent une part importante des actions mises en place afin de protéger le peuple américain contre des menaces à la sécurité nationale impliquant des équipements télécoms », a déclaré la présidente de la FCC, Jessica Rosenworcel, citée dans un communiqué.

Le régulateur réfléchit par ailleurs à réétudier les autorisations déjà accordées ainsi que les procédures de révision des interdictions annoncées.
Dans la lignée de celle de son prédécesseur Donald Trump, l’administration Biden a adopté une ligne ferme face aux équipementiers chinois de télécommunications, soupçonnés d’espionnage au profit de Pékin.

Ecologie et société- Les automobilistes pauvres interdits dans les villes ?

Ecologie et société- Les automobilistes pauvres interdits dans les villes ?

Il est clair que les pauvres sont déjà interdits dans les métropoles pour se loger. Comment en effet il trouverait-il les 400 000 € nécessaires dans la plupart des grandes villes ou 1 million à Paris ? logiquement il réside donc dans les zones périphériques voire rurales. Et pour cela, ils doivent utiliser leur voiture fautent de transports collectifs performants et réguliers dans les plages horaires de leur travail. Néanmoins dans les zones à faible émission (ZFE), les automobilistes pauvres qui disposent évidemment de voitures les plus anciennes seront interdits. Le résultat d’une politique inspirée par les écolos bobos qui peuvent se permettre d’embaucher à 9 heures voir plus tard grâce aux transports collectifs quand les automobilistes pour ne pas bénéficier de ses services à l’heure où ils embauchent. Des automobilistes qui conservent leur véhicule faute de pouvoir investir 20 000 € dans une nouvelle voiture ou 40 000 au moins dans une électrique.

Le gouvernement a annoncé la mise en place d’un système de contrôle sanction automatisé contre les véhicules trop polluants interdits pour le second semestre 2024.

« Les ZFE sont une nécessité pour des raisons écologiques et de santé publique. […] Notre obsession, c’est qu’elles ne soient pas des zones à fortes explosions sociales, financières, industrielles », a insisté Clément Beaune, le ministre délégué chargé des Transports, à l’issue de cette rencontre, qui aura duré deux heures et demie. Pour l’heure, 11 agglomérations ont déjà mis en place une ZFE dont Paris, Lyon et Grenoble.

Christophe Béchu a aussi annoncé qu’un système de « contrôle sanction automatisé » serait effectif au second semestre 2024. Attendu de longue date, ce dispositif, qui s’appuiera sur la lecture automatisée des plaques d’immatriculation, est une nécessité, selon les collectivités locales, pour que les ZFE soient pleinement efficaces.

Les contrevenants aux restrictions de circulation s’exposeront à des amendes – de catégorie 3 pour les véhicules légers et de catégorie 4 pour les véhicules lourds – et celles-ci « seront intégralement conservées par les territoires », a souligné le ministre, répondant ainsi à une demande exprimée par les élus locaux.
« Zone à faibles émissions » de la métropole du Grand Paris. Et ce qui vaut pour la capitale s’appliquera très probablement dans les autres métropoles françaises – toutes les villes de plus de 150 000 habitants y sont théoriquement soumises. L’hypocrisie commence donc à se fissurer : les zones à faibles émissions à faible mobilité, ou ZFE-m, sont en fait une mystification. Elles sont présentées comme l’outil principal de la lutte contre la pollution de l’air. Mais dans Paris et les 78 autres villes concernées en Ile-de-France, ce n’est qu’une fiction.
La ZFE parisienne devait interdire en 2022 les véhicules Crit’Air 3, soit 23,3% du parc et 587 000 véhicules. En janvier 2024, elle devait interdire les Crit’Air 2, soit 35,8% du parc et 901 000 véhicules. En moins de deux ans, ce seraient donc presque 60 % du parc automobile qui n’aurait plus le droit de circuler. C’est évidemment impossible.

Les automobilistes pauvres interdits dans les villes

Les automobilistes pauvres interdits dans les villes

Dans les zones à faible émission (ZF), les automobilistes pauvres qui disposent évidemment de voitures les plus anciennes seront interdits. Le résultat d’une politique inspirée par les écolos bobos qui peuvent se permettre d’embaucher à 9 heures voir plus tard grâce aux transports collectifs quand les automobilistes pour ne pas bénéficier de ses services à l’heure où ils embauchent.Des automobilistes qui conservent leur véhicule faute de pouvoir investir 20 000 € dans une nouvelle voiture ou 40 000 au moins dans une électrique.

Le gouvernement a annoncé la mise en place d’un système de contrôle sanction automatisé contre les véhicules trop polluants interdits pour le second semestre 2024.

« Les ZFE sont une nécessité pour des raisons écologiques et de santé publique. […] Notre obsession, c’est qu’elles ne soient pas des zones à fortes explosions sociales, financières, industrielles », a insisté Clément Beaune, le ministre délégué chargé des Transports, à l’issue de cette rencontre, qui aura duré deux heures et demie. Pour l’heure, 11 agglomérations ont déjà mis en place une ZFE dont Paris, Lyon et Grenoble.

Christophe Béchu a aussi annoncé qu’un système de « contrôle sanction automatisé » serait effectif au second semestre 2024. Attendu de longue date, ce dispositif, qui s’appuiera sur la lecture automatisée des plaques d’immatriculation, est une nécessité, selon les collectivités locales, pour que les ZFE soient pleinement efficaces.

Les contrevenants aux restrictions de circulation s’exposeront à des amendes – de catégorie 3 pour les véhicules légers et de catégorie 4 pour les véhicules lourds – et celles-ci « seront intégralement conservées par les territoires », a souligné le ministre, répondant ainsi à une demande exprimée par les élus locaux.

L’Europe favorise la vente de pesticides interdits au reste du monde !

L’Europe favorise la vente de pesticides interdits au reste du monde

 

Bien que se présentant comme une entité soucieuse de la préservation de l’environnement, l’Union Européenne continue de fabriquer pour le reste du monde ces produits qu’elle interdit sur son territoire, dénonce dans une tribune au « Monde » un collectif de représentants d’ONG et de scientifiques.

 

 

 

Les inquiétudes des citoyens sur l’agrochimie grandissent à mesure que les impacts sur la santé et l’environnement sont mieux connus. En Europe, ces craintes, légitimes, ont permis la mise en place de garde-fous, même s’ils restent bien insuffisants. L’Union européenne (UE) a notamment interdit l’usage des pesticides les plus dangereux sur son sol, depuis le début des années 2000.

Mais sur son sol uniquement, en tournant le dos au reste du monde et en fermant les yeux devant la production de ces produits sur son territoire. Ces pesticides sont d’une telle toxicité qu’ils sont très « efficaces » pour détruire les organismes vivants, nuisibles aux récoltes. Mais s’ils ont été retirés du marché européen, c’est bien parce que les dangers et les risques posés par ces substances étaient trop élevés.

L’atrazine, par exemple, a été interdite en Europe en 2004, pour être un perturbateur endocrinien et être très persistante dans l’eau. Dix-huit ans après, l’atrazine est toujours détectée dans notre eau potable et cet herbicide est encore massivement produit en Europe et vendu dans le monde entier.

Selon une enquête menée par l’ONG suisse Public Eye, en 2018, les géants de l’agrochimie ont vendu dans le monde plus de 80 000 tonnes de pesticides interdits en Europe. Et 90 % de ces produits viennent d’usines installées sur le Vieux Continent : Royaume-Uni, Italie, Pays-Bas, Allemagne, France, Belgique ou encore Espagne.

Ethiquement, la posture de l’UE est intenable. D’autant que, sur la scène internationale, l’Europe se présente comme une entité soucieuse de la préservation de l’environnement. Pourtant, elle ne fait rien pour contraindre son industrie à cesser de produire une chimie obsolète et des plus toxiques. Comme ne cesse de le rappeler les ONG, ce marché des pesticides dangereux est hautement rentable pour les firmes chimiques, qui continuent de vendre des produits mis sur le marché il y a plusieurs décennies : le paraquat comme l’Atrazine ont été créés dans les années 1960.

Au Brésil, un des géants de l’agriculture, ces produits provoquent un désastre écologique et social qui devrait nous inquiéter. Car ils sont toujours épandus par avion et avec un minimum de protection. Le gouvernement de Jair Bolsonaro a encore ouvert les vannes et a mis sur le marché brésilien 1 682 nouveaux pesticides.

« Nouveaux » dans ce cas, ne voulant pas dire modernes et moins toxiques, car, à ce jour, le Brésil utilise « au moins 756 pesticides, issus de 120 principes actifs/molécules, tous interdits dans l’UE dans les années 2000 et toujours produits par les firmes européennes », rappelle la chimiste Sonia Hess, attachée à l’université de Santa Catarina. Dans les régions agricoles du Brésil, les scientifiques se battent parfois au péril de leur vie pour montrer les effets sur la santé et l’environnement.

Guerre en Ukraine: Russes et Biélorusses interdits de compétition internationale ?

Guerre en Ukraine: Russes et Biélorusses interdits de compétition internationale ?

En recommandant aux différentes fédérations de bannir les athlètes russes et biélorusses, le Comité international olympique montre enfin sa clarté.

Par Nicolas Lepeltier dans le « Monde »

 

 

Analyse.

En excluant la Russie et la Biélorussie des compétitions internationales dans une quasi-unanimité, le mouvement sportif a donné l’image d’une « famille » unie comme rarement. Le Comité international olympique (CIO), patron du sport mondial, a réagi dès le 28 février, quatre jours après l’invasion militaire russe en Ukraine.

Dans son communiqué, le CIO recommandait « aux fédérations internationales de sport et aux organisateurs d’événements sportifs de ne pas inviter ou de permettre la participation d’athlètes et d’officiels russes et biélorusses aux compétitions internationales ».

Message reçu et suivi d’effet le jour même par la Fédération internationale de football (FIFA) et par l’Union européenne de football (UEFA) : dans une décision conjointe, les deux puissantes organisations privaient l’équipe russe du Mondial de football au Qatar (du 21 novembre au 18 décembre) et les clubs russes de toute compétition européenne, dont la lucrative Ligue des champions – la finale a été délocalisée de Saint-Pétersbourg au Stade de France, à Paris.

Par un effet domino, l’écrasante majorité des fédérations sportives, sauf l’ITF notamment, qui régit le tennis – les organisateurs du tournoi de Wimbledon (Royaume-Uni) ont toutefois décidé, le 20 avril, d’exclure les joueurs russes et biélorusses du prochain tournoi en juillet – ont suivi l’appel du CIO, réduisant ainsi le sport russe à l’état de paria. Un sort jusqu’alors réservé à l’ex-Yougoslavie du début des années 1990 et à l’Afrique du Sud de l’apartheid.

Rapide, historique, la prise de position de l’instance olympique, basée à Lausanne (Suisse), a surpris. « En l’espace de quelques jours, la famille du sport était presque au grand complet pour expliquer à quel point il fallait prendre des sanctions dures contre la Russie », s’étonne encore Carole Gomez, directrice de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques.

Une position surprenante en effet quand, ces dernières années, le CIO s’était plutôt fait remarquer par sa frilosité, au nom de sa traditionnelle « neutralité politique », à s’engager sur le terrain du respect des droits humains.

Mais, à y regarder de près, le CIO ne s’est pas mué en ardent défenseur des droits humains dès les premiers coups de canon tirés sur Kiev. Dans son texte du 28 février, l’organisation, qui compte plus de comités nationaux olympiques (206) qu’il n’y a d’Etats membres aux Nations unies, ne fait que « recommander » le bannissement des athlètes russes et biélorusses ; elle ne prend pas cette décision elle-même, mais laisse le soin aux fédérations internationales d’y procéder.

7000 produits à substances cancérigènes interdits (DGCCRF)

7000 produits à substances cancérigènes interdits (DGCCRF)

. La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vient cependant de rappeler plus de 7000 autres produits tels que du pain, des burgers, des gâteaux apéritifs, des sauces, des glaces, des fromages, des plats préparés, des thés et des cafés entre autres, sont également concernés par ce rappel. En cause : « une teneur en oxyde d’éthylène dépassant les limites autorisées par la réglementation européenne », peut-on lire sur le compte Twitter du site rappel.conso.gouv.fr.

L’oxyde d’éthylène est utilisé dans l’industrie agroalimentaire pour stériliser les épices et les graines, dont le sésame, présent dans de très nombreux produits. Il est répertorié par l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) comme «pouvant provoquer le cancer» et «induire des anomalies génétiques».

Grand Paris : les véhicules des pauvres interdits à partir du 1er juin

Grand Paris : les véhicules des pauvres interdits à partir du 1er juin

On comprend évidemment la nécessité de réguler la circulation automobile qui produit des émissions polluantes qui affectent en particulier le climat. Les véhicules les plus anciens viennent ainsi d’être interdits. Le problème c’est qu’il s’agit le plus souvent de véhicules de couches sociales défavorisées et qui souvent en embauchant très tôt dans des emplois de services ne peuvent disposer à temps de transport collectif.Les véhicules portant des vignettes Crit’Air 4 et supérieures ne pourront donc plus circuler entre 8 heures et 20 heures en semaine, hors jours fériés, dans un large périmètre situé à l’intérieur de l’A86.

Les véhicules particuliers (voitures ou deux-roues) et utilitaires légers classés Crit’Air 4, 5 et non classés ne pourront plus circuler entre 8 heures et 20 heures en semaine, hors jours fériés, dans un périmètre situé à l’intérieur de l’A86 qui forme une large boucle autour de Paris. Concrètement, il s’agit des véhicules diesel Euro 1, 2 ou 3, immatriculés avant le 31/12/2005, et des véhicules essences immatriculés avant le 31/12/96. Pour les poids lourds, autobus et autocars, cette interdiction est valable tous les jours de 8 heures à 20 heures.

 

Emballages plastiques jetables interdits en 2040

Emballages plastiques jetables interdits en 2040

 

La France s’est dotée d’un objectif de  »sortie des emballages plastiques à usage unique » d’ici 2040 mais sur une base incitative, sans prévoir à ce stade de sanctions pour les industriels qui continueraient à en utiliser.

 

Un décret, rattaché à la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec), votée en février 2020, a été publié le 30 avril par le ministère de la Transition écologique. Il concerne tous les produits et tous les types d’emballages plastiques, qu’ils soient ménagers, industriels ou commerciaux, y compris ceux qualifiés de biodégradables ou biosourcés.

 

Tubes de dentifrice, bidons de lessive… Les emballages plastique représentent en France quelque 2,2 millions de tonnes mis sur le marché chaque année, selon le ministère. Leur réemploi est peu développé et leur taux de recyclage, de 27%, est « faible », admet le ministère de la Transition écologique.

 

Dans un premier temps, ce décret « 3R » (réduire, réemployer, recycler) fixe l’objectif de réduire de 20% les emballages plastiques à usage unique d’ici fin 2025. Deuxième objectif affiché : tendre vers une réduction de 100% des emballages en plastique à usage unique jugés « inutiles », comme les blisters plastiques autour des piles ou des ampoules, d’ici 2025. Le troisième veut  »tendre vers 100% de recyclage des emballages en plastique à usage unique d’ici le 1er janvier 2025″, ce qui passe par l’obligation de mettre sur le marché des matériaux recyclables.

Covid: les rassemblements de plus de 6 personnes interdits

Covid: les rassemblements de plus de 6 personnes interdits

 

L’interdiction des rassemblements de plus de six personnes à l’extérieur sera désormais verbalisée.

Cette interdiction ne s’applique toutefois pas aux manifestations autorisées par les préfectures ni aux enterrements ou aux réunions à caractère professionnel. Elles ne s’appliquent pas non plus dans certains autres cas comme pour le sport en extérieur, par exemple. Gérald Darmanin enjoint dans cette note, citée par RTL, aux préfets de «communiquer» sur cette «règle essentielle à chacun de nos concitoyens». Il s’agit là de la déclinaison du décret du 19 mars publié après les nouvelles mesures de restrictions annoncées par Jean Castex.

 

Si ces mesures s’appliqueront de façon «stricte» dans les 16 départements en très forte tension, elles ont également vocation à être également appliquées dans l’ensemble de la France, a précisé l’entourage de Gérald Darmanin à l’AFP. «Les forces de l’ordre verbaliseront les faits caractérisés d’abus de la règle», a-t-on insisté. Concernant les rassemblements privés en intérieur, la jauge de six personnes maximum reste une recommandation puisque les contrôles au sein des domiciles ne sont pas autorisés, sauf exceptions comme du tapage nocturne, par exemple.

Les camemberts industriels interdits de référence «fabriqué en Normandie»

Les camemberts industriels interdits de référence «fabriqué en Normandie»

Pour simplifier la question il y a deux manières de fabriquer le célèbre camembert en Normandie. Soit la manière industrielle au lait  pasteurisé, soit la manière artisanale au lait entier. Or il vient d’être décidé que les camemberts fabriqués de manière industrielle ne pourront plus faire référence à la mention « fabriquée en Normandie » réservée à l’artisanat. Seules les étiquettes portant la mention : camemberts «de Normandie» AOP seront donc autorisées, signant la victoire des petits producteurs. «Le mot Normandie est un argument de vente qui parle aux consommateurs qui recherchent un camembert fabriqué dans cette région. Or, celui dit ‘fabriqué en Normandie’ ne respectait pas le cahier de charge si ce n’est qu’il était fabriqué dans des usines situées en Normandie, contrairement au camembert AOP», explique l’Institut national de l’origine et de la qualité (Inao).

 

Les véhicules à essence interdits d’ici 2030 au Japon

Les véhicules à essence interdits d’ici 2030 au Japon

La décision du Japon d’interdire les véhicules à essence d’ici 2030 aura des conséquences sur l’ensemble du monde. Le Japon est en effet l’un des plus grands producteurs d’automobiles. Le basculement vers des véhicules propres au moins 10 ans avant les autres va constituer un avantage compétitif considérable. Par ailleurs, le Japon mise sur le développement prioritaire de l’hydrogène.  Cette “stratégie de croissance verte”, centrée sur les secteurs de l’automobile et de l’hydrogène, s’inscrit dans le cadre du plan présenté en octobre dernier part le Premier ministre Yoshihide Suga, qui souhaite aligner le Japon sur les critères ambitieux de l’Union européenne et la Chine notamment en matière de réduction des émissions polluantes.

L’Etat, qui offrira des allègements fiscaux et d’autres incitations financières aux entreprises, entend générer 90.000 milliards de yens (870 milliards de dollars) de croissance économique supplémentaire par an d’ici 2030 à travers les investissements dans la croissance verte et 190.000 milliards ($1.800 milliards) d’ici 2050.

Un fonds “vert” de 2.000 milliards de yens soutiendra les investissements des entreprises dans les technologies vertes.Ce plan prévoit de remplacer la vente de nouveaux véhicules à moteur thermique par celle de véhicules électriques, notamment des véhicules hybrides et à pile à combustible, d’ici mi-2030.

Le Japon vise également à utiliser “autant que possible” les énergies renouvelables d’ici 2050, principalement par le biais de parcs éoliens en mer.L’objectif centrale vise à ce que les sources d’énergie renouvelables représentent 50 à 60% des sources d’énergie du pays d’ici 2050, contre moins de 20% aujourd’hui, tout en réduisant la dépendance à l’égard de l’énergie nucléaire.

TikTok et WeChat interdits aux États-Unis

TikTok et WeChat interdits aux États-Unis

TikTok et la messagerie WeChat interdit dès dimanche aux États-Unis. Une décision qui a surpris puisque des négociations étaient en cours pour une reprise par des sociétés purement américaines notamment Oracle.

Le département du Commerce américain justifie  cette suppression des menaces à la « sécurité nationale »

Washington laisse cependant une porte ouverte à TikTok, application très populaire auprès des jeunes permettant de produire de courtes vidéos, avant de lui interdire complètement d’opérer sur son sol.

« Le président laisse jusqu’au 12 novembre pour résoudre les problèmes de sécurité nationale posés par TikTok. Les interdictions pourraient être levées le cas échéant », a en effet indiqué le département du Commerce dans un communiqué.

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« Le Parti communiste chinois a démontré qu’il avait les moyens et l’intention d’utiliser ces applications pour menacer la sécurité nationale, la politique étrangère et l’économie des États-Unis », explique le ministère américain dans un communiqué.

Royaume-Uni : les rassemblements interdits

Royaume-Uni : les rassemblements interdits

Les rassemblements sont interdits au-delà de six personnes tant à l’intérieur qu’à l’extérieur témoignant de la remontée inquiétante des contaminations en Grande-Bretagne qui en général se produisent avec un à deux mois de décalage par rapport à l’Europe continentale. Notons quand même les exceptions concernant des événements de famille et surtout le sport par exemple comme le football qui pourra réunir des dizaines de milliers de personnes avec un pseudo protocole sanitaire.

Les rassemblements de plus de six personnes vont donc être interdits à partir de lundi en Angleterre pour lutter contre l’épidémie de nouveau coronavirus, qui enregistre une poussée au Royaume-Uni, notamment chez les jeunes, a annoncé le gouvernement britannique. Fixée actuellement à 30 personnes, cette nouvelle limite s’appliquera «aux rassemblements à l’intérieur et à l’extérieur, dans les logements privés, les espaces publics extérieurs et des lieux comme les pubs et les restaurants», ont indiqué les services du premier ministre Boris Johnson avant une conférence de presse mercredi après-midi.

les Membres du PC chinois interdits aux États-Unis ?

les Membres du PC chinois interdits aux États-Unis ?

Il s’agit sans doute d’une menace mais pas encore évidemment d’une véritable décision. Mais la seule évocation de cette possibilité traduit le raidissement très net des relations diplomatiques entre les États-Unis et la Chine. C’est une réplique américaine qui vise évidemment les questions économiques mais sans doute aussi la mise en cause d’une dictature qui s’assoit de plus en plus sur les libertés individuelles et collectives intégrant des pratiques de répression digne de l’époque de Mao. La présidence Trump pourrait interdire à tous les membres du Parti communiste chinois (PCC) d’entrer aux Etats-Unis, a déclaré jeudi à Reuters une source proche du dossier.

Si elle était mise en oeuvre, cette mesure contribuerait à tendre davantage les relations entre Pékin et Washington déjà mises à mal par les conflits commerciaux, par le contentieux lié à l’équipementier télécoms Huawei ou encore par la situation à Hong Kong.

Plusieurs responsables de l’administration Trump et plusieurs agences fédérales américaines ont été mis à contribution pour rédiger un texte qui pourrait aboutir sur le bureau du président américain.

Une telle mesure reviendrait à interdire de territoire américain non seulement la quasi-totalité de l’appareil politique chinois, au premier rang duquel figure le président Xi Jinping qui occupe le fauteuil de secrétaire général du PCC, mais aussi des dizaines de millions de Chinois, dont leurs enfants qui pourraient être privés du droit d’intégrer les lycées et les universités américaines.

Le débat n’est toutefois pas encore clos et la question n’a pas encore été abordée avec Donald Trump lui-même, a dit la source de Reuters qui confirmait une information révélée par le New York Times.

Quelle qu’en soit l’issue, cette réflexion illustre la volonté de l’entourage du président américain de mettre la question des relations sino-américaines au centre de sa campagne électorale.

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